Sujet: ( ne plus être fébrile) ft jessica. Lun 16 Déc - 18:08
T’as qu’une idée en tête, voir Jessica. Offrir tes états d’âme à ta belle-sœur, la future d’Ada. Les guirlandes qui envahissent tes iris, qui te séduise avec douceur. Le cœur qui bat dans ta tête, qui détruis tes sentiments, tu ne les comprends plus. Tu ne sais plus qui tu es à présent. Vouloir tout vaincre, avec ce cœur qui n’est pas tien. T’évanouir à nouveau dans le passé pour ne plus avoir peur de mourir. Tu ne sais pas si tout est encore possible avec ce cœur, s’il ne pouvait plus s’épanouir dans tes entrailles. Myocarde trop bruyant, bien plus que les passants et les voitures qui klaxonnent à tout va. Tu pourrais être un cadeau tombé dans leur vie, mais ce n’est pas le cas, tu le sais que te revoir ne va pas forcément les rendre heureux. Boum Boum. Rien que d’y songer tu culpabilises d’être encore là, t’avais besoin de voir Jessica, elle comprenait. Elle saisissait, elle qui avait perdu sa sœur, elle connait la douleur que tu voulais leur épargner. Ces peines déjà constantes depuis prés de huit ans, comment tu voudrais continuer à les faire souffrir ? tu ne voulais que leur bonheur même si ce dernier devait résonner dans ta mort. T’as jamais rien voulu d’autre, que de leur donner l’amour et la joie qu’ils t’avaient tous donné en faisant partie de ta vie. Être là pour eux dans ton absence. Ne pas être un poids, un poids qui les bloquera, tu n’avais jamais attendu le miracle, t’avais pas su espérer être assez forte pour y croire encore. Trop à bout, puis tu n’avais pas songé à cette peine qu’était d’entendre cet écho dans ta tête, la cacophonie était bien trop présente pour que tu puisses songer pleinement. Dans ta tête, tu te dis que Jessica sera là, à t’ouvrir les bras, t’aider, te guider, mais dans le fin fond du reste de ton ancien cœur, les conjectures branchés à ce nouvel organe encore inconnu te dises qu’elle aussi aurait pu t’en vouloir, elle qui avait déjà affronté la douleur, le stigmate de cette blessure encore là, tu l’avais peut être ouverte. Rien que d’y songer, t’as envie de faire demi-tour, mais te voilà devant la salle où elle répétait comme indiqué sur son Instagram. Les iris qui s’illuminent des illuminations dans le théâtre, ça sentait noël, un présage que le père noël arrivait pour gâter les enfants avec des cadeaux ou du charbon, tu devrais avoir une bûche toi, pour ton comportement encore un peu mitigé. Tes opales qui chavirent sous le corps de Jessica se mouvant sur la mélodie te donnant l’impression d’être blotti dans un plaid, chocolat chaud en main, à regarde le manteau de Décembre froid et joyeux à la fois s’abattre sur vous. Tapis dans la pénombre de la salle, tu attendais un moment, quand celui-ci arriva, tu eus un spasme, tellement de mal à te bouger, pourtant, tu étais à quelques pas d’elle. « Jessica. » Les iris directement attisées par ces prunelles. « Je suis … » Le palpitant qui déclenche quelques larmes. « vivante. » Tu trembles de son jugement, mais t’avais aussi besoin d’elle. Une égoïste Oda, te voilà devenir tout ce que tu jurais ne pas être pour aider ta famille. « Je peux te parler ? »
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Sujet: ( ne plus être fébrile) ft jessica. 
Lun 16 Déc - 18:08
T’as qu’une idée en tête, voir Jessica. Offrir tes états d’âme à ta belle-sœur, la future d’Ada. Les guirlandes qui envahissent tes iris, qui te séduise avec douceur. Le cœur qui bat dans ta tête, qui détruis tes sentiments, tu ne les comprends plus. Tu ne sais plus qui tu es à présent. Vouloir tout vaincre, avec ce cœur qui n’est pas tien. T’évanouir à nouveau dans le passé pour ne plus avoir peur de mourir. Tu ne sais pas si tout est encore possible avec ce cœur, s’il ne pouvait plus s’épanouir dans tes entrailles. Myocarde trop bruyant, bien plus que les passants et les voitures qui klaxonnent à tout va. Tu pourrais être un cadeau tombé dans leur vie, mais ce n’est pas le cas, tu le sais que te revoir ne va pas forcément les rendre heureux. Boum Boum. Rien que d’y songer tu culpabilises d’être encore là, t’avais besoin de voir Jessica, elle comprenait. Elle saisissait, elle qui avait perdu sa sœur, elle connait la douleur que tu voulais leur épargner. Ces peines déjà constantes depuis prés de huit ans, comment tu voudrais continuer à les faire souffrir ? tu ne voulais que leur bonheur même si ce dernier devait résonner dans ta mort. T’as jamais rien voulu d’autre, que de leur donner l’amour et la joie qu’ils t’avaient tous donné en faisant partie de ta vie. Être là pour eux dans ton absence. Ne pas être un poids, un poids qui les bloquera, tu n’avais jamais attendu le miracle, t’avais pas su espérer être assez forte pour y croire encore. Trop à bout, puis tu n’avais pas songé à cette peine qu’était d’entendre cet écho dans ta tête, la cacophonie était bien trop présente pour que tu puisses songer pleinement. Dans ta tête, tu te dis que Jessica sera là, à t’ouvrir les bras, t’aider, te guider, mais dans le fin fond du reste de ton ancien cœur, les conjectures branchés à ce nouvel organe encore inconnu te dises qu’elle aussi aurait pu t’en vouloir, elle qui avait déjà affronté la douleur, le stigmate de cette blessure encore là, tu l’avais peut être ouverte. Rien que d’y songer, t’as envie de faire demi-tour, mais te voilà devant la salle où elle répétait comme indiqué sur son Instagram. Les iris qui s’illuminent des illuminations dans le théâtre, ça sentait noël, un présage que le père noël arrivait pour gâter les enfants avec des cadeaux ou du charbon, tu devrais avoir une bûche toi, pour ton comportement encore un peu mitigé. Tes opales qui chavirent sous le corps de Jessica se mouvant sur la mélodie te donnant l’impression d’être blotti dans un plaid, chocolat chaud en main, à regarde le manteau de Décembre froid et joyeux à la fois s’abattre sur vous. Tapis dans la pénombre de la salle, tu attendais un moment, quand celui-ci arriva, tu eus un spasme, tellement de mal à te bouger, pourtant, tu étais à quelques pas d’elle. « Jessica. » Les iris directement attisées par ces prunelles. « Je suis … » Le palpitant qui déclenche quelques larmes. « vivante. » Tu trembles de son jugement, mais t’avais aussi besoin d’elle. Une égoïste Oda, te voilà devenir tout ce que tu jurais ne pas être pour aider ta famille. « Je peux te parler ? » 
