Aout 2020, Buñol (Spain) , La Tomatina Festival. Chaleur étouffante, les ruelles te dévorant à chaque pas que tu fais dans cette masse de personne tout aussi excité que toi. Le corps réjouis d’un petit déjeuner copieux à l’espagnole. Les effluves de tomate chatouillant déjà tes narines, mains dans la main avec cette inconnue, tu te laisses guider dans ce panache d’individus. Un festival de plus, ce rouge tomate qui allait finir par recouvrir les bâches recouvrant les bâtiments de la place central, cette excitation que tu partages avec des inconnus. Les minutes se laissent sous les chants de cette foule à multiple culture. éphémères moment d’accalmie quand le jambon tombe dans les bras du premier ayant gravit la montagne de savon, les sourires, les envies de s’enlacer à la pulpe de tomate. Se laisser aller. Ton maitre mot depuis que mikado était entrée dans ta vie. Les lances à eaux arrosant la foule, tu fermes tes paupières laissant un instant divin de pénombre à tes opales. Le dernier instant de calme, avant la bataille géante, le cœur qui bat la chamade, cette nouveauté à ton arc, ne t’apportera rien dans la tombe, mais tes souvenirs, ces moments divins seront épanouissants, tout bonnement. Le sérieux c’était perdu dans tes enivrantes idées, te laissant bercer par chacune d’elle, ne laissant jamais aucun songe hors de toi, hors de cette liste qui se tisse sur ton épiderme. La première fusée de la journée, le lancement camion dans les rues, le carnage pouvait commencer. Tes lunettes de plongé fixé sur ton visage, tout comme ce sourire dévorant avec envie ton visage. Une tomate en pleine face et tu te jettes corps et âme dans la situation, dans ce festival qui t’avait donné tant envie. Comme celui des couleurs d’inde, ton prochain défi, avant ton dernier souffle. Les mains dans la pulpe, les tomates qui s’écrasent sous vos carcasses, récupérant le reste pour se le jeter, la tenue blanche devenant rouge tomate avec les secondes qui s’égrène, mélange d’eau et de tomate glissant sur ton être, mure à point. Ta seule compagnie perdue dans la foule, que tu retrouveras à l’auberge de jeunesse, ayant voulu tout faire à fond. Tu glisses dans la pente, comme la plupart, glissant de tout ton être, sans le vouloir, en le faisant exprès, les rires qui se perdent dans le monde céleste. Tomate en main, tu les jettes sur les premiers venus, peu importe l’âge, la culture, tout le monde était à présent à la même échelle, couvert de pulpe de tomate. De l’amusement. De la pulpe encore plein les doigts, tu esquives le lancer des uns et des autres, continuant d’en lancer, de laisser ce jus de tomate devenir le nouveau tatouage de ton épiderme. Les opales ne sachant plus où prendre position, tu finis par te lancer à ton tour dans la cuve du camion, pleine de tomate, une main qui te récupéré, t’aurais jamais envisagé que ce soit si profond. Et tu laisse la musique emporter ton corps, ta carcasse se déhanchant sur un rythme que tu n’avais jamais conquis, la musique latine était déclencheur des meilleures déhanchés. Déhanché plus les pieds qui glissent, tu atterrissais un peu plus bas, dans les bras d’un beau brun, à peine le temps de te relever que tu te prenais des tomates en pleine face. Mal écrasé, la vengeance était donc le maitre mot contre ce blond à la tignasse épaisse. « vengeance ! » une , puis deux et tu continuais. Alors que les tomates se transformé en une rivière petit à petit dévalant les rues, manquait plus que la seconde fusée pour clore cette folie.
Sujet: Re: spain / (pulpe à gogo ) ft lawson. Mar 28 Juil - 16:04
Il n’en avait jamais entendu parlé. Lawson a beau avoir passé des mois sur les routes à la découverte de nouveaux horizons, à prendre souvent l’avion pour découvrir des pays qu’il ne connaissait pas et ainsi découvrir de nouvelles cultures, il a pourtant ignoré des choses en Espagne, pourtant ce n’est pas un pays inconnu au bataillon. L’Espagne pour lui c’est une source sûre, il aime beaucoup ce pays et ses habitants donc c’est pour ça qu’il était venu le temps d’une semaine, après une semaine passée dans le sud de la France, avant de rentrer au bercail. Ce qui n’était pas prévu par contre, c’était de se retrouver dans un festival de la tomate alors qu’il était dans une ville voisine de Bunol. Forcément, les différentes affiches et la hâte qu’avaient certains locaux et autres touristes venus pour ça l’a intrigué et quand il a su ce que c’était, il était obligé de s’y rendre pour participer. Le jour j alors que les festivités étaient lancées, alors qu’ils étaient tous en train de s’envoyer des tomates les uns que les autres ; on aurait dit un vrai gosse. Ses vêtements sont complètement foutus, ses cheveux colle à cause du jus de tomate mais ça lui passe totalement au-dessus de la tête. Il profite du moment. C’est bien loin de chez lui, il ne pensait pas un jour vivre un moment comme celui-là où tout le monde sembler jouer le jeu avec un sourire malgré que certaines tomates sont loin d’être ragoutantes mais dans la folie du moment on y pense même pas. On veut juste s’amuser, à se lancer toutes ses tomates pourries, faisant peu attention au reste. Si ça fait moins mal que les batailles de boules de neige certaines font quand même certains maux mais est-ce si dramatique ? C’est l’amusement qui compte, ce sont les souvenirs qu’ils sont tous en train de se faire et toutes les anecdotes que chacun pourra raconter en rentrant de vacances à leurs proches. Lawson assiste avec un rire à la chute d’une demoiselle, pas très fairplay la voilà peine sur patte qu’il lui lança une tomate dessus. C’est petit, c’est comme s’il venait de lui tirer dans le dos mais lui ça le fait rire. La belle jeune femme riposte donc et c’est parfait comme ça. Enfin belle, pour le charmeur qu’il est toutes les femmes sont belles d’où le qualificatif car il est tellement dans l’action qu’il n’a pas le temps d’essayer de l’examiner pour deviner comment elle est sans tout ce rouge donné par les tomates, il a d’autres choses en tête. Comme se défendre. « Très très mauvaise idée » dit-il d’un ton enjoué. C’était lui qui avait commencé, mais il n’allait pas se laisser faire, il attrapa quelques tomates qu’il laissait sur la jeune femme. Mais très vite il n’eut plus de munitions, euh de tomates à portes de main alors il leva les mains en signe de défaites, les yeux cherchant de quoi pouvoir continuer se lancés.[/color]» Derrière à ta droite ! » Lui precisa-t-il alors qu’une tomate lancée par un autre inconnu arriva telle une grenade. Il venait de la prévenir comme s’il faisait équipe, comme s’ils ne venaient pas de s’envoyer ces fruits dessus. Ce n’est pas par gentillesse qu'il l'a prévenu, c’est aussi pour faire dispersion, lui étant à découvert. C’est encore plus amusant que le laser tag, il s’amuse comme un fou. Mais s’il l’a aidé, il ne s’éloigne pas pour autant et il renonce à pas à leurs petites attaques personnelles. Elle est sa cible actuellement.
Tes opales visaient les astres et ton cœur désire la vie, la dévorer le sourire au bord des lèvres. Tu ne te laisses pas aller dans les écumes de cette tristesse dévorante pouvant te mettre à terre à chaque seconde s’égrainant dans le fil du temps. Tu t’épanouis telle une fleur sous les rayons du soleil, oubliant le mal qui te ronge de l’intérieur. Vivre des aventures, voir le monde, tes désirs se réaliser ne sera rien pour toi à ta mort, mais pour tes proches ce sera sans nul doute un souvenir émouvant de savoir que t’as jamais abandonné, laissé le sort t’ensevelir sous la peine. La mort c’est la fin d’une vie avec cette possibilité multiple de vivre de nouvelle chose. Tu ne sais pas vraiment ce qui t’attend et dans le fond tu ne diras pas que tu as hâte, car ça voudrait dire vouloir quitter les tiens. Tu imagines malgré tout que la mort pourrait t’apporter une nouvelle vie, comme toutes ces personnes disant qu’à chaque mort sa naissance. Alors tu profites, n’essayant pas d’imaginer en tout point ce qui arrivera à ton dernier souffle. La pulpe de tomate dégoulinant de toi, tes mains mitraillant à tout va dans les éclats de rire se mélangeant à la musique lancé par le dj. L’ambiance est délicieuse, les visages sont captivants, comme une impression de bien être dans ce jus de tomate, les genoux à terre, te relevant pour viser. Les chutes dû à ta situation instable, tu aurais pu rester un temps dans les bras du brun, jusqu’à te prendre cette tomate en pleine face tout en lâchant ton meilleur rire, ce sourire qui capturait tout ton visage. Le mitrailler à ton tour, le jeune blond, les tomates en main que tu visais une à une de ton mieux, tu ne deviendras jamais lanceuse pour les Yankees. Tu évites de justesse cette précieuse tomate lancée par un inconnu. Malgré l’aide du blond, tu t’approches de lui, les mains pleines de tomate ou plutôt de pulpe car les belles formes des tomates étaient déjà bien réduites en bouilli. « je dois dire merci ? » les opales s’imposant dans les siennes alors que tu es déstabilisé par un nouveau lancé de tomate. Tu pourrais rendre les armes, mais ce qui te reste dans les mains tu le lances sur le jeune homme. « sans rancune ! » les sourire plaqués sur le visage, les iris pétillantes de bonheur. Tu étais heureuse, finissant par sentir la fin arrivé, ton corps continuant de chahuter et danser avec les autres. Tu te sentais bien, vivante, comme ci ta dernière heure n’était pas là à te guetter. Les lances à eau commençaient à effacer en vous arrosant tous les traces de cette bataille géante. Les anciens participants ou observant de leur fenêtre cette tradition devenu un festival célèbre, devant la trace de ces anciens habitant de ce petit village catalan. Tu laissais ton regard flirter avec le monde t’entourant croisant le regard du jeune homme qui t’avait prise pour cible, de ton pied tu continuais à l’éclabousser de ce mélange d’eau et de bouilli de tomate. Tu le savais que c’était la fin, ne restait plus qu’à profiter des autres activités, de retrouver peut-être ceux perdus avant.
Sujet: Re: spain / (pulpe à gogo ) ft lawson. Sam 7 Nov - 18:57
Lawson a beaucoup voyagé ces dernières années mais c’est la première fois qu’il assiste à ce genre de festivités. Il en a fait des fêtes, des festivals ou encore des activités traditionnelles mais les lancés de tomates dans toute une ville, c’est une première. Les rues sont bondées, tout le monde dégoulinent de jus de tomate, tous les mondes ris, certains pleurent malgré tout de s’être possiblement pris une tomate plus dure que les autres. Lui Lawson, il est hilare depuis le début des festivités. Ses cheveux tirés en arrières à l’aide d’un élastique sont imbibés de jus et la douche pour tout retirer sera bien appréciable. Mais à l’heure actuelle il ne s’en préoccupe pas, à vrai dire il ne pense à rien si ce n’est les stratégies pour ne pas se faire éclabousser tout le faisant vivre aux autres. Il a l’impression de revenir en enfance, sauf que ce n’est pas de la neige le fruit de tout cet amusement. Après avoir lancés quelques tomates sur une inconnue, il l’aide à réparer une autre cible, profitant pour attraper quelques projections à envoyer à l’avenir. « Ça serait la moindre des… » il ne finit pas sa phrase, se prenant de la pulpe en plein visage, il ferme les yeux. Il a l’impression qu’il va avoir de la tomate dans les narines et surtout, cette odeur pendant des jours à force d’en avoir eu et respirés pendant tout cet amusement. L’inconnue en a profité pour se venger une dernière fois. Il pourrait la traiter de garce – tout en plaisantant cela va de soit – mais à vrai dire il sait pertinemment qu’il en aurait fait de même. « Rêves pas je ne vais pas laisser passer ça ! » Dit-il en anglais, sur un ton assez neutre et pourtant ce n’est que la continuité de tout cela. Il pourrait se venger de milles et une façon mais tout cela est fini, la ville rouge reprendra peu à peu ses propres couleurs. Observant une flaque, un sourire narquois sur ses lèvres, il attrape la demoiselle et se laisse tomber avec elle par terre, les trempant tous les deux « Attention » dit-il comme si naïvement elle pourrait croire à un accident. Il rigole hilare. Un gros gamin pour le coup mais il ne fallait pas le chercher. Il ne connait ni son nom, ni quoi que ce soit d’autres mais ça ne fait rien. Se relevant, il lui propose sa main pour l’aider à se relever. « Abandonnée par tes copines ? » Demande-t-il, persuadé qu’elle a dû venir avec son groupe ou plutôt devrait-il dire son attroupement de copine, véhiculant ainsi un magnifique cliché. Lui-même ne sait pas où sont passés les personnes rencontrées à l’occasion avec qui il avait bien accroché. C’est tout ça Lawson, un électron libre dans ce monde. Sociable à s’entendre avec pas mal de monde malgré son niveau de langue parfois moyen. Il avait bien remarqué à la manière de parler de la jeune femme qu’elle ne doit pas être du coin non plus. Attendant qu’elle réponde à sa proposition d’idée ou même à sa question Lawson observe ses vêtements. Ca colle, ça va surement finir à la poubelle mais ça valait le coup.
Mi amor, la vie. Ce n’est que la vie pour le moment, jusqu’à t’embrasser avec la mort, vivant ta meilleure histoire d’amour avec. T’as jamais désiré autre chose que t’envoler dans le monde, t’envoler à travers les étoiles, tes astres s’évaporant avec douceur de ta vie, de tes envies, que tes iris pour les aimer à nouveau, loin des cours, loin de vie sauvage que tu imaginais, longue et folle. Elle ne sera que folle. La folie gagnant ton être, ta carcasse vivant les meilleurs moments de cette vie. Les tomates faisant partie de ces moments que tu privilégiais ces moments où tu donnais cent pour cent de ton âme, de ton cœur. Ton éclat de rire qui raisonnait avec les autres, les tomates continuant à effleurer chaque parcelle de vos êtres, collant, chacun pourrait se coller à un autre pour ne former plus qu’un, la pulpe abimée par vos tires. Une fin qui te donnerait nostalgique, t’avais pas envie d’arrêter, pas envie de cesser cette fougue qui se déclarait en toi, laissant ta vie prendre possession de chaque seconde qui était plus qu’importante, sérieuse et frivole, des mots qui ne voudraient rien dire sauf dans la mort et la vie. La mort qui consume, la vie qui pétille en toi, les ténèbres et la lumière qui font une guerre silencieuse, te laissant vivre, t’épanouir sous les iris. La vengeance contre le blond, que tu prétends maintenant américain avec cet accent, cet anglais parfaitement tourné à l’américaine. « ça serait dommage de perdre du temps à te venger ! » Un clin d’œil et tu penses que c’est fini, que tu pourras aller vivre ta prochaine quête avant ton dernier soupir, mais ce n’est que trop demander, que trop rêver, surtout. Un mot et une chute. Bien trop rapide, bien trop soudain, sans même qu’un pas ne soit fait de ton être. Le traitre. Pourtant l’éclat de rire accompagnant le sien, c’était tout ce qui compte, la bonne humeur régissant toute ton âme, tu pourrais réagir vainement, mais tu n’as jamais été ainsi. Toujours à voir le meilleur, à te préparer à tout, sauf à ça, car maintenant ta vie était déjà programmée, la date de fin étant déjà tatoué sur tes entrailles, une date que tu ne connaissais qu’approximativement, une date qui aurait pu te faire frémir. Mais tu étais droite poupée, prête à l’affronter la dame de la mort, celle prenant ta vie, laissant la trace d’amour et de joie que tu voulais donner aux autres. Une main tendue, mais t’as mieux en tête, tu l’acceptes sa main, l’attirant vers, toi l’invitant à chuter à nouveau. « on est quitte ? » que tu demandes l’air enjouée, tes lippes étirés offrant un mielleux sourire au blond. « quelles copines ? » que tu demandes amusée. Car t’es venue seule dans l’aventure, avec l’audace de rencontre le monde, peu importe d’où, tu ne voulais que profiter d’être une inconnue, comme une autre, vivre ta meilleure vie et c’était le cas. Mission achevée. « Peut être que je devrais pas dire que j’suis toute seule, t’es peut être un fou … vu comment tu t’es jetée sur moi … » que tu lâches amusée par la situation finissant par te relever et tendant à ton tour ta main pour qu’il se relève, en espérant que la boucle soit ainsi terminée.
Sujet: Re: spain / (pulpe à gogo ) ft lawson. Mar 1 Déc - 18:02
Des voyages et des activités comme il aime Lawson, il sait qu’il aura des souvenirs en tête et il pourra raconter pleins d’anecdote quand on lui demandera ce qu’il a fait en Europe. Ce n’est quand même pas commun comme festivités et c’est ça qui lui plait. « Exactement ! » Baliverne, il ne va pas se laisser avoir comme ça, il n’a pas dit son dernier mot alors il l’a fait chuter. C’est bon enfant et il ne pense pas l’avoir blessé pour autant. Il la voit rire et son rire se mélange en sien. Il l’a bien eu. Mais il pense alors eu son dernier mot alors qu’il lui offre sa main en guise d’acte de paix. Il aurait dû se douter qu’elle ne le laisserait pas gagner la partie aussi rapidement. Il a été naïf sur ce coup mais c’est de bonne guerre. « Tu ne lâche jamais l’affaire en terme de vengeance toi » fait-il remarquer. On dirait qu’ils se connaissent depuis un certain temps, alors que ça ne fait pas longtemps, que depuis qu’ils se sont mis en tête d’utiliser l’autre comme cible dans cette bataille originale que sont les tomates. Il est comme ça Lawson, il se comporte pratiquement de la même manière avec ses proches qu’avec les étrangers. C’est pour cela qu’il connait autant de monde et qu’il se sent vite intégré au fil de ses voyages. Il n’a pas le temps de vouvoyer les gens attendre de bien les connaitre puisqu’il repart aussi vite qu’il n’est arrivé. « Ou tes amis sans E je ne jugerai pas » et il n’y a de toute manière rien à juger. Tout le monde s’entoure de qui il veut, tant que ce sont des personnes qui veulent notre bien. Il prend la vie comme elle vient Lawson, il s’entoure de différentes personnes, rarement les mêmes et tout ce qu’il recherche ce sont des personnes dans de good vibes. Il prend sa main qu’elle lui tend pour se relever et cette fois c’est bon, ils sont tous les deux sur leurs jambes. « Comment je me suis jeté sur toi ? Mais t’as été une vraie furie j’ai eu peur pour ma personne » dit-il amusé. Il sait que c’est un terme que certaines n’aiment pas mais elle a l’air de pas prendre la mouche sinon elle l’aurait déjà fui depuis leurs premières rebellions l’un contre l’autre. « Par contre effectivement tu ne devrais pas me dire toutes ses informations » dit-il d’un air secret, il pourrait être un psychopathe c’est vrai, un gars tordu qui la suivrait jusqu’à son appartement ou son hôtel. « Etant donné que je compte te suivre jusqu’à chez toi autant qu’on fasse le chemin ensemble ? » Il rentre dans son jeu même s’il serait un psychopathe en parfaite détente, révélant ses plans avant même qu’ils ne débutent. Même s’il parle toujours avec sa voix où on n’est pas certain de devoir le prendre au sérieux il propose « Je sais pas si tu as faim mais je vais aller manger un bout avec le reste des festivités, ça te tente ? » Les lancées de tomates sont peut-être terminées mais la fête bat son pleins et ça surement jusqu’au bout de la nuit.
Tu souris au jeune homme, avec qui vous aviez fini à terre en quelques secondes. « ai-je une tête à lâcher l’affaire ! » tu vis ta vie, peut-être qu’avant tu n’aurais pas réenchéri, pour ne pas perdre du temps, mais n’ayant qu’une vie, tu ne voulais pas perdre la moindre seconde de cette courte vie à refuser l’amusement. S’offrir aux autres, au monde, les voyages, les activités comme celle que tu venais de parcourir, c’était des lieux où fallait oublier d’être timide, d’être renfermée sur soi. T’avais jamais été aussi volage dans la vie, aussi épanouie, loin de tes astres, de ton monde. Ce dernier ayant changé, pour une vie scintillant de mille couleurs avec une durée assez courte. Allongée dans le mélange de pulpe de tomate et d’eau tu écoutes la victime que tu avais essayé de raser dans cette compète inutile de vaincre l’autre. Ta vie était faite de moment suspendu dans le temps, comme dans une bulle éloignée du reste du monde, vivre ta vie à la douceur, occultant les maux du monde, de la terre, aussi souffrante que toi. C’est ton rire qui retentit quand tu l’entendis préciser ami sans e. « Toute seule et ça va sans doute rester comme ça ! » les lippes s’étirant, un sourire illuminant ton minois rougis par les tomates. « j’suis une grande fille d’abord ! » les opales se noyant dans celle du blond, l’allure d’un viking qui ferait sans doute virevolter n’importe qu’elle autre myocarde, sauf le tien. La main envoyant quelques gouttes du mélange sur le sol. « ne faut pas mentir, ce n’est pas bien ! » que tu lâches avant de te redresser et de l’aider à en faire autant. « je suis innocente moi dans cette histoire, t’es arrivé de nulle part en visant sur moi, n’importe quel jury me nommerait la victime ! » tu l’écoutes déjà amusé par sa réponse, croisant les bras sous ta poitrine, tes opales dévorant les siennes à nouveau, à te noyer aisément dans l’azur de ses prunelles. « t’as l’air tellement … » un petit sourire moqueur dansant sur tes lèvres. « inoffensif ! » attachant tes cheveux dans un chignon approximatif sans aucune aide d’un quelconque élastique, tu laissais tes opales flirter avec le monde autour de vous, des groupes, des inconnus de tout âge parlant dégustant avec ardeur ce moment unique sans doute dans une vie pour des personnes venant d’ailleurs. « t’es plutôt facile comme proie … prêt à te faire découper en morceau ? mon chien à sans doute faim et t’as l’air plutôt tendre ! » tes doigts venant pincer sa peau ! secouant la tête positivement , tu laissais un sourire sadique s’imposer. « bien ferme ! » tu ne devrais pas en rire, tu devrais te méfier, il avait l’air beaucoup trop … étrange, gentil en soi. Plutôt rare, mais il avait su te faire sourire et dans le fond mourir par la faute de quelqu’un en vivant sa vie c’est peut-être mieux que de mourir sous le coup de la maladie, à cause de mikado. « Okk, je t’accompagne, mais t’en qu’à faire porte moi, me faudra des forces pour découper un tel gaillard ! » la langue que tu tiras, tu finissais sur son dos, sans même qu’il ait son mot à dire, tu faisais comme lui, t’invitant dans sa vie. « Sinon tu viens d’où que j’envoie peut-être un message à tes proches, hein ! »
Sujet: Re: spain / (pulpe à gogo ) ft lawson. Ven 18 Déc - 11:16
Lawson passe son temps à rire aujourd’hui. Bon vivant en terme général, il aime rire de la ie, profiter de la moindre chose pour voir la vie dans le positif. Alors qu’il lui propose de continuer les festiités il s’attend à ce qu’elle parle de ceux avec qui elle est venue mais même pas. Ils sont pareils tous les deux. Des voyageurs seuls. Lawson est un être très sociable pourtant il adore voyager seul. C’est pas pour autant qu’elle lui laisse une porte ouverte quant à sa proposition. « Ah parce que quoi ? Parce que t’es une nana et que tu es poids plume les jurys te donnerait le bon dieu sans confession ? » Et après les femmes veulent des égalités alors qu’elles ont déjà pleins d’avantages. Il ne dit pas ça à voix haute, évitant les discours macho alors qu’il n’en est pas un. Il est un amoureux des femmes, il les respecte enfin à sa manière. Il écoute ses scénarios et durant quelques secondes sans rire il lui sort un : « T’es flippant comme nana ! » Et ça le fait rire. C’est toujours mieux que les femmes qui le regarderaient de haut parce qu’il n’a pas vraiment une dégaine présentable après cette bataille de tomate ou bien qui flipperaient qu’un inconnu les aborde. Très peu pour lui ce genre de nana. « Mais je veux bien prendre le risque. Enfin c’est quoi comme chien, un caniche qui aboie plus qu’il ne fait peur ! » Un peu comme sa maitresse. Enfin il en plaisante mais si ça se trouve sa mort fera la une des journaux locaux dans les prochains jours. ‘Les dents d’un américain ont été retrouvés, le reste du corps est toujours porté disparu’ Faut vraiment qu’il arrête de regarder ce genre d’émission car il est en train d’imaginer la jeune femme en train de le zigouiller par des tonnes de façon. Mais bon, il prend le risque car ça le fait marrer. « Ah ouais t’as aucune gêne toi. J’pourrais devenir ton esclave personnel aussi non ? » Pourtant il s’exécute, il la prend sur son dos. Il avait raison : poids plume. Ça serait à peine exagérer de dire que ses sacs de voyages sont quasi aussi lourd, oui à peine exagérer. « New York, dans le queens. Dans le genre cliché du beau gosse américain on fait pas mieux et toi laisse-moi deviner : Miami ? » Américaine ça il en est presque persuadé à son accent. Entre étranger américain on se reconnait comme ça. Il ne connait même pas son nom, il s’en rend compte mais il trouve ça marrant de rester dans le doute quant à cette information qui est quand même importante quand on rencontre quelqu’un. « Bon vu que c’est mon dernier repas j’ai le droit de choisir quoi et où ! » Il ne lui laisse pas trop le choix. Il ne sait pas ce qu’il lui donne le plus faim mais l’odeur de tomate encore dans les narines lui donne envie de manger tout sauf ce fruit/légume. « Bon on sera très bien ici ! » Dit-il en la déposant alors qu’ils arrivent vers des stands pour prendre à manger. Sans même lui demander son avis il demande des tapas pas pour deux « Tapas pour 4 personnes s’il vous plait ». Quitte à avoir son dernier repas, autant avoir la panse bien remplie. « Steuplait dis-moi pas que t’es végétarienne, je veux pas que tu descende dans mon estime ! » Car il a envie de viande et il n’a pas envie d’écouter pendant mille ans les discours d’une militante pour la cause animale.
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Sujet: spain / (pulpe à gogo ) ft lawson. 
Lun 27 Juil - 21:15
