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 drinkin' sadness - haskel

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Message Sujet: Re: drinkin' sadness - haskel   drinkin' sadness - haskel - Page 2 Empty Mar 1 Déc - 18:33


there is an empty glass in front of me, an empty life inside of me, can i see what i'm doing wrong, please ? -- @haskel larsen

Si la vie était un livre… si la vie n’était qu’un roman, ne pourrait-on pas le fermer, pour passer à autre chose ? ou le réécrire ? ou le continuer, en sachant qu’à la fin, la mort attendait ? ou peut-être que le mieux serait de s’arrêter à une belle page, et de la relire en boucle… la relire, jusqu’à ce que l’on ne puisse plus jamais l’oublier, la déchirer, pour la garder avec soi… oui… en soit, si la vie était un livre… peut-être serait-elle plus belle ? ne voudriez vous pas, au moins, regarder à la fin ? vous spoiler, pour savoir… si l’écriture vous convient, si vous parvenez à vaincre vos démons, ou à trouver votre graal ? d’autant plus que… l’on ne sait jamais… la fin pourrait vous plaire… mais je comprends… je comprends, parce que… peut-être que j’aurais alors décidé de marquer la page qui me convient, la plus belle, pour la garder… pour la relire… encore… et encore… parce que tu ne voulais pas d’une page, d’un chapitre, d’une écriture qui te détruisait, qui te mettait plus bas que terre, qui te séparait de ta belle. tu ne voulais pas vivre un récit dans lequel ta belle arya ne serait plus à tes côtés… et peut-être… peut-être qu’au fond de ces pages, pouvaient se trouver le baiser de l’amour… cet amour qui la dévorait de l’intérieur, cet amour qui la prenait, qui la possédait totalement. Cet amour qu’elle désirait, plus que tout… lueur d’espoir qui résidait en ses yeux. Tout le temps.
Et alors qu’elle parlait, qu’elle continuait, visage inconnu envers qui il se tournait, elle put comprendre que les pensées de cet homme pouvaient être plus délicates et profondes qu’elle ne l’avait imaginé, puisqu’elle comprit qu’il ne l’écoutait plus, qu’il s’était perdue dans ses songes, l’espace d’un instant. ce n’est pas grave… le rassura-t-elle, avant de glisser ses lèvres contre le verre, pour boire une gorgée… l’alcool glissant dans son gosier, bien moins intéressant que cette discussion. je ne pense pas avoir forcément raison, ou tort… malheureusement, je ne sais pas grand-chose de la vie… parce que tu avais été enfermée dans une geôle toute ta vie, une geôle nommée famille, une geôle nommée mariage… parce que tu avais été enchainée, et que ce que tu avais pu voir du monde était si étroit… tu n’avais rien vu… rien vécu. et alors qu’elle se laissait prendre aux regrets, il vint la surprendre avec cette question plus sombre que tout… mais… malheureusement, elle le comprenait. Elle l’avait vécu. Elle l’avait envisagé. je n’avais pas de personne à aimer, lorsque… j’ai tenté… j’ai essayé… pourtant, son alliance était vieille de vingt ans, mais jamais le mot amour ne pourrait effleurer son esprit en parlant de son mari. Le mot monstre était le seul. inhumain. Horrible. Cauchemar. j’ai failli… mais c’est en un regard, celui d’une inconnue, que j’ai trouvé la force de continuer… ai-je fait le bon choix ? je pense. Parce que la souffrance et la peur demeurent, mais que le sourire de celle qui me fait vivre vaut tous les supplices du monde… même si elle est libre, libre d’aimer qui elle veut… même si elle n’est pas… ce n’est pas un souci. Je veux juste être près d’elle, aussi longtemps qu’elle le voudra. Mais si je devais recommencer… si je devais tout arrêter. Alors je lui écrirais cette lettre dont vous parlez. Pour lui dire tout ce qui est caché dans mon cœur. puis, baissant le regard, elle osa ajouter est-ce que la personne que vous aimez… serait d’accord avec votre fin ? ne la blesseriez-vous pas d’avantage ? je pense… je crois… que si vous avez encore une chance d’être à ses côtés, ou de la savoir heureuse… alors vous ne devez pas arrêter. ce n’était que son avis. Il en faisait ce qu’il voulait.


(c) calaveras.
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Message Sujet: Re: drinkin' sadness - haskel   drinkin' sadness - haskel - Page 2 Empty Jeu 3 Déc - 13:50

Regarder à la fin. Tu t'es souvent dit, Haskel, que la vie méritait quand même qu'on reste jusqu'au bout, comme un film dont on ne voit pas l'intérêt, mais que, peut-être, une surprise se cache à la fin. Parfois après les crédits, ce retournement de situation auquel personne ne s'attend. La réapparition d'un protagoniste qu'on croyait mort depuis toujours ; l'annonce d'un ennemi formidable tapi dans l'ombre ; ou bien les prémices d'un nouvel avenir. On en sait rien de ce qui se passera, soit à moins d'avoir triché en regardant déjà, sans même explorer l'entre-deux, soit en vivant l'expérience du début à la fin.

Toi t'as envie de te spoiler. De voir si, à un moment donné, tu redeviens heureux. Tu retrouves celle que tu aimes. Et en même temps Haskel, ça te terrifie, le spoiler. Parce que tu redoutes de voir ta bien-aimée être accrochée au bras d'un autre. Tu redoutes que ses rires dont tu aimes tant la mélodie soient destinés à quelqu'un d'autre que toi. Et tu as peur, aussi, que ce spoiler ne soit rien d'autre que la mise en scène de ta propre mort. Tu serais capable de ça ? Prends la lame et la tirer dans ta peau ? Tu serais capable de ça ? Prendre le stylo et écrire tes derniers mots ?

- J'ai l'impression d'avoir déjà raté cette page.

Ton cœur s'étreint, pris dans l'étau amer du regret. Tu bois encore un peu. Un peu plus. Pour noyer la mélancolie, l'empêcher de hurler. Tu bois. Tu bois. Encore, tu bois.

Et puis tu la regardes. Elle. Celle qui t'accompagne ce soir, anonyme et attentive. Meilleure qu'une psychologue, t'en es sûr. Alors que t'es jamais allé en voir, tu voulais pas donner le peu d'argent que t'avais pour raconter ta vie à quelqu'un, ça n'en valait pas la peine, tu te disais. Et c'est pour ça que tu la regardes, cette inconnue dont tu ignores jusqu'au prénom. Tu la regardes pour au moins garder le souvenir de son visage. Du mouvement de ses lèvres qui te racontent des histoires.

Elle te dit qu'elle a essayé, et l'étau se referme davantage. Puis, elle t'explique que quelque chose l'a empêchée d'aboutir. Quelqu'un. Tu peux pas t'empêcher, Haskel, d'identifier Helen dans cette femme qu'elle désigne à la troisième personne. Tu peux pas t'empêcher de penser à l'amour de ta vie partout.

- J... Je sais pas…

Les remous de ta voix t'empêchent de parler correctement. L'eau qui monte, le sel au bord des yeux.

- J'ai déjà… J'ai fait une connerie.

La tempête monte, monte.

- Elle est loin maintenant. Loin d'moi. Trop loin… Peut-être avec un autre… Peut-être… partie d'ici. Je sais pas. J'ai peur. Putain j'ai peur.

La peur, et tu pleures. Tes cils humides, tes lèvres qui se tordent, le diaphragme qui bondit. Tu t'essuies le nez d'un revers de la main, l'air de rattraper les dégâts, comme s'il y avait encore une chance que personne n'ait vu ton visage fondre d'un coup. T'as l'impression de parler de quelqu'un qui est mort, Haskel. De quelqu'un que tu ne reverras plus jamais, parce que t'en as perdu le droit. Et pourtant tu te donnes l'illusion du contraire, ce maigre espoir, immense et vain, cette alliance que tu portes toujours, brille en solitaire autour de ton doigt.
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Message Sujet: Re: drinkin' sadness - haskel   drinkin' sadness - haskel - Page 2 Empty Jeu 24 Déc - 18:56


there is an empty glass in front of me, an empty life inside of me, can i see what i'm doing wrong, please ? -- @haskel larsen

La vie en livre, le livre de la vie… si seulement c’était si simple… si seulement chacun pouvait, à sa guise, tourner les pages, revenir en arrière, relire un passage, s’arrêter au bon endroit. mais cela vaudrait-il le coup ? de s’arrêter en sachant que l’histoire ne s’arrête pas là ? de vivre dans un mensonge permanent ? des questions qui s’opposèrent à ses idées, ses principes. Elle qui croyait que relire une page éternellement pouvait la sauver, la voilà qui se demandait s’il ne valait pas mieux affronter le reste de l’histoire. pourtant, lire, tu aimais tellement… éditrice, c’était à la base pour t’échapper… mais lorsque le livre devenait ton passé, ton présent, ton futur, tu le redoutais. parce qu’elle ne pouvait alors plus s’échapper, si entre ses mains se trouvait son histoire. elle ne pourrait alors plus s’échapper, ne pourrait plus qu’espérer. n’était-ce pas ce que chacun faisait ? espérer que tout aille pour le mieux ? si c’était un roman, vous pourriez revenir en arrière… souffla-t-elle, en se sentant tout d’un coup de mauvais augure. peut-être le pouvez-vous réellement ? je ne parle pas de revenir dans le temps, je vous parle de relire la page qui vous a fait défaut, pour la réécrire plus tard. Je crois que le roman de notre vie ne peut être écrit à l’avance, tout comme je crois qu’il pourrait nous dévoiler le futur. Mais si vous pouviez réécrire votre page à la fin de ce chapitre, ne pourriez-vous pas espérer revoir le bonheur ? ce n’était pas philosophe, c’était un rêve qui ne cessait de la tourmenter. Celui de pouvoir tout réparer, à l’aide d’une plume reliée au fil de la vie. si seulement c’était possible…
pourtant, l’incertain aussi était merveilleux. Tu parlais de refaire le monde, ta vie, à ta guise, mais n’était-ce pas d’une plus grande beauté, que de laisser les histoires s’entremêler toutes seules ? elle le savait déjà, la réponse était là. elle ne pouvait réécrire son histoire, tout comme il ne le pouvait pas, tout simplement parce que sinon, le mensonge prendrait place dans la vie… et qu’une vie voilée par les mensonges ne valait pas la peine d’être vécue. si tu avais réécris l’histoire de ta vie dès le moment où celle-ci s’était détournée de toi, jamais tu n’aurais pu rencontrer arya, ne la connaissant alors pas. non… la vie, roman ou non, ne pouvait pas être modifiée. Il ne le fallait pas. pourtant, elle se sentit si mal, lorsqu’il lui avoua avoir déjà fait fuir la seule qui aurait pu le sauver, d’un arrêt total, de l’abandon de son essence vitale. hey… non, ne pleurez pas… glissa-t-elle, alors qu’elle voyait les larmes, qu’elle le voyait craquer. Un simple geste, une main tendue, venant le réconforter, venant adoucir son cœur, et elle lui souffla aucune erreur n’est si grave, vous savez… moi-même, j’ai menti à la belle qui règne dans mon cœur, mais le monde a une curieuse façon de réagir, lorsque l’amour s’en mêle… je ne sais pas si je pourrais un jour retrouver la même relation que j’ai pu avoir avec elle, mais je répare cette erreur, et reste auprès d’elle, si elle veut de moi. je ne peux pas vous assurer que votre belle à vous n’est pas déjà passée à autre chose, mais ce dont je suis sûre, c’est qu’elle ne vous a pas oublié. Croyez moi. tu ne connaissais rien à la vie, rien à l’amour… pourtant, tu parlais avec ton cœur, tu parlais en y croyant, parce que tu avais vu les miracles se produire, avec celle qui hantait chacune de tes pensées. et qu’elle ne pouvait pas le laisser s’enfoncer, se détruire à petits feux, si elle pouvait l’empêcher.


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Message Sujet: Re: drinkin' sadness - haskel   drinkin' sadness - haskel - Page 2 Empty Mer 30 Déc - 16:46

Tu te mets à faire attention à la musique qui passe autour de vous parce que le sel qui s'accumule au bord de tes yeux te fait bien trop mal. La musique. Vite, la musique. Tu fais attention à elle, les oreilles grandes ouvertes, le cœur qui bat, affolé, pressé, prêt à sortir d'entre tes côtes pour écouter la musique. Tu fais attention. C'est quoi, un air de jazz ? Sinatra ? C'est Sinatra c'est ça ? C'est quoi Haskel ? C'est quoi ? Tu t'écroules. De la pierre qui fond, érodée par le sel. Ton sel Haskel. Tu peux pas l'empêcher de sortir, le sel détruit tout, tes veines, ta peau, ton sang, et déborde au-delà des paupières. C'est pas possible d'être un ruisseau tranquille trop longtemps tout en gardant le sel. Le sel il déborde. Le long de ton derme, tes joues creuses. Au bout de ton museau. Sur le vernis de la table. Jusque dans ta boisson. Sel et bourbon. Ta façon de remplir encore ton verre, te laisser du temps. Des comme ça, tu pourrais en remplir par milliers. Tu pleures. Une rivière qui sort de toi, indomptable et furieuse, qui fait trembler tes os. Tu te replies sur toi-même, vulnérable et nu dans ta faiblesse. Tes vêtements qui donnent l'impression qu'ils sont trop grands. Tu penses à elle. Tu penses à ce regard qu'elle a eu quand elle a su. Tu penses à son silence meurtri. Tu penses à ces meubles qui étaient les vôtres, et qui ne sont plus à personne aujourd'hui. Tu penses à ces marches d'appartement que tu as descendues pour la dernière fois. Tu penses à ce chemin qui menait à chez vous. Tu penses à sa voix au téléphone. Tu penses à elle au passé Haskel, et c'est ça, le sel le plus destructeur. Un océan qui a englouti ce que tu aimais.

- Fill my heart with song… and let me sing forevermor. Fill my heart with song… and… a-and… let me si ---

Dans l'eau, ton corps se met à brûler. Les épaules qui s'affaissent de plus en plus au-dessus de la table. Sur ton verre que tu tiens entre les doigts. Tu pleures. Le sel se dilue à l'ambre, une drôle de valse qui a lieu dans le liquide doré. Ta respiration hachée de soubresauts inarrêtables, l'eau qui coule, creuse ces sentiers salés sur ta peau, jusque ton cou. Tu entends les paroles de ta voisine, mais ton courant infernal emporte la chaleur ailleurs. Reniflements, du gras qui tombe au bord de ton nez, que tu t'échines à essuyer du revers de la main. Mais l'eau coule, l'eau coule. Une chute éternelle, un fleuve ardent.

Lentement, comme un film muet, tu t'effondres. Sans un bruit. Sous la musique de Sinatra, tu t'effondres. Peut-être sur ta voisine. Peut-être dans le parfum de ses bras. Dans ses mots dont tu ne comprends plus le sens, mais qui sont pour toi comme des caresses réconfortantes. Tu t'effondres, cherche à cacher le sel quelque part ailleurs, là où ça ne pourra plus te brûler.
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Message Sujet: Re: drinkin' sadness - haskel   drinkin' sadness - haskel - Page 2 Empty Jeu 7 Jan - 4:34


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Le monde qui semblait s’arrêter, l’espace d’un instant… un instant qui semblait durer une éternité, d’un seul coup, comme si tout s’effaçait, comme si tout se figeait… comme si plus rien n’existait, qu’il ne restait plus que ses larmes, celles qui lui coulaient au visage, celles qui creusaient ses joues, qui saccageaient le cœur de la quadragénaire qui devait regarder, ne jamais détourner le regard, pas là. pas là. pas alors que cet inconnu du soir s’effondrait devant elle… pas là, alors qu’elle devenait l’unique témoin, la seule capable de l’aider, cet homme qui ne pouvait plus se relever, les larmes de sel tombant lourdement sur la table, sur cette parenthèse qu’ils occupaient à deux. tu avais déjà connu cela, cette peine, si lourde, grandissante, affligeante. Cette peine qui le rongeait. Tu avais déjà connu ça, lorsque tu avais cru perdre la belle de ta vie, et tu savais pourquoi il ne savait plus reprendre contenance, pourquoi il se perdait, pourquoi il avait mal. s’il vous plait… écoutez moi… était-ce de la douceur, de la bonté ? était-ce cette empathie qui prenait son cœur en otage pour l’empêcher de succomber, ou de fuir cette scène déchirante ? elle ne savait pas, se contentait de laisser sa main sur la sienne, se contentait de laisser sa voix glisser contre lui, sans jamais obstruer la douce musique qui se propageait dans l’air, le souvenir qu’il était musicien. L’impression qu’elle pouvait le guérir. L’espoir que son âme ne s’en aille pas, que les pages du roman ne se tournent pas trop vite en cette soirée… je vous comprends, vous savez… je… je sais ce que c’est… je sais ce que c’est d’avoir l’impression de perdre l’être aimé. le souvenir bien douloureux d’une époque pas si lointaine, quand elle se retrouvait au fond des abysses, quand elle se laissait submerger par l’alcool, quand elle se laissait crever à petits feux, trop mal pour oser survivre sans elle, trop lâche pour oser mourir une fois le cœur percuté par ce tramway nommé amour… tu avais vécu un enfer, pour en tomber dans un autre. Il en vivait un aussi, cet homme qui partageait son temps avec toi, pour s’écrouler finalement, tes bras le soutenant, comme un devoir massacrant ton palpitant en le voyant ainsi. mais… le roman n’est pas fini… elle ne savait plus quoi dire, ne savait plus qu’être présente pour un inconnu dont elle ignorait presque tout, sauf cette mélancolie qui sonnait dans son cœur. qui résonnait toujours plus fortement dans son esprit. elle ne pouvait pas l’ignorer, elle ne pouvait pas ne pas lui venir en aide.
Elle ne pouvait pas…


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