I will touch you with my eyes ❁ (ft.alistair)

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{  I will touch you with my eyes }
crédit/ tumblr ✰ w/@alistair curtis

Tu n’as pas l’envie, pas l’humeur. Surement depuis que tu évites ton frère alors que tu devrais te réjouir de son retour Tu n’arrives pas à te sortir de la tête son regard fou poser sur toi l’autre soir. Comment trouver une explication à l’inexplicable ?! Tu te sentais prise au piège à vivre ta vie au jour le jour. A continuer d’espérer bêtement que tes rêves se réalise, en vain. La routine qui s’installer te brisé petit à petit sans que tu t’en rendes comptes. Autumn le jour qui se débattais et Eden la nuit qui tentais de survivre. Tu essayais de mettre de l’entrain à la tâche mais, ce soir, tu n’y voyais que du noir. Te détacher de toi-même te semblais impossible. Tu n’avais qu’une hâte, sortir et retrouver ton lit. Ta vie à l’extérieur d’ici pour y retourner à la prochaine nuit tomber. « Hey Eden, chérie… attend, tu as vu le changement de planning ?! Tu as un show privé de dernière minute !! » La voix de Carrie qui te prend de cours alors que, tu étais déjà  prête à retrouver ta tenue de ville. Toi, Autumn. Mettre de côté ce masque que tu enfile à chaque nuit tombé avec l’espoir chaque jour de finir par t’en sortir. Te disant que c’est la dernière fois. Des dernière fois qui s’accumulent. Souffle lasse dissimulé et l’envie d’être déjà partie. Ailleurs. Pas ce soir, tu avais envie de dire. Le moral qui s’étiole et cette envie de te retrouver avec toi-même et pas une énième paire de mains baladeuse parcourant ta peau à demi nue. « Je croyais qu’on ne faisais plus les dernière minutes ?! C’est qui ?! Un habitué ?! » Tu cherches, tu tâtonnes avec l’idée d’y échapper, refiler le bébé à une autre. Tu rêvais, ce soir la vie en avait décidé autrement pour toi. Pas ton soir. Pas ta nuit. « Il a insisté, tu connais le boss… il t’a demandé toi, il paye bien. Il est venue deux trois soir mais, jamais booker personne !! » la tête qui se hoche machinalement et ton corps qui fait demi-tour en guise de réponse avec peu d’entrain come si tu allais à l’abattoir. « Il est en cocon 3 et il est pas mal dans son genre, si ça peut aider ma belle… » Aider de quoi, ils étaient tous pareil dans le fond ces clients. Tous à la recherche d’un moment éphémère et une fois l’instant finit toi, tu rester là, sur le as côté. Tu ne te faisais pas d’idée, il n’y aurait jamais personne pour te sauver. Ils avaient tous une vie, une femme et des enfants, c’étaient juste des hommes en pleine crise de l’âge. Tu ne valais pas mieux que quelques billets toi, tu t’y étais faite à cette idée. Le déshabillé qui glisse sur tes épaules que tu ajustes et le sourire que tu tentes de garder. Celui qui ne t’appartient pas alors qu’il n’y a que tes yeux pour te trahir. La porte de la petite bulle privé que tu pousses, les cocons comme vous aimiez à les appeler, tu laisses Autumn dehors pour une heure de plus… « Qu’es-ce qui vous ferez plaisir ce soir ?!... » La voix douce qui ampli l’air qui vous entoure. L’homme de dos installé sur les canapés que tu contournes pour accrocher son regard. Les yeux ou la seule chose qui te parle vraiment… 

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{  I will touch you with my eyes }
crédit/ tumblr ✰ w/@autumn rosenwald

c'est un coup de folie. littéralement. c'est ce que tu dis quand tu marches dans le couloir derrière une femme. c'est ce que tu dis quand elle t'ouvre la porte, te souris et que tu n'y réponds en rien, simplement par un hochement de tête la remerciant, la congédiant presque alors que t'entres dans cette pièce. tu sais pas à quoi tu t'attendais mais pas à cela. c'est propre. tu t'attendais pas à voir un je ne sais pas d'ambiance de mauvais film, d'un bordel malsain. tes pas marchant dans la pièce, tournant à l'intérieur un instant, t'es encore là te demander si tu ne devrais pas partir, fuir. tu te demandes si tu préfères pas l'ambiance terrible d'avoir ta femme infidèle non loin de toi ou celui-ci. à vrai dire, tu sais pas réellement ce que tu fous. encore fois, c'est un coup de folie, un coup sanguin et t'en pousses un soupir alors que tu te laisses tomber sur le canapé placé presque au centre, placé de sorte à ce que tu te retrouves de dos à la porte. t'es pas là parce que tu penses avec ce que t'as entre les jambes, ni parce que t'as envie de te venger de faith, juste parce que ça t'intrigue. juste parce que t'as senti ce truc, quand ton regard a rencontré le sien quelques semaines auparavant. un truc étrange. une lueur dans son regard qui t'a bousculé. et t'as pas le temps de plus te perdre dans tes pensées ou de fuir, parce que la porte s'ouvre dans ton dos. silence. la porte se referme doucement et ses pas avancent vers toi avec précaution. mais avec tout autre chose. résignation. sa voix douce pénètre tes tympans et elle apparaît face à toi, vos yeux se rencontrent. vos yeux se jugent, s'acclimatent, le temps d'un trop long moment. t'es décontenancé un instant, t'oublies l'autre de répondre à sa question. ton pied que tu viens poser sur ton genou alors que tu poses ton dos au fond du dossier, tu prends le temps de détailler son visage. sans jamais descendre plus loin que son cou, sans jamais parcourir avec frénésie et plaisir son corps, ses formes de jeune adulte des yeux. et d'ailleurs, d'un coup, ça te dégoûte la question qu'elle te pose. tu te rends compte que des sales pattes ne se gênent certainement pas pour le découvrir ce corps. "je ne suis pas venu pour quelque chose dans ce genre." tu finis par confesser sans aucune once d'expression sur le visage ou peut-être qu'il y a bien quelque chose dans tes yeux. un intérêt incertain. témoin de tes propres interrogations intérieures. "quel âge avez-vous ?" ta demande peut paraître étrange et t'as à l'esprit pendant un instant qu'elle puisse croire que t'es un flic ou quelqu'un de ce genre. tu pourrais bien être tout autant un fou.

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crédit/ tumblr ✰ w/@alistair curtis

Tu le cherche le courage ce soir. La force un instant de plus guidé par l’argent et rien d’autre quoi de plus. Tu ne te mens plus à toi-même en te disant que tu apprécies ces tête à tête. Tu arrives à les supporter quand tu sais encore à quoi t’attendre mais, là, sans savoir à qui tu feras face tu te sens nue. Littéralement nue. Vulnérable. Le savoir c’est le pouvoir et tu ne savais rien. Dansé était une chose, tu voyais ça comme un entrainement, tu aimais danser, tu te raccroché à ta passion mais, enfermer dans ces foutu pièce avec des inconnues c’était comme être piégé en attente de la sentence. Toujours ce fichu sourire de circonstance pour toi qui ne voulais pas décevoir. Ne pas perdre ta place qui te maintenait en vie confortablement depuis le départ de ta grand-mère. Ils se faisaient rare les hommes qui venaient juste pour parler, tous venant avec les mêmes intentions. Tu te sentais juste comme une poupée que l’on baladé. Eden la poupée pour ne pas laisser Autumn se briser. Les pas qui te séparer de la porte à ces hommes c’était souvent comme la marche vers le peloton d’exécutions ou les bonnes surprises se faisaient rare. Toujours la même phrase  savamment calculé d’une intonation doucereuse qui fendait l’air pour laisser le temps en suspens dans l’air. Celui qui te permettait ton regard s’entrelacer dans ces hommes venu chercher autre chose. Une pause dans leurs quotidiens. Dans le siens, c’était comme se heurté à un mur. Un épais mur et les questions qui s’enchaînent dans ton esprit. Lui, son regard il est différent. Il te touche, il t’ébranle. Un pas en arrière et l’air perdu une semi seconde. Le regard qui s’évade à la recherche de ces réponses que son âme ne laisse pas transparaître. Cet anneau scellé à sa main gauche et finalement il fait partie de cette case. Homme marié qui laisse sa femme à la maison pour un moment de plaisir ?! Une crise de l’âge ?!... Les pires, ceux qui te faisant te sentir encore plus mal à l’idée de la pauvre femme aimantes qui se fait trompé par une putain de gamine. Tu te sentais comme une gamine alors que tu avais reçus assez de coup dans la vie pour ne plus en être une. Les hommes étaient tous pareil et chaque jour tu en perdrais un peu plus espoir. Pourtant, de lui émané quelque chose de différent ou c’était toi voulant y croire. Te bercer d’illusion pour mieux digéré la pilule. Il y avait quelque chose d’aussi froid que brûlant chez lui. Quelque chose d’inaccessible. Un intriguant mélange. Les mots perçant qui brise le silence presque inquiétant qui avaient ampli l’atmosphère du cocon. Une étrange violence dans sa manière d’être qui atteint directement ton cœur paralysé dans ta poitrine. Une violence à étrangement t’en réchauffer. Tes mains qui fébrilement referment ton déshabillé en satin ne sachant toujours pas trop à quoi t’attendre. Certainement pas à son interrogation. Oh, ils étaient beaucoup à se casser les dents à tenter de soutirer des informations sur ta vie. Ton âge, ton prénom… n’importe quoi juste pour te revoir gratuitement en te faisant croire monde et merveille pour parvenir à leur fin. Tu n’étais pas dupe, les contes de fée n’existaient pas. Pas pour toi du moins. Pourtant, dans sa bouche à lui, elle avait un goût différent. Sa sincérité qui transpercer ton regard jusqu’au tréfonds de ton âme comme s’il pouvait y lire la vérité. Comme s’il pouvait tout y lire. Découvrir. Troublant. « Et vous ?! » la question que tu retournes autant par méfiance que par règles. Tu n’es pas censé parler de toi. « Vous voulez juste parler ?! Je peux écouter, je suis douée pour écouter aussi… si c’est ça que vous voulez ?! » Que tu demandes dans une tentative que tu savais vaine de détourner l’attention de toi.  Sa détermination tu l’as sentais. « Vous me voulez où ?! » que tu demandes toujours debout, devant lui dans l’attente. C’était lui le client, lui le roi.

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t'attends et tu attends, te demandant si tu ne devrais pas t'enfuir. jusqu'à ce que la porte derrière toi s'ouvre. elle est là. la jolie jeune femme. la gamine que tu as repéré. et tu ne penses pas cela d'une manière pervers comme ces gros charognards que t'as pu voir dans la salle les deux trois fois où tu es venu. t'as jamais laissé traîner un regard lubrique sur l'une de ces filles se trémoussant plus loin devant toi. surtout pas sur la brunette que tu as demandé à voir. c'est inqualifiable. tu ne sais pas réellement pourquoi tu as besoin de savoir cela. pourquoi la jeune femme t'intrigue. mais tu as vu quelque chose. derrière sa manière de bouger ses formes et ses membres, derrière sa manière de regarder les hommes et les femmes présents dans la salle. il y a ce truc derrière chacun de ses gestes, dans le fond de ses yeux. comme en cet instant où elle te fait face. où vos regards se rejoignent et que tu observes un peu plus encore cette lueur perceptible. elle n'a pas envie d'être là. et pas seulement là en ce moment même, avec toi. là, tout court, dans cet endroit. elle te renvoie ta question et tu n'en es pas surpris. elle est légitime. pour elle, t'es qu'un gros dégueulasse assez vieux qui vient cueillir une jeune fleur. "ce n'est pas pour ça que je suis là." tu te sens obliger de répondre, t'as pas envie qu'on te catalogue avec les vieux dégueulasses. et ses propos suivant te déconcertent, te troublent. tu te rends compte à quel point elle n'est qu'une poupée de chiffon dans cet établissement, dans le genre soit belle et tais-toi, pompe-moi et tais-toi. tu fronces les sourcils. "absolument pas. vous devez avoir quoi... à peine vingt-ans. " et t'en as trente de plus. "et couvrez-vous, bon sang." la voix du paternel, autoritaire, t'as envie de lui balancer cette petite couverture qui traîne plus loin sur le canapé et que t'as attrapé du bout de tes doigts. mais rien qu'à l'idée qu'il se soit passé des trucs avec celle-ci, tu la relâches et passe ta main sur ton pantalon de costume comme pour l'essuyer.

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crédit/ tumblr ✰ w/@alistair curtis

Tu t’es traîner avec peu d’entrain à presqu’en vouloir à cette énième homme qui avais besoin de se payer les services de quelqu’un. Un lâche parmi tant d’autre. A tenir à coup d’argent. C’était de l’argent, c’était tout et tu en avais besoin. Tu trouverais quelque chose à te raccrocher pour tenir. Pour passer l’heure comme l’effet d’une poignée de minute. C’était ce que tu t’étais dit en entrant dans la salle privé. Pourtant, toute tes perspective de sortie en délicatesse, en douceur c’était envolé à la seconde où ton regard avait croisé le siens. A la seconde ou la froideur de ces mots avait cinglé l’air qui vous entourer. Violence qui assaille ton être et ton corps qui s’écarteraient presque de lui-même. Tu le jauge de tes yeux à y chercher les réponses à tes questions qui se répètent inlassablement. Les même. Tu analyse, tu juges et pour la première fois depuis des mois tu as cette vive impression d’être à côté de la plaque. Il t’en ferait peur l’homme et pourtant il y a quelque chose chez lui qui te prend de court. Qui t’intrigue. Qui te saisit au fin fond de ton être. Tu tentes de t’en tenir aux règles, celles qui sont censé te protéger mais, il semble y passer au travers. Il semble au-dessus. Au-dessus de tout. Tu ne saisis pas ce qu’il veut mais, tu obéis sans réfléchir. Tu l’en remercierais presque alors que tu fermes le pauvre peignoir de soies qui tomber sur tes épaules. Tu te couvres le corps du mieux que tu le peux si c’est ce qu’il veut. Après tout, c’est lui qui paye mais, c’est bien le premiers de tous les hommes que tu as pu voir défiler qui te demande de te couvrir. Tu l’observe à curiosité retenant un rire à sa réaction avec la couverture et cela t’en rassurerais presque. C’est sa première fois. Tu le sens. Tu le sais. « Vous savez elle est propre… » La voix plus légère, plus toi. Puis ce qu’il ne te dit pas ou t’asseoir tu glisses ton corps sur le sol après avoir laissé tomber la fameuse couverture par terre. Assise le dos contre le canapé et ton regard qui finit par retourner au siens.« Je n’ai pas vraiment le droit de vous donner mon âge vous savez… mais je suis largement majeur si vous vous demandez ?! » tu souffles légèrement la main qui suis un chemin le long de ta chevelure détaché. « Si vous ne voulez pas que je danse pour vous, si vous ne voulez pas non plus parler ?!... nous faisons quoi ?! Attendons la fin de l’heure à se regarder… quoi que, vous n’avez même pas l’air d’apprécier la vue ! » Tes yeux qui se perdent sur le mur devant toi à y contempler les lumières qui y dansent dessus. Tu laisses ton imagination s’y perdre pour y retenir la question qui te mord les lèvres. –pourquoi vous êtes là ?!-

le regard qui se pose un instant sur la couverture que tu as fait tomber comme si elle contenait un virus, un hm sort sans que tes lèvres ne s’ouvrent. sans doute oui qu’elle est propre, si elle le dit. comme le reste du club apparemment. de ce que tu as vu, l’endroit est plutôt hygiénique, pour ce qui s’y fait.
ça se voit, ce genre d’endroit n’est pas ce que tu fréquentes habituellement. tu n’es pas de ce genre d’homme. même avec une femme qui t’a trompé, tu n’as jamais cherché à l’oublier dans les bras d’autres femmes, tu n’as jamais cherché à voir d’autres femmes. là première fois que t’as passé les portes de cet endroit, c’est juste parce qu’on t’a forcé, parce que t’en as eu marre que ton collègue te saoule avec cet endroit. et après cette première fois, alors que t’étais assis à cette table, un verre à la main, tu ne pensais plus revenir. jusqu’à ce que tes yeux se posent sur cette femme, sur la jolie danseuse qui ne semblait pas à sa place. absolument pas. elle détonnait au milieu des autres. jolie certes mais bien trop jeune pour toi. et pourtant, tes yeux se sont posés sur elle. seulement quelques instants sur son corps avant de se focaliser seulement sur son visage.
parce que c’est ce que t’as toujours aimé, observer les gens, observer les expressions. apprendre à les connaître rien que par leur apparence. c’est toujours bien mieux que les mots pour toi, bien mieux que la perte de temps des discussions.
puis à cause de cela, tu te retrouves ici, te confrontant à elle. tu ne sais pas ce que tu fous, pas vraiment pourquoi tu as tenu à la rencontrer. tu sais d’ailleurs même pas quoi lui dire. tu lui as demandé son âge, juste pour te confirmer à quel point elle est bien jeune, juste à pour te confirmer qu’elle ne devrait pas être ici. et au vu de sa réponse, tu n’es pas loin de la vérité. t’es peu sûr de son largement, elle ne doit qu’être qu’à une ou deux années de plus de la majorité, si ce n’est l’âge pile. largement ? j’en doute beaucoup. tu ne caches aucune de tes pensées, comme toujours, alors que tu la sondes. tu soupires, passes une main sur ta machoire. ce n’est pas ça du tout, vous êtes très jolie. tes sourcils se froncent. asseyez-vous, vous voulez bien ? tu te décales légèrement pour lui laisser de la place ou peut-être pour mettre plus de distance entre elle et toi. j’avoue que je ne sais pas bien moi-même ce que je fais là. tu confesses, ton coude se posant sur l’accoudoir, ton pied s’installant sur ton genou, tu te tournes même pas vers elle, tu restes à regarder devant toi.

@autumn rosenwald

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crédit/ tumblr ✰ w/@alistair curtis

Il te surprend l’homme c’est comme un chercher l’intrus. Il a l’air tellement sûr de lui et pourtant il ne semble pas à sa place ici. Tu te retrouverais presque en lui. Un besoin plus qu’une réelle envie. Bien que, dans son cas tu cherchais encore à tâtons la raison de son besoin. On pouvait en lire des choses dans le regard et le siens semblait bercés de tant de contradiction à t’en déstabilisés. L’aura qui en imposait et tu comprenais les petit mots d’encouragement de Carrie et pourtant tu t’étais mis le doigt dans l’œil à espérer que ce serait une heure qui se passerait aussi simplement qu’une putain de danse privée. Tu venais de te heurter à un mur avec violence. La froideur de l’âme face à la chaleur de la tienne. Tes iris qui avaient cherché des réponses en vain sur une alliance ou un mot qui voulait en dire long. Rien. Il n’avait rien laissé transparaître si ce n’est ces questions sur ton âge. Un père de famille surement, il n’y avait qu’un père pour se poser se genre de question et pourtant tu ne voyais que l’homme. L’homme qui ne laisser rien transparaître. Il était dur. Dur en affaire alors qu’il ne semblait rien vouloir de toi. Alors la seule question qui te venais à l’esprit c’était pourquoi ?! Pourquoi gâcher de l’argent… pour rien faire. Pour toi ?! « Ah oui… vous ne me croyais pas ?! Vous savez je ne vous donnerez pas mon âge mais, vous pouvez toujours tenter de le deviner ?! » Que tu lances aussi direct que lui. Il y a quelque chose de violent chez lui et pourtant dans le fond de ces yeux tu y lie une étrange douceur qui t’appel. Comme un si le danger masqué voulait s’immiscer en toi. « Vous savez, vous n’êtes pas obliger de me mentir. Je ne me vexerais pas si vous ne me trouvais pas à votre goût !! » Tu le regardes. Tu l’affrontes ce regard qui semble vouloir percer les mystères de ton être autant que tu veux percer les siens avant de décrocher. Il t’intimide de ces paroles qui sonneraient presque comme des ordres. Il t’intimide de sa présence qui t’enveloppe sans même te toucher. Tu laisses ton corps se glisser jusqu’au sol sur la couverture qu’il à laisser tomber. Non, le canapé tu n’en veux pas, tu préfères étrangement être par terre. « Je dirais bien la curiosité mais,… mais vous ne m’avez pas l’air d’être quelqu’un de curieux !! En fait c’est étrange vous avez l’air plutôt de savoir ce que vous voulez !! » Que tu lances-le regard rivé sur la table basse en face de toi. « Je me trompe peut-être mais, en générale… je suis plutôt douée pour analyser les gens !! » il semblait tellement différent que tous les hommes que tu avais vu défilé en bientôt six mois de boulot dans ce club. Tu avais comme cette envie de percer le mystère qu’il l’entouré.