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 feu de bois ± Petail (hot)

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Message Sujet: feu de bois ± Petail (hot)   feu de bois ± Petail (hot) Empty Jeu 24 Oct - 21:05

feu de bois
abbigail&peter


« On bavardait sans dire un mot, le bruit de mon silence en dit long. Sentiments grandissants figeant l'ego, prison de mots, absence de compliments. J'suis en attente, en apprentissage, très peu sage, j'ai vu l'âge à la nage, je fuis l'alcoolisme. Sur la blanche page, j'agonise. Mille latences entre c'que je pense et ce que je dis, ce que j'obtiens et ce que je vise. Soit c'est le père ou bien le fils, soit la be-her ou bien la tise. Que la nightzer, ouais. Je sais c'que tu penses de nous, quand tu dis que tu n'sais plus quoi penser de nous. Je sais c'que tu veux vraiment, quand tu dis que tu n'sais plus c'que tu veux vraiment. Je sais qu'tu n'as plus le temps,



quand tu dis que tu penses qu'il te faut plus de temps.

»

T'lances un regard vers l'horloge du tableau de bord de la bm, bras tendu sur l'volant la berline dont l'moteur ronronne file à toute allure dans les rues new-yorkaises. T'les connais que trop bien les raccourcis, passages peu empruntés pour pouvoir toujours plus gagner d'temps. Faut bien qu'ça t'serves d'être inspecteur et d'avoir l'cul dans la bagnole en compagnie d'Arthus une longue partie d'tes journées et certaines de tes nuits. Ce soir, t'lui laisses tout l'loisir de bosser en solo. T'as d'autre projets, y'a qu'elle qui hante tes pensées. T'as envie d'sa peau, d'entendre sa voix, d'la beauté se sa peau roulant sur ses os. C'matin la chance n'était pas d'ton côté et c'est ses meilleures amies qu't'as eu le loisir de croiser. Elles sont pas dérangeantes bien qu'elles n'accrochent aucunement ton r'gard. Tu t'es contenté d'prendre ton café long et l'muffin du jour qu'tu sais préparé par ta belle blonde. T'y piges rien lorsqu'elle t'parle de pâtisseries. D'ses temps "de pousse" ou lorsqu'elle te fais la leçon sur comment bien laisser imbiber un biscuit. Comme si toi t'pouvais faire d'aussi belles choses qu'ses doigts d'fées. Tu détruits toi Peter, t'es pas fait pour régaler New-york mais pour l'agiter d'terreur lorsqu'il découvre tes méfaits aux premières lueurs du jour. T'prétendant défenseur de l'innocent pour mieux couvrir tes crasses maculant tes mains d'sang. loup lâché dans la bergerie.

T'as longtemps cru qu'tu l'avais perdue si peu d'temps après l'avoir rencontrée. L'ton de la défiance, l'encre sur ses courbes tout était fait pour te plaire. Ange s'pavanant parmi les pécheurs, t'es foutrement tombé à la renverse. Fille d'ton patron duquel t'es d'venu le bras droit en compagnie d'ton partenaire, l'goût du danger s'est voulu toujours plus fort entre vous. Irrésistible si bien qu'tu n'y résistes même plus. Elle te malmène bien plus fort que tu ne viens faire violacer sa peau avec passion lorsque tu t'déchaînes furieusement contre son épiderme de tout c'qu'elle peut t'faire ressentir à toi, l'anesthésié. Véritable poigne de fer qu'elle pourrait v'nir resserrer sur ta carcasse si elle le voulait, toi t'es juste bon à t'éprendre toujours plus follement d'Abbigail. Toi qui t'persuades n'être capable de n'aimer personne et d'être tout juste foutu à faire crever ceux qui t'entourent. T'mérites pas c'que tu peux avoir, peu importe combien d'fois ta sœur essaie d'te persuader du contraire. D'te rappeler qu't'es un homme bien et que pour elle t'as su déplacer des montagnes. T'y peux rien, t'es comme ça et t'as su faire le pas en direction d'ta noirceur pour t'y baigner totalement. Il n'y a qu'ta colère qui ai pu t'faire tenir aussi longtemps. Il n'y a que tes démons pour t'tenir compagnie et d'rendre toujours plus puissant. T'seras plus jamais la victime, t'seras plus jamais celui qu'on cogne ou qu'l'on bafoue en traitant d'bâtard. T'es une raclure, un putain d'clébard ça t'en es fier. Parce que t'inspires la peur à toutes ces p'tites frappes qui s'font passer pour des caïds. Qu'ils te bouffent dans la main comme des vulgaires moineaux tous ces connards.

Tu finis par atteindre la destination r'cherchée, créneau parfaitement exécuté alors qu't'aurais tout simplement pu t'garer comme un connard dans leurs allée perso. Les lumières sont éteintes, tu peux l'observer tapi dans l'obscurité alors que ta belle vient fermer le rideau d'sécurité de sa boutique. Rideau qu'tu lui as conseillé d'installer après qu'elle ne se soit faite volée par un trou d'balle que t'as eu vite fait d'rattraper comme un putain d'héros. Ouais t'aimes bien t'faire passer pour c'que t'es pas alors t'as ramené ce p'tit enfoiré après lui avoir refait l'visage à l'écossaise Tu pouvais pas laisser filer l'occasion d'l'impressionner la fille du boss alors lorsque tout le monde s'est rentré au poste toi t'es resté faire quelques prélèvements. Pour mieux lui tourner autour, carnassier. T'avais qu'elle en tête depuis qu't'es arrivé sous l'commandement de son daron, l'envie dévorante d'la revoir alors qu'elle s'était envolée au soleil le temps de quelques mois. T'as pas manqué d'la voir revenir, pas vrai Peter? Véritable animal que tu peux être t'as traqué la moindre trace, le moindre signe. Tu t'es invité dans ses draps cette nuit là, prétendant vouloir la rassurer si un autre malotru voudrait venir l'emmerder. T'as enroulé tes bras puissants contre son corps gracile et sensuel à souhait. T'es phalanges meurtrières parcourant le galbe de ses formes pour t'en éprendre fermement. Elle est la seule, à faire ressortir de tels instincts chez toi. Abbi, elle sait déchaîner les passions de sa peau sucrée et de sa voix traînante lorsqu'elle vient te torturer, se jouer de toi.

Tu quittes la bagnole pour t'engouffrer dans la nuit. T'connais que trop bien la faiblesse de la porte arrière que tu forces sans aucun soucis maintenant. Elle est seule, offerte à ton bon vouloir et tu ne saurais rater une telle chance pas vrai Luci? Elle est la seule à t'appeler comme ça, après avoir détailler ta plaque. Personne ne s'appelle Lucifer, qu'elle s'est mise à pouffer en se foutant très clairement des choix douteux d'tes parents. Tu t'es contenté d'la foutre sur ton épaule pour mieux la r'plaquer contre son matelas avec force. T'as grogné à son oreille qu'c'est bien les enfers que tu déchaînerais contre elle et t'as pas manqué d'faire honneur à tes paroles. D'un geste habile, la porte cède au contact de ton épaule la dégondant légèrement pour faire jouer le loquet. T'es patient, foutrement dangereux lorsqu'il en vient à fondre sur ta proie. Cliquetis recherché, c'est d'un pas léger qu'tu te faufiles à l'intérieur du fournil brûlant encore de l'humidité dégagé des fours ardents. T'aimes l'odeur des lieux, bien spécifique à ce qu'il s'y trame. T'aimes l'odeur du sang, de la poudre et de l'orage. Celles des pâtisseries et de sa peau. T'observes, gagnant peu à peu son laboratoire et les entrailles de son second chez elle. Magnifique nymphe penchée contre son marbre en finissant sûrement d'en nettoyer la surface, t'la trouves splendide en toutes occasions Abbigail. Sans un bruit toujours, maître de la discrétion qu'tu peux être quand tu le veux tu t'faufiles dans son dos. Pas après pas, t'rapprochant de son corps furieusement tentant. L'une de tes paluche encrée vient se coller contre sa jugulaire palpitante tandis que l'autre vient attirer ses hanches contre ton bassin, pressant. "Abbi, Abbi, Abbi... Combien de fois je t'ai dis de réparer cette foutue porte?" Tu feules, dans le creux de son oreille que tu chatouilles du bord de tes lippes. Tes canines se perdent contre son lobe alors que tu ne peux retenir un grognement de satisfaction. Tu n'aimes que trop sa chaleur, l'odeur de ses cheveux où le goût de son épiderme. Ta main sur sa carotide se dirige contre ses cheveux pour les empoigner pour la forcer à te regarder. Qu'tu puisses te délecter de ses yeux orageux déchaînant maintes tempêtes en toi. "Bonsoir, Miss Powell." Ta voix susurre, langoureuse contre sa peau alors qu'tes yeux brûlent d'envie. D'elle, entière et offerte à toi. Mais t'sais qu'elle n'est pas facile, clairement moins docile qu'un chat. Féline impitoyable pour qui tu pourrais bien foutre le monde à feu et à sang.


(c) DΛNDELION


@Abbigail Powell feu de bois ± Petail (hot) 2470315465 feu de bois ± Petail (hot) 2781936883
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Message Sujet: Re: feu de bois ± Petail (hot)   feu de bois ± Petail (hot) Empty Ven 25 Oct - 18:23

Feu de bois

Petail

I can't hold my ground. Not if you look me in, you look me in the eye.


Tu passes ton temps à oublier l'heure qu'il peut bien être. Tu fais trop de choses à la fois. T'as tendance à t'éparpiller toujours plus et à ne pas être en mesure de faire autrement. Alors tu n'étais pas là pour le passage de Peter dans le salon. Tu ne pouvais pas le deviner qu'il viendrait. Tu n'es jamais sûre à deux cent pour cent. Parfois il ne pointe pas le bout de son nez pour x raison et tu t'en veux d'avoir bêtement guetté son passage. Alors maintenant tu fais en sorte de ne plus être cette idiote qui poireaute en attendant le passage de son beau tatoué avant de rentrer pour grappiller quelques heures de sommeil. Ce matin t'as laissé le relais à tes deux amies, promettant de gérer la fermeture du salon. T'es rentrée te blottir contre l'une de tes boules de poils préférées. Lilo qui ne manque jamais de te rejoindre entre tes draps quand tu y disparais en pleine journée. Elle le sait qu'il n'y a que de jour que tu acceptes qu'elle dorme dans ton lit. Une fois la nuit tombée, c'est ton territoire et uniquement le tien. Et celui de ton amant de passage s'il y en a un. La plupart du temps, c'est Peter lui même. Pour ne pas dire uniquement lui depuis quelques temps. Parce que tu ne te poses pas vraiment la question de savoir depuis combien de temps tu n'as pas fréquenté un autre homme. Parce que tu ne t'en soucies pas outre mesure. Parce que ça n'a pas la moindre espèce d'importance pour toi.

T'es pas de ces gens qui souffrent de savoir qu'aucun être humain ne les attend chez eux. Lilo et Stitch valent mieux que n'importe quel mec. La façon qu'a Lilo de venir s'étendre de tout son long contre ton ventre quand tu fais une sieste, vaut toutes les étreintes du monde. Tout comme la patte qu'elle  vient poser sur ta joue quand elle sent que tu te réveilles. Sa façon de te souhaiter un bon retour parmi les vivants. Tu les aimes tes petites bêtes. Parce qu'il n'y a rien de plus fidèle qu'un animal.  T'as vraiment rien contre ces soirées à ne rien faire d'autre qu'à regarder la télévision en leur compagnie. Blottie sous un plaid avec ton hérisson sur l'épaule et ton chat roulé en boule contre toi ou sur toi selon ta position. Aujourd'hui encore t'as pris le temps de profiter de leur compagnie. Quelques heures de repos bien mérité avant de regagner le salon de thé que t'as fondé en compagnie de tes meilleures amies. L'une d'elle a profité de ton arrivée pour terminer sa journée de travail. L'autre est restée jusqu'à la fin du rush de fin d'après-midi. Tu peux maintenant fermer officiellement pour la nuit. Tu prends le temps de tirer le rideau de fer que t'as conseillé d'installer Peter il y a des années de ça. T'as obéis parce que, mine de rien, cette mésaventure t'as presque traumatisé. A moins que tu n'ais juste obéis pour éviter que Peter ne te harcèle à propos de ce rideau de fer ? Parce que tu le sais qu'il en aurait parlé à ton père et que c'est lui qui se serait vite chargé de te harceler avec ça.

T'as pris le temps de retirer ta blouse une fois le plus gros de ton laboratoire rangé et nettoyé. Maintenant vêtue de ta robe rouge, près du corps  et de tes cuissardes sans talons, tu prends le temps de terminer ton nettoyage poussé. Tes airsPods dans les oreilles, t'as bien l'impression d'être dans un clip. La bonne humeur sur les traits détendus de ton visage alors que t'amorce quelques pas de danse pour aller d'une surface de travail à une autre, un chiffon entre les doigts pour frotter et faire briller de nouveau pleinement l'endroit. Qui se doit d'être parfaitement propre pour le jour suivant. Tes cheveux retenus en une queue de cheval haute, caressent le haut de ton dos à chacun de tes mouvements. Et concentrée comme tu l'es sur ta tâche et la musique dans tes oreilles, tu n'entends pas du tout que quelqu'un te rejoint. Tu ne sens pas même la présence dans ton dos. Celle qui vient subitement se coller à toi. Si tu sursautes dans un premier temps, t'as vite fait de te détendre. Les doigts sur toi sont bien trop tendres pour qu'il s'agisse d'une personne mal intentionnée. Enfin ... Tout dépend du point de vue. Peter est loin d'être le parfait petit innocent de base. Tu ne le sais que trop bien. Un gémissement bien involontaire s'échappe de tes lippes lorsqu'il attire fermement tes hanches contre son bassin. Tu ne souffles mots alors que tu retires les écouteurs de tes oreilles pour apprécier la voix chaude qui se fait murmure presque tendre.

Il suffit de sa voix profonde et de son bas ventre contre tes fesses, pour que ça crépite au creux de ton ventre.  Tes dents se referment sur ta lèvre inférieure alors que tu te retiens de te frotter plus encore à lui. Ce n'est pourtant pas l'envie qui manque. Loin de là. 1821 fois ? Que tu t'amuses, taquine, avant que ses doigts dans tes cheveux ne te forcent à tourner la tête vers lui. T'aimes bien trop le regard qu'il plante dans le tien. Tu peux presque la lire dans ses yeux, l'envie qu'il a de toi. Pourtant, tu n'as pas l'intention de te donner si facilement. T'aimes bien trop l'emmerder Peter. Voir l'éclair traverser ses prunelles quand l'orage s'abat brutalement sur son esprit. Pendant une seconde j'ai cru que c'était mon plan Tinder d'hier soir qui en redemandait. Que tu prétends en t'échappant de sa poigne avant qu'il n'ait eut le temps de réagir à tes mots. T'enchaînes en lui fouettant les fesses de ton chiffon qui fait apparaître une traînée de sucre glace que tu viens de faire disparaître du buffet. Tu joues l'innocente alors que tu t'éloignes déjà de quelques pas. Tu le sais possessif Peter alors t'en joues. Sans doute à te considérer un peu trop comme son objet personnel duquel il peut user et abuser à volonté.  Tu t'es faite à l'idée. Sans trop savoir ni pourquoi ni comment tu as pu accepter d'être réduite à ça. Sans doute parce que ça t'arrange toi aussi. De fréquenter un type qui ne sera jamais à toi. De ne pas avoir à t'engager dans quoi que ce soit de trop sérieux, alors que ce n'est aucunement ce que tu recherches et attends d'un homme.

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Message Sujet: Re: feu de bois ± Petail (hot)   feu de bois ± Petail (hot) Empty Sam 26 Oct - 5:43

feu de bois
abbigail&peter


« On bavardait sans dire un mot, le bruit de mon silence en dit long. Sentiments grandissants figeant l'ego, prison de mots, absence de compliments. J'suis en attente, en apprentissage, très peu sage, j'ai vu l'âge à la nage, je fuis l'alcoolisme. Sur la blanche page, j'agonise. Mille latences entre c'que je pense et ce que je dis, ce que j'obtiens et ce que je vise. Soit c'est le père ou bien le fils, soit la be-her ou bien la tise. Que la nightzer, ouais. Je sais c'que tu penses de nous, quand tu dis que tu n'sais plus quoi penser de nous. Je sais c'que tu veux vraiment, quand tu dis que tu n'sais plus c'que tu veux vraiment. Je sais qu'tu n'as plus le temps,


quand tu dis que tu penses qu'il te faut plus de temps.
»

T'en as rien à foutre du poids d'tes actions, t'sais juste que t'as certains instincts que tu te dois d'assouvir. Tu peux pas t'retenir bien longtemps t'façon, l'animal en toi, il ne peut s'calmer bien longtemps. T'es pas une bête qu'on peut dominer, apprivoiser pour la faire ployer à la volonté des uns et des autres. T'es furieux, tu t'débats comme un diable lorsqu'on tente ne serait ce que refermer un semblant d'emprise sur ta carcasse. T'es un prédateur, celui qui traques ses proies sans relâches pour trouver le moment opportun, celui où t'passes enfin à l'action. Tes serres s'referment avec violence alors que tu viens lacérer, éteindre à coup d'horreurs les âmes sur lesquelles ton dévolu s'est acharné. Les ténèbres font parties d'toi, la noirceur vient recouvrir ton myocarde d'une épaisse couche de suie pour lui donner une allure des plus effrayantes. Tu portes pourtant le masque du mouton, super héros lorsque tu t'en sens l'âme généreuse. Tu voles au secours de la femme et de l'enfant, secourant les innocents avec ta fausse amie la justice. Tu préfères laisser tes poings faire craquer les os, déchirer les moelles épinières pour laisser dans ton sillage un mont de cadavres s'empilant toujours plus. Depuis combien d'années Peter t'fais taire ces fils de putains s'pensant tout permis? Capable de tout, n'montrant aucune retenue? Bien longtemps.

Ton père, c'était ton coup de folie. L'déclencheur de tout ça, c'qui a fait qu'un r'tour en arrière n'était possible. T'l'as dégommé, tu l'as fais payer pour toutes ces années de souffrances, ces poignets qu'il laissait en miettes tout comme vos côtes bleuies. T'as encaissé, t'étais incapable que d'laisser Sinéad encaisser un tel traitement. Gamin rebelle, grande gueule pour ton plus gros malheur t'es venu t'nir tête à ton géniteur jusqu'à c'qu'il te pousse à ton tour à la folie. T'as ouvert grand la porte à tes démons, leur laissant l'plein pouvoir de ta carcasse. Quitte à survivre, tu s'ras celui qui écrase et pas la victime. T'laisseras plus personne vous faire du mal, t'lui as promis à ta soeur alors qu'elle sanglotait contre ton épiderme recouvert du sang d'la carcasse d'votre père fraîchement éteint. Fils de pute ayant enfin eu c'qu'il méritait, t'as été capable de t'arrêter uniquement pour la serrer dans tes bras, très fort celle pour qui tu pourrais tout donner. Aujourd'hui, c'est elle qui te souffle vers qui orienter ta colère. Duo infernal que vous formez régnant sur l'enfer réservé aux mortels, vous vous faites un plaisir à nettoyer les rues d'la grosse pomme. T'fais que du sale, t'y es habitué car c'est ton quotidien d'puis gamin. Marche ou crève, tu cognes ou tu t'éteins. Toi t'as décidé d'être ceux qui bouffent le monde, qui l'font danser du bout d'leurs doigts meurtriers. T'hésites pas, impitoyable laissant ta loi régner là où tu passes comme un assassin fou. Une âme pour deux.

Ce soir encore, c'est comme une bête féroce qu'tu fonces à toute allure au volant d'ta bmw flambant neuve. T'as l'amour des gros bolides, les gamos qui ronronnent alors qu'ton pied écrase l'accélérateur. T'aimes bien la Dodge du boulot mais t'as cette préférence pour les modèles allemand nettement plus agressifs comme tu peux l'être. Tout est pensé dans ta caisse, des jantes à l'intérieur. Ton bébé, presque autant qu'Volt profitant du siège avant pour haleter par la f'nêtre avant. C'clébard il t'ressemble, lui aussi il a fait la guerre. A tes côtés alors qu'vous filiez dans les territoires ennemis sous une pluie de bombes menaçant d's'écraser contre vos corps pour en faire une pluie sanguinolente. Au lieu d'ça vous avez réussi à rentrer indemne au pays, à vous faire décorer tous les deux. Ton chien, c'est un héro d'guerre autant qu'toi. Vétéran au même titre que bien d'autres. Sur l'front, alors qu'tout semblait désespéré pour ton plus grand des plaisirs alors que tu riais sous les balles fusant t'avais ton iench' et ta sœur pour t'tenir compagnie. Si vous veniez à caner ça aurait été ensemble. Bien loin d'votre patrie, de celle vous ayant adoptée également. Arabie en flammes, se déchirant inlassablement pendant qu'les conflits vont bons trains. Vous n'étiez là qu'pour jeter de l'huile sur le feu, venir faire mousser l'apparence des états-unis alors que vous n'étiez que très clairement qu'une escouade assassine venant éteindre la moindre personne se présentant au bout de votre canon encore fumant. Tu n't'es jamais autant fait plaisir qu'là-bas. Tuant sans limites ni restrictions.

Comme la raclure qu'tu peux être, tu joues de la facilité d'la porte arrière pour t'faufiler dans l'fournil de la jolie Abbi. Miel dans ta vie, plaisir coupable que tu t'offres sans aucune limites ni vergognes. Tu la dévores inlassablement, t'éprenant de ses courbes combien même votre relation vous est défendue. Premièrement car son géniteur s'veut être ton boss, chef dont t'es l'un des deux seconds. Ensuite parce que t'as cette étiquette du mec en couple, enchaîné à une histoire qui n'te ressembles pas et dans laquelle t'étouffe. T'es un électron libre, tu t'enfermes pas dans des stéréotypes et pourtant les années passant ne manquent pas d'venir faire gueuler comme une alarme interne t'menaçant qu'tout ça ne mène nulle part et qu'tu seras incapable de faire des gosses et d'aimer Nicola. T'en es pas capable, toi qui la trompes ouvertement et qui n'as pas cillé lorsqu'il a fallu envoyer son frère derrière les barreaux pour t'protéger de sa langue pendue. T'aurais pu l'crever sur les docs, là où vous aviez l'habitude de vous rejoindre pour vos petites passes. Mais t'avais ta belle dans la voiture, tu pouvais pas t'permettre de la traumatiser. Alors t'as cogné, encore et encore en lui promettant d'lui ôter sa misérable vie s'il venait à parler. La sienne et celle de sa sœur partageant ta vie d'puis quatre ans. T'hésiterais pas, si ça signifiait protéger tes arrières et celles de Sin.

Air chaud, humidité ambiante sûrement due au relent des fours ayant carburés pendant toute la journée. Magnifique dans sa robe rouge, furieuse tentatrice alors que son bassin se colle contre le marbre de son tour de fabrication pour mieux en nettoyer la surface tu viens t'accoler à elle sans un bruit ni mot pour mieux la surprendre dans sa tâche. Bassin contre sa croupe finement recouverte, doigts ancrés/encrés contre sa jugulaire pour mieux apposer ta domination c'est ta voix suave qui vient râler à son encontre. Qui sait ce qui pourrait arriver si un bâtard voulait venir lui voler sa recette du jour. Elle en a déjà fait les frais pas vrai? Insolente au possible, rieuse de son air si adorable elle ne manque pas de venir échauffer ton âme pour y semer le trouble de son soprano presque chantant. C'est finalement contre sa queue de chevale fièrement coiffée contre son crâne que ta paluche s'échoue pour mieux laisser vos opales s'exciter l'une l'autre. Tu la salue presque poliment, ne manquant pas d'envie que de venir gratifier ses lèvres mutines des tiennes alors qu'elles t'arrachent un frisson des plus désagréables. Un autre homme, un autre chien ayant les mêmes droits que toi. Ton hémoglobine ne fait qu'un tour dans ta carcasse alors qu'elle s'y échappe comme une voleuse.

Grognement s'échappant d'ta poitrine, violent et sourd alors que ta poigne se contente du rebord en marbre vient faire blanchir la jointure d'tes phalanges. T'as horreur lorsqu'elle se joue d'toi d'la sorte. Lorsqu'elle ne crève d'envie que d'te faire tourner fou, prêt à être interné. "Ah ouais t'es d'ces filles là?" Qu'tu feules rageusement, l'oeil prédateur porté sur sa proie pour mieux en guetter le moindre mouvement. Tu l'aurais su s'il y avait un autre que toi, t'es bien trop souvent à t'planquer dans ta bagnole en bas de chez elle pour mieux en surveiller les alentours. T'aurais pas manqué d'allumer l'premier fils de pute descendant d'son appartement l'air soulagé. Il n'y a que toi qui puisses déclencher autant de choses chez elle, il n'y a que toi qui puisses la faire tourner ivre de plaisir. "Tu vaux mieux que ça, bébé Powell..." Mieux qu'ta personne aussi Luci, mais c'est comme ça et pas autrement. Tu chasses l'espace qu'elle instaure entre vous pour mieux se dérober de toi alors que tu la forces à l'étreinte. Face à face, ton pouce trouve sa pommette et le reste de tes doigts te donnent la force suffisante pour l'embrasser à pleine bouche. T'as trop attendu pour pouvoir lui résister plus longtemps. Tes mains se veulent aventureuses tout contre elle, passant de ses cheveux à sa carotide puis de ses épaules à ses hanches non sans venir agacer sa poitrine à se damner. Elle pourrait bien te gifler pour marquer son refus qu't'en serais tout autant excité. Abbigail, elle déchaîne bien des choses en toi.

(c) DΛNDELION

@Abbigail Powell feu de bois ± Petail (hot) 2746359131  feu de bois ± Petail (hot) 2625458459
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Message Sujet: Re: feu de bois ± Petail (hot)   feu de bois ± Petail (hot) Empty Sam 26 Oct - 21:57

Feu de bois

Petail

I can't hold my ground. Not if you look me in, you look me in the eye.


C'est au rythme de la musique pop que t'as dans les oreilles, que tu fais rouler des hanches et que tu nettoies toutes les surfaces à ta portée. Tu n'as jamais besoin de feindre la joie et la bonne humeur. Ce sont des émotions tout ce qu'il y a de plus sincère chez toi. Tu es vraiment cette pétillante jeune femme qui n'offre que des sourires lumineux qui veut bien les intercepter. T'es sincère en règle générale. Si faire le contraire n'est pas plus avantageux pour toi. Parce que tu maîtrises tout autant l'art qui consiste à jouer la comédie, pour te sauver d'une situation ou pour faire en sorte qu'un truc prenne la tournure que tu espérais et attendais. Ce qui ne signifie pas pour autant que tu es méchante. Bien loin de là. Tu n'oublies simplement jamais de penser à ton propre bien être. Raison pour laquelle, sans doute, tu culpabilises assez peu lorsque tu penses à cette fille dont le petit ami est infidèle au possible. Toi aussi t'as connu les mauvais petits amis. Il n'y a pas de raison pour que tu sois la seule à avoir subit la chose. Et si après toutes ces années elle ne réalise toujours pas qu'il fréquente plusieurs autres filles, ce n'est pas à toi de faire en sorte qu'elle ouvre les yeux. A chacune ses difficultés et galères. Tu t'es promis de mettre fin à cette histoire s'ils venaient à se fiancer. Ou à avoir un enfant ensemble. T'en sais rien de la tournure que prendra leur couple. Tu ne l'interroges jamais à ce sujet. Tu te dois de rester en dehors de ça tant que tu le peux.

Un jour tu parviendras peut-être également à rester en dehors de la vie de Peter. Mais en attendant, t'es là. Ou plutôt, ce soir, c'est lui qui est là. Lui qui vient se pointer sans prévenir et se coller à tes courbes. Juste de quoi te faire tressaillir de panique. Avant que le son de sa voix ne vienne te rassurer quant à l'identité de la personne qui se permet ce genre de geste intime sur ta petite personne. Tressaillement qui se fait saut du coeur et brasier qui réchauffe le creux de ton ventre. Tu ne devrais pas être à ce point heureuse de le voir se pointer sans prévenir. Pourtant tu l'es. Et tu ne peux rien faire contre. C'est plus fort que toi. Tu joues avec le feu lorsque tu t'échappes de son emprise pour t'éloigner de lui. Il a ce petit côté effrayant du type totalement dérangé, qui te fait un effet certain. T'as bien trop souvent la sensation qu'il représente un véritable danger pour toi. Pourtant tu continues de le voir. A moins qu'il n'impose constamment sa présence. Tu ne sais plus vraiment. C'est qu'avec son tempérament et le caractère qui est le sien, Peter fait en sorte de toujours s'imposer. Sans se soucier de connaître ton avis. Trop accro ? Tu pars plutôt de l'idée qu'il aime avoir le contrôle et savoir qu'il peut faire tout ce que bon lui semble. Ce n'est pourtant pas faute de lui offrir une certaine dose de résistance de temps à autre. T'as déjà fait mine de vouloir lui nuire auprès de ton père. Simplement pour le punir de s'être un peu trop mêlé de ta vie personnelle à ton goût.

Tu ne manques jamais une occasion de le remettre à sa place. Ou du moins, d'essayer de le faire. Sa possessivité ne le fait rager que l'espace de quelques minutes. Après quoi il se calme et passe à autre chose. Une fois bien certain que tu n'es qu'à lui. Et ? T'es d'ces gars là toi. L'égalité des sexes, tu connais ? Non. Probablement pas. Sans doute que tu lui apprends quelque chose là. Que tu mentionnes un truc duquel il n'a tout simplement jamais entendu parler. Ce qui ne t'étonnerait pas tant, en effet. Peter c'est le mâle dominant par excellence. Celui qui n'hésite pas à user et abuser d'une nana un peu trop sympa qui veut bien se donner à lui. Une nana un peu comme toi. A la différence que tu ne te laisses pas tant faire que ça. Tu n'as pas facilement peur de ses sautes d'humeur. Tu ne crains ainsi jamais de lui tenir tête. Pas même lorsqu'il se veut menaçant. Sans doute parce que dans le fond tu ne doutes pas de lui. Tu sais qu'il ne te fera jamais de mal. Pas physiquement tout du moins. Pas avec l'intention véritable de te faire mal. Il ne lèvera pas la main sur toi. Et s'il venait à le faire, ton père se chargerait de lui régler son compte. Pourtant tu l'as vu s'emballer à quelques reprises Peter. Tu as eus l'occasion de le voir faire face à ses propres démons en flanquant son poing rapidement ensanglanté, dans la tronche de mecs qui n'avaient pas forcément cherché ça. Tu l'as vu faire. Et plutôt que de fuir, t'as tenté de le ramener à la raison.

Ce soir encore, t'as beau donner l'impression de vouloir le fuir, il a vite fait de te récupérer. T'as à peine fait quelques pas, qu'il est déjà à ta hauteur. Ses doigts se veulent étonnamment tendres sur ta pommette. T'aimes ce mélange de rage et de douceur qui sommeille en lui. Et ses lèvres qui viennent furieusement percuter les tiennes, t'arrachent un gémissement que t'es bien incapable de contenir. Ce n'est pas faute de le souhaiter pourtant. Juste pour l'emmerder, t'adorerais donner l'impression que tu t'ennuies. Au lieu de ça, t'es là à frissonner de la tête aux pieds. Incapable de lui cacher l'effet certain qu'il a sur toi. Ses mains se font déjà aventureuses sur toi. De quoi t'arracher un nouveau frisson. Tout comme ses lèvres qui ravagent les tiennes sans douceur réelle. T'aimes bien trop ça quand il perd le contrôle. Pour autant, tes mains qui viennent se loger sur ses épaules, ne se veulent ni douces ni séductrices. Tu cherches plutôt à le repousser. Pourtant, une fois ses lèvres décollées des tiennes, t'enroules tes bras autour de sa nuque. Toi même tu ne sais jamais trop ce que tu souhaites et attends de lui. Tout et rien à la fois. Rien et tout. L'une de tes mains délicates file se perdre dans ses boucles un peu trop longues pour tirer dessus et ainsi garder son visage vaguement éloigné du tien. J'ai pas terminé de tout nettoyer ... Tu m'files un coup d'main ? Que tu demandes, amusée à l'idée d'un Peter en train de frotter la surface des quelques meubles qui ne brillent pas encore suffisamment à ton goût. Juste de quoi le garder occupé quelques minutes supplémentaires, en attendant que tu sois partante pour filer en sa compagnie. Si vous quittez vraiment l'endroit ensemble. Tu n'es toi même pas sûre de la chose. Il n'a peut-être envie que d'une partie de jambes en l'air sur ton lieu de travail avant de filer à l'anglaise. Il est surprenant Peter. Pas toujours dans le bon sens du terme.

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Message Sujet: Re: feu de bois ± Petail (hot)   feu de bois ± Petail (hot) Empty Dim 27 Oct - 6:24

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« On bavardait sans dire un mot, le bruit de mon silence en dit long. Sentiments grandissants figeant l'ego, prison de mots, absence de compliments. J'suis en attente, en apprentissage, très peu sage, j'ai vu l'âge à la nage, je fuis l'alcoolisme. Sur la blanche page, j'agonise. Mille latences entre c'que je pense et ce que je dis, ce que j'obtiens et ce que je vise. Soit c'est le père ou bien le fils, soit la be-her ou bien la tise. Que la nightzer, ouais. Je sais c'que tu penses de nous, quand tu dis que tu n'sais plus quoi penser de nous. Je sais c'que tu veux vraiment, quand tu dis que tu n'sais plus c'que tu veux vraiment. Je sais qu'tu n'as plus le temps,



quand tu dis que tu penses qu'il te faut plus de temps.

»

T'es repassé par chez Sinéad sur le chemin, t'as gravis les marches deux par deux fidèlement accompagné par Volt que tu comptais bien lui déposer. C'pauvre chien n'a que trop de foyers mais jamais le tien. Stabilité que tu ne lui offres pas, ton malinois oscille entre les appartements de façon inlassable. Maître incompétent, trop assailli par la substance pour ne serait-ce que le caresser sans lui transmettre la poudre chimique que t'inhales sans vergogne par une simple caresse. Vous en avez vécus des trucs ensemble, les contrées arabes, le champ de bataille. Fidèle acolyte, soldat n'ayant jamais quitté tes côtés à chaque fois que vous partiez pour le front il était à tes côtés. Ses pattes agiles lui permettant de fouler le sol à rapides enjambées alors qu'il t'intimait le chemin à suivre, sinuant au travers des diverses bombes et obus que les forces ennemies déchargeaient sans aucune retenue contre le sol troué comme un vulgaire gruyère. Vous filiez sur les terres interdites pour mieux venir asseoir la puissance des stades de vote beau drapeau flottant au vent. C'était comme il y a une vie, tout ça. Bien loin maintenant.

Tu t'souviens que trop bien d'l'expédition de trop, alors que votre jeep roulait non sans douleurs sous le soleil écrasant. T'as quitté l'véhicule avec ton chien pour t'mettre à courir de ton côté te hâtant plus rapidement que le véhicule devant parcourir un terrain loin d'être plat. Semé d'embûches, Volt et toi ainsi que quelques gars avez réussi à rejoindre des bâtiments endommagés pour vous mettre à couvert. La surprise à était violente, sans appel alors qu'une lourde détonation suivie d'une déflagration est venue vous lécher vos épidermes de façon rageuse. Ils ont essayés, certains que de se rendre près du véhicule que les flammes léchaient goulûment. Il y a eu ce cadet, brasier humain réussissant à se hisser hors de sa prison métallique pour s'écraser contre le sable. Vous avez fui sans la moindre pensée pour vos camardes. Ils agonisaient que trop fort pour les survivants, la chaleur venant faire cloquer leur peau et laisser une odeur désagréable dans tes narines. Quatre. Vous êtes quatre à avoir survécu à cet incident si tu ne comptes pas ton malinois. Que trop peu comparé à une équipe de onze mecs tous plus furieux les uns que les autres.

T'es rentré au pays, t'as pris un long moment pour toi. Pour Sinéad qui t'avais rejointe au front alors que tu te battais comme un diable. Elle le savait que c'était une trop belle occasion pour qu'tu puisses ne pas t'être expérimenté. Toujours plus froid, impitoyable, sadique. T'as été embauché comme policier, représentant des forces de l'ordre. Quelle blague lorsqu'on sait quel monstre se cache sous tes traits, quelle créature ignoble peut venir hanter ta carcasse lorsque les ténèbres ne tombent. Passion pour l'hémoglobines, les râles désespérées alors que tes poings s'abattent encore et encore pour mieux défigurer les visages. Faire craquer les os de façon impatiente. T'aimes bien trop ça lorsque le sang vient jaillir, maculant ton visage de fines gouttelettes pendant qu'un air fou vient tirer tes traits. Que ton visage ne renvoie rien d'autre qu'une créature cruelle et affamée. Tu plus te contrôler, t'es comme un chien ayant goûté au sang ne demandant qu'à être placé pour l'euthanasie. Au lieu de ça tu te fais passer pour le héros défendant l'innocent, rôle qui te colle à la peau t'éloignant de ta part d'ombre ne demandant qu'à pouvoir prendre les pleins pouvoirs, te grignoter de l'intérieur pour ne laisser de toi que cette enveloppe vide et dénuée d'émotions. Se contentant d'enchaîner les jours après les autres sans broncher, sans faire de vagues.

Depuis t'es une âme errante, violente, dénuée de sentiments. Il n'y a qu'avec Abbigail que tu fais preuve de retenue. Beauté sucrée aux courbes plantureuses elle vient t'affamer depuis près de cinq ans maintenant. Aller et venant, disparaissant au gré de ses envies. T'as bien cru la perdre la première fois lorsqu'elle s'en est allée allant jusqu'à fuir le pays peu après votre rencontre. T'étais déjà bien trop accro toi Peter pour la laisser s'échapper, pour ne pas retenter ta chance lorsqu'elle et revenue pour se faire cambrioler son salon de thé flambant neuf. T'as volé tel un héros à ses côtés en choppant l'fils de putain ayant osé ne serait-ce que lui foutre la frousse. Tu t'es abattu contre sa couenne avec rage, cocard et nez déformé pour mieux asseoir ta dominance à son égard c'est penaud qu'il s'est fait embarqué après qu'tu l'ai forcé à faire ses excuses auprès de la belle. Dès les premiers instants t'as su placer tes pions, marquer tes points pour lui passer l'envie que de t'oublier. L'envie de te remplacer. T'as été animal dans vos étreintes, rassurant dans votre vie de tous les jours alors que tu ne lui demandais rien. Tu guettais inlassablement en dessous de sa fenêtre pour t'assurer de sa sécurité, savoir qu'elle ne viendrait pas se faire emmerder par d'autres que toi. T'as marqué ton territoire, t'as su planter le drapeau de ta bannière ondulant fièrement au gré du vent agitant vos carcasses alors qu'elles s'emmêlent.

Elle se joue de toi la Miss Powell, s'échappant d'ton étreinte pour fouetter ton cul d'son chiffon sali. Tu grognes, la regardes s'échapper pour mieux r'joindre ton corps le sien. Elle est trop brûlante, elle t'irradie et t'es incapable qu'de pouvoir lui résister. C'est impossible, elle a ce talent pour venir t'secouer furieusement. La blonde n'a pas manqué de te remettre à ta place, mentionnant l'égalité hommes-femmes un peu plus tôt. T'raffermis ta poigne autour/contre elle alors que tu grognes. "L'égalité voudrait justement que j'fasse rougir ton cul..." Qu't'évoques en roulant des orbites. Mais ses lippes t'appellent que trop, t'es incapable de ne pas y céder pour les saisir avec violence alors que ton pouce sur son visage se voulait tendre jusqu'ici. Lèvres qui se mêlent, halètement crée de votre perpétuelle recherche de l'un l'autre. Elle se dérobe, vient t'éloigner de quelques centimètres alors que t'aurais pu jurer la voir gémir de satisfaction quelques secondes plus tôt. Bras qui quittent tes épaules pour ta nuque, oscillant entre le vrai et le faux, l'envie et le déni. "J'passe mes journées à chasser les méchants et en plus de ça j'dois me taper le ménage?" Que tu grondes contre elle, venant soulever ses fesses de tes paluches puissantes que tu fais glisser contre le galbe de ces dernières. Tu la reposes sans aucun mal contre l'un des tours réfrigérés, espérant que la morsure fraîche contre son épiderme vienne la rendre un peu plus tarée d'vous. Tarée d'toi. "J'peux te filer un coup d'main autrement, si tu vois c'que je veux dire.." Tu pourrais presque paraître malaisant en t'imposant de la sorte entre ses cuisses, l'un de tes genoux ployant au sol pour mieux laisser ton menton barbu errer près des portes réfrigérées. T'embrasses la peau de ses mollets, de ses cuisses pour remonter un peu plus à chaque coup de lèvres tendues en sa direction. Lippes incontrôlables, instincts primaires.

(c) DΛNDELION


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Message Sujet: Re: feu de bois ± Petail (hot)   feu de bois ± Petail (hot) Empty Lun 28 Oct - 17:57

Feu de bois

Petail

I can't hold my ground. Not if you look me in, you look me in the eye.


T'aimerais être capable de lui résister à Peter. Quand il s'impose dans ta vie, dans ton appartement, dans tes draps, entre tes bras. T'aimerais que tes refus soient suffisamment convaincants pour qu'il se contente de faire sagement demi tour. Plutôt que de fondre comme tu finis toujours par le faire. T'es consentante. Tu l'es toujours. Un peu trop même. Trop à ton goût. Quand t'es pas avec lui, tu te dis que le mieux pour toi serait de mettre fin à tout ça. Parce que ça te frustre, parce que ça ne mène à rien, parce que t'as la sensation parfois que Peter pourrait finir par t'étouffer. Parce que très souvent tu prends conscience de sa trop grande possessivité. Relativement mal placée compte tenu du fait que de son côté, il ne se prive pas pour voir d'autres femmes. A commencer par sa petite amie officielle. T'as bien saisis qu'il n'était pas le genre d'homme à beaucoup se soucier de l'égalité hommes-femmes. Et tu ne t'en souciais pas tellement, tant que tu ne subissais pas cette possessivité maladive. T'as fait en sorte que ça devienne un jeu avec le temps. Un jeu pour toi. Quand tu mentionnes des aventures que tu n'as pas réellement. Quand tu prétends être en charmante compagnie pour le voir débouler dans la demi heure et subir ses punitions. Tu n'aimes pas être à ce point soumise à un homme. Et dans le même temps, tu adores ça. Parce que t'as pris goût au léger sentiment de danger qui vient avec lui. Les picotements qui se propagent le long de ton échine lorsque vos corps se percutent férocement.

T'en as déjà un nouvel aperçu de tout ça, lorsqu'il vient frôler ton corps du sien. Qu'il chercher à t'emprisonner de ses bras que tu sais de tatoués sous le tissu de ses vêtements. T'en as le souffle qui se coupe lorsque son odeur vient te percuter les narines. Tu prends pourtant toujours autant sur toi, pour ne pas trop lui montrer l'état dans lequel il parvient à te mettre. Tu te refuses à ça. Tu ne veux pas qu'il puisse encore jubiler. Tu ne veux pas constamment te donner à lui sans la moindre petite hésitation. Alors c'est la tête haute et le rire mutin que tu le fuis. Tu le sais que c'est juste temporaire. Que tu vas finir par succomber, comme tu succombes toujours. Tu peux quand même te faire croire le contraire. Juste un instant. Tu te veux joueuse et provocatrice quand tu t'éloignes un pas rapide. Pour le voir revenir à la charge dans la seconde, sans réelle surprise. De nouveau, le palpitant s'affole dans ta poitrine. T'espères pourtant qu'il ne l'entend pas. Qu'il ne lit pas non plus ton trouble dans ton regard que tu n'as d'autre choix que de poser sur lui. Il efface tout le reste de la pièce par sa simple présence des plus charismatiques. Il le sait. Il en joue. De ses charmes et de son physique avantageux. Monsieur Bouclettes. T'y perds déjà tes doigts alors que tu te pensais capable de lutter contre tes envies le concernant. Tes bras enroulés autour de sa nuque. T'as envie d'amplifier le baiser qu'il vient te donner / t'imposer. Rageur et gourmand. Et si je ne t'y autorise pas ? Que tu susurres d'une voix douce.

Tu te doutes qu'il n'appréciera pas ton idée qui consiste à le voir t'aider à terminer ton ménage. Tu t'y essaies quand même. Juste "au cas où". Sa réponse est d'ailleurs sans appel. Pour autant, tu hoches la tête de haut en bas, regard faussement innocent planté dans le sien. Ouiiiiiii s'il te plait ? Tu serais adorablement adorable tu sais ? Que tu tentes, avec tes grands yeux clairs qui se veulent suppliants. Tu le sais qu'il ne va pas craquer. Tu le sais surtout qu'il a bien d'autres choses en tête. Tu le reconnais ce regard qu'il a pour toi à cet instant. Chasser la saleté, c'est tout aussi drôle, non ? Que tu tentes toujours, mine de rien. Sourire toujours plus mutin qu'il aura vite fait de faire disparaître de ses lèvres sur les tiennes, comme il sait si bien le faire. Mais c'est un hoquet de surprise qu'il t'arrache lorsque ses mains viennent épouser la forme de tes fesses pour te soulever de terre. Sans difficulté il te porte tout contre lui pour aller te flanquer sur l'une des tours réfrigérées. De quoi te faire te tendre et te redresser. C'est froid. C'est le principe de la chose, soit. Mais c'est froid. Et tu le sais que ça lui plait à Peter de te faire ça. De provoquer la fraîcheur sur ta peau qui sera bien vite soulagée par son corps brûlant. Par ses lèvres joueuses. Par ses caresses provocatrices. Si t'étais sympa avec moi, tu me filerais un tas de coups de mains.

Mais tu te mords la lèvre quand il pose un genoux à terre pour être à hauteur de ton bassin. Ton regard s'assombrit alors que de nouveau tes doigts viennent taquiner la douceur de ses cheveux. T'aimes bien trop y perdre tes mains. Tirer dessus quand il t'offre bien trop de plaisir pour que tu sois capable de faire autrement que d'attraper ce qui passe par là. Tu les aimes ses bouclettes. Mais surtout quand t'y fous le bordel. C'est presque par réflexe que tu déplaces la jambe sur laquelle ses lèvres s'attardent. Que tu l'écartes un peu plus et libères l'accès. Il enflamme ta peau partout où il passe. C'est pas vraiment ce que j'appelle un coup de main ... Tu tentes encore de le taquiner, à ta façon. Alors même que t'es surtout sans dessus dessous. Encore. Que t'as la voix coupée par l'envie qui te tiraille de tous les côtés. Que t'as la respiration qui se raccourcit et s'alourdit. Que t'as le palpitant qui menace de s'échapper de ta cage thoracique à tout instant. Tes doigts ne tirent plus sur ses cheveux. Ils appuient sur son crâne pour l'inciter à poursuivre. Tu détestes ton corps qui trahit toujours tellement au moindre contact physique qu'il vient t'offrir. Tes paupières s'abaissent alors que tu te concentres sur toutes les sensations qu'il te procure. Tes tout autant consciente de son souffle chaud, que de la douceur de ses lèvres et la rugosité de sa barbe. De quoi te tendre et te crisper toujours plus alors qu'il abîme et cajole tout à la fois la peau délicate d'une cuisse tatouée. Un jour tu seras capable de le repousser. Un jour tu mettras fin à tout ça. Un jour, oui. Mais pas ce soir. Pas tout de suite. Pas encore. Il est trop tôt pour arrêter de profiter.

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Message Sujet: Re: feu de bois ± Petail (hot)   feu de bois ± Petail (hot) Empty Mar 29 Oct - 3:16

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« On bavardait sans dire un mot, le bruit de mon silence en dit long. Sentiments grandissants figeant l'ego, prison de mots, absence de compliments. J'suis en attente, en apprentissage, très peu sage, j'ai vu l'âge à la nage, je fuis l'alcoolisme. Sur la blanche page, j'agonise. Mille latences entre c'que je pense et ce que je dis, ce que j'obtiens et ce que je vise. Soit c'est le père ou bien le fils, soit la be-her ou bien la tise. Que la nightzer, ouais. Je sais c'que tu penses de nous, quand tu dis que tu n'sais plus quoi penser de nous. Je sais c'que tu veux vraiment, quand tu dis que tu n'sais plus c'que tu veux vraiment. Je sais qu'tu n'as plus le temps,


quand tu dis que tu penses qu'il te faut plus de temps.
»

Elle te rend fou, t'électrise de ses mots et te paralyse de son toucher. Sirène au chant plus que séducteur t'es incapable de résister lorsque Abbigail Powell est impliquée. Simple blondinette croisée au détour d'un couloir jusqu'à virer subitement à personne intouchable lorsqu'elle est venue te glisser que ton futur boss se retrouvait être son daron. Goût du danger éternel, son père pourrait bien être le président lui même qu'tu n'te gênerais même pas ne serait-ce qu'un peu avant de t'éprendre de sa progéniture. Bien trop belle, trop tentatrice pour que tu ne puisses y résister. T'es qu'un sale clébard, une gueule pleine de crocs ne demandant qu'à s'abattre contre son épiderme pour t'en régaler. Son odeur te rend complètement dingue, son sourire n'a de cesses que de te donner envie de le faire se pincer de désir, déformé par le bonheur que tu pourrais insuffler à un si joli corps. Dès les premiers mots t'as été subjugué parce que la blondinette pouvait avoir à offrir, t'as joué d'tes charmes en gonflant l'torse alors qu'son père venait gueuler dans ton dos pour t'ordonner d'rejoindre son bureau. Après ça elle a disparu de tes radars, pendant de longs mois hors de ta porté. Ca t'as rendu barré pas vrai Peter? De ne pas réussir à suivre sa trace, de n'pas être en capacité qu'de la retrouver. T'as dû faire preuve de patience, amassant un peu plus les pièces la constituant pour t'en familiariser en son absence. Mieux être en capacité de comprendre ta proie lorsqu'elle s'en reviendrait sur ton territoire. Patiemment. Sagement.

T'es un foutu connard depuis son retour, faut dire que t'imposes ta présence peu importe ses humeurs. T'as que bien trop souvent le dernier mot combien même la tatouée se veut rebelle, revêche lorsque tu tentes d'appuyer ta domination. Elle ne se laisse pas faire Abbi, se débat du mieux qu'elle le peut entre tes doigts encrés lorsque ces derniers viennent malmener son épiderme que tu n'apprécies que bien trop. Son parfum, les battements irréguliers de son myocarde lorsque tu te fraies un passage en elle sans aucune vergogne ni douceur ne cherchant qu'à lui arracher ces râles de plaisir qui te transportent dans une autre dimension. Elle a ce don pour canaliser la bête en toi, pour venir l'apaiser à coup de baisers et de coups de reins bien sentis. La blonde est comme du miel, elle vient adoucir c'qui est âpre et sucrer ce qu'il l'entoure le rendant moins amer. Elle a ce talent avec toi, l'insensible qui pourtant bien soin de cette dernière mieux que quiconque. Mieux que ta copine elle-même qui n'arrive pas à grand chose avec toi si ce n'est que cumuler les mensonges que tu lui offres et les plantes vertes que tu ramènes pour mieux faire pardonner ton absence. T'es irresponsable, incapable d'être humain, d'te contenter de Nikki. T'as toujours eu l'encrée en tête, venant triturer ta matière grise alors qu'elle se joue clairement de toi de ses mots dérangeants lorsqu'elle mentionne d'autres hommes. Tu pourrais bien tuer le premier connard tentant d's'approcher de ta blonde, tu l'ferais sans sourciller. Elle est à toi, qu'elle le veuille ou non tu n'lui laisses pas grand choix. T'es certainement pas c'qu'elle mérite, mais t'es le plus à-même de la protéger. Férocement.

Tu t'es introduis comme un putain d'bâtard en forçant la porte du fournil. T'es comme ça toi Pete, tu respectes pas les limites. Tu frappes toujours plus fort, vicieusement. Bientôt c'est la porte de son appartement qu'tu pourrais défoncer si elle venait à t'en refuser l'entrée. T'es une créature impitoyable, affamée à l'idée de t'éprendre de ta belle lorsque son dos se veut tourné. Tu t'imposes, tout comme ton corps pressant contre le sien. Bordel c'que son odeur te rend fou, que le goût de sa peau sur tes lippes pourrait presque te laisser sans voix. Est-ce là l'interdit ou tout simplement ce foutoir de ressentis qu'tu peux avoir lorsque tu t'trouves en sa compagnie. Ca s'bouscule dans ta tête, t'es incapable qu'de trier les informations et d'réagir de façon rationnelle. Combien d'mecs t'as pu coucher en sa compagnie d'un accès de colère alors qu'tu pensais les voir lui tourner autour? Ou ton beau frère alors qu'tu t'procurais un peu de coke et que ce dernier ne pouvait pas supporter la vue d'la blonde dans ta berline? T'l'as inculpé ce fils de pute menaçant ta situation. T'l'as contraint au silence sans sourciller. Outrage à agent, quel dommage pour une sous merde dans son genre. Quelques années à l'ombre, juste de quoi t'foutres la paix et lui donner envie d'garder le silence. Au risque d'voir sa peine s'rallonger. T'hésiterais même pas Luci. T'es qu'un enculé et t'en joues foutrement bien. T'as pas de pitié, encore moins pour ceux tentant d'te forcer la main. T'es plus fort qu'eux, t'as toutes les cartes dans tes mains pour régner sur la nuit comme un petit prince des ténèbres, fils du malin.

Elle te cherche Abbi, se veut féline comme à son habitude pour te déchaîner toujours plus. Comme si dans son fort intérieur elle cherchait à embrasser l'animal en toi. Tu t'retiens, putain qu'tu te retiens même lorsque tu fais violacer l'épiderme de ses fesses de tes mains rageuses. Pour la punir de son insolence, de son comportement désinvolte lorsqu'elle s'adresse à toi. Tu te nourris de ses gémissements, de ces râles de plaisir qu'elle tente de réprimer alors que tu finis par caresser le galbe de ses courbes rougies pour les soulager. Tu te veux nuances de gris en sa présence, ni noir ni blanc, juste une palette de teintes grisâtres allant des plus sombres aux plus claires. Elle est ying là où tu pourrais être yang, vous imbriquant parfaitement l'un dans l'autre dans des ébats endiablés. Elle fouette tes fesses d'un revers de fesses puis s'échappe. Félin affamé tu n'manques pas de chasser l'espace entre vous pour t'imposer contre elle ne lui laissant aucune fuite possible. T'auras le dernier mot, toujours Pete. T'es incapable qu'de la laisser filer, appartenir à un autre que toi. Embrassade contre ses douces lèvres dont tu te délectes, tu rebondis sur la question d'égalité des sexes mais elle se veut toujours plus tentatrice blondie alors qu'elle te susurres quelques mots agaçants. "C'est moi qui donne les autorisations, t'as oublié?" Tu feules, grave tout contre elle en raffermissant ta poigne contre son épiderme que tu rêves de dévorer inlassablement. Si une personne doit finir par avoir ta peau, ça s'ra elle.

Taquine, trop à ton goût elle ne cesse de parler de son ménage qui peut bien attendre quelques minutes si ce n'est le lendemain toi qui la sait cruellement maniaque lorsqu'on en vient à son laboratoire de fabrication. T'as eu que trop de fois l'occasion que de voir l'endroit reluire de propreté pour savoir que le reste peut attendre le lendemain. Elle perd le contrôle, tu l'sens alors que tes mains gagnent ses cuisses pour remonter jusqu'à ses fesses offertes à tes paluches tatouées sous sa robe rouge serrée contre son corps pour mieux en épouser les courbes. "J'vais t'en donner d'autres des coups d'mains tu verras qu'tu seras pas mécontente, Honey." Qu'tu appuies en jouant de son surnom pour ponctuer ta phrase sensuellement alors que tu aurais très bien pu le grogner tant tu t'sens affamé sur l'instant. Sans plus réfléchir tu viens la basculer contre ton bassin, tes bras supportant son poids-plume pour laisser ses fesses reposer contre le marbre réfrigéré. T'aimes la voir se raidir se tendre des méfaits que tu lui imposes par ton bon vouloir alors que tu ploies à genoux pour embrasser ses mollets, ses genoux, ses cuisses... Lippes tentatrices, canines venant érafler ici ou là pour te vouloir toujours plus lent et patient lorsque tu le veux. Sa poigne contre tes boucles t'encourage tout comme ses mots se voulant presque gémissants.


Toujours trop inquiète à propos de tes dix doigts, tu viens forcer contre l'étreinte qu'elle raffermit autour de tes mèches pour te proposer toujours plus de céder à la chaleur de son entre-jambe qu'elle t'offre peu à peu ne sachant lutter trop longtemps lorsque tu jettes ton dévolu de la sorte sur elle. "J'peux rajouter mes mains si tu veux Abbi..." Tu lances presque de façon inquisitrice alors que ta phrase se voudrait plutôt interrogatrice. Tu ne lui laisses pas bien le choix alors que tu laisses le loisir à tes phalanges meurtrières et tatouées la capacité de glisser lentement contre la peau des ses cuisses. Ton genoux quitte le sol, t'as que trop envie de te jouer d'elle. La laisser t'implorer de la prendre ici et sur le champs. Tu te contentes de remontrer tout contre ses lèvres en laissant les tiennes traîner contre son corps, cinq de tes doigts avides de la fournaise de son intimité commencent à gagner sérieusement du terrain. Ta main valide vient saisir sa crinière alors que tu te défaits de son emprise. C'est toi qui mènes la danse, c'est toi le pilote de vos échanges. "Tu sais, t'as qu'à demander..." Que t'insistes alors que ta main sur elle gagne finalement assez de terrain pour venir flatter la dentelle de son sous-vêtement couvrant ses hanches et bien plus. Cruel connard que tu fais à la chercher toujours plus, tes lèvres se perdent contre sa nuque alors que tu fais balancer son visage vers l'arrière. Elle n'a qu'à faire basculer son bassin si elle te désire, si elle tient à s'offrir à toi pour vos plaisirs mêlés.

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Message Sujet: Re: feu de bois ± Petail (hot)   feu de bois ± Petail (hot) Empty Mar 29 Oct - 20:13

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T'as aucune idée de la raison pour laquelle il continue de revenir à la charge Peter. Pourquoi il n'a de cesse de quémander ton attention alors même qu'il doit en attirer des tonnes des filles. Certaines sont forcément plus jolies que toi. Parce que tu n'iras jamais prétendre ou penser être la plus belle, la plus drôle, la plus sympa, la plus "quoi que ce soit". T'es juste toi. Tu t'assumes relativement bien. Tu te vis plutôt bien. Mais tu ne comprends pas pourquoi c'est toujours vers toi que revient Peter. Certainement parce qu'il aime avoir un peu de défis et que tes faux refus lui plaisent à tous les coups. C'est une relation malsaine dans laquelle tu t'es encore perdue Abbigail. C'est fréquent chez toi, d'être attirée par ce que tu ne devrais pas avoir. Par ce qui pourrait te faire du mal. Tu le sais que ça finira par arriver si tu continues de lui laisser tant de terrain. Lui qui s'imagine déjà pouvoir être le seul alors que la réciproque ne l'est pas. Tu le sais que ça finira mal. Tu sais, toi, de quoi t'es capable pour t'extraire d'une situation qui devient dérangeante et étouffante. Et lui aussi doit en être conscient. Combien de fois t'as menacé d'aller trouver ton père ? Parfois pour jouer à l'emmerder. Parfois avec un certain sérieux. Parce qu'il est déjà parvenu à te faire peur Peter, avec sa possessivité mal placée et maladive. Qui te dépasse complètement et que tu ne comprendras sans doute jamais. Trop souvent tu t'es sentie prise au piège avec lui.

Mais t'es sans doute un peu trop maso sur les bords Abbi. Parce qu'à tous les coups, tu le laisses revenir à toi. Tu ne devrais pas. Pourtant ce soir encore, tu te fais joueuse et taquine au lieu d'être sévère en lui refusant l'accès à ton corps. Il ne sait que trop bien te faire craquer. T'aimes bien trop le voir perdre la raison quand tu te joues de lui. Forcément que ça te donne bien vite l'envie de t'ouvrir et t'offrir à lui. Parce que t'es accro. Même si tu te refuses à l'avouer. T'aimes bien trop quand ses mains se font presque trop fermes sur ta peau encrée. T'aimes bien trop quand il te fait autant de bien qu'il te fait de mal, à toujours plus te malmener. Et il en est conscient du pouvoir qu'il a sur la gente féminine. Sur toi surtout, depuis pas mal de temps maintenant. Tu ricanes quand il pense utile de te rappeler que c'est lui qui "donne les autorisations". De quoi te faire lever les yeux au ciel surtout. T'arrêtes jamais de jouer au mâle dominant, hein ? Question rhétorique. Tu la connais la réponse depuis le temps. Non. Bien sûr que non il ne s'arrête jamais de faire ça. C'est lui. Complètement, entièrement et irrémédiablement lui. Tu ne sais même pas pourquoi tu t'en étonnes encore parfois. Tu ne sais pas non plus la raison pour laquelle tu trouves ça relativement adorable dans le genre. Plutôt que d'en être dégoûtée, agacée ou énervée. Toi, l'éternelle insoumise. La jeune femme célibataire et libre comme l'air.

Tu ris encore de bon coeur à sa nouvelle réponse. Tous les coups de mains qu'il souhaite te donner / t'offrir. Je t'ai quand même connu plus fin que ça niveau jeux de mots ... Que tu crois bon de lui faire remarquer, toujours aussi taquine, moqueuse et joueuse. Arrivera bien un jour où tu le feras réellement sortir de ses gonds Monsieur le policier. Lui qui semble être relativement calme quand il s'agit de toi. Tu l'as vu passer d'un état à un autre en un rien de temps, à quelques reprises. De la rage pure et dure à l'encontre de types qui ne l'avaient pas forcément mérité. A la douceur même pour toi une fois calmé. Une fois conscient que t'étais là. Toujours là. Que t'assistais à la scène. Tu n'arrives toujours pas à le cerner Peter. Malgré les années qui sont passées. Il existe sans doute un côté immergé de l'iceberg que t'es à mille lieux de pouvoir imaginer. Et tu n'as sans doute pas vraiment envie de le connaître dans le fond. Tu laisses échapper un nouveau hoquet de surprise lorsqu'il t'attire plus encore à lui, contre le rebord de la tour réfrigérée. Il se joue de toi et de toutes les réactions qu'il parvient encore à arracher à ton corps. T'en es consciente. Et tu ne peux surtout rien faire contre ça. Parce que tu ne contrôles pas grand chose quand il est question de lui. Et qu'il ne le sait lui même que trop bien.

T'as la chair de poule qui trahit les sensations qu'il te procure, lorsqu'il vient taquiner la peau délicate de ta cuisse de ses dents. Quand ce n'est pas de ses lèvres joueuses qui ne font que frôler. Et la peau rugueuse de ses joues et de son menton. Il aime faire rougir ta peau de ses délicieux/mauvais traitements. Et toi, tu ne fais qu'en redemander toujours plus. Il reprend la parole et se veut patient et dans l'attente d'une réponse. Alors même que dans le même temps, il est déjà en train de jouer sur ta peau. Il sait s'y prendre pour te rendre folle. Rien de neuf sous le soleil. Toi qui dois déjà te mordre la lèvre inférieure pour retenir une nouvelle plainte qui ne te trahirait que trop à ton goût. Tu ne souhaites pas lui offrir tant. Mais t'affiches une petite moue boudeuse lorsque, finalement, il se relève pour te faire face. Sa bouche est de nouveau sur la tienne alors que ce sont ses doigts qui se faufilent sous le tissu de ta robe. Pour poursuivre cette chaude exploration qu'a démarré sa bouche quelques secondes plus tôt à peine. Tais toi ... Que tu ronchonnes et ronronnes tout à la fois. Tes mains en appuie sur le meuble sur lequel reposent toujours tes fesses, t'enroules tes cuisses autour de lui. Et c'est sans douceur que tu l'attires à toi. Tu n'as que trop envie de profiter de son corps contre le tien. Alors même que tu te voulais fuyante. Mutine et joueuse tu voulais le faire languir. Te voilà déjà à répondre plus que favorablement. Tes mains sont froides lorsque tu viens les faufiler sous les couches de tissu qui ne le couvrent que trop à ton goût, pour aller trouver son torse que tu sais tatoué. Tu sais que je suis en train de me refroidir ... ? Que t'oses prétendre alors même que ton palpitant déchaîné se charge d'envoyer une sacré dose de sang dans l'ensemble de ton corps. Jusqu'à faire rougir tes joues d'ordinaire bien pâles.

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Message Sujet: Re: feu de bois ± Petail (hot)   feu de bois ± Petail (hot) Empty Mer 30 Oct - 4:30

feu de bois
abbigail&peter


« On bavardait sans dire un mot, le bruit de mon silence en dit long. Sentiments grandissants figeant l'ego, prison de mots, absence de compliments. J'suis en attente, en apprentissage, très peu sage, j'ai vu l'âge à la nage, je fuis l'alcoolisme. Sur la blanche page, j'agonise. Mille latences entre c'que je pense et ce que je dis, ce que j'obtiens et ce que je vise. Soit c'est le père ou bien le fils, soit la be-her ou bien la tise. Que la nightzer, ouais. Je sais c'que tu penses de nous, quand tu dis que tu n'sais plus quoi penser de nous. Je sais c'que tu veux vraiment, quand tu dis que tu n'sais plus c'que tu veux vraiment. Je sais qu'tu n'as plus le temps,



quand tu dis que tu penses qu'il te faut plus de temps.

»

T'es une crasse, une pourriture. Un terrain où l'bien et le mal s'affrontent pour trop souvent laisser l'horreur ressortir de tout ça. T'es une bactérie, un virus contaminant la race humaine tu prends plaisir à tirer ceux qui t'entourent vers le bas comme certaines de tes proies qu'tu prends un foutu plaisir à torturer psychologiquement pour les pousser jusqu'au point de rupture. Les faire manger dans ta main et chanter tes louages. Fils de putain incapable de ressentir la culpabilité comme le doute t'as l'sang trop chaud, bouillonnant dans tes veines comme les feu d'l'enfer dont ils ont cru bon d't'allier en t'donnant l'nom de leur roi. T'es la cruauté incarnée, t'éteins les âmes à tour de bras ou bien du bout d'ton calibre en laissant tes mains s'enduire de poudre. T'nettoies les lieux d'tes méfaits, disparition d'preuves comme si rien ne s'était passé. Aucun cri, aucune bavure, juste une rue nettoyée au peigne fin ou bien l'incendie s'déclenchant en pleine nuit à cause d'une fuite de gaz.

T'es devenu maître en matière d'assassinat, à force de traquer ces chiens sans codes ni lois. Même toi tu possèdes des règles, une conduite à tenir pour ne pas t'égarer ton profondément dans ton inhumanité. Tu n'butes que ceux qui possèdent du sang sur leurs mains. Hémoglobine d'innocents qu'tu t'casses le cul à les protéger en passant les rues au karcher jouissant d'ta position d'flic pour récupérer les informations plus rapidement. Foutu stratège assoiffé d'brutalité. Sous la peau du mouton s'cache un loup aux crocs acérés. Plus de dix ans maintenant, quelques années sur le front à défendre les intérêts de ton pays d'adoption comme ton géniteur il y a de ça une vie. T'as profité d'la possibilité d'tuer sans ciller pour devenir toujours plus cruel, furieux, violent. Les résultats de ton escouade étaient brillants, vous repoussiez l'ennemi sans aucun mal en regagnant du terrain de façon significative. Tu t'souviens de Volt courant à tes côtés presque gaiement alors que ton rire mauvais venait accompagner les sifflements graves des bombes explosant tout autour de vous. T'as vu l'jour pour défier la vie, tromper la mort quand tu le l'assènes pas. T'es né pourri d'l'intérieur, nourrisson promit à un destin des plus noirs. Ils auraient mieux fait d'te noyer, d'éviter qu'tu te développes. Maintenant il ne leur reste plus qu'à assumer d'avoir laisser une créature comme toi la possibilité de s'améliorer.

Lorsque t'es revenu au pays avec une jambe brochée et un bras en écharpe tu pouvais déjà t'estimer heureux qu'ton chien lui n'ai eu aucun dommage corporel et qu'il ai pu rester à tes côtés pour jouir d'une retraite militaire anticipée. Ils devaient avoir trop peur que de te renvoyer au champ de bataille pour te voir plus vengeur que jamais. T'aurais pas été en capacité d'te contrôler, Sinéad aussi avait demandé son rapatriement. Après tout elle n'était que médecin volontaire et si elle faisait ça c'était pour te surveiller encore et toujours. T'as dû t'faire à l'idée que ces glorieuses années de combat étaient derrière toi. T'as sombré à nouveau dans l'alcool ajoutant à ça les substances cette fois-ci. Juste de quoi t'foutres une camisole t'empêchant de mordre dès qu'une main se tend à toi. T'as un instinct détraqué, basé uniquement sur ta survie à toi et Sin'. Tu crèverais le premier salopard qui pourrait tenter d'ébranler les bases de ta vie. T'aurais fini dans un caniveau à succomber après une énième bagarre de bar si t'avais fini fils unique. T'aurais pas survécu sans elle, t'aurais craqué en donnant à tes sales travers les pleins pouvoirs de ton âme pour la grignoter toute entière ne faisant de toi qu'un monstre. Elle est ton repère, ton phare lorsque t'as besoin d'un éclat de lumière pour te rappeler qui tu es vraiment. Celui qui l'as toujours protégé, envers et contre tout. T'le feras jusqu'à ton dernier souffle, t'lui as promis mainte et maintes fois.

C'qui te frustre autant au sujet d'Abbi, c'est que tu n'as aucun contrôle sur elle. T'en as jamais eu et tu n'en auras sûrement jamais. T'es bien trop féroce et elle bien trop revêche. Elle passe le plus clair de son temps à te rendre complètement dingue, à t'faire vriller alors que sa langue vient t'claquer des immondices au visage. T'peux pas supporter l'idée d'la voir entre les bras d'autres hommes. T'peux pas laisser la chance de la voir souffrir, s'faire blesser par une autre sous-race dans ton genre sans aucun scrupules. T'sais qu'il n'y en a que trop des bêtes de foire dans ton genre. Tu t'retiens constamment en sa compagnie, combien même elle déchaîne des folies qu'tu pensais être incapable qu'de ressentir un jour. Des trucs qu'tu peux pas nommer, des choses qui t'secouent plus fort que jamais alors que t'n'as qu'une envie Pete, c'est que de raffermir ton étreinte contre elle pour n'jamais la laisser filer. Alors tu la possèdes inlassablement en lui arrachant des plaintes des plus folles juste pour la punir de te menacer de parler à son père de tes agissements. T'sais très bien qu'elle ne le fera pas, car Papa Powell s'rait que trop mécontent de tout ça et elle aussi s'mangerait sûrement un savon peu importe le fait qu'elle soit la fifille chérie à son daron gaga. Juste pour l'erreur qu'elle a commise qu'en s'laissant approcher par la p'tite merde que tu r'présente. Aux yeux du vieux grognon, t'seras jamais assez bien ni méritant lui qui connaît ton caractère sulfureux et tes difficultés à suivre les règles qu'on t'impose. T'y peux rien, t'es comme ça.

"Mais JE suis le mâle dominant. Et aux dernières nouvelles ça n'avait pas trop l'air de t'déranger la dernière fois qu'mes menottes caressaient la peau douce de tes poignets." Tu r'vois la scène que trop bien, ta beauté gesticulant sous l'effet de langue furieuse sur ses chaires intimes détrempées. Rien que d'y r'penser d'autres images bien salaces t'viennent en tête n'ayant aucun mal à faire gonfler le désir entre tes jambes déformant peu à peu ton futal hors de prix. T'as vite fait d'remonter tes baisers le long de ses cuisses pour finalement t'arracher à la chaleur ardente de la pâtissière se voulant presque rabat-joie quant à ton humour. Quoi, si elle veut t'peux lui donner autant d'mains qu'elle le veut. Tu t'veux bon prince lorsqu'il s'agit d'l'amener aux portes de la jouissance pour qu'elle puisse y exploser en une petite centaine de particules scintillantes tintant ses opales claires. Rien que pour la punir un peu d'son affront quant à ses moqueries soufflées car bien tendues par l'effet qu'tu lui procures tu n'prends même pas la peine de souligner ce petit détail fâcheux combien même tu comptes lui faire payer d'une claque sonore sur son cul magnifique te rendant fou. Clébard avide de sa belle. Forcément qu'le fait qu'tu laisses ta bouche et tes dents s'remplacer de tes doigts visiteur vient déplaire fortement à ta douce Honey arborant une mine presque boudeuse, déconfite. Tu la tentes de quelques mots adressés contre sa jugulaire battant contre tes lippes alors qu'elle t'intime de te taire pour mieux continuer ce que t'entreprends. Éternelle impatiente quand elle le veut pour mieux t'faire brûler d'l'intérieur.

Elle s'impatiente, furibonde dans son coin comme un petit chat agacé. Sans aucune douceur elle vient t'attirer toujours plus contre elle, ses jambes enroulant ton bassin. Le visage rougit par la chaleur que tu dois faire brûler en elle, la belle tente de tromper tes instincts en prétendant se refroidir. "Ah oui tu t'refroidis?" L'une de tes mains impatiente vient défaire ta ceinture et déboutonner le bouton de ton pantalon puis la braguette de ce dernier pour laisser à ton membre de respirer un peu plus alors que ce dernier se voulait que trop comprimé entre tes couches de vêtements que les doigts frais d'Abbi tentent de défaire pour se frayer un chemin contre ta peau au moins aussi encrée que la sienne. Tu t'appuies contre son entre-jambe, t'y frottes furieusement et sans aucune retenue. T'as pris l'soin d'remonter sa robe vermeille jusqu'à son bassin pour te délecter un peu d'la pièce de dentelle s'offrant à ta vue. T'prendras pas l'temps que d'faire sauter l'bout de tissu, tu t'enfonceras en elle d'un coup de rein puissant t'contentant de déplacer l'obstacle sur le côté pour mieux gagner du terrain en la blonde qui ne manquera pas de se raidir de ta possession soudaine. "Dis le Abbigail. Dis le qu't'en as envie." T'aimes bien trop ça lorsqu'elle te demandes de rapprocher vos corps de cette étreinte parfaite vous liant l'un à l'autre. Et dans un sens t'attends toujours son feu vert combien même tes phrases se veulent inquisitrices. Tu veux pas lui faire du mal, tu n'veux pas blesser son âme. Tu t'le pardonnerai pas Pete. Quelques mots de sa part suffiront à vous faire basculer au septième ciel. L'une de tes mains cramponne ses mèches, visage vers l'arrière alors que tes lèvres tentent les siennes à quelques millimètres.

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Message Sujet: Re: feu de bois ± Petail (hot)   feu de bois ± Petail (hot) Empty Ven 1 Nov - 12:02

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T'es consciente de ne connaître qu'une partie de la personnalité pour le moins dérangée du beau mâle qui est en train de se perdre tout contre toi. De ne connaître que ce qu'il veut bien te montrer et une partie des choses qui échappent parfois à son contrôle. Comme la violence qui semble l'habiter de façon constante. T'as déjà eus l'occasion de le voir devenir totalement dingue et se calmer uniquement à ton contact ou au son de ta voix. Si ça n'avait pas été le cas, ça ne fait aucun doute que tu aurais simplement tourné les talons et te serais fait la malle sans demander ton reste. T'as parfois eus brièvement peur de cette rage. Pas au point d'en être tout à fait traumatisée non plus. Mais tu songes parfois que ton ignorance t'aide certainement à ce niveau là. Que si t'étais un peu plus au courant de tout ce qu'il fait et de tout ce qu'il est, tu n'assumerais qu'à moitié et ne supporterais carrément pas/plus sa présence à tes côtés. Tu n'es pas si courageuse que toi, même si ça te coûte de le reconnaître. Toi tu mènes une vie relativement tranquille et à peu près loin des problèmes. Et avoir un père flic t'arrange finalement pas mal. Tu le sais qu'il sera là sans l'ombre d'une hésitation, si tu ressentais le besoin de le voir débarquer pour te sauver de quoi que ce soit. Ou de qui que ce soit. Quoi qu'il en soit, tu t'amuses encore bien trop souvent à provoquer le tatoué qui ne manque jamais de te punir sur le plan sexuel. Et uniquement sur ce plan là.

Et fort heureusement d'ailleurs. Bien trop souvent t'es consciente de son pouvoir. Tu sais qu'il pourrait te détruire s'il le souhaitait. Qu'il pourrait te faire vraiment mal si l'envie lui prenait. Pourtant, il n'en fait jamais rien. Il s'assure toujours de pouvoir te posséder toute entière. Surtout lorsque vous vous laissez aller à vos envies physiques les plus primaires. Et tu te laisses toujours faire sans rechigner. Parce que c'est bon. Parce que tant que t'y prends toi même plaisir, tu n'as aucune raison de t'en priver. Et il ne manque jamais de te rappeler comme c'est bon à tous les coups entre vous. Il s'amuse même à faire mention de certaines de vos séances de jeux. De quoi t'arracher un bref grognement mécontent. Il n'aime que trop te provoquer et te taquiner. Parce que tu refuses d'être malmenée et guidée par un homme dans la vie de tous les jours. Mais que tu te laisses malmener bien volontiers par ses mains et son corps tout entier lorsqu'il te possède. Toujours trop fort et fougueusement. T'aimes beaucoup trop quand je suis à ta merci, pas vrai ? Que tu fais remarquer d'une voix douce et caressante. Le sourire qui s'accentue lorsque tes yeux viennent se poser sur la bosse révélatrice. Tu t'amuses à le voir et à le savoir dans tous ses états à cause et/ou grâce à toi. Parce que tu es toujours, toi même, dans tous tes états par sa faute.

Il passe son temps à plastronner Peter, pourtant, c'est loin de te déplaire. T'aimes le voir faire son beau devant ton père. Parce que ça t'amuse. T'aimes tout autant lorsqu'elle vient le faire devant toi pour te rappeler qu'il peut bien te faire ce que bon lui semble. Dans le fond, ce n'est pas faux. Tu ne peux pas le nier. Et s'il te prend l'envie de nier la chose, il a vite fait de bien se rappeler à tes bons souvenirs. Parce qu'il le sait Peter, tout l'effet qu'il te fait depuis le début. Parce que si ce n'était pas le cas, t'aurais mis fin à tout ça il y a bien longtemps. Au lieu de ça, tu le laisses toujours plus revenir à toi. Toujours sûr de lui, toujours conquérant, toujours possessif. Et c'est bon tant que ça te fait vibrer de l'intérieur et trembler de l'extérieur. Tant que tu n'as de cesse que de te réchauffer à son contact dévorant et ô combien jouissif. Tu ne peux déjà retenir un bref hoquet de surprise, de hâte et de désir mêlés, alors qu'il ne fait rien d'autre que faire sauter le bouton de son pantalon et la fermeture dans la foulée. De quoi libérer son désir. Tu t'en mords déjà la lèvre inférieure tant ça a le don de te faire un effet dingue. C'est plus fort que toi. Tu pourrais bien lutter de toutes tes forces, que l'effet serait quand même celui là. Mais qu'est-ce que t'y peux, toi, s'il est à ce point sexy Peter ? S'il sait si bien te faire tourner en bourrique et te rendre dingue ? Tu ne peux tout simplement rien faire contre ça, c'est un fait. Juste te laisser emporter par ces incessantes vagues de désir.

Plus tellement en fait ... Que tu consens même à souffler du bout des lèvres, avant de ramener ton regard brillant de désir sur son visage qui te surplombe. T'as le palpitant qui loupe quelques battements tant il t'apparaît beau et sexy en cet instant. Tant tout ton être ne souhaite rien d'autre que de le voir se coller plus intimement encore à ton corps. T'es bien incapable de faire quoi que ce soit lorsqu'il vient se presser davantage encore à tes courbes. Que ses doigts ont pris le temps et le soin de faire remonter un peu plus haut ta robe moulante pour libérer l'accès au coeur même de ton intimité. T'as toujours les yeux posés sur son visage. Tu te délectes de l'expression qu'il affiche pendant ces moments là. Sa concentration extrême et l'envie que tu peux lire également sur les traits parfaits de son visage. Sa voix chaude vient agréablement te chatouiller les oreilles et la peau. Et te faire frissonner dans le même temps. Les muscles de tes jambes se crispent alors que tu raffermis la prise/emprise autour de lui. Tu n'es déjà plus que gémissements lorsqu'il te demande ton accord. Son souffle chaud qui vient caresser tes lèvres ne t'aide de toute façon pas du tout à te raisonner alors que tu hoches positivement la tête. J'en ai envie. Toujours. Que tu daignes enfin souffler, tout bas. Tous les sens déjà que trop en alerte. Déjà que trop conscients de ce qui va suivre et de l'effet saisissant que ça va produire chez toi/ en toi. Vous jouez à ce genre de jeux tous les deux, depuis trop longtemps pour qu'il ne sache pas à quel point t'es incapable de lui résister.

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