save the queens ---- / AUTUMN ROSENWALD
23 ans ---- / ace of diamonds ---- / bridget hollitt
identité complète / (autumn) ou la beauté des feuilles orangés qui viennent recouvrir le sol dans une ritournelle enivrante. Les effluves d’humidité qui clôture la douceur de l’été à l’aube de l’hiver. Autumn ou tu tentes d’y trouver la beauté que tes parents très peu soucieux de leurs enfant ton nommé à la période de cette année ou tu pousser ton premier crie. Ils auraient très bien pu t’appeler October mais c’était beaucoup moins poétique. (rosenwald) ou la générosité d’un homme amoureux de ne pas laisser une gamine sans identité. Le nom d’un homme qui n’est pas ton père mais, qui t’as accueilli au monde comme sienne. Ton père, le vraie, tu n’en sauras jamais rien… lieu de naissance et origines / (new-york) la belle, la majestueuse celle à l’image du rêve américain dans tout sa splendeur. La ville qui vous ait voir mon et merveille, vous fait espérer pour finir par tout vous prendre. La fille qui fait croire mais qui ne donne rien. New-york, la seule que tu es connue alors que, les seuls voyage que tu es fait était au travers de carte postal généreusement envoyé par tes parents. Celles qui recouvrent un mur entier de ta chambre dans cette appartement sans charme dans lequel tu vie. Les origines, il n’y a rien de tel pour se construire (chinoise) du peu que tu en sais. A ton père biologique tu n’en imagine pas grand-chose si ce n’est des effluves (européenne, américaine…) mais, dans le fond tu n’en sais foutrement rien.études ou métier / C’était la danse qui coulait dans tes veines. La danse pour laquelle tu t’es battu depuis que tu as compris que tes parents ne le feraient jamais pour toi. Une bourse d’étude et un rêve à la clé : intégrer la compagnie Martha Graham de ta belle ville de New-York. Le genre de rêve inaccessible. Pourtant tu étais doué mais, la vie t’a rattrapé. Maladie de ta grand-mère, bourse perdue et audition raté. Alors, en attendant que tu t’es dit, en attendant de retenter ta chance tu à pénétrais un de ces palais de la luxure select. Tantôt (effeuilleuse) tantôt (escort) au club "Play it Again Sam" … Le jour Autumn travaille dur et la nuit Eden prend le dessus pour survivre et se payer des cours de danse. orientation sexuelle / D’(arrogant connard) qui ne veulent que leurs bien. Ceux qui te font espérer de leurs richesses et que le bonheur s’achète. Ceux qui te maltraite et qui te font comprendre que tu ne mérites pas mieux que ce que tu as. Peut-être bien que tu mérites mieux que ça mais, il n’y a jamais eu personne pour te le dire. Pour te dire que les (hommes) n’étaient pas tous pareil. statut civil / les hommes qui poses leurs mains sur tes courbes. Les hommes qui prennent et qui te rendent. Les hommes qui se délectent un instant de ta vision transperçant leurs prunelles belliqueuses. Il n’y a pas de telle chose que l’amour comme ils disent tous. Non, il n’y a que désir et plaisir. Il n’y a que pouvoir et possession. L’amour existe tes parents étaient amoureux mais, toi, tu n’y crois pas pour toi. Tu couches, tu découches à la recherche de réconfort que personne ne semble pouvoir t’offrir. (celib’ à terre). pi, scénario ou prélien / pi.
traits de caractère / (Innocence) feinte d’un regard à demi (angélique) tu n’es rien d’autre qu’une putain d’illusion que tout le monde achète sans regarder les conditions de vente. Le (myocarde fissuré) d’un désintéressement parental, d’une trahison impardonnable. Le (vague à l’âme) d’une gamine qui a dû soulager les mots d’une grand-mère malade et d’un frère en prison. T’es la (survivante) des journées interminables et des nuits de débauches. Autumn la (discrète) qui ne parles jamais d’elle qu’y aurait-il d’intéressant à en dire ?! A tes yeux : rien. (Sensualité décalée) et (charme à en crevé) d’une âme en perdition. L’âme qui n’a jamais su trouver son chemin. (Enchanteresse) des nuits et (Rêveuse) de jours meilleurs qui n’arriverons sans doute jamais. Légère brise qui c’est (cultivée) à coup de dictionnaire et livre venue d’une autre époque. La (battante) et la (courageuse)qui ne plie jamais. Accrocher à cette vie de merde sans trop savoir pourquoi. Autumn qui veux s’en sortir probablement. (Douce contradiction) de (l’inconstance) dans le cœur et l’esprit. Le papillon (volage) qui cherche un point d’ancrage. Ton (intelligence) que tu oublies au gré du (travail) ou la seul chose qui paye les factures. (Sensibilité) à fleur de peau d’une personne qui se (méfie) trop. Celle qui ne s’attache plus. La (délicatesse) dans les mots, dans les gestes d’une (douceur sauvage) à une (passionnée) qui avance comme si demain c’était la fin. L’espoir se meurt et le (talent) se fane. Autumn l’(unique), la (spéciale) et pourtant l’Autumn perdue au milieu de l’hiver glaciale et sans fin. L’Autumn qui n’attend plus d’être sauvé.
save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
(don’t you worry child)/ Elle aurait pu être parfaite cette histoire, celle que l’on t’a servie. L’histoire de ta vie et son début de conte de fée. Une mère renier par sa famille pour être enceinte d’un enfant hors mariage et qui décide de se battre pour ce que tu étais. Un homme qui ne partageait pas ton sang si ce n’est cette femme qui t’enfanterais, l’amour de sa vie qu’il avouerait à tout va après ta naissance. Un homme qui par amour de prit comme sienne à défaut de connaître ton géniteur. Toi, tu n’as jamais cherché à savoir, lui, il te suffisait. Eux, il te suffisait. Une famille qui était ce qu’elle était. Une famille qui ne manqua de rien, pas d’amour quoi que centrer sur eux plutôt que sur vous. Vous les enfants d’autre et pourtant lié par l’union de vos deux parents. Bear et Autumn. Lui et toi. Frère et sœur malgré-vous et pourtant comme l’évidence que vos deux âmes étaient faites pour se connaitre. Vous qui contentiez de ce que vos parents vous donnez à chercher l’approbation de ceux qui vous ignorez à demi jusqu’à, finir par vous laisser. Vous laissez à votre grand-mère comme si c’était normal d’abandonner ces enfants pour courir après une jeunesse perdue et revenir la bouche en cœur les mains pleines de cadeaux. Stupide gamins que vous aviez été de croire à leurs mots. De croire que tout irait bien. Enfance modeste bercés d'un amour dysfonctionnelle et pourtant tu appelles ces années heureuse. Après tout, de tes yeux d’enfant tout semblait si simple. Loin de toi l’idée de l’avenir compliqué qui se profilé.(sweet dreams)/ « Rêves ! Vie ! Mais, surtout n’oublies jamais de continuer à rêver… » Que l’homme que tu appelais papa t’avais toujours dis ou que même cette grand-mère qui s’apparente plus à une mère continuer de te sommer à coup de conte de fée raconter avant de t’endormir. Alors, tu l’es à écouter. De tes idées rêveuses de gamine qui pensais que la vie ne pouvait être que beauté et amour. Que seul le bonheur existé. Sombre idiote qui s’est laissé rattraper. Sombre idiote qui a vite déchanté. Ah, ça oui, des rêves tu en avais plein la tête. C’est putain d’illusions dans lesquelles tu t’étais bercée depuis que tu avais en été en âge de comprendre. On t’avait trompé sur la marchandise ou bien menti tout simplement. Toi, tu te sentais presque trahi qu’on t’est laissé espérer. Jusqu’au bout tu avais voulu y croire qu’avec de l’espoir tout finissais par se réalisé. Le mensonge de ta foutu vie. De ta foutu existence. Aujourd’hui, il ne te restait que le rêve de te sortir de ton trou à rat et ceux de grandeurs était mort enterrer avec ta grand-mère et l’amour que tu avais crue avoir de ceux qui se disaient être tes parents. Ton frère, une autre histoire. Tu continuais d’avancer dans le mensonge de lendemain meilleur sans vraiment y croire. T’aurais voulue continuer d’y croire à cette envie d’être cette danseuse qui brille sur une scène et applaudie par les plus grand de ce monde et pas admirer pour la nudité que tu expose pour payer les factures. T’aurais voulue croire à la rédemption de tes parents et à la guérison de ta grand-mère. T’aurais voulue rêver de perfection mais, il fallait croire que ça n’existait que dans les histoires pour enfants. T’en avais tiré une bonne de leçon de ces putains de conte de fée : ne pas croire tout ce que les adultes racontent ! T’aurais pas dû y croire. (growing pains)/ Tout n’avait pourtant pas semblait être perdue d’avance, alors que cette routine de vas et viens de vos soit disant parents était devenue comme une normalité. Vous en vous en sortiez pas si mal avec cette mamie qui vous avez inculqué de belles valeurs du travail et toute l’amour qu’une grand-mère est à offrir à ces petits enfants. T’avais longtemps cru que votre petite bulle que vous vous étiez créé serait éternelle. Que vous vous étiez donné les moyens de réussir et que personne pourraient venir gâcher ça… tu avais été naïve. Tu n’avais pas été seule et ça vous avez perdu tous les deux. On dit bien que la vérité faisaient toujours pas éclater et la vôtre avez fait mal. Le début de votre fin. A mamie, à Bear… et à toi. Pour s’en sortir il n’y avait que ceux qui vous aviez mis au fond du trou : vos parents. Envolé les rêves d’artiste de ton frère et tes rêves de danseuse contemporaine. Des parents dont la vérité était cher à payer, pas d’argent et pas de voyage sans prix… Le prix d’une fraude financière bien monter depuis des années et le chapeau laisser à portée à un fils qui ne demandé que l’approbation d’un père qu’il n’aurait finalement jamais. La prison pour l’un et toi, la gamine forcé de grandir d’un coup. Une grand-mère rendu malade par tous ces coups du destin que tu en été venue à haïr. Toi, l’étudiante boursière qui perdue tout en moins de temps qu’il t’en fut pour tout obtenir. La vie ne donne pas de beauté, la vie salie. La tienne te traîne dans la poussière. (no angels)/ L’effet boule de neige et un mensonge qui en entraîne un autre à vous enlisez dedans sans que vous puissiez distinguer la porte de sortie. Tu te souviens des « tout vas super bien » des visites aux parloirs et des mots envoyer pour que ton frère garde le courage. Tu te souviens aussi des « ne t’en fait pas, je tiens le coup ! » que tu servais à ta grand-mère qui lutter contre la maladie et l’effet du temps sur son corps de femme déjà bien trop usé par les coups de la vie. Tu te souviens des excuses à répétition servie à l’université et de cette foie qui n’as pas pardonner. Du sacrifice de ta vie pour espérer retenir ta grand-mère un peu plus longtemps avec toi. Toi, qui a pendant longtemps crue que tu pouvais tout gérer du haut de ton jeune âge. Tu n’étais qu’une gamine surmenée qui finalement n’arrivait à rien. L’avenir prometteur d’une danseuse talentueuse qui avait décroché une audition de rêve et qui a dû faire un choix. Un choix impossible. La gamine qui à passer des mois à lutter entre cours et petit boulot pour payer les médicaments et les visites à répétition à l’hôpital. La gamine qui à finit par perdre sa bourse d’étude pour manque d’assiduité et sa grand-mère car il y a de ces combats perdu d’avance. Tu n’avais plus que tes yeux pour pleurer et encore tu t’étais refuser toutes larmes. Une audition raté au prix d’un derniers souffle et au change tu y avais juste gagné un boulot qui trop honteuse de dire à Bear que tu n’avais été qu’une incapable comme vos parents te perdais dans un mensonge sans fin. Au final, tu n’as rien de l’ange Eden que l’on dépeint quand l’on annonce ton entrée en scène. Tu te dégoutterais presque à chercher à combler la solitude de ton âme dans les bras qui n’ont d’intérêt que les leurs. A en faire retourner ta grand-mère dans sa tombe. (we don't have to take our clothes off)/ Tu n’en es pas fière de ton corps qui se déhanche sur des musique méticuleusement choisie pour éveiller les sens des portes monnaie prête à débourser la moitié de leurs salaire pour quelques minutes en tête à tête de ton temps précieux. Tu n’en es pas fière d’user de tes charmes dénudés pour ravir les visions pervertie de ces hommes qui pensent que tout s’achètes. Tu en as essayé bien des manières pour payer les factures à la fin du mois. L’argent n’attend pas d’être gagné malheureusement. T’en a enchainer des petits boulot à en perdre tout ton temps alors, que l’on ne viennes pas te dire que tu as choisie l’argent facile alors que tu te sens salie par la honte et la culpabilité à chaque fois que tu te remontes sur cette scène pour te donner en spectacles à des gens en manque de plaisir. Tu as finit par arrêter de compte les jours, le nombre de prestation et tout le reste. Tu as finis par arrêter de te dire que c’était toi qui te dénudais en publique juste dans le but de survivre. Tu as tenté d’oublier que la nécessité de le faire n’étais pas ce qui te guider chaque soir dans ce club depuis un peu plus de cinq mois. Tu tentes encore de te raccrocher à ce rêve que tout n’es pas perdu pour toi et qu’on te donnera une autre chance mais, cela semble être peine perdue. Ton frère en prison pour des crimes qu’il n’a pas commis et ta grand-mère décédée. Au final, il ne reste plus que toi et l’illusion que tu te pervertie pour réussir. En réalité tu t’es convaincu que la vie n’avait plus rien à t’offrir…
save the queens ---- / BEHIND THE MASK
sharethemomet (caro) ---- / 26 ans ---- / rpgiste
ville / Paris.
études ou métier / en transition
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avis général sur le forum / perfection
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le détail qui t'a fait craquer / vous encore et toujours
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fréquence de connexion / tout les jours en moyenne
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crédits des icons / VOCIVUS.
le mot de la fin / putain jvous nem les ptits choux
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