shot me down

traits de caractère / L'homme fort que tu es, tu es sûr de toi, tu n'as peur que de peu de chose.Un charisme inouie. Séducteur tu ne manques pas de confiance en toi, d'aisance et d'habileté , tu aimes charmer en privé, dans les affaires, tu es né pour être en contact  avec les autres tout comme pour manier parfaitement des négociations. Les mots sont souvent beau m ais parfois à tendance injurieux,  des mots ne sont que des mots à la différence des promesses qui valent de l'or pour toi. T'en impose, un regard, un mot et tu es de suite devenu solaire pour les personnes face à toi. un homme passionné qui cache des choses, ne montrant peu de lui, alors que tu sais découvrir le pire comme le meilleur des autres. machiavélique, capable de tout pour réussir, pour écrasser, tu as été à la bonne école et cela ne te gêne pas, tu as des choses à prouver, à démontrer. Les émotions sont souvent rude chez toi, parfois tendance à être lunatique. joyeux, puis la colère. ta colère se démontre par des mots, des actes, tu n'as jamais su te contenir, tu préféres exploser, pour finir par oublier. de la violence, des traces de doigt qui s'installeront parfois même sur celle qui porte ton anneau de mariage. tu ne penses pas à mal, juste à contrôle. ce besoin enivrant d'être au commande, d'être un parfait salaud, un parfait amant, d'être parfait en tout point, dans le bon comme dans le mauvais. Tu as besoin de possédé, d'avoir des acquis, que ce soit les femmes, ta propre femme, tu as besoin d'un tas de chose et tu n'attends pas que ça arrive, tu te serres, dans la limite du raisonnable. quand tu veux, tu obtiens par tous les moyens légaux ou non. homme d'affaire accompli qu'il terroriste le monde autour de lui quand la colère surgit. les pions sont nombreux à ta botte et alors tu t'en amuses, tout bonnement.

apparence trompeuse. t'es le deuxième d'une famille de quatre enfants. t'as toujours été proche de tes sœurs, bien plus que de ton frère plus jeune d'un an avec qui ça a toujours été une guerre éternelle dès lors que votre père à commencer à vous mettre en concurrence vers l'âge de douze ans. gosse  vous étiez tous proches, que ce carmella, nox ou encore heaven. l'entente était parfaite malgré quelques accrocs que n'importe quelle famille peut rencontrer. ta mère qui essayait de vous réunir, de vous convaincre que vous n'étiez pas si différent, alors que votre père ne cessait de faire l'inverse. une guerre à la maison, d'esprit alors que face à tout le monde vous deviez juste sourire, comme ci juste avant l'un n'avait pas fait un coup bas à l'autre, pour ne pas renvoyer une mauvaise image de la famille. pas de violence physique, mais verbale, ton père était du style à vouloir le meilleur et à ne jamais regarder les autres pour avoir ce qu'il désirait. alors une image de famille heureuse bien sous toutes les formes qui étaient tout bonnement faussé. jeune t'étais plutôt renfermé, pas du style à parler, observateur, pas prêt à tout donner pour détruire les autres. le contraire de nox. vous avez toujours été différent, mais avant les différences vous rendez heureux, faisiez de vous deux personnes faites pour s'entendre. les matchs, les discussions, les jeux, mais ça c'était avant que votre père ne s'en mêle et ne fasse en sorte que cette fraternité soit morte.
mère en faiblesse. tout allait bien pour ta mère jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus supporter. voir ses enfants souffrir sans rien dire, voir son mari ne pas cesser de demander de plus en plus de chose à ses enfants, surtout aux garçons, délaissant presque les filles. il ne voulait pas vraiment d'enfant, mais de personne pour reprendre le contrôle de cette entreprise, entreprise touchant au pétrole uniquement, continuant pourtant de se développer, pour essayer de tenir tête à une autre famille, à un autre homme. ta mère c'était peut-être l'amour de la vie de ton père, mais cette dernière avait causé beaucoup de trouble dans le passé entre ton père et le meilleur ami de ce dernier avec qui l'entreprise avait auparavant commencé. une brèche c'était créé entre eux, car les deux étaient tombés amoureux de la jolie theresa, mais cette dernière avait choisi ton père, sans savoir qu'en choisissant ce serait une guerre entre les deux hommes, une question de jalousie, une question de rancœur inouïe. elle avait fini par vouloir s'échapper, dire adieu au monde, alors qu'avant de le faire elle avait parlé à ses enfants, leur conseillant de s'unir et non pas de se battre. un aprés un, essayant de guérir les démons de ses propres enfants alors qu'elle même venait de renoncer. elle n'en pouvait plus d'être devenu la maîtresse de son mari, d'être la seconde roue du carrosse, jusqu'à commettre l'irréparable, car elle n'avait jamais aimé que ton père et non l'homme qui dans le futur allait devenir ton beau-père. passer aprés l'entreprise, aprés cette haine porté à son meilleur ami, autant dire qu'elle ne le pouvait plus, surtout quand elle avait fini par succomber aux charmes de son conseiller en image à ton père. elle ne pouvait plus continuer ainsi, elle ne pouvait plus affronter le regard de ton père, le mépris de ce dernier, qui pourtant l'aimer. personne ne saura qu'elle l'a trompé, tous pense que lui a toujours fauté à gauche, à droite, alors que pas du tout. par contre la mort de ta mère n'est pas dû à un mélange d'anxiolytique dont elle était devenu presque accroc pour pouvoir continuer d'avancer, mais à un mélange de ces derniers avec les drogues retrouvaient dans la chambre de carmella. une mort qui ne sera jamais  abordé réellement le monde lui pense qu'elle est morte de manière naturelle. une belle connerie, quand tu devais en parler t'avais le cœur en rage, l'âme qui pleuré. tout cette mascarade t'as rendu plus dur, plus violent. t'avais que quinze ans quand cela s’est produit, tu n'étais qu'un gamin en somme.
l'enfer de l'aprés. ta mère n'étant plus là, ce fût compliqué. garder la tête haute, ne pas montrer l'envers du décor. le besoin de faire sortir la colère, cette rage qui ne faisait qu'un avec ton sang, alors tu avais commencé les combats de rue, parfois t'y allait avec ton frère, dans ce moment-là tu étais le plus proche de lui, vous frapper, sortir la colère qui était à l'intérieur de vous. un bien que vous aimiez tous deux, ça apaisez les choses, rendez votre relation meilleur, pas parfaite, mais mieux. c'est ainsi que vous avez su vous rapprocher, tout en menant une guerre que votre père voulez, ne voyant que l'un de vous à la tête de l'entreprise. les filles étaient déjà éliminées, bien trop faible au gout du père. alors, tu te sentais bien dans cette merde, tu aimais sentir les coups comme en donner, ce que personne ne sait vraiment c'est que tu continues encore à en recevoir, à en donner, c'est un besoin viscéral à présent. le besoin de trouver la douleur, de savoir que tout va bien, la seule chose que tu ne veux pas maîtriser c'est les combats, tu te débats, tu te bats et tu vois. tu perds, tu gagnes. peu importe. t'es complétement fou de vouloir ressentir cela. mais c‘est aussi un putain de besoin, un besoin constant.
couple à demi-mesure. t'as tourné le dos.  laissant la famille, laissant l'entreprise, ton père. tu ne pouvais pas exécuter toutes ces demandes, comme te demander de remettre ton frère dans le droit chemin quand celui-ci voulait tout lâcher. t'as pas pu demander à tes hommes de faire ça, alors c'est à trente-cinq ans que tu as décidé de lui tourner le dos, t'avais pas prévu la suite. pas prévu de finir dans les bras de la yara, une amitié au début, un besoin d'être consolé, le besoin pour elle de faire taire cette peine d'avoir perdu son fiancé qu'elle connaissait depuis des années, et à toi de faire taire la solitude qui régnait en toi. t'avais tout perdu en  quittant l'entreprise de ton père. tout. la mort de ta mère, la haine que tu lui portais aprés la mort de ta mère ne t'avait pas empêché de bosser pour lui, comme si le chemin était tracé. yara fut comme la sauveuse, une amitié avec quelques flanchages, quelques parties de jambes en l'air qui avait fini par devenir comme une bulle vous permettant de guérir de vos blessures, toutes vos blessures. elle avait une vie semblable à la tienne, à cause de vos pères, forcément. le sien était juste moins fou. c'est à trente-six ans que tu fus marié, à la belle yara.  pas vraiment d'amour, une question d'habitude, une question de vengeance, mais vous donnerez tout pour protéger l'autre. ton père. vous les jugez coupable d'avoir gâché vos vies et celles de ton frère et tes sœurs pour toi. yara est fille unique alors elle fût la seule à subir tout cela. son fiancé est mort  à cause de leur guerre, et yara n'en démordait pas. vous menez cette guerre contre le tien, car tu as eu preuve sous tes yeux que son père avait essayé de tout arrêter à la mort de ta mère, mais cela n'a pas arrêté ton père, qui continua. pas d'amour qui règne, des tromperies qui dure, sans attache, vous voulez sans doute croire que cette image que vous donnez de bonheur n'est pas totalement faussé, mais dans le font tous deux vous attendiez mieux, peut être ensemble, peut-être pas. vous n'en savez rien. mais l'un comme l'autre, pas de fidélité, mais vous auriez toujours la protection de l'autre, qu'importe le prix à payer.
équilibre en perdiction. t'as un équilibre avec yara, des habitudes qui te vont parfaitement. tes opales se sont juste posé sur le poison indien sous toutes les formes. dangeureuse dans cette envie de sans doute détruire ta famille un peu plus. belle ou vraie famille. t'as en tête de protéger tout le monde, tu ne peux pas éclabousser ton père sans éclabousser toute ta famille, y comprit ta mère. tu dois la garder loin de ça, la distraire, mais tu le sais elle te distraira peut être bien mieux que toi tu ne sauras le faire. poison piquant de beauté, piquant de vocabulaire. t'es comme épris de la belle yara. pourtant tu n'oublies ta première mission, mission que tu aurais pu filer à un autre type, mais tu as voulu te jeter dans la gueule de la jolie louve. la faire taire, la faire disparaître, mais t'aimerais la faire évacuer le monde dans une chambre, la faire tienne pour l'avoir un peu plus à ta merci, un plaisir malsain ou bien plus ? tu t'en fiches, tu peux tomber, tu le sais que yara te rattrapera, toujours. ta vie si parfaite aux yeux de tous, pourrait-elle éclater ? la réponse est en cours de route…