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| Sujet: poison. Ven 11 Jan - 22:23 |
| save the queens ---- / ALISTAIR CURTIS
51 ans ---- / ACE OF DIAMONDS ---- / rufus sewell
identité complète - curtis, patronyme symbolisant pour toi la fierté. presque de la vieille école, la famille est pour toi quelque chose de sacré, une fierté. un lien qui normalement est incassable. il ne peut en être autrement. il te vient de ton père, cet homme inspirant. ce modèle que t'aimes malgré le peu d'amour qu'il a pu te montrer. parce que c'était comme cela, à l'époque, parce qu'il était comme cela. alistair, prénom anglicisé qui provient d'alexander, protéger (alexein) et viril (andros), ça te correspond peut-être un peu trop bien. lieu de naissance et origines - début de ta vie passée dans un autre pays mais sur le même continent, canadien, t'as passé les premières vingtaines d'années à ottawa avant de te poser ici, à new york city. études ou métier - homme réparateur, chirurgien, profession enrichie par le massacre des hommes lors des conflits, notamment le premier conflit mondial, tu répares les hommes, leurs chairs et leurs désespoirs. orientation sexuelle - cinquante ans que tu chéries les femmes de la terre, douces créatures. statut civil - des années que tu es marié à une douce tentatrice, à la femme que tu considérais comme être celle de ta vie. épouse parfaite, mère de tes enfants, l'orage gronde pourtant au dessus du lien sacré du mariage qui vous a uni dans une jolie chapelle d'ottawa. pi, scénario ou prélien - scénario de la famille curtis, @gabin curtis
save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE
once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star traits de caractère / perfectionniste, le saint-graal, ce que tu aimes toucher de tes doigts qui ont tant effleuré de choses depuis cinquante ans. atteindre la perfection, le sommet, être le meilleur, c'est en toi. c'est implanté dans ta manière d'être depuis que t'es gosse, depuis qut'as subi les regards posés sur toi, toujours si insatisfait de la part de ton père. jamais le meilleur, jamais assez. toute imperfection est inacceptable. tu l'es pour toi et malheureusement pour les autres. froid, l'allure froide, l'allure hautaine, t'es l'homme qui circule dans une salle sur ce modèle. l'homme qui paraît se sentir comme si parfois, dans une autre vie, il aurait pu être le roi du monde. t'es humble, c'est véritable mais on te qualifie comme une personne qui ne semble guère s'émouvoir de quelque chose. t'as parfois le visage trop lisse, parfois le visage qui n'exprime aucune émotion. y a juste le p'tit sourire en coin qui vient déformer tes lèvres. le rare, celui qui fait comprendre à l'autre qu'il peut tout avoir gagné. protecteur, emprunté du latin protector, t'es l'homme un poil trop présent, un peu trop couvrent. étouffant parfois. famille, ce serait presque ironique de dire cela, presque se foutre la gueule des autres mais tu l'es. t'as jamais été trop présent pour eux, bourreau du travail, tu es. mais ta famille, elle est importante. c'est celle que tu aimes, celle que tu laisses derrière toi. t'es d'ailleurs le papa poule. celui qui accordait parfois une glace alors que maman avait refusé. cinglant, le mot parfois de trop, l'expression qui blesse bien trop de fois. cinquantenaire qui ne mâche plus ses mots, tu ne l'as d'ailleurs jamais vraiment fait, cacher ce que tu penses, prendre des pincettes avec tes interlocuteurs. t'as pas le temps pour ça, pas le temps de couver les âmes sensibles. ambitieux, jamais satisfait, tu rêves toujours de plus haut, de tout réussir ce que tu entreprends. la débandades en est d'autant plus fort lorsque tu laisses un corps sans vie sur la table d'opération. strict/autoritaire, un père parfois bien trop strict, un chirurgien qui parfois ne laisse que peu de relâchement. courtois, direct certes, parfois blessant mais t'en restes un mec courtois. quitte à jouer les faux-semblants, quitte à le paraître alors que t'enrages au fond de toi. tu joues sur le raffinée, la délicatesse de tes mots sélectionnés avec soin. intransigeant, celui qui ne laisse rien passer. celui qui a du mal avec les fautes. même envers toi même, tu l'es. orateur/captivant, homme qui suscite l'intérêt, t'interpelles, captives par ta présence, par tes mots. t'es l'homme à la belle parole, l'homme qui aurait pu faire de la politique tellement parler ne te fait pas peur. t'es le gars qui intéresse, celui qui racontait ces belles histoires à ses enfants, surtout ta petite dernière, celui qui est capable de t'emmener loin, de te faire vivre le récit comme si tu y étais. lunatique, le chaud et le froid te dévorent l'un après l'autre. c'est difficile, de te cerner, de savoir dans quel jour tu es. le bon. le mauvais. tu l'as toujours été et faut dire que la fatigue et la tension que t'as accumulé pendant ces nombreuses années n'ont rien changé. énigmatique, bien difficile de connaître le fond de ta pensée lorsque tu te refuses à parler, lorsque tu réfléchis. savant, intellectuel, l'homme aux nombreuses connaissances. tu es l'homme qui, toute sa vie, a forgé son cerveau à s'enrichir du monde. quelle ironie pourtant, lorsque tu te dis que quand tu mourras, toutes ces années passées ne serviront plus à rien, plus à personne. doux, comment te qualifier ainsi après tout ce qui vient d'être dit. comment te voir comme une personne douce. et pourtant, tu les. parfois dans tes gestes, dans ceux où tu viens enlacer ta femme, dans ceux où tu viens déposer une main sur l'épaule d'un de tes fils, dans ceux où tu embrasses sur le crâne l'une de tes filles. save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share papa ! et tu l'entends, dans ton dos, cette voix fluette. ou plutôt, ces voix d'enfants, heureux de te voir, heureux de te retrouver après une garde complète. et pourtant, tu continues de marcher. t'ignores ces gosses qui sont les tiens, ignoblement. égoïstement. t'es claqué, t'as toujours ce besoin d'être seul, toujours le besoin de reprendre des forces de ton coté. tu pourrais faire un effort, te retourner et leur sourire. te retourner et leur offrir à chacun un baiser pour les saluer avant de t'excuser pour filer. c'est pas sorcier, pas si compliqué. ça prend rien que quelques secondes. mais non. c'est ta manière de faire, ta manière de, parfois, te comporter. parce que oui, à d'autre, t'es le père idéal, le père qui couvre ses enfants de tous leurs caprices dans le dos de leur mère. mais pas cette fois. et même avant que tu claques la porte de ton bureau derrière toi, t'entends sa voix, de ta jolie femme, éloignait vos enfants. pas ce soir les enfants, papa est fatigué. pas ce soir, encore un autre soir. c'est pas le premier, pas le dernier.
la gorgée de whisky que tu sens descendre au fond de ta gorge, celle qui te brûle ou pas, tu sens plus rien à force, comme ankylosé, celle qui te fait un putain de bien fou pourtant. t'as ce rictus alors que tes yeux regardent danser les flammes, alors que les flammes se lèchent, se tentent, consument la bûche de bois. comme toi tu te consumes. masque de froid sur ton visage, mes sourcils qui se froncent à l'entente de ses pas dans son dos. "sors de là faith." la voix rauque, timbre abîmé par le liquide ambré. t'as pas la patience, pas l'envie de voir ta femme, celle qui est censée être l'amour de ta vie, celle que tu es censé aimer pour l'amour et pour le pire. voix impatience, voix intransigeante, elle claque dans le silence, claque contre la femme que tu sens se stopper dans ton dos. t'as pas l'envie, pas le temps pour ça. pour elle. t'as plus le temps et l'envie. pas ce soir. et sans doute pas les autres soirs. t'en reviens toujours pas. faith, ta sublime femme, t'a trompé. pourquoi faith ? pourquoi t'as fait ça ? pourquoi tu m'as fait ça ? et c'est tant d'autres questions que t'aurais aimé lui balancer plutôt que de t'enfermer dans ton silence, tant de questions dont t'aurais aimé avoir la réponse. mais à quoi bon ? tu souffres. t'enrages. et en cet instant, tu peux juste pas. le coeur au bord des lèvres, tu ne peux pas la voir. tu ne veux même pas la sentir dans ton dos, sentir sa présence, sentir ses yeux ensorceleurs fixés l'arrière de ton crâne. "j'ai besoin d'être seul." et de souffrir seul. et de boire. encore. juste pour tenter d'oublier ton erreur.
tu ne devrais pas être là. c'est pas ton truc, pas ce que tu aimes. faith ne serait pas heureuse de te savoir là. mais bon, après tout, tu te demandes bien ce qu'elle en a à foutre. tu te dis surtout qu'elle n'a rien à te dire la jolie créature infidèle. et pourtant, tu ne peux pas t'empêcher de te sentir mal. de détester ton collègue qui vient de t'emmener ici. juste un verre et tu peux rentrer, ta femme ne remarquera même pas ton absence. c'est ça ouais... mais pas en rêve. tu sais que depuis qu'elle a fait sa connerie, elle regrette. depuis qu'elle a eu une histoire avec un gamin. un putain de prof bien plus jeune qu'elle, bien jeune que toi, bordel. t'enrages, encore. ça passe pas, ça passera jamais. t'en es presque sûr. et étrangement, d'une putain de mauvaise manière, à cette pensée, t'as aucune honte de laisser glisser ton regard sur la jolie brunette qui se déhanche plus loin. save the queens ---- / BEHIND THE MASK
mathilde ---- / 22 ans ---- / rpgiste
ville - amiens études ou métier - M2 histoire recherche avis général sur le forum - que du bonheur ici le détail qui t'a fait craquer - caro m’a embarqué ici c’est l’esthétique qui m’a convaincu. fréquence de connexion - tous les jours crédits des icons - beylin. le mot de la fin - j'ai changé de style de fiche au final - Code:
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[b]rufus sewell[/b] / [i]alistair curtis[/i] |
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Livia Henderson;
-- requiem for a lover -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
marilhéa. cosmic light. 6766 1701 28 âme en peine. agent de voyages, vendeuse de rêve autour du monde. queens traditionnel. on dit qu'le temps détruit
mais l'temps n'est pas notre ennemi
parce que plus j'te connais
et plus j'me sens bénie.
☆ ☆ ☆ brynn - anyone ? - anyone ?
| Sujet: Re: poison. Ven 11 Jan - 22:30 |
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