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| Sujet: on a frôlé la vie /ronnie. Mer 3 Avr - 16:00 |
| save the queens ---- / ronnie howard
26 ans ---- / ace of spades ---- / dacre montgomery
identité complète - ronald barry howard, mais clairement ronnie c'est très bien. il adorait son grand-père mais il déteste qu'on l'appelle ronald. lieu de naissance et origines - né à new-york, de deux parents américains pur souche mais, de grand-parents maternel canadiens, ce qui lui donne des origines canadiennes. études ou métier - les études, ronnie n'était pas fait pour. rester assis pendant des heures sur une chaise, ça l'a vite gonflé. le lycée terminé, il s'est jeté corps et âmes dans la boxe et ça a payé. des années d'entraînement puis il a fini champion olympique en mi-lourd. de quoi être fier, hein, si il avait pas tout gâché. orientation sexuelle - déjà à la petite école, il savait faire du charme à ses maîtresses et ça n'a pas changé en grandissant. il n'a d'yeux que pour elles, rien que pour elle. statut civil - seul avec son amertume, en couple avec ses regrets. un connard qui s'assume plus. pi, scénario ou prélien - pré-lien de @cez blackbird
traits de caractère / impulsif ; maître mot de toute son existence, c'est pas la tête qui parle en premier, c'est les mains. c'est plus fort que lui, il réagit trop vite. sanguin, si on le cherche un peu trop, on le trouve très vite. bagarreur, au delà d'être un métier, c'est une manière de vivre chez ronnie. pas de temps pour la parole, il sait pas s'exprimer, il a jamais les mots, pudique, faut pas s'attendre à des déclarations avec lui, ça arrivera pas. c'est un solitaire qui pourtant aime être entouré. paradoxal vous dites ? et pas qu'un peu. ronnie c'est le feu et la glace, c'est tout et rien à la foi. un jour blanc, un jour noir. casse cou, amoureux de l'adrénaline, ne pas bouger c'est synonyme de mourir. rien ne l'arrête, même pas la peur du danger au contraire, ça l'motive encore plus. parce que c'est une tête brûlée, il s'jette volontairement dans l'danger et il en est pleinement conscient mais y'a que ça qui lui accélère le palpitant. pas sentimental ou en tout cas si il l'est, c'est bien caché. des regrets plein la tronche et pourtant, il fonce toujours la tête la première dans des plans foireux. grande gueule qui va clamer haut et fort si on l'fait chier, il a pas peur des mots. enfin, pas de ce genre de mot là, le reste, l'autre genre de mot, c'est pas son truc, c'est un mur, le premier qui essaie d'lui en faire dire plus sera très vite déçu.
save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share 01/ gamin perdu au milieu de ses pairs, ronnie était celui du milieu en plus d'être le seul garçon. celui de trop, celui pas assez bien, celui qu'on reprends à chaque fois, celui qui fait tout mais qu'on ne voit pas. il a pourtant grandit dans une famille modeste à williamsburg, des parents aux revenus largement convenable et des parents présent, surtout. mais pas avec lui, pas pour lui. ses soeurs elles avaient tout sans rien faire. ronnie faisait tout mais rien ne marchait. pourtant l'amour était présent, ses parents l'aimaient du plus fort possible qu'ils le pouvaient mais ça ne suffisait pas. le dialogue entre ronnie et ses parents a été rompu très tôt, à croire qu'il n'a jamais vraiment existé, finalement. 02/ parce que ronnie déjà petit, c'était un sanguin, un féroce. un garçon avec une colère énorme en lui, une rage que seul un sac de frappe pouvait libérer. un gamin impulsif et souvent violent pour un seul regard de travers ou un mot de trop. un gamin dans son monde et qu'on a du mal à comprendre, n'importe qui qui a essayé a abandonné; même ses parents. longtemps il a été suivit par un psychologue. pourquoi ? ses parents cherchaient sûrement à lui trouver une maladie qui expliquerait son comportement, qui faciliterait l'abandon dont ils ont fait preuve à son égard par la suite. mais non, rien, juste un gamin avec des accès de colère qui ne sait pas se contrôler, rien qu'on ne peut guérir avec des cachets en tout cas. non, ronnie était juste un gamin avec des accès de colère et de violence ingérable, un gamin au sang trop chaud. 03/ à force de se faire virer de ses écoles pour mauvais comportement -à cause de ses accès de colère mais pas que- parce que malgré ça, ronnie n'a jamais aimé l'école et tout ce qui va avec. rester assis sept heure dans une même journée sur une putain de chaise à écouter quelqu'un parler de choses dont il se fiche, c'était clairement pas fait pour lui. alors il s'occupait autrement, en faisant des conneries, des conneries bien à lui. pour se sentir vivant, se sentir exister, montrer à ses parents que si à la maison il n'existait pas à leur yeux, ils allaient se rappelaient de lui à chaque fois que l'école allait les appeler en urgence à la suite d'une nouvelle mauvaise blague de sa part. vivre pour exister, voilà à quoi était réduit l'existence de c'gamin. vouloir se faire voir par ses parents qui disaient pourtant l'aimer. 04/ quel genre de parents met leur adolescent de treize ans dans un centre éducatif fermé ? pas des parents qui aiment leur enfant, c'est ce que ronnie a toujours pensé depuis ce jour-là. l'année 2005, ses parents ont trouvé un centre éducatif fermé non loin de New-York pour y laisser ronnie durant quelques mois, à la base. histoire qu'il comprenne qu'il ne peut pas continuer comme ça et qu'il faut qu'il change, sinon les choses allaient empirer. sauf que voilà, comment pouvaient-elles empirer ? invisible au sein de sa famille, absolument pas intéressé par l'école, très peu d'amis... finalement, son séjour au centre éducatif s'est avéré être le point de départ d'une nouvelle ère pour ronnie. 05/ c'est au centre que ronnie s'est jeté corps et âme dans la boxe, il lui fallait trouver un moyen de jeter sa rage dans quelque chose qui est un sens pour lui et ce sac de frappe qui traînait par là en a fait les frais. voilà de quoi avait besoin l'gamin, d'extérioriser dans quelque chose sans s'faire taper sur les doigts après. la boxe s'est offerte à lui comme une révélation. ça n'la pas changé ronnie non, mais ça l'a aidé à canaliser sa colère, sa rage. mais surtout, c'est la meute qui l'a aidé. une vraie famille, ses frères d'une autre mère, cez et miles. deux gamins qu'on a aussi jeté dans ce centre, ils sont devenus trois, sinon rien. ça été dur au début, trois caractères trop compliqués pour s'entendre, des bastons au coin des couloirs pour savoir qui aura le dernier mot pour finalement devenir trois gamins inséparable et poings en l'air pour s'faire respecter. c'est pas d'l'amitié entre eux, c'est juste viscéral. ça s'est basé sur un peu de violence mais, le premier qui touche à un des trois ne sait clairement pas à quoi il s'expose. 06/ deux ans et demi au centre éducatif fermé, les seize ans qui approche et l'idée de retourner dans cette maison avec ces inconnus qui portent son nom le révulse. non, hors de question pour lui d'retourner là-bas, il veut faire sa vie, suivre son chemin, trace sa route. il rentre quelques mois chez ses parents, attendant dans son coin ses seize ans, passant ses journées dans le club de boxe de Brooklyn pour s'entraîner sans jamais s'arrêter. c'est là même qu'il se fait repérer par un entraîneur côté, à la recherche de son nouveau poulain. c'était clair pour lui ; ronnie avait tout d'un grand niveau technique. encore quelques trucs à lui apprendre et il ferait de grande choses, c'est certain. alors il passe ses journées à entraîner ronnie, le perfectionnant. à seize ans et quelques semaines, le gamin fait sa demande d'émancipation sans même en parler à ses parents et devient officiellement mineur émancipé, son avenir est désormais entre ses mains. 07/ il commence à bosse dans un fast food du coin, un truc un peu miteux mais il en a rien à faire, le seul truc qui compte pour lui c'est l'entraînement et les rêves de gloire de son entraîneur. il vit d'abord chez lui d'ailleurs, il devient comme un père pour lui, une figure paternelle, un modèle à suivre. les années passent et les compétitions commencent et s'enchaînent, ronnie howard commence à se faire connaître dans le monde de la boxe. dix-neuf ans, il gagne son premier combat face à une pointure dans son domaine, son nom est glorifié, la carrière au sommet. les années défilent et sa carrière ne cesse de grimper, il est bon l'gamin dans c'qu'il fait, il est très bon et il le sait. il ne regrette rien, aucun choix qu'il a pu faire auparavant, tout l'a mené à ça, c'est tout ce qu'il voulait. vingt-cinq ans passé, le rêve de gloire atteint son sommet, il devient champion olympique en poids mi-lourd, meilleur palmarès qu'il pouvait avoir à son âge. c'est la folie, l'argent coule à flot, les sponsors veulent le suivre, le représenter, tout le monde veut avoir son nom sur une marque, partenariats, etc. le gamin est devenu grand, très grand. 08/ mais l'gamin a toujours ses travers, ses démons. si la boxe l'a canalisé sur beaucoup de point, elle n'a pas effacé ce qu'il était, ce qu'il a toujours été. un animal, un sanguin. et il a suffit d'une remarque déplacé sur sa petite-amie de l'époque par un autre boxeur, amère de sa défaite contre ronnie, pour que ce dernier redevienne cet animal. il s'est jeté sur lui et si son entraîneur ne l'avait pas retenu, le type serait clairement mort. la une des journaux, la déception dans les yeux de son entraîneur, la honte dans les yeux de sa petite-amie; ronnie avait comprit. il avait tout foiré en l'espace de quelques putain de seconde. l'gamin avait refait surface, il savait qu'il devait se contrôler et il avait réussi pendant toutes ces années mais, cette fois-ci, il n'avait pas su. il n'a même pas réfléchis, son corps a parlé à sa place. et c'est le début de la descente aux enfers pour ronnie. sa petite-amie, effrayée, s'est barrée. son entraîneur lui tourne le dos, l'accusant d'avoir foutu en l'air tous les espoirs qu'il y avait sur lui et le boulot fait pendant presque dix ans, sa famille n'est plus dans le tableau depuis des années... ronnie s'retrouve comme un gamin, seul dans son foutu appart, vide. la gloire, il mange à nouveau la terre. et comme si ça n'suffisait pas, ronnie commence à goûter au plaisir de l’addiction, de la boisson, un petit verre, puis deux, puis la bouteille pour oublier cette merde, pour oublier tout ce qu'il a perdu, pour refuser d'affronter toute la merde qu'il a foutu dans sa putain de vie qui commençait enfin à être meilleure. save the queens ---- / BEHIND THE MASK
mélissa ---- / 24 ans ---- / rpgiste
ville - hyères les palmiers. études ou métier - serétaire. avis général sur le forum - un petit moment qu'il me fait de l'oeil alors, me voilà. le détail qui t'a fait craquer - son ambiance. fréquence de connexion - quotidienne. crédits des icons - tumblr. le mot de la fin - . - Code:
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[b]dacre montgomery[/b] / [i]ronnie howard[/i] |
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