(en famille pour un noel en avance) ft caserne (owen,izoen, aspen)

Ton rêve à porter de main, être parmi la caserne est une chose qui te tenait à cœur, tu n’as pas laissé tes anciens démons derrière, mais tu veux t’accrocher, tu veux continuer à être un bon élément, un bon cadet. Tu continues de mettre les boules sur le sapin, ton bonheur s’installe sur ton visage, alors que tu vois Aspen encore en train de se dépatouiller avec le scotch pour faire les cadeaux. Un moment de partage qui est organisé par les deux capitaines, sous les ordres du chef, n’ayant pu être présent. Une petite réception, tout en sachant que votre bataillon pourrait être appeler à combattre le feu ou aller sauver d’autre personne, ce serait un miracle que l’alarme ne sonne pas. C’est l’heure des vœux pour le quartier, d’offrir de la joie à tous les anges vivant ici, les enfants et leurs familles. Le père noël a été appelé à la rescousse, tu te souviens de toutes ces fois où tu étais venue dans cette caserne pour avoir un cadeau, un moment de joie de pur bonheur, ta mère souriant, tes frères de cœur aussi. Tu n’étais pas là pour les jouets, mais pour les voir, les observer, grimper sur le camion, avoir de l’intention, la voir sourire. Tout était si bien, que tu t’es accroché à ton idée de devenir un homme bien, comme ces femmes et hommes. Finissant de mettre les dernières guirlandes tout en chantonnant les chants de noël, tu étais heureux de pouvoir partager cet instant avec cette seconde famille, une famille que tu découvrais encore, continuant d’être possédé par ces femmes ayant besoin de toi, pour moins de solitude, pour t’aider à te payer les choses dont tu avais besoin. Pas de dinde, juste de petit toast, de quoi ne plus avoir faim, de quoi réchauffer les âmes. une fois les décorations finies, tu viens aider Aspen, pendant que Iz et Owen finissent de mettre les illuminations sur la façade de la caserne, tout en faisant attention à ne pas gêner les urgences. « Alors, tu te bats encore avec le scotch, je viens t’aider vu que j’ai fini de me faire piquer par le monsieur là-bas. » dis tu en parlant de l’arbre vert. Parfois dans cet endroit tu te sens comme un charlatan, un homme qui ne devrait pas être là. T’as pris la vie avant de t’enfuir pour reprendre des vies à la guerre, on te traite presque comme un héros, alors que tu n’es qu’une petite chose. Les courants d’air froid qui viennent taquiner tes bras dénudés malgré la température, tu aides à emballer encore quelques petites choses qui feront naître des étoiles dans les iris des enfants, et du soulagement dans celles des parents. « Alors pourquoi t’as voulu devenir pompière toi ? » tu ne sais jamais si tu dois dire pompier ou pompière, elle te le dira, les deux hommes les rejoignent pour aider finalement à emballer, car la petite journée placée sous le thème de noël allait commencer, sans oublier la cacophonie des sirènes qui allaient animer le tout, comme elles le faisaient tout au long des années.

@Owen Swaguer @Izoën Fields @aspen templeton (en famille pour un noel en avance) ft caserne (owen,izoen, aspen) 3227196488

(en famille pour un noel en avance) ft caserne (owen,izoen, aspen) 3227196488

A quelques jours de noël, tu es ravi de pouvoir partager ce moment auprès de ta seconde famille. Tu
dois l’avouer, cette bande de con t’a manqué ! Ta convalescence à été longue, bien trop longue à ton
goût. Tu aimes la joie que cette fête rependent, ravis de voire le doux sourire, impatiente que ta
nièce puisse avoir ses cadeaux. L’année à si mal commencer… Jamais tu n’aurais pensé avoir autant
de péripétie dans ta vie. Le décès de ta sœur t’a complètement anéantit. L’obligation de rester fort
face à la tragédie pour cette orpheline qui ne demande qu’une chose : être aimer, consoler de la
disparition de ses parents. Tu as eu de la chance d’être bien entouré, tes coéquipier à la caserne
n’ont pas hésité à se montrer présent pour t’aider, te soutenir, et t’épauler. Ils ont été présent pour
garder Gabriella si besoin, ils ont été présent lors de ton agression à la caserne. Cette famille est
précieuse à tes yeux. Presque aussi précieuse que celle de ton sang. Celle que tu as retrouvée après
l’avoir si lâchement lâcher il y a vingt ans. Ton nouveau combat et cette seconde chance. Le chemin
seront loin, mais l’espoir reste présent.
Le bonnet sur la tête, le manteau chaud, tu respires l’aire fraîche de New-York ! Tu aimes cette
période, même si tu anticipes la peur d’affronter ce premier anniversaire… Tu chasses tes idées noirs,
demandant à un de tes collègues à te filer un coup de main pour accrocher quelques décorations
dehors. Tu te permets de t’accorder une pause. Les chaises sur le toit, le cigare à la bouche, tu
profites cet instants en compagnie de ton allié. Ils vous arrivent de vous évader sur le toit, pour
évacuer la pression de la caserne, la pression des interventions ou celui de nos soucis. Sans vraiment
parlé, sans vraiment se confier. Nous discutons de tout et de rien. La bonne odeur de la cuisine
chatouille les narines, laissant l’appétit apparaître. -« On devrait peut-être leur filé un coup de
main. A croire qu’ils ne peuvent rien faire sans nous. » Tu confies, amusé.

Hs: desolee pour la mise en page. Je rectifie le tout des que j ai internet!

Noël n’est pas vraiment une fête qu’Izoën apprécie particulièrement. Noel était synonyme de faux semblant quand il était jeune et il a entretenu cette tradition avec le temps. Avec un père aux abonnés absents et une mère qui jouait beaucoup sur l’image que pouvait donner une famille aux moments des fêtes, il n’a jamais vraiment connu un noël heureux en famille, où le partage était plus important que le reste. Même aujourd’hui avec sa femme c’est la même chose. On épouse la même personne que notre mère apparemment. Freud aurait beaucoup de chose à y dire. Dans tous les cas, à la caserne, ce n’est pas du tout la même ambiance. Le partage est de mise. La bonne humeur aussi. Izoën n’est pas à l’aise tellement il n’est pas dans son élément. Mais bon, ce n’est pas la première année qu’il y participe et sans aucun doute pas la dernière. Ça fait plaisir à tout le monde, ça amène de la joie pour cette fin d’année bien mouvementé alors autant dire qu’il ne va pas y mettre sa mauvaise humeur. Mais comme d’habitude, il reste le lieutenant habituel : quelque peu froid et distant par rapport aux autres. Il est bien loin de ceux qui rigolent, sourient et montre des émotions positives. Lui est juste neutre. Tout le monde a une tâche, Izoen lui suit Owen pour accrocher les décorations sur le toit. Un travail parfait pour lui. S’il avait le vertige, il ne serait pas à sa place ici, surtout pas en tant que lieutenant alors, ce n’est pas trop compliqué, ils ont vite fini mais ce n’est pas pour autant qu’ils courent pour se rendre utile ailleurs. Ils prennent clairement leurs temps. « Ouais assez papoter on devrait voir où ils en sont ! » Ils sont censés faire en sorte que tout se passe bien et si reléguer les tâches est une chose bien agréable, il faut aussi mettre la main à la patte. Descendant tout en sécurité, ils rejoignent d’autres pompiers, qui font partie de l’équipe de Owen, Dakota et Aspen. « Alors ça avance comment par ici ? » La corvée de l’emballage, oui clairement pour Izoen c’en est une mais il y en a encore beaucoup et la caserne sera bientôt envahit, il n’y a donc pas de temps à perdre alors il commence à tenter de se dépatouiller avec les rubans. C’est clairement plus compliqué que de maitriser un feu pour lui. « Encore besoin de nous pour que le boulot soit enfin bien fait ? » Une petite pique qui se veut gentille alors que vu l’humeur qu’il a la plupart du temps avec tout le monde, ça pourrait être vu comme un reproche. Il est froid comme la glace Izoën, mais ils devraient tous avoir l’habitude. Un léger sourire prend cependant possession de ces lèvres. La magie de noël aurait-elle raison de lui ?

@Dakota Bussby @Owen Swaguer @Aspen Templeton
(sorry pour le temps de réponse )