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Message Sujet: back. (emeraude)   back. (emeraude) Empty Jeu 16 Mai - 12:25

le regard perdu dans le défilement des bagages devant toi, c’est le retour à la réalité, le compliqué, dans cette main que tu passes sur ta barbe de quelques jours. ça rape, te rappelle à quel point le voyage jusqu’ici a été plutôt long. du campement à la première base américaine. puis de ces bases en bases pour enfin atterrir à new-york.
new-york, la maison.
new-york, là où tu devrais te sentir mieux. soulagé.
new-york, là où les problèmes sont autres.
tu vas cracher là-dessus. t’es heureux de rentrer, comme tu l’es toujours. il y a juste les mais qui t’assaillent de toutes parts.
le sac que t’attrapes et fourres sur ton épaule, tu quittes le premier hall pour rejoindre le suivant, foulant le sol américain fait de béton. adieu la poussière. adieu les routes défoncées ou inexistantes. bonjour, new-york, ville trop bétonnée, trop grande, trop étouffante au bout d’un moment. si ta famille n’était pas ici, si de nombreuses choses ne te retenaient pas ici, tu te s’rais barrer depuis longtemps.
le regard qui cherche dans la foule de ceux qui attendent un proche, t’as main qui se resserre contre la lanière de ton barda. ça te fout les jetons, te met dans un état différent, de celui qui t’a empêché de dormir lors de ce dernier vol. parce que c’est emeraude qui vient te chercher. parce que c’est sur elle que tu poses ton regard, là, t’attendant plus loin. le pas qui ralentit une seule seconde avant de reprendre au rythme normal pendant que tes yeux la détaillent. jolie. non, sublime. seulement quatre mois, déjà trop pourtant, et rien n’a changé. emeraude, t’es belle mais inaccessible. emeraude, t’es attirante mais pas pour moi.
salut. le souffle. il est coupé. étrange. légèrement hésitant. un peu trop rocailleux. de même pour ce sourire que tu lui lances. légèrement sur le coin de tes lèvres. fébrile. soulagé ou heureux.  tu sens ça, emeraude ? comme t’es hésitant. comme tu ne sais pas comment réagir, cosimo. comme jsuis heureux de te voir. main sur la lanière de ton sac dos qui pèse une tonne. l’autre bras ballant.
et finalement, t’y vas. t’avances encore. réduis de ce dernier pas, si difficile à franchir jusqu’après réflexion, le mini espace entre vous. doucement, de ce bras qui libre, tu l’attires à toi dans une étreinte. de celle qui t’explose dans la poitrine de manières trop différentes. bonnes et mauvaises. et tu ne sais comment les départager pendant que les effluves de son parfum t’atteignent, t’attaquent littéralement.
t’as pensé à tout ça. t’as réfléchi à tout ce qu’il s’est passé entre vous.
et tout ce qu’il ne s’est pas passé, aussi. surtout, perdu entre les deux choses. les regrets et les certitudes d’avoir bien fait.
merci d’être venue me chercher. presque un murmure trop bas dans un hall trop bruyant. ça bouge entre vous. la vie continue dans le temps s’écoulant tandis que de votre côté le temps semble s’être arrêté pour vous laisser vivre un seul et unique moment de votre vie.
ça bouge alors qu’tu commences seulement à te détendre. ou presque. t’essaies de calmer ton palpitant, tes nerfs toujours en alerte. t’essaies de te dire, que ça y est, t’es de retour à la maison. là où personne n’en veut à ta vie. où personne n’est l’ennemi.
en principe. l’humain est dégénéré, après tout. tu pourrais mourir ici d’une bombe posé par un mec alors qut’as risqué ta vie pendant près de quatre mois.
quelle douce ironie ce serait. de mourir ici. dans les bras d’emeraude. celle que t’éloigne pour protéger. ces filles pouvant ressentir quelque chose pour toi que tu maintiens à l’écart.
cosimo, la dernière fois que tu t’es retrouvé dans un aéroport avec une fille autre que ta soeur, ou aux portes et sur le parking, t’as brisé le coeur de celle-ci. de cette fille. réduisant à l’état de souvenirs dangereux et malheureux votre histoire. t’as fait ça pour elle. c’est toujours le même discours. toujours la même pensée. tu ne peux pas.
pour qu’il n’y ait plus jamais cela. pour que ça n’arrive jamais. pas à vous. pas à elle. l’autre.
et pourtant, cette fois-ci, il y une fille. encore une autre. on s’attache pas, emeraude. c’pas ce que tu veux pour elle. c’est ton nouveau deal. t’es prête à ça ?
là, rien qu’en tant qu’amie. ou coloc.
là, rien que pour te rendre service.
là, pour pas qu’on ressemble à un couple se retrouvant à l’aéroport.
pas vrai ?

tu te recules, la lâches doucement de ta main qui traîne, prête à se brûler plus qu’il ne faut telle en soit ta condamnation. comment tu vas ? t’as le sourire sur les lèvres, un sincère alors qu’au fond, ça hurle. t’essaies juste de paraître normal, comme si tout était ok entre vous. n’est-ce pas, emeraude, que ça l’est ?

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Message Sujet: Re: back. (emeraude)   back. (emeraude) Empty Dim 26 Mai - 21:50

Cette légère petite voix dans ta tête qui te crie que tu n’as rien à faire là ou l’autre qui te réchauffe le cœur dans l’impatiente de le voir passé le seuil des portes vitré de l’autre côté du hall d’arrivée. Les prunelles qui se perdent un instant su le monde qui t’entoure et toute l’impatience qui te prend de plein fouet. Le regard qui se laisses aller en avant dans le  stress de ne pas avoir ta place ici. T’es juste qu’une substitution Emeraude. Juste l’arrangement car, nul meilleure solution s’est présenté. T’es juste le plan b Emeraude. T’en es là, à t’en contenter étrangement de la place qu’il te donne. T’es resté des jours perdus entre deux eaux d’adieu à demi déchirant. Adieu à demi lancé. T’es resté des jours à te demander si tu faisais bien de se message que tu as réécrire des dizaines de fois avant de te décider à l’envoyer. T’es resté des jours à espérer qu’il pense à toi à l’autre bout du monde dans un égoïsme des plus grands. T’aurais dû en tirer des leçons de tout cela mais, tu continuer de t’enfoncer à chaque minute d’espérance d’une infime intention. Accepté le néant pour une seconde. Pour un sourire. T’attendais plus rien et pourtant t’étais toujours aussi effrayé qu’il ne rentre pas. Qu’il t’oublie. Combien de fois t’étais-tu retrouvé à repensé à l’éphémère de vos moments partagés et à son regard déposé dans le tiens. Chaque minutes qui s’écouler et tu te sentais hors de ton propre corps. La scène observé d’en haut. Une gamine en attente de son cadeau. Une gamine perdue au milieu d’une foule de gens. La peur au ventre qui t’assaille Emeraude. La peur de quoi Emeraude ?! L’esprit qui vacille ou celui qui chercher comment agir et tout qui finit par s’aligne dans un regard qui se croise. Le souffle qui s’échappe et le sourire qui s’étire. Le monde s’arrête de tourner d’une demi-seconde et tu voudrais le capturer dans une boîte le moment. A jamais enfermer dans les méandres de ton esprit. Elle est longue l’attente des pas qui vous sépare Emeraude. Elle est longue cette distance de vos prunelles qui se cherchent et vos timides sourires qui se répondent.
Tu détailles Emeraude,
Tu n’en perds rien Emeraude,
Tu as peur Emeraude,
Peur du mirage, peur que tout s’envole, peur du réveil,
Toujours ce putain de réveil…

C’est le monde qui se dérobe sous tes pieds quand à ta hauteur il arrive. Le souffle qui libère ton être alors que les mots restent coincés dans les tréfonds de ta gorge. Paralyser d’avoir trop réfléchie les mots s’est évaporés de ton esprit. C’est ton cœur qui se soulève quand tu peux détailler chacun de ces traits et être frappé par le réalisme de l’instant. Peut-être le retour que tu n’avais pas préféré attendre pour ne pas te faire du mal en vain. Peut-être le retour qu’il aurait mieux fallut ignorer pour ne pas souffrir plus que de raison.
Mais, tu aimes ça,
Souffrir Emeraude.
Avoue que tu adores,
La délicate violence de la peine qu’il t’inflige.

La fatigue du voyage et la violence des horaires vécus que tu lies sur ces traits ou dans ces iris que tu lies des tiennes. Ces mieux qu’il ramène avec lui. Qu’il traîne comme un boulet invisible agrippé à sa cheville. Ces maux que tu voudrais effacer d’un simple geste. D’un simple mot. Si tout était si facile. Si vous aviez le droit à autant de facilité. –est-ce que se seras autant compliqué Cosimo, est-ce qu’il y aura les envies et les regrets ?!- Une voix qui brise le silence pour une autre « coucou » et le monde autour qui s’est arrêté. Il n’y a que lui, toi, juste l’instant. Une minute pour oublier. Une minute avant de vous faire de nouveau happer par la réalité qui s’agite autour de vos deux êtres qui se fixe. Qui se retrouvent. Tu y plonges tête en avant dans l’illusion que rien à changer, que tout vas bien entre vous. Que rien ne sais passer, que rien de mal n’est fait. Son bras qui t’enveloppe et le bonheur de ton cœur qui se réchauffe contre son torse. Son odeur qui te réconforte et la réalisation qu’il est bien là. Tu te laisses aller dans cette éteinte qui s’éternise surement plus que de raison mais, tu n’en dis rien. Rien de plus qu’une réponse à un merci qui n’est vain. T’aurais jamais dit non Emeraude. Tu as sauté sur l’occasion même avoue le toi à toi-même et tout iras mieux. « Ta sœur t’aurais pas laissé rentrer en taxi… elle peut-être persuasive tu sais puis,… tu m’as man…. Enfin je ne pouvais pas dire non… » -tu m’as manqué Cosimo mais est-ce raisonnable tout ça….- t’aurais tellement eu à dire mais, tu revenais malgré-toi à l’image de lui s’éloignant dans les escaliers de chez-vous après avoir répondue à ton baisé. C’était mieux ainsi que tu tenté de te convaincre. Difficile de te croire quand vos deux corps s’éloignant tu avais déjà le manque de le sentir contre toi. La sensation qu’il pouvait disparaître d’un instant à l’autre. « Fatiguée mais je vais bien… » Il y avait tellement plus à avouer Emeraude mais, quand serait-il de tes aveux. Tout était déjà bien assez compliqué comme cela. « Mr Chat à fait la Java toute la nuit, il a dû sentir ton retour… » Un sourire qui éclaire ton visage alors que tu commences à avancer en direction du parking. « Le voyage a pas été trop dur » que tu demandes lui évitant le comment ça va, tu savais, tu savais qu’il avait un pied ici et un autre resté là-bas. Tu l’avais vu de tes propres yeux et ça, tu ne l’oublierais jamais…


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Message Sujet: Re: back. (emeraude)   back. (emeraude) Empty Jeu 6 Juin - 16:01

l’étreinte tant attendue ou trop repoussée, tu ne saurais dire. mais elle est là, elle fait du bien. son corps contre le sien. son odeur contre la sienne, un mélange de son parfum et de son shampoing dont tu te surprends à te rappeler, à prendre la dose nécessaire pour affronter le retour à la réalité. l’coeur qui bat, presque trop vite, face au sien, contre le sien pour se retrouver. le temps de quelques secondes. pour revivre.
avant que vos corps ne se séparent, avant que tu réalises que cela fait bien trop longtemps que vous êtes ainsi. pas en arrière, le sac trop lourd qui contient ta vie de soldat que tu redresses sur ton épaule, tu la remercie une nouvelle fois d’être venue. Ta sœur t’aurais pas laissé rentrer en taxi… elle peut-être persuasive tu sais puis,… tu m’as man…. Enfin je ne pouvais pas dire non… le regard sur elle, trop détailleur sur les détails de son visage. tu l’accordes, le semblant de plaisir qui te prend dans la poitrine quand elle prononce les premiers mots sur ses sentiments. celui du manque. pareil, emeraude. étrangement, c’est pareil. elle et tout un tas d’autres choses. j’en doute pas. tu comprends comment je me suis retrouvée avec une colocataire maintenant. mouvement de tête, un rire léger qui passe entre tes lèvres avant de te mettre à marcher vers l’extérieur. tu comprends comment tu te retrouves dans mes pattes, émeraude ? et pas que. sors de ma putain de tête emeraude. fatiguée mais je vais bien… Mr Chat a fait la Java toute la nuit, il a dû sentir ton retour… qu’elle lance et tu souris, les yeux qui se lèvent légèrement vers le ciel. ou alors c’était un moyen de contester mon retour. j’espère qu’il a pas fait sur mes draps pour me punir de l’avoir laissé. il te l’a déjà fait, beaucoup trop souvent. comme pour un gosse, les premiers jours du retour sont difficiles. il fait la gueule, te montre son mécontentement pour ton absence trop longue, encore une, avant de se dire sans doute que c’est assez. qu’tu mérites finalement son attention et de toucher son pelage luxueux de poussière du dessous des radiateurs du loft.
le voyage a pas été trop dur ? la douceur dans la voix qui te donne l’impression d’un véritable retour à la maison. la bouffée d’oxygène étrange. la pensée dérangeante. les problèmes qui viendront t’assaillir d’une minute à l’autre. la pensée sur emeraude en même temps qu’un regard sur son profil. celui que tu détournes ensuite quand tu penses à ainhoa. le même chemin que tu prenais avec elle pour rentrer à votre appartement. ainhoa et son bébé, celui d’un autre homme. ainhoa et vos derniers mots trop destructeurs. tu finis par éclipser tes pensées pour revenir sur l’instant. emeraude., le chemin que vous prenez pour rentrer à votre appartement. sans main l'une dans l'autre, sans baisers échangés entre temps. toujours un peu. douce sincérité dans la voix, témoin de la fatigue accumulée qui t’accable.  le soleil qui agresse tes yeux, tu les fronces dans ta démarche. le climat de new-york te change des désertiques et arides. j’ai le dos rouillé par ces heures de vol. mais je suis content d’être arrivé. avec tous tes membres, en vie, sur le sol de ta maison.
lucre’ t’a donné les informations pour la suite ? la demande que tu lances alors que tu ouvres le coffre de sa voiture pour y déposer ton barda. ton corps se tourne vers elle ensuite, libéré du poids du sac, libre de tes mouvements. je suis content de te voir emeraude. cette main que tu glisses avec douceur derrière son oreille pour y coincer une mèche folle dansant avec le vent, tu lui lances un petit sourire avant d'aller t'asseoir côté passager.

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Message Sujet: Re: back. (emeraude)   back. (emeraude) Empty Jeu 27 Juin - 22:16

Tu te faisais du mal Emeraude. Tu te laissais aller à ce que tu ne devrais pas une nouvelle fois. C’était comme une même mélodie qui se répété inlassablement. Tu te laissais prendre par ce que tu avais dans le cœur Emeraude. Encore. Toujours. Le disque rayé de ta vie ou de tes fichues sentiments en constante opposition aux tourments de ton esprit. T’étais responsable de ta propre chute. Tu dansais sur un fil Emeraude. Un fil qui ne manquerais pas de se brisé. La chute faisait toujours mal. Il y a toujours eu cette fin avant le début de quoi que ce soit et t’étais toujours la espérer. Tu n’étais même pas certaine de savoir ce que tu espérais.
Qu’es ce que tu veux Emy ?!
L’amour, les larmes, le néant….
Cosimo, Mahe ?!
Qu’es ce que ton cœur te chante Emy ?!

T’étais perdu en eaux troubles. L’avancer pénible dans le brouillard d’un palpitant qui s’emballe trop vite. Et lui qui se fait malmener bien trop aisément mais, qui finit toujours par retomber. Tu replonge Emeraude. Dans leurs bras. Dans ces bras à lui. Là, maintenant. Tu te laisses allée dans un moment suspendue dans le temps. Il n’y a plus rien qui file en l’instant. Plus rien qui cours dans ton esprit. Le temps d’oublier la réalité qui te court après dans l’étreinte de ces bras autour de ton être qui veut simplement se sentir au complet. Tu as tout Emeraude pourtant mais, tu te sens comme un rien. Un rien sans eux. Sans lui. Mais, qu’es ce que t’y connais au final ?! T’es l’incapable. L’indécise. Tu cherches sans savoir réellement ce que tu veux trouver. Tu te laisses porter par les battements de ton cœur. Par cette douce et puissante mélodie qui enivre tes sens à son contact. – si tu savais comme s’est compliqué dans ma tête Cosimo, si tu savais comme j’suis perdu, comme j’aimerais que t’es la clé… Dis-moi que t’as la clé ?!- Les corps qui s’attachent pour mieux se détachés et surement que c’est mieux ainsi. Surement que la claque silencieuse suffit.
Le déchirement.
Le manque.

Connecté à un instant de déconnexion. T’es avec lui pas avec le monde qui continue de vivre. T’es ici mais ailleurs et tu n’es même pas certaines de pouvoir fouler de nouveau le droit chemin. Tu dérives Emeraude. Trop. T’es loin. T’es loin et tu voudrais pourtant rester tes putain de pieds scotché au sol. A la réalité. A celle qui ne te pièges pas. A la douloureuse réalité de la solitude de ton myocarde. Tu as le regard perdu dans le siens qui parcourt le siens et c’est comme redécouvrir. Comme ouvrir une nouvelle page d’un livre que l’on ne voudrait jamais finir. C’était ça, un nouveau chapitre. Un nouveau chapitre jusqu’au prochain départ. Jusqu’à la prochaine rupture. Jusqu’au prochain réveil. « Elle devrait se reconvertir dans la politique ou le commerce, elle ferait fureur…. T’aurais dû la voir quand elle a débarqué à l’appart avec mon cadeau d’anniversaire… elle est douée !!! » Le sourire qui se glisse délicatement et c’est la nouvelle ritournelle de souvenirs qui s’enclenche. Un bout de vie de toi entrelacer au siens. Vos chemins qui s’entrecroisent avec la sensation de ne jamais vraiment prendre le temps de s’y arrêter. C’est pt’être mieux ainsi Emeraude. Pt’être mieux que vous ne vous croisiez pas plus que cela. Vos cœurs sont bien là où ils sont : éloignés l’un de l’autre à se regarder. A se regarder sans se parler. « Je ne peux te garantir d’avoir pu sauver tes draps quand je n’ai pas réussi à sauver le tapis du salon !!! » rire léger et t’es bien Emeraude. Tu t’accroche à cette légèreté juste à faire comme si rien d’avant n’était arrivé. Comme si il n’y avait que le maintenant qui comptait. T’avais pas oublié pourtant Emeraude. T’es chagrin n’avais pas oublié. Tu les laisses de côté pourtant. Tu les laisses s’étouffer à la douce symphonie de ces mots. A la sincérité qu’il livre ou à sa simple présence. Les corps qui avancent et t’aimerais juste éterniser l’instant. Empêcher la réalité de vous frapper de nouveau. « Une bonne douche et ton lit te feront pas de mal alors…. » - j’sais que ça ne soigneras pas tes maux Cosimo, j’sais que ce n’est qu’illusoire le sourire de façade. T’es pas obligé, pas avec moi….- Arrivé à la voiture et c’est comme si tout était lus réel.
Il est là Emy,
Regarde-le de tes prunelles,
Savoure les détails de l’instant Emy.
Te laisses pas prendre au jeu Emy,
Tout n’est qu’éphémère.

« Oui…enfin une adresse où faut que je t’emmène avec son regard qui veux dire compte pas sur le fait de t’éclipser tu seras de la partie… trop de mystère pour moi !! » un rire gêné alors que le coffre claque et que cette soudaine proximité de ramène à la dérive. Doux contact de sa main sur ton visage. Furtif échange qui finit par se perdre dans l’air. Interdite et les mots qui te quitte. Tu le regarde s’éloignée avec ces paroles qui résonne en toi. Réveil toi Emeraude. Ne te laisses pas prendre, pas cette fois. – c’est trop tard Cosimo, c’est déjà trop tard ?!- Un instant de flottement et tu rejoins le volant de la voiture dans un silence qui s’éternise et la musique que tu mets comme pour libérée l’air qui te manque. « En route vers l’inconnue alors… à moins que tu sache où je te conduis et que tu ne veux pas me le dire ?! » que tu lances comme dans l’envie de tout comblé. De retrouver une normalité qui n’a jamais été entre vous. –c’est tout sauf normal entre nous Cosimo, hein ?!-


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Message Sujet: Re: back. (emeraude)   back. (emeraude) Empty Mar 2 Juil - 12:00


elle devrait se reconvertir dans la politique ou le commerce, elle ferait fureur… t’aurais dû la voir quand elle a débarqué à l’appart avec mon cadeau d’anniversaire… elle est douée ! muet face aux mots, t’es à la fois surpris et gêné. tsavais pas cosimo, que son anniversaire était passé. comment aurais-tu pu le savoir ? à la fuir, à fuir tout sujet de conversation pour essayer au moins de faire ami-ami, t’étais loin de tout cela. loin dsavoir ce qu’elle aimait, d’où elle venait ou encore le nombre de frère et soeur qu’elle avait.
tsavais juste ses envies et peurs. les secondes bien plus encore. votre discussion de l’autre nuit, là allongés de côté l’un en face de l’autre à vous conter ces quelques choses, tu revoyais la scène. nettement. c’était un rêve trop net, trop vrai pour s’en souvenir. du bout des doigts tu avais touché une réalité chez elle, l’envie de creuser encore plus éclipsait par la raison.
c’est un vrai requin. l’sourire fin, presque amusé en pensant à ta soeur. elle ne lâchait rien. jamais. lucrezia est une femme impressionnante. elle est passionnante et  chiante. c’est bien à cause d’elle, ou grâce à sa force de persuasion qui ne laisse aucune place à la négociation, que tu t’es retrouvé dans cette situation. à devoir partager un loft avec une inconnue. belle et tentatrice sans le vouloir, sans le savoir. je ne peux te garantir d’avoir pu sauver tes draps quand je n’ai pas réussi à sauver le tapis du salon ! son rire t’enchante. celui que tu n’as peu connu. t’es bien trop habitué aux regards gênés, aux mots hésitants voire larmoyants. t’as le rappel d’un souffle court, deux plutôt. celui sur son lit et celui après qu’elle t’ait couru après en bas de votre immeuble. je vais devoir m’incruster dans ton lit alors, désolé. c’est léger dans ta voix, la taquinerie passée alors que tu sais que tu merdes. t’as les mots incontrôlables, les mots regrettés dès la phrase qui se laisse planer au-dessus de vous. t’as pas le droit, cosimo, de plaisanter là-dessus. l’impossibilité de laisser passer ce genre de phrase alors qu’avant ton départ t’as rejeté toute tentative, toute option, toute chance possible entre vous. la laissant derrière toi, le coeur lourd, le poids d’un regard et d’un regret possible sur les épaules, la chaleur refroidi de ses yeux sur ton dos avant de disparaître.
tu ne sais comment ta soeur a réussi à la convaincre après ça.
tu ne sais quelle promesse ou excuse que ta soeur lui a filé pour qu’elle soit là, près de toi, devant toi, emeraude. trop proche.
une bonne douche et ton lit te feront pas de mal alors… le sourire absent, la tête que tu secoues positivement. j’en rêve depuis que la chaleur du désert a commencé à cramer ma peau. et tu t’attardes sur son visage.
jrêve de tant de choses emeraude.
jpense aux regrets qui pourraient traverser la barrière de mes lèvres pour t’atteindre avant que ce ne soit mes lèvres contre les tiennes. jrêve que tout soit plus facile, que nos mots le soient, que nos vies s’en sortent là-dedans. jrêve de ne pas avoir à penser à deux filles. l’une qui me tue à petit feu, l’autre qui m’enflamme à son tour.

oui…enfin une adresse où faut que je t’emmène avec son regard qui veut dire compte pas sur le fait de t’éclipser tu seras de la partie… trop de mystère pour moi ! étrangement, jrêvais de connaître toutes les tonalités de ton rire, lui que tu lances plus différent que celui précédemment. la caresse sur son visage, la mèche rebelle glissait derrière son oreille, tu l’abandonnes là pour rejoindre le siège passager. en route vers l’inconnue alors… à moins que tu sache où je te conduis et que tu ne veux pas me le dire ? le silence qu’elle brise, que tu remercies en posant ton coude sur la portière. si je te dis que tu fonces droit dans un traquenard avec moi, tu viendrais quand même ? est-ce que tu entends le double-sens. est-ce que tu sens les messages passés sans que je le veuille.
au fond, c’est toi le traquenard cosimo. le danger qu’elle tombe à son tour au bout de la rue, à côté de toi, pour et avec toi.
c’est un rituel, on se mange toujours de la nourriture bien grasse quand je rentre. même fatigué, t’es toujours là, présent car ils t’ont manqué. c’est une habitude, un rituel depuis des premières missions. avant un départ et après chaque retour. c’est le moyen de s’assurer que t’es toujours là, de profiter de ces instants en famille qui seront peut-être les derniers. bientôt des souvenirs douloureux, puis nostalgiques bien plus tard en y repensant, quand les années seront passées. le 5 napkin burger sur la 9th Ave. que tu précises alors qu’elle prend la route, le visage vers elle. t’es pas obligée de venir, si tu veux. jtrouverai une excuse pour luz. le sourire rassurant qui fleurit sans savoir si c’est pour elle ou pour toi. t’as pas l’envie qu’elle se sente gêner avec ta famille. encore moins que les choses deviennent encore plus étranges après ça si c’est le cas. elles le sont déjà bien trop que tu penses alors que tu désires que ça, qu'elle se joigne à vous. la raison que tu ignores, ça pourrait être pour rattraper le temps perdu, pour passer un moment avec elle ou pour retarder ce moment où vous ne serez réellement que tous les deux à l'appartement.

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