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 We're walking the wire | SHADY

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Message Sujet: We're walking the wire | SHADY   We're walking the wire | SHADY Empty Dim 18 Nov - 17:25


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{ we're walking the wire   }
crédit/ tumblr ✰ w/@shady al masrí

T’es au bord de l’implosion le cœur à t’en déchirer la poitrine et l’âme au bord du précipice. Tu sembles te réveiller d’un long sommeil d’ignorance qui à durée six putain de mois. Il n’a pas fallu grand-chose. Un appel de ta mère, une autre de ce fichu séance chez le psy… et elle. Eux. Surement plus qu’un homme puisse supporter. Hanté par des démons que tu ne chasses pas. Perdu au beau milieu d’un océan de tourment. Brisé par des événements qui t’échappe encore et que tu ne comprends pas. T’es l’épave désespérée, perdu au beau milieu d’un champ de mine. T’es un putain de détonateur de ta propre bombe interne. Tu ne supportes plus rien ni même l’ai qui entre dans tes poumons pour t’insuffler la vie dont tu ne sembles plus vouloir. T’es là, spectateur de ta propre chute à te débattre contre toi-même, en vain. T’es là, stupide et impuissant face à la liste du deuil que l’on n’a cessé de t’énumérer. Le déni est bien loin et te voilà ronger par une colère qui enflamme chaque cellule de ton corps tel un brasier qui semble ne jamais pouvoir s’éteindre. Tu te sens perdu entre deux mondes. Entre passé et futur sans être capable de mettre un pied dans le présent. T’es perdu dans le rien d’une existence sans but. Il y a tous ces gens qui oscillent autour de toi, ces gens qui disent te comprendre et ceux qui te comprennent vraiment mais, toi, incapable de laisser entrer qui que ce soit dans ton monde. T’es le lâche, l’égoïste qui c’est décidé à ne plus se battre. A ce laissé porter par la misère dans laquelle il s’est enfermé. Des comme un ado en crise existentielle. T’es celui qui ne sait plus qui il est. Tu t’es perdu en chemin et il ne semble y avoir aucune lumière pour te guider ou aucune que tu ne veux voir. Tu joues les aveugles car, c’est plus simple. Tu te dis fort et courageux mais tu n’es rien d’autre qu’un misérable coincé avec un genou à terre. Tu as l’impression de courir sur place, de t’essouffler dans le vide à la recherche d’un sentiment, d’une émotion qui semble morte dans cette voiture. Tu n’étais plus qu’un robot qui avancer chaque jour pour se dire que demain ne serait meilleur mais que tu te serais habitué un peu plus. La vérité c’est qu’on ne s’y habitué pas à la perte de quelqu’un, à la douleur qui vous ronge de l’intérieur. T’étais devenu qu’une putain de machine qui s’occuper en se tuant à la tâche. Une putain de machine qui ne pouvait malheureusement pas oublié. Les mains tendu il y en avait tout un tas mais toutes te rappeler que c’était normal de souffrir toi, tu voulais juste qu’on te dise que tu avais encore le droit d’espérais. Ce droit que tu pensais avoir perdu. Ce droit que tu semblais avoir regagné l’espace d’un instant dans un échange sorti de nulle part avec Shady mais, que tu avais vite fait de ranger dans une case de ton esprit trop faible pour te laisser perturbé un peu plus que t’étais faussement convaincue. Alors, te voilà te noyant tantôt dans le travail, tantôt dans le sport pour occuper tes idées noires. Te concentrant sur ton souffle qui s’échappe d’entre de tes lèvres plutôt que sur le chemin devant toi. Te voilà, perdu à compter le nombre de fouler plutôt qu’à écouter la musique énergique qui se déversent en vain dans tes oreilles. Il est tôt ou peut-être tard tu ne sais pas, tu ne sais plus. Voilà que la stupide notion du temps tu as finit par l’oublier alors que la nuit tu ne dors plus et que la journée tu es bien trop occupé à faire tout sauf pensé. Tu t’épuise à courir pour maintenir une forme physique qui ne reflète qu’une illusion de bien-être. Belle connerie alors que ton toi intérieur n’est que faiblesse incapable de se battre contre lui-même. Tu cours sans réfléchir à grande foulé à en t’en essouffler le corps et te foutu myocarde. Tu cours à en oublier le monde qui t’entour qui lui, continue de vire à défaut de toi. Toi, tu te sens mort… pourtant la lumière au bout du tunnel tu ne l’as pas vue où alors, elle t’échappe alors qu’elle se tient devant toi. Tu cours avec des œillères comme tu fonce dans le mur ces derniers temps sans voir la beauté de la vie qu’il reste… Tu cours dans le silencieux espoir de foncé vers une nouvelle bouée de sauvetage à laquelle t’accrocher pour quelque instant. Tu cours réveiller pas un « putain » sorti de nulle part tellement perdu dans les tréfonds de tes pensées que tu n’as pas remarqué foncé dans quelqu’un. Tes prunelles qui cherches le corps de la victime de ta maladresse et ta surprise d’un étrange bien-être qui t’envahi quand c’est lui qui se matérialise devant toi te laissant presque con. Sur place, sans voix…  
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Message Sujet: Re: We're walking the wire | SHADY   We're walking the wire | SHADY Empty Sam 1 Déc - 14:19


we're walking the wire.
@Atlas Mclaren

Une fois ma tenue de sport enfilé, je visse mes écouteurs à mes oreilles avant de sortir de chez moi. Puis je pars en petites foulées pour faire mon footing quasi quotidien quand je ne suis pas de garde à la caserne. Etre pomier, ça demande de l'endurance et une forme physique irréprochable et il n'y a qu'en s'entrainant que l'on y arrive. Moi, cela ne me dérange pas. Courir, faire de l'exercice, c'est quelque chose que j'apprécie, quelque chose dont j'ai même besoin parfois pour réfléchir, pour me vider la tête. Je cours, trouvant mon rythme de croisière, foulées après foulées sur le bitûme. Les mêtres, puis les kilomêtres défilent et je me retrouve vers la baie. Je suis totalement déconnecté, ne pensant qu'à mes foulées, à contrôler ma respiration et les battements de mon coeur. Dans mes oreilles, la musique qui passe me donne l'impultion. Regard droit devant, je me sens bien, libre, en paix avec moi-même. Je pourrais continuer comme ça encore longtemps. Mon esprit n'est plus embrumé par les tracas quotidien, le gout amer que me laisse les gardes et les intervention qui se finissent mal. Pour un instant, même si il est court, je suis apaisé. Tout est enfermé à double tours et je relativise, me disant que j'ai fais tout ce que j'avais pu. Innévitablement, mes pensées dérivent vers lui. Je me remémorre notre entrevue. Je revois son visage, ses expressions, le son de sa voix. Je ne m'explique toujours pas ce que j'ai ressenti, voir ce que je ressens encore. Même si je n'avais pas imaginer ce lien entre nous, tout ça n'était pas une bonne idée. Je faisais partit de l'équipe qui était intervenu sur les lieux de l'accident qui avait coutait la vie à la femme qu'il aimait. Même si on se rapprochait, je vois mal comment ça pourrait bien se finir ... Pourtant, que je le veuille ou non, je sais qu'ils'est passé quelque chose et j'ai peur de savoir ce que c'est.

Je suis brutalement arraché à mes pensées quand je suis percuté de plein fouet. " Putain ! " Lâchais-je, déséquilibré en reculant de quelques pas sous l'impact que je n'attendais pas. J'enlève avec rage mes oreillettes. " Vous ne pouvez pas ... " Commençais-je avant de m'arrêter net quand mes yeux rencontrent ses prunelles. Ma colère et ma frustration disparaissent d'un seul coup quand je le reconnais, quand je fais face à ses yeux, à son visage surpris faisant surement écho au miens. " Atlas ... " Balbutiais-je, surpris de le voir devant moi alors que j'étais entrain de pensé justement à lui. J'éteins mon baladeur et reste là, au milieu du chemin, en sueur, le souffle court et le coeur battant à tout rompre autant par l'effet de l'effort physique que j'étais entrain de faire qu'à cause de sa présence à lui. Lui non plus ne bouge pas, les yeux sur moi. " Je pensais justement à toi. " Dis-je, le plus naturellement du monde. " Enfin je ... Je me disais que ça faisait un moment que je n'avais pas eu de nouvelle et voilà que tu manques de me tuer !" Lâchais-je en riant pour noyer ma stupide première tirade et espérais qu'il ne s'était rendu compte de rien. Le silence s'installe entre nous, les secondes passent et s'égrainent sans qu'aucun de nous ne bouge. Un grand sourire s'affiche alors sur mes lèvres. " Salut. " Lui dis-je en le regardant.  
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Message Sujet: Re: We're walking the wire | SHADY   We're walking the wire | SHADY Empty Dim 2 Déc - 16:24


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crédit/ tumblr ✰ w/@shady al masrí

Tu en revenais toujours à la même conclusion, piégée dans le cercle vicieux de cette affligeante douleur qui était devenue ton quotidien. Ta vie. Tout moyen semblait bon pour oublier les peines de ce cœur à demi-mots juché au fond d’une poitrine déchiré par la souffrance d’un mal qui ne se voyait pas. Que les traits de ton visage fatigué pouvaient dessiner mais que les mots ne pouvaient pas décrire. Rien ne suffisait pour matérialiser la profonde déchirure de ton être. Rien ne semblait assez fort pour réussir à t’en sortir. Rien ou tu te voilais la face, te fermé l’esprit par peur. Une peur infondé alors que t’avais déjà tout perdu. Il ne te restait plus rien, plus rien qui ne semblait valoir le coup de se battre. Tu avais beau te dire que te noyer dans le travail changer quelque chose mais, la vérité c’est qu’il y avait toujours quelque chose pour te ramener à ta putain de réalité. Alors que, courir semblait être la seule échappatoire tu finissais toujours par retrouver le sombre chemin de tes idées noires. Prisonnier de ton propre corps. Cœur. La clef jetée aux oubliettes. Condamner à errer sur cette planète en attendant ton heure. T’en demandant même si tu n’étais pas mort piégé en enfer, contraint de vivre éternellement avec ce sentiment d’avoir tué le seul bonheur que tu avais. Bonheur que tu n’aurais plus. Chaque matin à te réveiller en espérant secrètement une main tendu qui te comprendrait mais qui ne semblait pas venir. Que tu ne semblais pas vraiment être prêt à voir. T’étais de ceux qui pensais que tout se mérité et pour toi, tu n’avais plus aucun mérite si ce n’est la souffrance dans laquelle tu es enfermé. Courir pour oublier n’était qu’un leurre, une pause dans le tumulte un peu à l’image de l’entrevue avec Shady. Le bien-être n’était plus qu’illusion ou alors, c’était toi tentant stupidement de t’en convaincre. Toi qui analyses trop, toi qui penses trop. Finalement courir n’étais même plus l’échappatoire dont tu avais désespérément besoin alors que tu finissais par te laisser gagner par tes pensées cauchemardesque. La musique qui ne masquait plus les voix démoniaque qui résonnait en toi. Il semblait ne plus rien y avoir à faire si ce n’est subir. Il y avait des mois que tu ne vivais plus de toute façon. Tout était devenu survis et même le footing était devenu un moyen de ne pas sombrer complètement mais, même là, tu te rendais compte que courir ne te faisais plus le même effet qu’il y a quelque semaine. Tu en venais même à t’énerver contre toi-même et cela s’en ressentais dans ta course. Évacuer pour évacuer à courir sans te soucier du monde qui t’entoures enfermer dans cette bulle polluer de ressentiment. Une bulle qui viens par surprise littéralement éclater dans une collision avec celui qui étrangement hanté tes pensées depuis votre dernière entrevue. Juron qui siffle entre tes lèvres à l’écho de ces paroles… Un instant colérique et le moment d’après en suspens dans l’air. Tes prunelles qui croises les siennes et un étrange sentiment qui ampli l’air que vous respirez. Émotion partagez au détour de ton prénom qui fend ces lèvres que tu te perds bizarrement à observer attendant peut-être un peu plus que nécessaire ce sourire qui t’avais tant réchauffé le cœur. Dans tous tes états que tu ne montres pas planquer derrière ce masque de surprise. Planter là, à le regarder tu ne dis rien le laissant faire le travail à ta place. Tu l’en remercie intérieurement. La maladresse de ces mots qui t’arrache un sourire et qui te fond du bien même si tu n’es pas certain d’en saisir le sens profond ou peut être que si ! Tu te laisses transporter par le simple son de sa voix à ne rien en dire quitte à laisser un long silence presque gênant entre vous. Avant qu’il ne le brise de nouveau et que tu te rendes compte à quel point tu avais espéré le revoir sans jamais tenter de réellement le faire. « Salut… euh… je… désolé je veux dire. Shady.. » Que tu souffles presque. Perdue entre son regard et le sourire qui te semble idiot que tu ne peux contenir. Il est là, en face de toi alors que toi aussi tu pensais à lui. Tu n’en reviens pas à t’en dire que le destin ferait presque que trop bien les choses ou alors il est juste ironique ce satané cours de la vie. « On appelle ça une rencontre fracassante !! » Dieu que tu te serais mis des gifles alors que tu ne retiens pas un rire gêné. Une main que tu passes dans tes cheveux jusqu’à t’en frotter nerveusement la nuque. « Loin de moi l’envie de te tuer… j’étais perdu dans mes pensées… je… comment tu vas ?! » Que tu te forces à te couper tentant de ne pas te tourner plus que ça en ridicule. Pas face à lui…
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Message Sujet: Re: We're walking the wire | SHADY   We're walking the wire | SHADY Empty Ven 14 Déc - 9:59


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@Atlas Mclaren

Passer de l'irritation à ce sentiment indescriptible qui me traverse avec violence quand je le vois, quand mes yeux rencontrent les siens, n'est pas de tout repos. C'est un véritable ascenseur émotionnel que je ressens et qui manque de me faire perdre pied, là, en pleine rue, devant lui. C'est un immense saut dans le vide. Intense. Si intense que mes mots sortent de ma bouche avant même que j'ai pu vraiment y réfléchir et je me retrouve maladroit face à , à débiter des conneries. Je dois avoir l'air bien bête et c'est le contraire de ce que je voudrais. Je m'en donnerais même des claques. Il sourit de ma réaction et je passe une main dans mes cheveux, un peu mal à l'aise. Adieu la belle confiance en moi qu'on me prêtait souvent. Face à lui, j'étais franchement déstabilisé. « Salut… euh… je… désolé je veux dire. Shady.. » Souffle t-il, ne semblant pas être mieux que je ne l'étais sur ce coup là ce qui me rassure et m'inquiète à la fois. Ses lèvres s'étirent en un sourire pareil à celui qui étire mes lèvres quand je l'entend parler, gêné et maladroit. « On appelle ça une rencontre fracassante !! » Avoue t-il avec un rire gêné qui ne me rend pas les choses faciles pour garder les idées claires et ne pas retomber dans le même piège que lors de notre première rencontre même si je devais avouer que cela avait plutôt tentant. J'éclate de rire. Un rire naturel et sans fausseté. " Fracassante, c'est bien le mot ! Tu es dangereux quand tu cours ! " Le taquinais-je gentiment, pas sérieux le moins du monde. Je finis par sourire. " Mais je suis content de te voir quand même. " Dis-je, toujours taquin.

Il passe une main dans ses cheveux comme je l'avais fait moi aussi. Nous avions apparemment le même tic nerveux et mon coeur s'emballe à nouveau... Sa main termine son trajet sur sa nuque qu'il frotte nerveusement. « Loin de moi l’envie de te tuer… j’étais perdu dans mes pensées… je… comment tu vas ?! » Me demande t-il. Je reprend un peu contenance maintenant que la surprise de le croiser se dissipe de seconde en seconde. " J'espère bien oui que tu n'a pas envie de me tuer ! " Lançais-je en m'esclaffant.  " Tu pensais à quoi pour être autant dans ta bulle ? Tu as des soucis ? " Demandais-je, sincèrement curieux et un peu inquiet que quelque chose n'aille pas pour lui en ce moment même si je détestais profondément cette idée qu'il n'aille pas bien. Il devait forcément avoir des journées plus difficile que d'autre avec ce qu'il avait vécu. " Sinon et bien écoute je vais plutôt bien ! Je suis très occupé avec le boulot, mais j'essaie de garder du temps pour moi. Du coup j'ai décidé de me vider la tête en venant courir. " Lui apprenais-je en souriant. " Et toi ? Comment ça va ? Ma nièce ne te cause pas trop de cheveux blanc ? " Lançais-je avec amusement, ne connaissant que trop bien le fort caractère de ma petite nièce même si elle était la prunelle de mes yeux et que je l'aimerais toujours, comme chaque membre de ma famille. Je levais les yeux vers lui et souris. " Tu es pressé ou tu as un peu de temps ? " Lui demandais-je, n'ayant clairement pas envie que cette entrevue prenne fin rapidement.
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Message Sujet: Re: We're walking the wire | SHADY   We're walking the wire | SHADY Empty Sam 22 Déc - 17:43


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Que ce soit les faits d’une étrange coïncidence ou de ce satané destin qui se jouer de toi en se montrant clément juste pour t’avoir plus tard, tu n’en avais que faire. T’avais presque secrètement espéré recroiser son chemin par le simple fait du hasard juste dans l’égoïste envie qu’il te soulage de tes maux comme il l’avait fait malgré lui la dernière fois. Son sourire contagieux et sa maladresse te faisais plus de bien que ce que voulait bien te l’avouer. Le montrer. Tu te trouvais con à le trouvant étrangement attachant alors, tu te disais juste qu’il savait juste trouver les bon mots du à son métier. Il avait été au première loge du drame de ta vie c’était tout simplement ça que tu te disais. Rien de plus car, qu’es ce que cela pouvait être de plus après tout ?!... Comme si, penser à lui un bref instant, l’avais fait se matérialiser devant toi. Surpris par l’imprévue de la croisé de vos chemin au détour d’une fracassante retrouvaille. Collision de vos deux corps. Deux vos deux âmes. Vos esprits pris de cours et cette sensation indescriptible qui prend racine en toi en sa présence. Les mots s’échappent et tu te retrouves autant ridicule que la dernière fois rassuré par la gêne qu’il te renvoie. Il n’y en avait pas un pour rattraper l’autre et tu n’étais pas persuadé que cela devrais vraiment te rassurer. Tu préférer étouffer les questions qui se bousculer au portillon de ton esprit et prendre le moment comme il venait. Chercher désespérément à soulager la lourdeur de cœur comme tu le pouvais. « Un vrai danger public oui… » Que tu lances comme pour appuyer les dire de Shady et sa façon dissimuler de te taquinais qui te ravisais bien plus qu’elle ne le devrait. Avec lui, c’était comme nagé en eaux trouble avec une lumière provenant de nulle part pour indiquer le chemin à suivre. Tu étais autant tenté de suivre la lumière que de la fuir par peur. Une peur que tu ne cherchais pas à expliquer. « Plaisir aussi de te revoir même si une manière moins… direct disons aurait probablement était mieux ! » Que tu lances toujours à la recherche des mots justes alors que le pompier semblait te faire perdre tout moyen. Dieu que tu n’y comprenais rien et tu n’étais pas certaine de vouloir comprendre. D’être prêt à voir la vérité en face. Alors, tu te contentais de prendre la situation comme elle était. Te laisser porter par la vague étrange qui te soulevait en souriant malgré toi. Te laissant porter par tes rires mêlait au siens. Tu te sentais ridicule mais, il ne semblait pas t’en tenir compte ou que, peut-être, il ne s’en rendais même pas compte lui-même. Tu priais pour la deuxième affirmation mais, tu n’en serais jamais rien de ce qui se tramer dans l’esprit de l’homme qui bizarrement, te troubler. « Je suis instable surveille tes arrière, sais-t-on jamais… » Que tu lances avant de secouer la tête comme pour te rendre compte des absurdité que tu pouvais sortir en sa présence « je te préfère en vie et en un morceau ! » Voilà que tu en rajoutes une couche et qu’après avoir perdu les mots tu ne contrôlais plus le flot de paroles qui s’évader d’entre tes lèvres. C’était acté, tu avais définitivement sombré dans la folie. « A bien trop de chose pour t’en cité une. J’ai du mal à mettre de l’ordre dans mes idées ces derniers temps, la vie n’est plus aussi simple qu’avant… » Que tu te confies regagnant le masque de sérieux que tu arborais si souvent comme pour te protégé des autres ou tout simplement de plus de souffrance. La tienne que tu te trimbalais quotidiennement était assez pour t’en rajouter une couche. « Content d’entendre que tu vas bien alors… aha oui, rien de mieux qu’un petit moment à soi ! Courir m’aide à me recentrer et à me vider l’esprit aussi… » Parler de lui était tellement plus simple que de parler de toi pourtant, avec lui, cela ne semblait pas de déranger. Pas totalement. Tes opales glissés dans les siennes et ton sourire amusé répondant aux siens il avait ce don de te faire garder le sourire avec ces répliques sorties au bon moment. « Mais non aha… Jihane est un amour, sauf quand elle a une idée derrière la tête !! J’ai tant une sal tête pour que tu dises ça ?! » Demandes-tu faussement soucieux de connaître l’image que tu renvoyais aux autres.  « Sinon on fait aller disons.. » ouais, tu n’étais pas au mieux mais, la dernière chose que tu voulais c’était lui inspiré de la pitié ou quoi que ce soit d’autre du même genre. « Il se pourrait que j’ai un peu de temps devant moi… et toi ?! » que tu demandes presque curieux de savoir s’il avait, lui aussi, envi de prolongé un peu ce moment. Comme une continuité de votre dernière rencontre au QG McLaren la fois passée. L’autre fois avez paru si bref que cette fois tu ne voulais pas laisser en toi ce goût amer de presque trop peu…  
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Message Sujet: Re: We're walking the wire | SHADY   We're walking the wire | SHADY Empty Dim 6 Jan - 10:59


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@Atlas Mclaren

L'absurdité de cette rencontre me fait sourire. On peut dire qu'il était vraiment dans ses pensées pour m'avoir foncer dessus comme il l'a fait sans m'appercevoir. Je ne peux m'empêcher de penser que le hasard a fait sur ce coup-là plutôt bien les choses. J'avais eu envie de le revoir, évidement même, mais je n'avais pas su comment m'y prendre sans me ridiculiser. C'était bien la première fois que je me prenais la tête pour ce genre de chose. Et bien, là au moins, je n'avais plus le choix. J'allais devoir lui faire face et voir ce qu'il aller se passer, si ce que j'avais ressenti était toujours là, si ce n'était pas une lubie de mon imagination. « Un vrai danger public oui… »  Je souris, rassurant. " Mais nan, tu étais simplement dans tes pensées et pour tout te dire, je crois que c'était un peu pareil pour moi. Plus de peur que de mal ! " Lui assurais-je avec un clin d'oeil. Et puis de toute façon, j'étais certain que je n'aurais jamais pu lui en vouloir. Surtout que j'étais très heureux de le revoir. Notre dernière entrevue m'avais laisser un gout d'innachever, mais c'était peut-être pour le mieux me rapellais-je avoir penser une fois chez moi, loin de son regard, de son visage. Pourtant, maintenant que nous étions face à face, toutes mes certitudes s'étaient envolées d'un seul coup avec un seul regard, un seul mot de sa part. « Plaisir aussi de te revoir même si une manière moins… direct disons aurait probablement était mieux ! » Je souris, le regardant un peu fixement mais sans pouvoir m'en empêcher. Je finis par hocher la tête à ses paroles. " Oui, certainement ... Quoi que dans certaines circonstances, la manière direct peut avoir de bons côtés. " Lui dis-je en haussant les épaules. " Enfin, c'est ce que je crois. " Ajoutais-je avec un léger sourire timide. Rassuré de savoir qu'il ne désirait pas me tuer, j'éclate de rire à sa répartie. « Je suis instable surveille tes arrière, sais-t-on jamais… » Je ris encore et hoche la tête. " Me voilà prévenu ! " Avouais-je, amusé. « Je te préfère en vie et en un morceau ! » Rajoute t-il alors, faisant stupidement battre mon coeur un peu plus fort.

Je lui demandais ensuite ce qui accaparait tant ses penées. Certes, j'étais curieux de nature, mais là j'avais vraiment besoin qu'il m'en dise plus, besoin de mieux le connaitre pour mieux le comprendre. « A bien trop de chose pour t’en cité une. J’ai du mal à mettre de l’ordre dans mes idées ces derniers temps, la vie n’est plus aussi simple qu’avant… » Je le regard, ne sachant pas quoi lui répondre. Je hoche la tête. " Je comprend. " Lâchais-je trop vite. Je glisse une main dans mes cheveux. " Désolé ... Je ne peux peu-être pas vraiment comprendre, mais si je peux t'aider, saches que tu peux compter sur moi. Même si on ne se connait pas beaucoup ... " Et même si j'étais peut-être la dernière personne à qui il voudrait se confier. Il me demanda ensuite comment j'allais et je lui répondis honnètement. J'allais bien même si j'avais ressenti le besoin de me vider la tête et courir était parfais pour ça. « Content d’entendre que tu vas bien alors… aha oui, rien de mieux qu’un petit moment à soi ! Courir m’aide à me recentrer et à me vider l’esprit aussi… » Je souris, amusé. " Ne serais-ce donc pas là un point commun que nou avons ? " Lanchais-je, taquin. Voir son sourire apparaitre quand je lui demande si Jihane ne lui donne pas trop de fils à retordre et je ressens en moi comme un petit gout appréciable de victoire. « Mais non aha… Jihane est un amour, sauf quand elle a une idée derrière la tête !! J’ai tant une sal tête pour que tu dises ça ?! » J'éclate de rire. " Nan, ta tête est parfaite. Tu as simplement l'air un peu préoccupé. " Avouais-je en hausant les épaules. " Et oui, Jihane est du genre qui ne lâche pas  facilement l'affaire ... Quand elle a une idée, difficile de la faire changer d'avis. " Lui dis-je, toujours rieur. « Sinon on fait aller disons.. » Ajouta t-il. Je le regardais, mon sourire se fânant un peu. J'aimerais l'aider, faire quelque chose mais j'ignorais quoi faire et ne voulant pas risquer d'aggraver malgré moi les choses, la prudence était de mise. " Les choses iront mieux un jour, je t'assure. " Me contentais-je de dire, plongeant mon regard dans le siens.

Je ne voulais pas le retenir et d'un autre côté, je n'avais pas non plus envie qu'il s'en aille. Je lui posais alors directement la question en espérant qu'il ne doive pas s'en aller tout de suite. « Il se pourrait que j’ai un peu de temps devant moi… et toi ?! » Je le regardais et lui sourit avant de glisser une main dans mes cheveux. " Super ! J'ai du temps aussi. On fait une ballade ? " Lui proposais-je en souriant, content de passer un autre moment avec lui même sans savoir quoi en attendre véritablement. Avec lui, j'étais dans la brume, ne sachant ni comment me comporter, sans trop en dévoiler sur ces obscures sentiments et affronter un rejet ou faire face à une déception.
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Message Sujet: Re: We're walking the wire | SHADY   We're walking the wire | SHADY Empty Lun 21 Jan - 16:23


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Tu l’avais tourné des belles centaines de fois dans ton esprit cette foutue question. Tu avais cherchais des explications à ce qui t’avais piqué chez lui comme ça. Qu’es ce que ton âme avait pu trouver au pompier pour que ton cœur régisse de la sorte. La conclusion que tu ne savais plus où tu étais ans a vie était celle que tu avais gardé en mémoire probablement pour te rassurer comme tu pouvais. Pour te dire qu’il n’y avait rien de plus profond. Que ton imagination était gagner par la folie comme ton être tout étier. Tu ne savais plus ce que tu voyais, ce que tu pensais non plus… Tu ne savais plus rie, la voilà l’explication. Il n’y avait peut-être tout simplement rien à comprendre. Après tout, il avait juste était prévenant et gentil, il ne t’avait pas forcé la main à parler de choses dont tu n’avais rien envie dans dire. Peut-être que le fait qu’il est vécu tout aussi en direct le drame de ta vie créer cette connexion étrange que tu sentais vibrer entre vous ?! C’était là, le sens le plus probable finalement. Ou celui que tu voulais désespérément qu’il reflète la réalité. A dire vraie, tu ne comprenais pas la moindre chose qui t’arrivais. Qui te faisais perdre tes foutus moyen face à l’homme. Ironie du destin de l’avoir mis sur ta route alors que tes pensées c’était mise à divaguer vers lui et votre dernière entrevue. Toi, qui chercher à te sentir mieux sans être vraiment sur le vouloir. Avec lui, pourtant, c’était simple et tu n’avais pas l’impression d’avoir à réfléchir. D’avoir à donner le change. T’aurais voulu savoir pourquoi mais, cela semblait être une question dont ni lui, ni toi n’aviez la réponse. Tu te contentais de l’instant comme il venait avec cette secrète envie de l’éternisé au-delà d’une rencontre par le fruit du hasard. Il n’y avait pas de telle chose que le hasard selon toi. Les coïncidences étaient une connerie pour les idiots et les naïfs de la vie. « Impossible de déconnecté complément apparemment. Je pense bien trop… » Que tu lui dis alors qu’il tente de te déculpabilisé de lui avoir rentré dedans. Sa prévenance te déconcerte toujours autant tout comme ce sourire idiot que tu ne peux t’empêcher de tendre sur tes lèvres. Tu n’arrives pas à te le cacher, sa présence te fait étrangement du bien. « Tu as raison… faut savoir être direct et assumer ce que l’on veut dans la vie !! » tu te serais donner littéralement des baffes si tu avais pu. Tu racontais n’importe quoi ou tu laisser parler je ne sais qu’elle partit de ton âme. T’avais l’air d’un sombre idiot à lui faire du blabla sur la façon direct de vos retrouvailles. Mais, qu’es qu’il allait pouvoir penser ?! Que tu le dragué ?! T’aimes les femmes, tu as toujours aimé les femmes ?! Tu ne sais même pas pourquoi tu te posé la question… ça devenais du grand n’importe quoi. Rire nerveux qui s’échappes de ton souffle comme pour combler ce silence gênant à demi-installé. Comme pour te dire qu’il n’y a rien de tel que cette fichue connexion que tu t’imagines.  Tu déraillais complet jusqu’à te confier à lui alors que, tu ne le faisais plus à personne depuis l’accident. C’était comme si il débloquer des parties en toi que tu pensais morte et enterrer à tout jamais. « Ne t’excuses pas vas… je comprends c’est un peu la phrase que tout le monde sort pour tenter de dédramatiser la situation mais, à dire vraie tu es la seule personne qui même sans comprendre la pense vraiment… ça signifie déjà beaucoup…. » Un instant plonger ans ces iris, peut-être un instant de trop ?! Tu ne te reconnais pas, plus. C’est comme s’il détenait la clé qui permettrais de faire entrer la lumière que tu fuyais depuis des mois maintenant. Peut-être depuis trop longtemps ?! Tu ne savais pas… Il avait en tout cas le don de t’arracher des sourires malgré toi. De te faire sentir plus léger en abordant les sujet qu’il fallait. Son timing semblait toujours parfait que ça en était déroutant. Parler de Jihane ou même vous trouver un point commun aussi stupide que ce soit de courir pour vous vider l’esprit et bien, cela, suffisais à te réchauffer un peu. « Oui, c’est ce qu’on dit, le temps finit par guérir les blessures… je t’avouerais que, je trouve cette phrase être une belle connerie mais, bon, peut-être bien que c’est la vérité… repose moi la question dans quelques moi !! » sourire éclatant de sincérité et rire qui enveloppe l’air qui vous respiriez pendant un instant, tu en avais oublié tout tes tracas. Il avait ce pouvoir sur toi et c’était déconcertant. « Oui, allons pour une petite balade… » Pourquoi pas, après tout, on ne pourrait pas t’en vouloir de vouloir éternisé cette instant de bien-être. Tu t’accroches à l’éphémère qu’il t’offre sans plus chercher à réfléchir. Tu avances avec lui dans un brouillard des plus épais et pourtant tu as cette sensation que tu y trouveras comme même le bout du tunnel. Étrange contradiction à laquelle tu t’accroche telle à une bouée de sauvetage. « Et… toi alors ?! Tu racontes quoi ?! » Le regard qui se perd un instant sur lui avant de retrouver son point d’ancrage dans l’horizon. Tu voulais parler de lui car, cela semblait plus beau, plus simple même si, en réalité, tu n’en savais rien.
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Message Sujet: Re: We're walking the wire | SHADY   We're walking the wire | SHADY Empty Lun 4 Fév - 11:12


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@Atlas Mclaren

Cette rencontre, j'en avais bien l'impression, ne me laisserait qu'avec encore plus de question, encore plus de raison de tenir éveillé la nuit, consciemment ou non. « Impossible de déconnecté complément apparemment. Je pense bien trop… » Me répond t-il alors que je le rassure. Plus de peur que de mal et puis, ce n'est pas comme si je n'étais pas ravis de le revoir. Je ne m'attendais pas à ça, c'est sur, mais je ne croyais pas vraiment aux coïncidences. " Déconnecter ... Plus facile à dire qu'à faire. " Lui assurais-je avec une esquisse de sourire compréhensif sur le coin de mes lèvres. Je comprenais ce qu'il voulait dire. Parfois, même en faisant de notre mieux, notre cerveau refuse de s'apaiser, refuse de laisser nos petits tracas ou grosses emmerdes dans un coin au moins pour quelques temps. Il nous les ressasse, encore et encore. Inlassablement. Il s'excuse de la brusquerie de notre rencontre, qui rendez cette confrontation des plus direct. Encore une fois, je le rassurais. Etre direct avait parfois du bon. Comment obtenir ce qu'on espérait si on n'été pas totalement honnête avec soi-même ou avec les autres ? Les mots sortait de ma bouche avant que j'ai pu y réfléchir et je me sentais le dernier des idiots. J'avais l'impression qu'il y avait marquer en gros sur mon front " tu ne me laisse pas indifférent. ". Je me trouvais bien pathétique mais je restais là, à parler, à être dans son environnement, à en apprendre plus sur lui alors qu'il n'aurait probablement jamais le même intérêt pour moi que celui que j'avais pour lui. « Tu as raison… faut savoir être direct et assumer ce que l’on veut dans la vie !! » Je le regardais et faisais mon possible pour rester impassible alors que j'aurais pu m'étouffer en entendant tout ça. Je hochais la tête, totalement perdu intérieurement, me posant énormément de question. Devrais-je être honnête avec lui au risque qu'il prenne la fuite et me rejette ? J'allais surement devenir dingue si je ne disais rien, si je gardais tout ça pour moi. D'un autre côté, m'emballer n'était pas une bonne chose. Je préférais encore laisser les choses comme elles étaient même si c'était à double tranchant.

Il semblait encore en plein deuil, triste et amer. Il souffrait et je ne pouvais rien y faire. Je n'étais surement pas la personne la mieux placer pour ça. Je lui disais que je comprenais ce qu'il vivait, que rien n'était plus comme avant pour lui avant de me reprendre. Non, je ne pouvais pas vraiment comprendre, juste être là si il en avait besoin et si il me laissait faire. « Ne t’excuses pas vas… je comprends c’est un peu la phrase que tout le monde sort pour tenter de dédramatiser la situation mais, à dire vraie tu es la seule personne qui même sans comprendre la pense vraiment… ça signifie déjà beaucoup…. » Je le regardais en hochant la tête. Mon regard s'assombri. " Je ... J'aurais aimé faire plus ... Ce soir là. " Avouais-je, la voix mal assurée. En parler n'était peut-être pas ce qu'il y avait de mieux a faire mais je n'avais pas pu m'en empêcher. Je gardais ça pour moi depuis le drame. Même si objectivement je sais que j'avais fait tout mon possible, je ne pouvais pas m'empêcher de me sentir coupable et songer à ce que j'aurais pu faire différemment. Je lui conseillais ensuite de laisser faire le temps même si je conviens qu'il n'y avait pas plus bateau comme conseil.« Oui, c’est ce qu’on dit, le temps finit par guérir les blessures… je t’avouerais que, je trouve cette phrase être une belle connerie mais, bon, peut-être bien que c’est la vérité… repose moi la question dans quelques mois !! » Lança t-il avec un sourire affiché sur son visage et un rire qui résonnait à mes oreilles. Je grimaçais, me sentant affreusement stupide. " Je suis désolée ... J'ai l'impression que je suis très maladroit avec toi ... Je crois que je dis ce qu'il ne faudrait pas ... " Avouais-je en secouant la tête, un sourire s'affichant aux coins de mes lèvres. Je ne faisais pas exprès, c'était juste l'un des symptômes des effets qu'avait inexplicablement sa présence sur moi.

Ne voulant pas renoncer trop vite à ce moment avec lui, je proposais qu'on fasse une ballade, qu'on marche. Simplement discuter en laissant nos pas nous guider là ou ils le voudraient bien. « Oui, allons pour une petite balade… » Je souris, content de pas avoir encore une fois à écourter notre rencontre. " Super ! Allons-y alors. " Pas très rechercher comme programme mais ça ne me gêner pas le moins du monde. Cela nous donnait l'occasion d'apprendre à nous connaître comme nous nous l'étions promis la dernière fois avec amusement. On se met en marche, côte à côte, notre démarche finissant par s'harmoniser. « Et… toi alors ?! Tu racontes quoi ?! » Me demanda t-il au bout d'un moment. " Oh tu sais, en dehors de mon boulot, ma vie n'a rien d'excitante. Je passe du temps en famille, avec mes amis aussi. A la caserne, y a un jeune, c'est une tête brulée. J'essaie de l'empêcher de trop jouer les héros et de ce mettre en danger. Etre un bon pompier, c'est aussi savoir quand s'arrêter avant de mettre tout le monde en danger. Mais bon, il est jeune. Il comprendra ou la vie s'en chargera, comme elle l'a fait pour moi. " Avouais-je en haussant les épaules. Avant mon accident, j'étais comme Cody. Je voulais sauver tout le monde, à n'importe quel prix. J'avais finis par apprendre de la manière forte que c'était impossible. " Je me retrouve en lui et je sais pas si ça doit me rassurer ou non. " Lançais-je en riant tout en continuant de marcher. Je passais une main dans mes cheveux. C'était plutôt sympa de juste marcher en parlant de tout et de rien.
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Message Sujet: Re: We're walking the wire | SHADY   We're walking the wire | SHADY Empty Mer 20 Fév - 12:56


≈ ≈ ≈
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crédit/ tumblr ✰ w/@shady al masrí

Que tu aurais tenté que sa arrive tu n’y serais pas parvenu. C’était marrant comment le destin opérer ou que le hasard faisait bien les choses. Enfin c’était ce que tu t’étais dit sur l’instant avant que tu te laisses de nouveau perturbé par l’homme. Il y avait de ces choses que tu n’expliquais pas avec lui. Tu « tais pourtant le genre de gars avec les pieds sur terre. Tu ne te laissais pas facilement atteindre, troubler mais, il fallait croire que le fichu drame de ta vie avait tout chamboulé. Ton existence sans dessus-dessous. Tu avais peut-être même bien prit un coup plus violent à la tête que prévu et les effets se révéler des mois après. Ou, alors, c’était juste de la reconnaissance envers le pompier. C’était des questions que tu tourner en boucle dans ta tête depuis la dernière fois. Même là, en courant il avait fallu que tu penses un instant à lui pour que vos chemins entre de nouveau en collision. C’était étrange cette façon qu’il avait d’entrer dans ta vie au bon moment. Tu enlever comme bon moment le fameux soir de l’accident mais, il avait été là pour toi-même ce soir-là. Là à sa manière. « Malheureusement il n’y avait rien à faire de plus… moi aussi il y a beaucoup de chose que j’aurais aimé faire ce soir-là mais, j’ai fini par comprendre que j’avais beau y pensé cela ne changerais rien… » Il n’avait pas à s’en vouloir. Lui et son équipe avait fait ce qui était en leurs pouvoir et le mal avait été fait avant. Il n’y avait eu aucune chance laisser que les médecins avait dit. Alors, il avait fait son possible et cela suffisait. Cela devrait lui suffire. Il ne devrait pas se sentir coupable pour quelque chose qu’il n’a pas fait. Qui n’es pas de son ressort. Sourire compatissant et tu veux lui faire comprendre qu’il soit là est bien assez pour qu’il s’embête du reste. Rien ne sert de ressasser le mal qui a été fait. Ça c’est ton fardeau, pas le siens. « Tu dis ce qui te semble juste, tu parles avec ton cœur et ça me suffit !! » tu le regarde un instant avant de fuir au loin presque comme si t’es mots avait un sens plus lourd que ce que tu voulais simplement imaginer. Il y avait cet étrange sensation qui s’éveiller en toi comme si c’était possible d’oser imaginer qu’il y avait des personnes là pour toi. Des personnes pour qui tu comptais plus que tu ne voulais le voir. L’entendre aussi. « Beaucoup trop de monde cherches à analyser la situation, à trouver la formule parfaire qui ne me froisseras pas !! Le truc c’est qu’il n’y en a pas !! » La pitié des gens c’était la chose avec laquelle tu avais le plus de mal. Tout ce monde qui te traiter différemment car ils avaient peur de te froisser. De te briser. La chose qu’ils ne comprenaient pas c’est que tu l’étais déjà. Tu crier pour de la normalité mais, tout ce qu’on te donner c’était de la compassion dont tu ne voulais même pas. De la compassion qui te rappeler un peu plus chaque jour que tu avais tout perdu.    «  Il n’y a pas de mots magiques ou de recette miracle !! » que tu ajoutes avec un rire presque nerveux. C’était une triste constatation mais, elle refléter là bien la réalité des choses. Quoi que l’on pouvait dire ou faire rien de changerais. Le temps était censé aider mais, ça, c’était aussi une belle connerie. En l’instant tu préférais chasser toute ces idées et te concentrer sur lui car, cela te permettais de t’oublier toi et c’était tout ce dont tu avais besoin. Sa compagnie te faisais étrangement du bien et c’était l’une des rare que tu ne cherchais pas à fuir. Pas pour le moment. Pas tant que tu ne comprenais pas ce qu’il t’arrivait vraiment. Alors, tu acceptas cette balade plutôt que de te laisser aller à tes idées noires. Plutôt qu’à te morfondre sur toi-même tu préférais l’écouter. Peut-être bien aussi que pour une fois tu n’avais pas envie de te complaire à la solitude ?! Peut-être bien que tu voulais retrouver cette chaleur qui avait pris possession de ton être la dernière fois que vous vous étiez parlé. C’était stupide et tu le regretterais surement mais, tu n’étais plus à ça prêt maintenant. Tu t’écartes du sujet de conversation pour lui. Pour l’écouter avec intérêt car, ou, sa vie t’intéresse. Peut-être un peu trop d’ailleurs mais, tu n’y penses pas pour le moment. « Justement tu pourras peut-être lui apporter ton expérience. Autant bénéfique pour lui que pour toi enfin tout dépend comment tu prends toute cette situation mais, je suis certains que tu pourras être un bon model pour lui !! » Un regard aussi furtif que ton sourire et tu l’imagine bien en model même si tu ne le connais que très peu il y a une certaine bonté qui émane de lui. C’est quelqu’un de bien tu le sais, tu le sens. « On as tous était jeune, on as tous fait des conneries et ce n’est pas plus mal d’avoir quelqu’un qui es passé par là pour nous guider je dis !!! » cette légèreté te fait du bien. Elle te libère étrangement d’un poids alors que l’espace d’un bref instant tu as l’impression que tout n’es que normalité. Dieu sais que tu en as besoin de cette normalité.
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Message Sujet: Re: We're walking the wire | SHADY   We're walking the wire | SHADY Empty Dim 14 Avr - 9:54


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@Atlas Mclaren

Cette soirée là était encore bien présente dans ma mémoire. J'aurais aimé faire plus, faire en sorte que cela prenne une autre tournure. Je m'en voulais beaucoup d'avoir faillis à ma mission. Quand j'échoue, même en ayant fait de mon mieux, des gens peuvent mourir, être gravement blessés et des familles souffrent. La plupart du temps, je ne revoyais jamais ces personnes et je n'avais jamais l'occasion de m'excuser, de leur dire que j'étais désolé de n'avoir rien pu faire de plus. « Malheureusement il n’y avait rien à faire de plus… moi aussi il y a beaucoup de chose que j’aurais aimé faire ce soir-là mais, j’ai fini par comprendre que j’avais beau y pensé cela ne changerais rien… » Je l'observais et hochais la tête. Si lui arriver à comprendre qu'on ne pouvait rien changer à ce qu'il s'était passé, je le pouvais aussi. On avait fait notre maximum, c'était certain, mais parfois, cela ne suffit simplement pas. C'est aussi simple que ça. Je captais son regard, jouant avec mes doigts. " J'imagine que tu as raison ... Je dois me pardonner. Je ne peux pas sauver tout le monde même si je le voudrais, pour éviter tant de souffrance. " Soufflais-je. Mon métier n'était pas simple et les miracles n'existaient pas. Parfois nous arrivions trop tard et malgré nos efforts, il n'y avait plus rien à faire. On aurait pu croire qu'avec mon expérience, cela deviendrait facile, que les pertes me toucheraient moins, mais ce n'était pas le cas. Cela ne le serait probablement jamais. Je prenais mon job trop à coeur pour accepter d'échouer à sauver une vie.

Discuter avec Atlas me faisait du bien même si j'avais l'horrible sensation d'être gauche et franchement maladroit, de mettre malgré moi les pieds dans le plat tel un éléphant dans un magasin de porcelaine. « Tu dis ce qui te semble juste, tu parles avec ton cœur et ça me suffit !! » Je souris, soulagée de ne pas l'avoir froisser ou mis mal à l'aise avec mes paroles. Ce n'était absolument pas ce que je voulais, bien au contraire. « Beaucoup trop de monde cherches à analyser la situation, à trouver la formule parfaite qui ne me froisseras pas !! Le truc c’est qu’il n’y en a pas !! » Je grimaçais. « Il n’y a pas de mots magiques ou de recette miracle !! » Il avait raison. " C'est juste, je pense, qu'on essais de te montrer, qu'on est là, qu'on veut t'aider et que tu sois heureux. Tout simplement. " Je me fustigeais, ne m'étant pas rendu compte que je m'incluais aussi dans le lot. Je sentis une vague de stress m'envahir en guettant sa réaction le plus discrètement possible. Je l'appréciais, vraiment, et je m'inquiétais vraiment pour lui, d'une manière qu'il n'imaginait pas, j'avais moi-même du mal à comprendre. Je n'avais pas envie de tout gâcher en me dévoilant trop vite et risquer de tout changer entre nous.

On partit alors en ballade, côte à côte. J'étais heureux qu'il est accepté, content de pouvoir passer plus de temps en sa compagnie et pouvoir également et surtout, en apprendre plus sur lui. J'en viens à faire une tirade sur ma vie. Je lui parle de ma famille, de la caserne et de la vie que j'y mène. Je lui parle même de Cody, qui prend un malin plaisir à me rendre chèvre. « Justement tu pourras peut-être lui apporter ton expérience. Autant bénéfique pour lui que pour toi enfin tout dépend comment tu prends toute cette situation mais, je suis certains que tu pourras être un bon model pour lui !! » Je lui souris, intérieurement plus qu'heureux du compliment. " C'est gentil. J'espère que j'arrivais à lui ouvrir les yeux. " Dis-je, flânant dans mes pensées, dans mes souvenirs aussi. « On as tous était jeune, on as tous fait des conneries et ce n’est pas plus mal d’avoir quelqu’un qui es passé par là pour nous guider je dis !!! » Je glissais une main dans mes cheveux, hochant la tête. " C'est aussi ce que je pense mais comme tu dis, on a tous été jeune. J'étais comme lui jusqu'à mon accident. " Continuais-je à me dévoiler.  Mon regard quitta le siens pour fixer un point devant moi. " Y a quelques années, j'ai eu un accident lors d'une intervention sur un feu. Je suis sortit de là de justesse et j'ai été brûler grièvement... Je me croyais invincible et j'ai eu tord. Je ne veux pas que Cody vive la même chose avant de prendre les bonnes décisions. " Terminais-je en continuant de marcher droit, conscient de la présence d'Atlas à mes côtés. Présence que j'appréciais.


HJ: vraiment désolée pour l'attente We're walking the wire | SHADY 4199206909 We're walking the wire | SHADY 1252774950  
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