Can’t keep my hands to myself. (Warston) /Hot\

♛ Can’t keep my hands to myself. 

Can’t keep my hands to myself No matter how hard I’m trying to I want you all to myself You’re metaphorical gin and juice So come on, give me a taste Of what it’s like to be next to you Won’t let one drop go to waste You’re metaphorical gin and juice Cause all of the doubts and the outbursts Keep making love to each other And I’m trying, trying, trying, trying All of the doubts and the outbursts Keep making love to each other And I’m trying, trying, trying, trying But I… Can’t keep my hands to myself My hands to myself...

Il y a beaucoup de choses qu’ils ne devraient pas faire ensemble. Ils ne devraient même pas faire quoi que ce soit ensemble. Ils n’étaient rien l’un pour l’autre il y a quelques semaines seulement. Ils sont devenus amants, ils deviennent bien plus encore. Rien de tout cela n’est bien, elle le sait au fond d’elle, Isabella. Mais elle n’a pas envie de s’en inquiéter, elle n’a pas envie de s’en empêcher. Pour la première fois de sa vie, elle veut penser à elle, à son envie, uniquement à son envie. Et, là tout de suite, c’est de lui qu’elle a envie. Extrêmement. Quand il l’embrasse enfin, lui offrant ce dont elle rêve depuis une semaine, la jeune femme ne met pas une fraction de seconde avant de prolonger langoureusement son baiser. Elle sent déjà ce désir qui la submerge, qui la contrôle totalement alors qu’il dévie ses lèvres dans son cou. Elle a l’impression de devenir un pantin sous ses gestes. Elle aime quand il l’embrasse, elle aime quand il l’entoure de ses bras, comme pour l’empêcher de partir. Elle aime quand il la serre contre lui, comme pour en faire sienne. C’est tellement troublant pour elle d’être aussi déstabilisée, autant à la merci d’un homme... La tête penchée, elle savoure chacun de ses baisers brûlants durant plusieurs secondes avant de tenter de retrouver un semblant de maîtrise de la situation. Les mains qui glissent le long de son torse, elle récupère le badge du policier qu’elle commente avec un petit sourire en coin. D’après lui, c’est l’uniforme qui lui fait de l’effet, ou peut-être bien le fait qu’il représente la loi. Elle ne saurait dire, Isabella. Elle n’a jamais fantasmé sur l’une comme sur l’autre des deux options. Elle a même longtemps redouté la police, à cause de son frère. Mais c’est lui, c’est lui qui la rend dingue. - Hum... Moi je crois que c’est toi qui me plais, uniquement toi. déclare-t-elle dans un léger soupir alors qu’il est déjà parti retrouver son cou. Elle sent sa peau frémir, presque malgré elle, alors qu’elle s’évertue à lui retirer tout son attirail de flic. Il parait surpris par ses paroles, et elle le comprend bien. Elle n’a jamais été du genre à vanter les mérites de l’interdit ou bien du danger. Jamais avant Lui. - Elle attend sagement de l’autre côté de cette porte. explique-t-elle d’une voix sensuelle alors qu’elle le pousse contre le lit simultanément pour passer à l’étape supérieure. Le regard rivé sur lui, elle joue de ses atouts féminins, elle joue de ce pouvoir dont elle commence à se rendre compte tout doucement sur lui. Il a les yeux rivés sur elle, comme envoûté, comme s’il ne voulait pas manquer une seconde du spectacle. S’il savait à quel point elle aime ce regard, bon sang. Lentement, elle se déshabille, jusqu’à se retrouver uniquement vêtue de ses dessous en dentelle blanche. Elle s’approche alors, non sans assurance de lui, pour venir s’installer à califourchon sur lui qui, contrairement à elle, est encore tout habillé. Sans l’ombre d’une hésitation, il lui affirme qu’à cet instant, c’est bien elle qui l’excite. Il faut dire qu’elle fait tout pour. - Je n’ai encore rien fait pourtant. le taquine-t-elle au contraire tout en entourant ses bras autour de son cou. Avec attention, elle écoute sa réponse, non surprise en vérité. Elle aime l’idée qu’il la voit ainsi. Elle a la sensation de perdre toute inhibition avec lui, mais c’est peut-être bien le but premier d’un amant, finalement. Le corps frissonnant sous ses légères caresses, elle laisse sa propre main glisser dans les cheveux du jeune homme sans lâcher son regard. - Les femmes fatales hein ? Elle murmure contre ses lèvres avant de lui voler un baiser, un très rapide baiser alors que déjà elle recule son visage. Ses mains s’aventurent sous le haut de Nikolaï sans toutefois l’en débarrasser. Elle veut juste retrouver la douceur de sa peau. Mais, instinctivement, presque sans s’en rendre compte, elle ondule son bassin contre le sien d’une façon qui n’a rien de chaste. - Et si je te disais qu’en vérité, tu peux faire de moi tout ce que tu désires... Absolument tout ce que tu désires... Qu’est-ce que tu voudrais faire là tout de suite ? En même temps qu’elle parle, elle laisse une de ses mains caresser son torse sous son haut tandis que l’autre descend beaucoup plus bas, contre son entrejambe, désireuse de connaître l’effet qu’elle a sur lui.

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Plus rien n'avait d'importance maintenant qu'ils venaient de ce retrouver, qu'elle prolongeait les baisers et encore moins après tous ce qu'elle venait de lui confier. Il voulait juste ce couper du monde quelques instants comme toujours quand il ce trouvait avec elle. Il n'était plus ce flic un peu trop aigri par son travail, elle n'était plus la femme mariée, importante, non ils étaient juste Nikolaï et Isabella, les deux amants un peu trop accro l'un à l'autre. - Moi uniquement ? C'est flatteur, tu sais que je pourrait m’habituer à ce genre de compliment ! Murmure t'il avec un petit sourire sur les lèvres alors qu'elle le débarrasse de son badge et son arme de service. Elle était tellement différente de la jeune femme qu'elle était avant, du moins elle n'était plus cette femme réservée un peu trop sérieuse à son gout. Oh non, ce soir elle était cette femme fatale et il fallait avouer que le rôle lui allait plutot bien, du moins c'était un côté qui plaisait Nick. Il ce laissait même entièrement faire, reculant jusqu'au lit ou il ce laisse tomber alors qu'elle ce déshabille devant lui. Il ne peut que la dévorer des yeux, il ce mord même la lèvre alors qu'il continue de la regarder avec envie, comme l'objet de ses convoitises. C'est qu'elle qui l'excite, elle n'a pas besoin de faire grand chose pour ça ! - C'est pour ça que j'ai hâte de voir la suite. Murmure t'il en la laissant s’installer sur ses genoux. Son truc ? C'est les femmes fatales, dangereuse ... qui n'ont pas peur du risque et là, elle lui plait de plus en plus ! Il sent les doigts de la jeune femme glisser dans ses cheveux avant de venir plaquer ses lèvres contre les siennes dans un baiser fougueux mais bien trop rapide au gout de Nick. L'air beaucoup plus intéressé, il continue de la dévorer des yeux alors qu'il sent son bassin onduler contre le sien. - Et bien, là tout de suite ... j'ai très envie de te débarrasser de tes sous vêtements, t'allonger sur ce lit et te montrer combien tu m'a manqué ! Ces doigts qui glissent sous son haut, ces doigts à même sa peau ... ça le rend dingue, il frissonne c'était comme si son corps était juste fait pour être sensible à ces caresses. Elle lui faisait déjà beaucoup d'effet si c'est ce qu'elle voulait savoir, il laissait lui aussi ses doigts glisser contre son corps. - Et toi ? Qu'est ce que tu veux ?

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Attraction magnétique, attraction fatale. Rien n’aurait pu les prédestiner à se connaître. Tout les oppose, rien ne les réunit, si ce n’est ce besoin cruel de s’évader de sa propre vie. Elle a la sensation que c’est possible avec lui, Isabella. Quand il est à ses côtés, elle parvient à faire abstraction du monde entier pour savourer uniquement ces précieux moments avec lui. C’est d’autant plus vrai en cet instant alors qu’elle peut enfin le retrouver après une semaine d’absence. C’est peut-être ce qui la rend si bavarde, aujourd’hui, elle qui ne s’étale jamais sur ses ressentis. C’est sûrement aussi parce que, plus le temps passe, plus elle laisse son cœur s’ouvrir à Nikolaï. Ses réserves disparaissent alors que, pour la première fois de sa vie, elle ose s’exprimer sans mesurer ses paroles. Le jeune homme lui affirme même qu’il pourrait s’y habituer mais elle lui répond simplement par un baiser. Elle s’est retenue trop longtemps, elle veut pouvoir laisser libre cours à cette envie constante de lui. C’est avec assurance qu’elle le pousse à s’asseoir pour commencer à retirer un à un ses vêtements. Ses prunelles ne quittent pas les siennes alors qu’elle se déshabille avec lenteur. Elle sent le regard fixe de Nikolaï sur elle, elle sent qu’il la dévore des yeux, comme hypnotisé. Il paraît même troublé de la voir jouer ainsi de ses charmes sans sa retenue habituelle. Mais elle est une femme aux multiples facettes, Isabella. Elle peut sembler trop sérieuse, trop sage, mais quand elle décide de se livrer, elle peut devenir une toute autre personne. Plus particulièrement encore avec Nikolaï qui l’incite depuis leur toute première rencontre à se libérer de toutes ces limites qu’elle s’impose au quotidien. Immobile, il n’exprime aucune protestation, il se laisse faire alors qu’elle trouve sa place sur ses genoux. Elle a l’impression qu’il pourrait la dévorer sur place mais il lui assure sagement avoir hâte de voir la suite. D’un baiser, elle le fait taire avant de laisser glisser ses doigts dans ses cheveux, contre son torse, à même sa peau. Le regard rivé sur lui, elle écoute avec attention chacun de ses mots, comme si elle s’en délectait, comme si elle ne voulait pas en perdre une miette. L’entendre décrire ce dont il a envie, c’est sexy, c’est... Excitant. Un peu trop. Elle pourrait se perdre à son propre jeu. - C’est un programme assez... Intéressant. assure-t-elle avec un petit sourire charmeur alors qu’elle poursuit ses caresses. Elle sent sa peau si douce, si chaude, glisser contre ses doigts. Elle aime tellement cette sensation. Mais elle a envie de plus, décidant de laisser l’une de ses mains descendre contre l’entrejambe de son amant. Il est loin d’être insensible, elle s’en rend compte. A son tour, il lui demande ce qu’elle veut. Cela paraît si évident... C’est lui qu’elle veut. Lui contre elle, lui en elle. Mais elle n’est pas prête à l’avouer à voix haute. Finalement, c’est plus facile de jouer les séductrices qu’admettre combien elle est elle-même séduite. - Je veux... Ça. murmure-t-elle en enfouissant sa tête dans son cou. Elle s’imprègne de son parfum qui l’envoûte avant de déposer de longs baisers contre sa peau. Elle en est dingue. - Et ça... ajoute-t-elle en se saisissant de son tee-shirt pour l’en débarrasser enfin. Elle le laisse négligemment tomber derrière elle au sol et, tout de suite, ses doigts retrouvent ce corps dont elle devient accro. Elle le caresse sans cesser d’embrasser son cou plusieurs secondes durant. - Et un peu de ça... conclue-t-elle alors que l’une de ses mains se charge de détacher son pantalon pour s’enfouir ensuite à l’intérieur. - Je veux que tu me fasses vibrer, je veux que tu me donnes tellement de plaisir que j’en oublie mon propre nom... Tellement que, ce soir, quand je serais allongée sagement dans mon lit, je n’aurais qu’à fermer les yeux pour t’imaginer encore en moi. Elle dit tout cela sans le quitter des yeux, la voix chaude de désir, alors que de ses doigts fins et délicats, elle caresse avec lenteur sa virilité.

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Elle ne l'avait pas vraiment habitué à ce genre de comportement. Elle s'ouvrait de plus en plus à lui, elle lui exposait ses sentiments chose qu'elle n'avait jamais faite avant. Mais sur le plan physique, elle ce montrait de plus en plus extravagante. Bien loin de la femme sérieuse qu'il a rencontré pour la toute première fois dan ce bureau ou sur la plage. Il y était aussi un peu pour quelque chose puisqu'il l'avait poussée à prendre des risques, à agir sans penser à demain ou aux conséquences et aujourd'hui elle agissait comme tel au plus grand plaisir de Nikolaï qui ne pouvait qu'en profiter. La voir ce déshabiller lentement devant lui, c'était excitant et pourtant il restait étonnement sage, en faite il avait surtout hâte de voir la suite, ce qu'elle allait lui offrir comme lui de spectacle. Assise sur ses genoux, Nick profitait de ce contact, il retrouvait sa peau, sa douceur, sa chaleur ... il en était complètement dingue ! Elle l'avait rendu complètement accro au point qu'il ressente ce besoin constant de la toucher, de la sentir contre lui. Mais ce n'est rien à côté de ce qu'elle lui réserve pour la suite. Pour l'instant elle jouait juste avec lui, avec sa patience, elle voulait le rendre dingue pour qu'il la possède toute entière. La latina ce montrait plus entreprenante que jamais et Nick apprécie beaucoup ce petite jeu, il ce laisser entraîner volontiers alors qu'elle lui demande ce qui l'excite le plus. Là ? Tous de suite ! C'est évident que c'est elle ! Elle s'en assure même en venant glisser sa main proche de son entrejambe. Mais c'était bel et bien elle qui le mettait dans cet état, son envie ... elle ce lisait dans son regard. Il la dévorait des yeux et il pourrait même la dévorer tous court. Mais il reste soft ... il désire juste lui arracher ses vêtements et la retrouver pleinement, lui faire l'amour comme jamais, pour lui prouver combien elle lui a manquée. Mais la vrais question est ... que veut elle ? Elle le séduit, elle le charme, elle tente de le faire craquer puis elle enfouis son visage dans le creux de son cou pour aller embrasser sa peau, des baisers qui laisse une trace à chaque fois qu'elle détache ses lèvres de sa peau, puis elle s'attaque ensuite à son tee shirt qu'elle lui retire assez rapidement pour reprendre de plus bel ses caresses ainsi que ses baisers tout contre sa peau. - Muh, je vois ... tu es très demandeuse ! Mais je pense pouvoir te donner tous ça ! Murmure t'il avec un petit sourire sur le coin des lèvres alors qu'il sent sa main glisser le long de son torse pour rejoindre son pantalon qu'elle détache avant d'y glisser sa main. Il ferme légèrement les yeux, appréciant surtout les caresses qu'elle lui offre. Il connait ce regard et les mots ne font qu'augmenter le désir. Il sent déjà son rythme cardiaque s'affoler, son souffle moins régulier. Elle est doucement en train de lui faire perdre le contrôle et il déteste perdre le contrôle. Il la fixe d'un regard bien plus sombre, il cherche le contact avec ses lèvres, il l'embrasse puis recule puis retourne l'embrasser avec envie, il mordille sa lèvres avant de l'embrasser de nouveau pour cette fois lui offrir un vrais baiser avant de l'allonger sur le lit. Une simple diversion pour qu'il puisse reprendre le dessus. Il croise son regard, lui sourie avec cet air mi amusé mi sérieux alors que ses doigts parcours son corps en le faisant que la frôler. Il arrive rapidement tout proche de sa féminité qu'il ne fait toujours que frôler avant de lui offrir des caresses bien plus franche sans pour autant la quitter des yeux. Il glisse sa main à l'intérieur de son sous vêtement, ce retrouvant à même sa peau. Il continue ses caresse de façon beaucoup plus subtile puis le rend bien plus appuyées. En même temps, ses lèvres rejoignent son cou, sa peau qu'il mordille puis il descend doucement pour s'arrêter contre sa poitrine qu'il découvre en la débarrassant de ce bout de tissu en trop. Il continue encore ses caresses bien plus prononcées contre sa féminité. Ses lèvres, il embrasse sa poitrine, mordille avec douceur la pointe de ses seins, tout est bon pour la rendre aussi accro que lui ne l'est déjà.    

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Elle s’ouvre à lui, peu à peu, véritablement. Plus elle se laisse aller à se livrer avec lui, plus elle laisse aussi libre cours à ses envies les plus intenses. Est-ce parce qu’elle parvient à se confier à lui qu’elle peut si aisément lui offrir son corps, ou bien est-ce parce qu’elle s’adonne à ce plaisir charnel avec lui qu’elle peut lui dévoiler son âme ? Elle ne sait pas, Isabella. Et peut-être qu’elle n’a pas envie de le savoir. Trop de questions amèneraient des doutes, des complications, et un retour à la réalité qu’elle refuse obstinément. Elle n’est pas prête, pas prête à renoncer à lui. Seulement plus le temps passe, plus ce sera difficile. Elle s’attache considérablement à lui, tout autant qu’elle devient accro à ces instants qu’ils vivent ensemble, accro à lui tout simplement. Elle aime être avec lui, mais pas seulement. Elle aime aussi ce qu’elle devient avec lui. Grâce à Nikolaï, elle a la sensation d’être elle-même, pleinement. Elle n’a aucune préoccupation autre que celle de suivre ses propres envies. C’est tellement plus facile, c’est libérateur. Sans une once d’hésitation, elle se laisse guider par ce désir si enflammé. Elle se fait tantôt charmeuse, tantôt provocatrice mais, plus que tout, elle fait tout pour le séduire. Tout pour le rendre dingue, aussi dingue qu’elle l’est de lui. A demi-nue sur son amant, elle profite de la chaleur de sa peau contre ses doigts, de la douceur de son cou contre ses lèvres. Elle se délecte de chaque parcelle de lui, elle s’en imprègne, comme si c’était la dernière fois. Cela pourrait toujours être la dernière fois. Elle décide finalement d’aller beaucoup plus loin lorsqu’elle glisse sa main dans le pantalon du jeune homme. Le regard ancré avec intensité dans le sien, il profite des caresses qu’elle lui offre, loin d’y être indifférent. Elle ne répond qu’à ce moment aux dernières paroles qu’il a prononcées. Un sourire en coin sur les lèvres, elle lui murmure à l’oreille. - Tu penses vraiment me donner tout ce que je veux ? Une taquinerie, une provocation de plus. Un appel à la tentation. Elle accélère instinctivement ses mouvements alors  qu’elle le contemple sans retenue, sans perdre une seconde du spectacle qu’il lui offre. La respiration de son amant semble plus lourde, plus rapide. Il est en train de perdre le contrôle. Elle le voit quand elle croise enfin ses prunelles. D’ordinaire d’un bleu étincelant, elles se sont considérablement assombries sous ses caresses. Il l’embrasse, plusieurs fois, sans pour autant l’arrêter dans ses gestes. Il vient même mordre sa lèvre, ce qui a le don de la faire frémir. Elle peut bien le pousser à la tentation, elle se torture autant qu’elle le fait avec lui. Quand il s’empare finement de ses lèvres dans un baiser beaucoup plus langoureux, la jeune femme y répond instantanément avec la même fougue. Comme si elle n’attendait que cela, comme si cela lui avait terriblement manqué. Elle laisse même sa main libre retrouver la nuque de son amant pour mieux savourer leur baiser. Elle se rend tout juste compte qu’il en profite pour la faire basculer sur le lit. Allongée au-dessous de lui, elle a le souffle coupé une fois leurs lèvres séparées. Elle est encore toute renversée par leur baiser qu’elle voit ce sourire malicieux sur les lèvres de Nikolaï. Elle n’a pas le temps de dire un mot qu’il laisse ses  mains retrouver son corps. Elle frissonne sous ses doigts avant de sentir rapidement sa main se glisser à l’intérieur de sa petite culotte. Son bassin se cambre, instantanément, alors qu’il touche la partie la plus sensible de son anatomie. Mais ce qui la rend le plus dingue, c’est le regard de Nikolaï qui ne la lâche pas. Il l’hypnotise, elle aussi, de sorte qu’elle garde les yeux fermement ancrés dans les siens. De ses doigts, il s’évertue à la rendre folle. Elle soupire lentement de plaisir en tentant de maintenir son regard. Mais quand il descend le long de son corps pour le parsemer de baisers, c’est tout son être qui s’enflamme. Elle se mordille la lèvre alors qu’il embrasse son cou. Elle s’agrippe aux draps sous son corps quand il jette son dévolu sur sa poitrine. En même temps, il poursuit ses caresses au creux de ses cuisses.  Débarrassée de son soutien-gorge sans même s’en rendre compte, la belle a beaucoup de mal à contenir le plaisir qui la submerge au gré de ses mouvements. Son bassin ondule de façon incontrôlable contre la main de Nikolaï alors que l’une de ses mains vient se glisser dans ses cheveux. Elle le garde près d’elle, contre elle, alors qu’il la torture de sa bouche, ses lèvres, ses dents même contre ses seins. Il la rend dingue, Nikolaï. Il est parvenu à inverser la tendance entre eux, en l’espace d’une fraction de seconde. Elle ne sait même pas comment il peut la rendre autant à sa merci. Elle est, comme, une poupée entre ses mains.
   

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Ca le touche beaucoup qu'elle s'ouvre à lui de cette façon, ça prouve combien elle tiens à lui, combien elle lui fait confiance, combien elle ressent le besoin de lui confier ce genre de chose. Ça le touche beaucoup vraiment même ! Il aime aussi qu'elle ce laisse aller avec lui, c'est ce qu'il voulait avant tous, qu'elle ce sente bien et qu'elle ne ressente pas le besoin de jouer un rôle ou même de porter un masque pour être bien, non tous ce qu'il voulait c'est qu'elle soit simplement elle même. Il pense pouvoir lui donner ce qu'elle veux et il le lui prouve. Si jusqu'ici c'est elle qui avait tous le contrôle il inverse rapidement la tendance en retrouvant le dessus et à son tour la torturer sous ses baisers ainsi que ses caresses brûlantes. Il le fait avec envie, douceur même si une partie de lui a envie de bien plus, il ce laissait consumer peu à peu alors qu'il la torturait à son tour en glissant sa main tout proche de sa féminité alors que ses lèvres glissaient le long de son corps. Elle voulait être marquée par ce moment, s'en souvenir encore et encore, alors il comptait bien lui donner ce qu'elle voulait. Il sentait qu'elle avait de plus en plus de mal à contenir son envie, ses doigts s'agrippait au drap en dessus d'elle alors qu'il sentait son basin ce cambrer contre sa main. Elle avait envie de plus, mais il ne voulait pas lui donner maintenant, ce serait bien trop simple ! Il joue avec sa patience, il aime jouer avec elle, il veut la rendre dingue tout simplement ! Il s'attarde sur sa poitrine quelques instants avant de descendre encore, le long de son ventre qu'il embrasse toujours tendrement, puis il arrive au niveau de son bas ventre et tire légèrement sur le haut de sa petite culotte. Il ce redresse doucement pour pouvoir croiser le regard de sa belle et faire glisser le long de ses jambes le dernier bout de tissu. Puis il ce penche de nouveau vers elle pour venir déposer des baisers contre son ventre et descendre un peu plus au creux de ses cuisses. Il voulait la rendre folle. Folle de lui tout simplement.    

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C’est fou comme il a un pouvoir terrible sur elle, Nikolaï. Il a le pouvoir de lui faire perdre totalement le contrôle, non seulement de la situation, mais aussi d’elle-même. Entre ses mains, elle devient une poupée avec laquelle il pourrait jouer autant qu’il le veut. Ce qu’il fait, sans l’ombre d’une appréhension. Il la torture de ses doigts experts, il la fait languir encore et encore. Il connaît son corps par cœur, il semble presque l’avoir façonné lui-même pour qu’il soit aussi sensible face à lui, comme s’il avait trouvé son maître. Elle pourrait en devenir dingue, elle qui a toujours tant besoin de tout maîtriser, si seulement elle n’aimait pas autant ce qu’il lui offre. Elle sent le désir en elle se décupler alors que la douceur de ses premières caresses se transforme en passion. Une passion dévorante qui a raison d’elle peu à peu. Les baisers de Nikolaï le long de son corps l’électrisent alors que la chaleur au creux de ses cuisses devient de plus en plus vive sous ses gestes. Elle sent le désir en elle qui s’intensifie au fil des secondes, elle sent qu’elle perd doucement le contrôle, bien qu’elle tente encore de contenir ses réactions. Mais son corps crie ce qu’elle tait de sa bouche. Elle se cambre de plus en plus, elle sent qu’elle peut craquer d’un instant à l’autre, mais il la prive du plaisir ultime en interrompant ses caresses soudainement. Elle soupire de frustration, presque malgré elle, avant de le sentir attraper le dernier bout de tissu qu’elle porte encore. L’excitation en elle remonte aussitôt, croyant qu’il va enfin lui donner ce qu’elle veut. Mais non. Il veut la faire attendre, il veut la faire languir. Il joue avec sa patience, une patience connue pour être à toute épreuve. Mais pas au lit, pas avec Lui. Son regard sombre plongé dans le sien, elle le dévore des yeux. Ses prunelles le fixent d’un air assombri, comme si elle le détestait et qu’elle l’adorait à la fois. Il fait glisser sa petite culotte le long de ses jambes lentement, trop lentement avant de se pencher vers son corps frémissant de désir. Elle cambre déjà son bassin, consciemment cette fois, pour lui faire comprendre qu’elle ne peut plus attendre. Mais ce sont ses lèvres, cette fois, qui prennent plaisir à la torturer. Elle sent tout juste sa bouche au creux de ses cuisses qu’un gémissement s’échappe déjà de ses lèvres. Instinctivement, elle écarte un peu plus les cuisses pour mieux savourer ses baisers. Déjà affaiblie par ses caresses, elle est incapable désormais de s’empêcher de gémir à chacun de ses assauts. Elle veut plus, pourtant, elle veut le sentir en elle. Elle ne sait pas combien de temps son corps va résister. Mais, si ses gémissements sont assez significatifs, elle ne veut pas l’admettre à voix haute, elle ne veut pas lui demander de venir. Elle se sent déjà beaucoup trop sous son emprise. Peut-être, finalement, qu’elle a encore une part d’elle qui s’empêche de céder totalement à son envie. Mais pour combien de temps, elle ne sait pas. Car elle est de plus en plus accro à lui. De plus en plus dépendante de celui qui devient une véritable drogue.

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Il sent combien elle est sensible à chacune de ses caresses, il sent combien son corps est réceptif à chaque fois qu'il la touche, qu'il l'embrasse, une réaction qu'elle ne tente même plus de contrôler tellement ça semble naturel. Elle semble même apprécier. Tout de suite, il s'amuse surtout avec la patience de la brune. Il veut la faire céder ou plutot il répond à sa requête. Elle veut qu'il la marque, qu'elle garde ce souvenir de lui en train de la posséder toute entière alors c'est ce qu'il fait ! Il profite de chaque contact pour la rendre un peu plus folle, chaque baisers pour lui faire perdre pied un peu plus. Pire encore, il prend son temps pour la faire craquer, il finit par ce redresser légèrement pour croiser son regard, lui offrir un petit sourire avant de lui retirer le dernier bout de tissu qui couvre encore son corps. Tous s’enchaîne rapidement désormais, il a un contrôle total sur elle, il en fait ce qu'il veut et c'est encore plus le cas lorsque ses lèvres glisse entre ses cuisses pour la rendre plus dingue encore. Elle gémit, elle ne semble même plus contrôler quoi que ce soit, son corps, ses cris, son souffle, non elle ne contrôle plus quoi que ce soit au plus grand plaisir de Nikolaï. Elle désire plus, il le sait et elle lui fait comprendre mais elle est bien trop fière pour le lui demander de vive voix. De toute façon il en a envie autant qu'elle et il ne compte pas la faire attendre plus longtemps. Elle est sur le point de céder pourtant il ce redresse doucement pour finir de faire glisser son jean et venir retrouver ses lèvres surtout, sa peau, ça le rend complètement dingue, elle le rend dingue ! Elle pense qu'il maîtrise la situation mais ce n'est qu'une image parce qu’au fond il ne contrôle plus rien ! Leur deux corps ce rapprochent de nouveau, sa peau contre la sienne, leurs lèvres qui ce rencontrent de nouveau, leurs langues qui partagent cette danse alors qu'il ce débarrasse du dernier vêtement qu'il porte pour enfin ce rapprocher d'elle.       

♛ Can’t keep my hands to myself. 

Can’t keep my hands to myself No matter how hard I’m trying to I want you all to myself You’re metaphorical gin and juice So come on, give me a taste Of what it’s like to be next to you Won’t let one drop go to waste You’re metaphorical gin and juice Cause all of the doubts and the outbursts Keep making love to each other And I’m trying, trying, trying, trying All of the doubts and the outbursts Keep making love to each other And I’m trying, trying, trying, trying But I… Can’t keep my hands to myself My hands to myself...

Elle a le corps en feu, Isabella. Sa peau s’embrase entièrement sous ses caresses brûlantes, sous ses baisers enflammés. Elle a la sensation qu’il laisse des traces de ce désir sur son corps, sur elle. Comme s’il la marquait au fer rouge. Même si, au lieu de la douleur, c’est du plaisir qu’elle éprouve. Un plaisir d’autant plus intense, d’autant plus violent que tout ce qu’elle pouvait attendre de leurs retrouvailles. C’est elle qui a exigé qu’il la rende aussi folle, c’est elle qui a voulu faire de cet après-midi un moment inoubliable, un moment dont elle pourrait se souvenir chaque fois qu’elle en aurait envie. Il lui offre ce qu’elle désirait sur un plateau, mais c’est encore trop peu. Plus son plaisir s’agrandit, plus elle a envie de plus. Elle a besoin de plus. Elle a besoin que leurs corps ne fassent plus qu’un, elle a besoin de lui. Là, tout de suite, en elle. Mais il la fait languir encore. Il prend son temps pour la torturer de ses baisers alors qu’elle perd pied peu à peu. Il fait d’elle tout ce qu’elle veut. Elle ne contrôle plus son bassin qui se cambre au rythme que lui impose son amant, elle ne contrôle plus les gémissements éloquents qui s’échappent de ses lèvres. Elle est, comme, plongée dans cette bulle où l’embarras et la gêne n’ont plus aucune place. Il n’y en a que pour le plaisir, un plaisir qui monte, qui monte de plus en plus. Mais il s’arrête, une nouvelle fois, alors qu’elle se trouve aux portes de l’orgasme. - Tu veux... Me tuer... proteste-t-elle, entre deux respirations saccadées alors qu’elle se redresse difficilement, le corps encore embrasé. Mais il se débarrasse de son jean et approche déjà d’elle pour capturer ses lèvres dans un baiser langoureux. Tout de suite, elle répond à son baiser avec violence. Il n’y a ni douceur ni tendresse, seulement cette fougue et cette envie dévorante de lui. Son corps s’étend contre le sien, sa peau se plaque contre la sienne. C’est tellement bon, et tellement peu à la fois. Elle veut le posséder autant qu’il la possède. Elle veut se noyer en lui, elle veut qu’il se noie en elle. Elle veut qu’ils ne soient plus qu’un, plongés ensemble dans cet océan de sensations. Ses jambes s’enroulent autour de la taille de son amant alors que ses mains glissent de son dos jusqu’à ses fesses. Elles pressent son bassin contre le sien pour, enfin, pouvoir le sentir en elle. Très vite, ses gémissements reprennent de plus belle. Elle se perd sous ses vas et viens, elle se cambre à nouveau sous son corps. Elle tente encore de l’embrasser mais, sous un nouvel assaut de Nikolaï, elle finit par lui mordre un peu trop violemment la lèvre inférieure. Elle s’excuserait, sans doute, si elle n’était pas tant prise par cet instant de parfaite osmose avec lui. Mais il n’y a plus rien qui compte dans ces moments, plus rien du tout. Elle voudrait que cela ne s’arrête jamais, mais elle sent le plaisir approcher de plus en plus de son apogée. Entre deux gémissements d’extase, elle soupire tant bien que mal quelques mots pour le prévenir. - Je vais... Plus tenir longtemps... Nikolaï...

Can't keep my hands to myself
you & me

Leur deux corps étaient en parfaite osmose, c'était comme si ils étaient fait l'un pour l'autre, il la désir de plus en plus, il joue avec elle, il teste sans cesse sa patience, il lui donne ce plaisir après tous c'est qu'elle qui l'à demandé non ? C'est ce qu'elle veut, c'est ce qu'elle désire et Nick lui offre sans ce faire prier. Cette semaine passé loin d'elle y est aussi pour quelque chose oui ! Elle lui a manqué, leur échange lui a manqué, elle toute entière en fin de compte et maintenant il ne fait que ce rattraper. La tuer ? Non ce n'était pas dans ses plans mais la rendre folle oui ! Folle de lui, d'ailleurs il ne la fait pas attendre plus longtemps avant de venir plaquer son corps contre le sien et capturer ses lèvres dans un baiser langoureux, sauvage. Il n'y avait plus de place pour la tendresse, c'était violent, fougueux, comme si leurs deux corps réclamaient de s'unir enfin ! Il sentait le bassin de la jeune femme ce cambrer contre le sien et enfin ils ce retrouvent, il glisse en elle et enfin ils commencent à partager cette danse horizontale. C'est intense, elle ne contrôle plus rien, lui non plus ... il n'a plus la sensation d'être lui même, il est juste dans cette bulle avec elle, elle seule et plus rien ne compte. Ils s'embrassent comme jamais, leurs baisers ce perdent entre deux gémissement, elle finit même par le mordre, elle lui mord la lèvre assez fort, suffisamment pour qu'ils sentent ce léger gout salé mais la douleur, il ne la ressent même pas. Il accélère ses vas et vient alors qu'elle l'accompagne toujours, il croise de temps à autre son regard, noir de désir, tout comme le sien. Elle murmure quelques mots, elle ne va plus tenir longtemps ... c'est tous ce qu'il voulait savoir mais ce n'est pas pour autant qu'il s'arrête, il continue encore, il rend ses mouvement bien plus intense, une dernière fois pour atteindre le plaisir ultime. Dans un dernier effort, un dernier cri d’extase, cette vague de chaleur si familière et cette sensation de plénitude. Il n'y a plus de pression, son corps fatigué ce repose toujours contre le sien alors que son souffle garde toujours ce même effréné, son cœur bat encore rapidement, fort ... si fort qu'il a l'impréssion qu'il va sortir de sa poitrine. Il laisse son visage tomber dans le creux de son cou pour venir y déposer deux rapide baisers avant de s'allonger à côté d'elle pour essayer de retrouver le calme. Il n'y a pas de mots pour décrire ce qu'ils viennent de partager, Nick ne trouve rien à dire, il a juste un beau sourire sur les lèvres. - Tu m'as manquée ! Dit il dans un petit sourire.