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 sex, breakfast for champions (sasha)

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Message Sujet: sex, breakfast for champions (sasha)   sex, breakfast for champions (sasha) Empty Mer 22 Mai - 17:29

Il est encore tôt. Tu le sais parce que le quartier dort encore. Pas un bruit, seul le ballet des camions poubelle qui résonnent au loin, des vas et viens en bas des tours. Pas un bruit dans la tienne, pas plus que dans l’appartement. Tout le monde dort encore, et le silence te bourdonne aux oreilles, interrompu en phase régulière par le ronronnement du réfrigérateur. Tu soupires, les yeux rivés sur les lézardes du plafond, secoue ton poignet pour lire l’heure sur ta montre. 6:11. Il est tôt, mais tu sais que le sommeil t’a abandonné pour ce matin. Dans un énième souffle tu te redresses, reste un instant assis sur le canapé, la tête entre les mains. Voilà deux semaines déjà que vous l’avez enterré, y a du mal à y croire, du mal à sortir la tête de l’eau. L’impression de nager dans un océan bien trop grand. Tu relève la tête sur l’écran noir du téléviseur, les portraits encadrés de chaque côté. Il est là, le sourire fendant son visage de gamin, les dents alignées, une manquante au milieu. Il devait avoir cinq ou six ans sur cette photo de classe, mais tu te rappelles encore de son excitation quand sa première dent est tombée, l’envie de le montrer au monde entier. Il était en train de devenir un grand, et il aimait ça. Ça a toujours été son problème à Malcom, de vouloir grandir trop vite. Tu te lèves sans un bruit, traverse le couloir jusqu’à la salle de bain. Pencher au-dessus du lavabo tu t’asperges d’eau, t’observe un moment dans le miroir. Le manque de sommeil creuse tes cernes, passe ton teint plus terne. Ça remue derrière toi, une porte qui s’ouvre, le sol qui craque et la silhouette d’Angie qui apparaît derrière toi. Ses yeux te questionnent tout en t’observant, le silence l’aide dans sa contemplation. Elle dit des mots silencieux, des mots qui veulent dire qu’à elle aussi il lui manque, qu’elle non plus elle ne comprend pas, et qu’il est mauvais que tu t’en veuilles autant. Tu restes un moment en appuie sur la vasque avant de te retourner, contourner ta sœur en l’embrassant sur la joue, quitter la salle de bain, puis l’appartement.

Il est encore tôt, tu profites du matin levant pour t’engouffrer dans le métro, croise le regard des quelques personnes, qui, comme toi sont tombé du lit. Chassé croise des travailleurs de nuit et autres courageux. Bercé par les mouvements des rails, tu te laisses transporter à l’autre bout de la ville, quitte le quartier, retrouve le niveau zéro et la fraîcheur du matin. Le premier café tu le bois sur place, double expresso très sucré, le deuxième tu le prends à emporter. Un pour toi, un pour Sasha. Les pancakes qui vont avec. Tu sais bien que ça la fera pas oublier la nuit que tu as passée loin d’elle, cette distance imposé depuis le décès de ton frère, tu sais bien qu’elle t’en voudra, mais tu nourris l’espoir qu’elle t’accueille tout de même avec son sourire qui réchauffe ton cœur. Tu fais tourner la clé dans la porte, découvre un autre appartement encore endormi. Les cafés sur la table de la salle, tu libères tes pieds, enlève ta veste, ouvre la porte et découvre le spectacle fabuleux de ta belle endormie. Si t’avais ton Polaroid sur toi, t’en profiterais, ferais crépiter l’engin pour garder ce petit carré de pellicule avec toi. en permanence. tu t’approches, le sourire accroché aux lèvres, tu t’allonges là, à coté d’elle, dans son lit. tes doigts s’emmêlent autour de ses mèches, ta bouche cherche son cou, s’y niche pour l’embrasser, respirer son odeur, t’imprégner d’elle. “j’ai ramené du café”, un soupire contre sa peau, tu passes une main sur sa taille pour la serrer contre toi, corps contre corps, “et des pancakes”, t’espère que ça suffira pour lui donner envie de se lever, de t’enlacer, de t’embrasser et surtout de t’aimer encore.
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Message Sujet: Re: sex, breakfast for champions (sasha)   sex, breakfast for champions (sasha) Empty Jeu 23 Mai - 3:54

Ton petit ami. Ça fait bizarre. Tu pensais jamais qu'il deviendrait ça. Tu pensais que c'était cool ce que vous aviez ensemble, qu'il était tout doux, mais tu pensais pas que vous seriez ensemble, ensemble. Why not. Tu l'avais annoncé à deux de tes amis, mais t'étais pas douée dans ce genre de truc, toi. Les annonces, les aveux, tout ça. Surtout que bas, c'est comme si être ensemble, ça vous avait éloigné quelque part. Parce que depuis qu'il était ton amoureux, Rio ne dormait plus à la maison. Et ça, ça te dérangeais profondément  T'avais de plus n plus de mal à le laisser partir le soir. Tu prolongeais, le perdais dans des baisers, te cherchais des excuses dans le mélange de vos peaux. Sauf que ça fonctionnait jamais. Et que ça brisait ton coeur un petit peu, chaque nuit, quand tu partais bouder sur le balcon quand il quittait. Que tu laissais quelques sms passer sans réponses avant de te décider à lui parler. Ta façon de protester, sans le perdre. Parce qu'il ne le savait pas, mais il était la dernière chance que tu prenais. Le dernier copain que t'aurais. Si tu ne finissais pas ta vie avec lui, tu ne finirais ta vie avec personne. Peut-être pessimiste, oui, mais il était le dernier à qui tu donnerais jamais la chance de briser ton coeur. Et quelque part, t'avais confiance. Il était tellement bon, tellement gentil, tellement doux. Fini les badboys, les don juans, les types sur qui toutes les autres filles bavent. Non, parce que Rio il s'en fout. Il est cool et tout ce qu'il veut s'est aider les gens, sa communauté et ça tu trouves ça fucking noble. C'est un peu ce que tu veux faire avec tes films. Que les gens différents, peu représentés au cinéma, se découvrent sur des écrans, s'associent à ses personnages, trouvent un reflet réconfortant, une espoir qui réchauffe le coeur, une illumination, l'impression de ne pas êtres seuls.

Vous avez deux causes nobles, sauf que la sienne t'entraînes loin de toi. Un peu comme ton premier copain, qui avait été poussé à plusieurs états de toi. C'était pas si mal. Sauf que seule, enroulée dans tes draps, à forcer ton tigre de chat à rester collé contre toi. Il finit par s'enfuir aussitôt que t'es un peu assoupie. Te laissant toute seule, à cauchemarder. Dormir sur le côté, position foetale. Rêver que tu te lèves, descend de ton lit, seulement pour te retourner et voir ton corps là, qui dors, toi de l'extérieur. Tu paniques et tu retournes dedans. Et quand tu retournes, t'es prise, prise sur le côté, tu trembles, tu sens ton corps engourdis pas milles fourmies dedans, t'es convaincue que tu vas crever. Non, tu finis par revenir à la vie. Tu trembles encore, tu fixes ton portable dans message, l'heure tardive. T'aimerais qu'il soit là, que tu puisse te consoler dans ses bras plutôt que de devoir le faire seule, comme une grande. Tu fixes le plafond, longtemps, après avoir allumée la lampe de chevet. Tu laisses tes pensées traînées, tu finis par retrouver le sommeil, malgré tout.

Heureusement que le réveil est plus doux. Tu sursautes doucement quand la porte se déverouille. Tu penses même pas à lui, penses que c'est surment ton coloc. Tu te refonces dans les couvertes, ou du moins, pour les parties de ton corps qui ne sont pas découvertes. Tu te rends même pas compte que ta porte s'ouvre et que quelqu'un s'engouffre. Tu stresses même pas, quand une main se glisses dans tes cheveux, tu te réveilles doucement, viens te frotter contre les doigts, quand des lèvres se glissent contre ta gorge, que t'ouvres un oeil, remontant tes petites mains dans sa multitude de boucles dans lesquelles tes doigts se perdent. T'oublies que tu t'es endormie fachée. Surtout avec du café, des pancakes et son grand corps posé contre le tien. Tes petites jambes aux grosses cuisses qui l'entourent quand tu bouges mollement, cherchant ses lèvres du bout de tiennes, les yeux encore fermés, le t-shirt pas trop bien en place contre ta poitrine. « Ça c'est un petit amour qui veut s'faire pardonner, hein ? » Que tu le nargues, les yeux enfins entrouverts pour venir tappoter le bout de son petit nez couverts de sa galaxies de taches de rousseur. Il est beau, ton copain, son visage entre tes mains. « Prochaine fois champagne et croissant, s'te plait ! » Que tu le taquines. T'as pas besoin d'un champagne, ou sinon, pas un champagne cher. T'as pas envie de commencer un débat sur l'inéquité. Même si t'es le genre de creep à laisser tomber au milieu d'une conversation que si vous tuiez tout les billionnaires, vous n'aurez plus à vous inquietez de manquer de quoi que ce soit. Ses gens dont il s'occupe, souffrirait beaucoup moins. Et lui, il ferait quoi ? Il aiderait autrement, parce que y'a toujours des gens qui vont pas bien, c'est clair. Tu veux plus te prendre la tête, alors tu viens l'embrasser et tout oublier contre sa bouche. Pressant son corps contre le tiens pour te réveiller, mieux, encore.
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Message Sujet: Re: sex, breakfast for champions (sasha)   sex, breakfast for champions (sasha) Empty Jeu 30 Mai - 20:35

Les réveils sont difficiles, et pourtant, depuis toujours, t’aiment te lever avant les autres. t’aime ça, le matin qui se lève, le soleil encore jeune, la lumière encore douce. Des matins calmes, où rien ne vient perturber ton réveil. Pas même le bruit des murs qui tremble, pas même les sirènes qui hurlent, ou les portes qui claquent, pas même les cris des voisins ou les chamailleries de tes frères. non, rien qu’un silence abrutissant qui bourdonne à tes oreilles, soulève tous les petits bruits de la vie, le frigo qui ronronne, le plancher qui craque, le lit de maman qui grince. tu te levais tôt avant par nécessité, pour préparer le petit déjeuner de tes frangins, le déjeuner, les cartables, les préparer eux, puis c’est devenu une habitude, et presque un besoin. c’était aussi la seule façon d’avoir rien qu’un peu de temps pour toi, de profiter de l’appartement avant l’agitation et les cris. Enfin, il en est devenu autrement quand tu as commencé à découcher, à goûters à un autre appartement, à un autre quartier, a dès matin plus doux, enveloppé dans les bras de ta petite amie, dans un cocon d’amour. Ça te manque ces matins-là, de te réveiller dans les cheveux emmêlés de ta belle, dans l’odeur du café et des toasts grillés, de son parfum à elle. c’est pour ça que tu tardes pas chez toi, vite préparer, tu quittes le quartier, l’appartement, pour la retrouver elle. après t’être assuré que ton foyer survivra, que m'man se jettera pas du haut du cinquième, que Sierra finira pas sur le bitume, tomber sous les balles.


tu te glisses contre elle, ton corps contre le sien, sa chaleur faisant frisonner ta peau. une main sur sa hanche pour la garder là contre toi, au cas où elle voudrait s’enfuir, au cas ou où matin la elle te voudrait voudrais un peu plus. tu sais bien Rio. tu sais bien que la situation la pèse, qu’elle n'aime pas ça te voir partir tous les soirs, diner ensemble et puis t’enfuir pour rejoindre ton appart maudit, dormir -mal- sur un canapé trop usé, t’inquiéter -trop- pour une famille qui survit bien sans toi. tu sais bien qu’elle n'aime pas ça Sasha, quand tu l’abandonnes, la quitte toute seule dans son lit trop grand. et ça te rend triste de la savoir triste, t’aime pas ce sentiment de causé autant de peine, alors que tu’aimerais juste satisfaire tout le monde. elle se réveille, doucement, s’accroche à ton cou, s’accroche à tes lèvres. murmure quelques mots qui te font sourire. oui tu veux te faire pardonner. pardonner de quoi au juste ? d’être un bon frère ? tu ne dit rien, ricane seulement à sa demande. “champagne et croissant ? comme les françaises ?”, tu n'as jamais quitté new york, qu’est-ce que tu’en sais au fond de ce que prennent les Français au petit déjeuner ? elle s’approche Sasha, t’offre un baiser de bon jour, de bon matin, de pardon peut-être. Tu perds une main dans sa chevelure folle, l’autre attrape sa taille pour la faire basculer sur toi, ton dos confortablement installé dans son lit, tu l’observes en contrebas, tes yeux qui détail les siens, caressent une joue en replaçant une mèche. “T'as bien dormis ?”, tu te redresses rapidement, capture un rapide baiser avant de retrouver l’oreiller, “t’as pensé à moi ?”, t’espère bien, parce que toi tu penses à elle, même si elle t’en veut, même si elle aurait sans doute préféré que tu sois là, avec elle, et pas à l’autre bout de la ville.
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Message Sujet: Re: sex, breakfast for champions (sasha)   sex, breakfast for champions (sasha) Empty Mar 4 Juin - 0:03


Ça te manque, vos matins à vous deux. Les matins avant que vous ne soyez un couple. De te réveillée parfaitement encastrée dans son torse, comme si tu n'avais pas bougé de la nuit, sa main contre ta cuisse ou le bas de ton dos. Les concours de qui se réveillait en premier, que souvent tu perdais. Au moins tes matins pouvais commencer sur un Rio souriant, de l'amour plein les yeux, les lèvres prêtes pour les tiennes, de ses baisers tendre dont ton petit avait le secret. Parfois tu te réveillais avant lui, essayais même de le faire, pour le regarder dormir un tout petit peu, le regarder se réveiller, grogner doucement. Ton bel ange du Bronx pour lequel tu tombais un peu plus chaque jour. Un amour tranquille, mais qui n'en était pas moins un. Ça te manquait, de ne plus le serrer la nuit, d'aller voler des baisers sur ses lèvres endormies, de savoir que s'il y avait un tremblement de terre ou une catastrophe, vous ne crèveriez pas ensemble, tu ne pourrais pas te réfugier dans ses bras en attendant que la tornade passe. Un peu comme quand t'avais pris l'avion pour la première fois, avec Mimi, que t'étais terrifiée, mais que tu t'es dit que si au moins, tu crevais dans un crash, tu crèverais en embrassant le gars que t'aimais. C'était quand même bien.

Il est là quand tu te réveilles et tu lui pardonnes vite. Parce que son corps se moule au tien. Sa main sur ta hanche, vos lèvres qui se retrouvent dans un sourire alors que tu joues l'exigeante, mais il te suffit amplement. Rien que lui, c'est assez. Ce sera lui, ton déjeuner. Il parle de déjeuner de françaises et tu sais pas plus que lui. Tu ris doucement, hochement de la tête, parce que surement, oui, pas le temps de répliquer quand dans un rire il te fait basculer sur lui, tes jambes des chaque côté de son bassin alors que t'en profites pour t'étirer le dos, les bras, tordre ton petit corps encore engourdis, le réveiller doucement contre le sien.

« Mhm, mhm... » Que tu réponds d'une intonation positive face à ton sommeil, bougeant finalement tes hanches que t'étirent, pour qu'elles se réveillent, elle aussi, quand il vient capturer tes lèvres avant de retomber, te demander si t'a pensé à lui et tu ris tendrement. Tu t'amuses, à faire encore rouler tes hanches contre les siennes, lascive au réveil quand tu te frottes à lui, voir si tu aussi, tu ne réveillera pas ce qui est endormi sous tes cuisses. Le sourire en coin, la main qui glisse sur son ventre, sous son t-shirt pour le remonter et libérer sa peau. « J'pense toujours à toi, Rio... » Que tu lui souffles, taquine, doucement enivrée par tes propres hormones matinales. Tes hanches qui dansent toujours en petit serpent, vilaine féline contre lui quand t'achèves de lui retirer son t-shirt. Finalement, c'est vrai qu'il pouvait être ton déjeuner, ton café, ta clope matinale. Ouais, il te manque quand il n'est pas là. Ça se voit à comment tu t'accroches à son corps, comme pour le convaincre de rester alors qu'il ne compte même pas partir. Comme pour le convaincre de ne pas gâcher la dernière chance que tu lui donnes. Des envies de lui faire l'amour, plein le ventre et absolument rien pour vous retenir. Juste envie qu'il te souffle de je t'aime entre les lèvres, en même temps qu'il se perd entre tes cuisses, à t'arracher des soupirs. Juste envie que plus rien d'autre que vous n'existe. Qu'il n'y ait plus de problèmes, plus de gens doutant de votre union. Même pas toi. Que des promesses en gémissements. « Toi, t'as pensé à moi ? » Que tu lui demande, relevant ton regard vers lui, quand tes lèvres coulent en baisers sur son torse, descendent sur son ventre. Ce ventre que tu n'aimes que trop. Presqu'un fétiche. Tellement tu y perds toujours ta main, tes lèvres, depuis presque six mois. Ce corps que t'as connu par coeur bien avant de connaître son coeur, son âme.
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Message Sujet: Re: sex, breakfast for champions (sasha)   sex, breakfast for champions (sasha) Empty Sam 8 Juin - 11:43

T’aurais préféré ne pas avoir à repartir chez toi hier soir, ne pas devoir la quitter une nouvelle fois, ne pas l’abandonner encore. T’aurais préféré rester chez elle, déguster un bon repas, regarder un film pour grandes personnes, t’endormir dans ses bras. et passer la nuit là, lové au creux de ses seins, ses bras t’entourant, sa peau contre la tienne, à rêver de votre vie future, de vos enfants à la peau mate, de votre prochain voyage. T’aurais préféré t’enrouler dans ses draps, te réveiller au matin chantant, lui préparer son petit déjeuner, et surtout ne jamais l’avoir quitté. mais tu peux pas, tu ne doit pas. tu dois rester avec ta famille, veiller sur ta mère, être là quand elle rechutera. parce que tu sais que ça arrivera, les médecins vous l’avez expliqué, à l’époque où tout été noir pour m'man. ils vous l’avait dit, que s’il y avait un choc émotionnel, elle pouvait rechuter. plus fort. plus bas. et tu veux pas que ça arrive, tu le permettras pas, tu peux pas voir encore une personne de ta famille décédé sans que tu ne puisses rien y faire.

et c’est ta belle qui en paie les pots cassés. Dommage collatéral de ton dévouement. tu t’excuses, avec du café frais, des pancakes, ton sourire matinal. Ça suffit pour te faire pardonner. du moins pour ce matin, tu le sais bien, Sasha a bien plus de rancœur que ça. pourtant elle t’accueille quand même dans son lit, dans ses bras, dans son sourire, sur ses lèvres qu’elle pose sur les tiennes, sur le corps que tu fais basculer sur le tien. tu l’observes, le cœur amoureux et les yeux rieurs, caresse une joue encore marquée par un oreiller, par un sommeil profond, des rêves que t’imagine doux, candide, sans toi peut-être. Sasha tu l’imagines encore rêver du prince charmant, rêver qu’on l’emmène sur un cheval blanc, qu’on lui offre les châteaux et les dragons qu’elle mérite. et tu la regardes tendrement, alors qu’elle glisse une main sous ton tee-shirt, contre ta peau qui frisonne à son contact, glisse le tissu hors de tes épaules. bien sur qu’elle a pensé à toi Rio, elle pense toujours à toi Sasha. elle pense à toi comme elle remue ses hanches sur les tiennes, son bassin dansant doucement, massivement sur ton corps allongé. tu sais ce qu’elle a derrière la tête ta belle Sasha, tu comprends les signaux qu’elle envoie, caresse son dos du bout des doigts.

“j’ai fait que ça”, ce n'est pas vraiment la vérité, ce n'est pas un mensonge non plus. Tu’as toujours le coeur lourd quand tu la quittes, quand tu rentres chez toi, quand tu t’endors sans elle, loin d’elle. elle n'attend pas vraiment ta réponse pour glisser le long de tes jambes, descendre en cascade de baiser contre ton torse, jouer de ses lèvres pour étirer le sourire en plus grand sur les tiennes. tu l’observes faire, avant de te redresser à ton tour, de glisser tes doigts sur ses hanches, de relever son débardeur pour découvrir sa poitrine nue, ses jolis seins qui n’attendent que tes caresses, tes baisers, ton amour. “J'suis désolé de pas être le petit ami que t’attendais…”, tu souffle un peu, ta main contre sa joue pour la caresser, passer dans ses mèches, t’emmêler dans ses cheveux, la ramener à toi pour l’embrasser, de murmurer contre ses lèvres qu’elle est belle. tu fais descendre tes mains contre ses reins, des baisers en caresse sur la pointe de ses seins, sur les deux jolies montagnes qu’elle t’offre, que tu gravis avec tes lèvres…
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Message Sujet: Re: sex, breakfast for champions (sasha)   sex, breakfast for champions (sasha) Empty Jeu 20 Juin - 16:48


T'es égoïste. Tu le veux juste pour toi, le temps que ça dure. Avant que vous ne vous cassiez la gueule ou le coeur. Pendant qu'il est encore beau, que vous ne vous crachez pas dessus. Tu crois pas que Rio peut cracher de toute façon. Il est tellement doux. Tellement doux que tu peine à croire que tu le mérites quand tes doigts caressent doucement sa peau chaude et doucement bronzée par sa génétique. Rio il te donne des frissons, les derniers que tu ne voudras jamais avoir. Est-ce qu'il le sait, qu'après lui, c'est fini, qu'après lui il n'y aura jamais personne d'autres. Que s'il te brise le coeur, et ça arrivera, parce que ça arrive toujours, il n'y aura plus de prochaine fois. C'est sur lui que tu vomiras ta haine pour toujours. Ce sera sa faute à lui. Un peu comme ta bouderie matinale est a faute. Bien oui, t'es plus importante que les potentielles overdoses de maman, hein ? Tu penses qu'à toi. Peut-être parce qu'il t'as jamais encore emmenée rencontré sa famille, que t'es jalouse un peu, qu'ils existent pas encore pour toi.

Tout ça s'oublie très vite avec ton corps chevauchant le sien, avec tes hanches qui roulent et qui pardonnent comme s'il n'était jamais, jamais parti. Comme s'il ne s'était pas sauvé pendant la nuit, comme s'il avait été là jusqu'à ce petit matin, même si tes bras étaient froid. Il se rattrapait là, avec vos vêtements qui devenaient de trop avec la chaleur de l'été et de vos corps empilés. Le sien, que tu taquines du tiens, alors qu'il s'excuse et que ça tord ton ventre un peu. Tu te sens coupable. Coupable de le faire se sentir coupable, lui. Coupable de lui faire voir qu'il n'est pas assez. Tu connais ce sentiment, c'est pas cool. Est-ce que tu l'aimes vraiment, si tu le fais sentir comme une merde, hein, Sasha ? Tu te sens encore plus mal, même si tu te perds dans ton souffle qu'il accélère avec ses caresses et ses baisers. Rio te fais tourner la tête. Tu sais pas si c'est de l'amour. Tu sais plus rien. T'as trop aimé, trop donné, trop souffert. Rio c'est la dernière chance que tu t'es donnée. Presque cruel dans sa douceur qui t'ouvres le ventre en deux, qui te fait trembler quand il caresse tes seins, vire ton débardeur, récupères tes lèvres. Là où tu perds doucement la raison, ta langue contre la sienne, tes mains contre sa nuque. Ses baisers qui se font tendres mains carnivores quand ils quittent tes lèvres pour retrouver ta poitrine.

« Ça va... Ça va passer. » Que tu mens, puis que tu lui promets. Ça va pas. Mais est-ce que ça va passer ? Il le sait plus que toi, ça. Est-ce qu'un jour il va venir vivre avec toi, comme vous aviez prévu, comme vous aviez rêvé ? T'aimerais être cette bonne copine, aussi, celle qui sacrifie son Queens pour aller t'installer au Bronx avec lui. Sauf que c'est pas ta place le Bronx, la criminalité, les gangs là-bas, ça te fait badder solidement. Pas qu'il n'y ait rien de tout ça dans le Queens, les gens se promènent, mais on dit que c'est pire là-bas. Les gens sont mals, les gens ont faim, les gens sont tristes, manquent de ressources. C'est pour ça qu'il bosse, Rio et c'est admirable. « Je t'aime... » Que tu murmures dans ton souffle qui s'échauffe. Juste un filet de voix contre ses baisers, parce que quand on est pas certain, vaut mieux le dire tout bas. C'est certain que tu l'aimes, tu tiens à lui, t'aimes sa présence, son essence, ses mains, ses lèvres, sa peau, son bassin, son goût, son odeur, ses yeux, son rire, la façon qu'il a de te regarder. T'aimes pas quand il part. Tu voudrais qu'il soit là toujours et tu ne sais pas comment, le garder. T'aimerais peut-être, que lui t'aimes plus. Tes mains glissent vers son ventre en caresses, défont sa ceinture pour la faire cliqueter maladroitement jusqu'au sol, faisant sauter le bouton de son jeans pour que ta main puisse glisser à l'intérieur, s'enrouler autour de lui, voler quelques uns de ses soupirs qui réverbèrent contre ta peau. Comme ça, ce sera plus facile de dire qu'il t'aime en retour, au bout de son souffle que t'accélère amoureusement avec tes mouvements.
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Message Sujet: Re: sex, breakfast for champions (sasha)   sex, breakfast for champions (sasha) Empty Sam 3 Aoû - 12:14

alpiniste des monts dorée, des deux petites montagnes qui se baladent sur sa peau blanche, contraste de couleurs quand tes doigts s’enroulent sur sa peau, caresse l'épiderme en faisant se dresser chacun de ses poils. t’apprend encore à la connaitre sa peau, à mémoriser chaque trait de son corps, chaque courbe, chaque détail. tu veux l’apprendre par cœur, pouvoir la décrire les yeux fermés, l’imaginer dans ton crâne quand t’es loin d’elle. tu veux l’apprendre comme on apprend une leçon, pouvoir la réciter, puis t’en souvenir des tas et des tas d’années après. elle souffle un pardon contre ta peau, te pardonne de ne pas être le petit ami parfait, de ne surement pas être celui qu’elle attendait, qu’elle espérer, le prince sur son cheval blanc qui galoperait à travers les plaines et les forêts, l’enlèverait en pleine nuit pour lui offrir un château digne de ce nom. pourtant elle le mérite surement Sasha, de vivre comme une princesse, d’avoir ses belles robes, ses valets, ses poneys. et tout ce que tu peux lui offrir, c’est ton absence, ou une place sur le canapé de ta tour de béton, au milieu des cris de tes frangins, de la dépression de ta mère. et ta cette impression tenace, ce sentiment désagréable de ne plus être sur le bon chemin, de ne plus être celui qu’elle voulait, qu’elle espérait, de ne plus être à ta place quand elle te sert contre toi. T’as l’impression d’être à un embranchement, vous deux prenant des chemins différents.

pourtant tu t’accroches, à ce qu’elle te donne, à tout l’amour qui rayonne autour de vous, autour de toi, chanceux d’être encore accueillis entre ses bras, ses cuisses. chanceux d’être encore là, autour d’elle, sous son corps qui se tend à tes caresses, sous ses mains qui descendent de ton torse à ta ceinture, s’affaire pour l’ouvrir, faire tomber le métal au sol. t’as de la chance qu’elle veuille encore de toi ouais. elle souffle un “je t’aime” en confession, un murmure qui parvient aux oreilles sans être certain d’avoir bien entendu, sans vouloir dire quoi que ce soit, brisé l’instant fragile qui vous enveloppe tous les deux, vous transporte dans un doux cocon, une bulle éphémère. tu préfères rester muet, souffler des baisers sur sa peau, un souffle plus chaud, plus rauque quand elle vient à descendre un peu plus bas sur ton anatomie, s’enrouler autour de toi, pianoter de ses doigts, extraire chacun de tes souffles pour l’absorber à son tour. pantin au bout de ses mains, tu la laisse faire, ta main se noyant dans ses cheveux, s'entremêlent dans ses mèches, caressant la nuque pour la garder contre toi, lèvre contre lèvre. et dans la position qui n’est pas des plus confortables, t’échange les rôles, la retourne, prend possession de son corps, l’observe un bref instant, descend à ton tour le long de son corps, laissant tes doigts frémir le long de ses cotes, atteindre le short que tu fais glisser, la découvrent enfin de tous ses vêtements.

le corps nu qui s’offre à toi, un regard qui la dévore, une bouche qui se pose sur sa peau, des baisers pour la réveiller, taquiner le bouton plaisir, faire expirer les souffles chauds. des minutes de caresse, ta main l’attrape, la redresse, ses hanches sur les tiennes quand tu la pénètres, prend enfin possession de tout son corps. ses seins contre ta peau, ta bouche dans son cou, la danse suave des corps dansant, du souffle s’accélérant.
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Message Sujet: Re: sex, breakfast for champions (sasha)   sex, breakfast for champions (sasha) Empty Lun 9 Sep - 21:30


Parfois, tu doutes un peu de l'amour que Rio peut avoir envers toi. Est-ce qu'il s'endort en pensant à toi, en se retournant sans cesse parce que le fantôme de tes lèvres l’hante ? Est-ce qu'il serre son oreiller comme s'il te serrait toi dans ses bras, ou est-ce qu'il s'en fout, qu'il n'est pas du tout comme ça quand tu n'es pas là, qu'il ne souffre pas de ton absence, mais qu'il ne t'aime pas moins ? Mais aimer, c'est pas censé faire mal, non ? Tu sais plus, mais ses mains et sa bouche qui se mélangent à ton corps, t'empêchent de douter de quoi que ce soit. Vous n'êtes plus que le désordre des couleurs de vos peaux qui se métissent en caresses, l'entremêlement de vos souffles qui se cognent pour mieux fusionner. Toutes ses fautes de trop de nuits de solitude s'oublient quand il te vénère comme ça, quand il fait de prière entre tes cuisses et contre ta gorge, quand il t'adore comme si tu pouvais le sauver en le gardant au creux de tes reins. Tes lèvres encore trop trempées de lui, que te dents ne savent même plus garder prisonnière, les poumons qui cherchent l'air qu'il te fait perdre en t'enfonçant dans son ventre.

Ton tour de t'accrocher à lui comme si ta vie en dépendait, comme s'il allait tout changer, comme ses filles dépendantes qui savent pas où exister ailleurs que contre de la testostérone. Tu te perds contre lui jusqu'à l'orgasme, jusqu'à en oublier tout les autres soucis, jusqu'à en avoir mal au ventre et à tes jambes qui tremblent sous trop d'émotions de ses hanches aux tiennes. Et même au bord du précipice, t'as pas envie que ça s'arrête, que la routine et les spectres du doute reviennent danser entre vos coeurs qui ne seront plus autant affolés que quand vos corps se contractent et se meurent l'un contre l'autre. Quand il redéfinit l'amour contre ton épiderme transi rien que pour lui. Le bruissement de son prénom en plainte à la commissure de tes lèvres. Tout ce que t'as envie de lui sacrer et lui jurer, l'or des fous en promesses que tu ne sauras tenir quand il éclate librement en toi, les ras de marrées qui te fait feuler et frémir de son plaisir dans ton ventre. Serrer tes jambes autour de lui comme s'il était le seul à jamais y être arrivé, un autre mensonge sur la liste. Tu t'accroches, à lui, à tout ce que vous êtes, à tout ce qu'il vous reste, à toutes ses fois où t'as l'impression que votre amour n'est pas assez. Peut-être que c'est de ta faute, toi et ta démesure. Peut-être qu'il te fallait vraiment un artiste contre qui souffrir et puis tout casser. Tu ne sais plus trop rien, ton souffle ne fais plus de sens, mais ça se calme quand tu le serres dans tes bras, répare ton arythmie, alors tu le serres plus fort, tes bras derrière sa nuque qui récupère un peu de sa sueur en souvenirs autres que celui que tu gardes entre tes cuisses. Celui que tu ne tarderas pas à partager avec lui, en coulisses de miel sur son ventre, si vous restez bien longtemps dans cette position. Tu reviens l'embrasser, plus tendrement encore qu'à l'habitude. Tes doigts qui caressent ses joues comme si elles étaient de porcelaine.

« On file à la douche, namour ? » Que tu lui proposes, parce que c'est la seule chose dont t'as envie maintenant. Te serrer contre lui, sous le jet chaud et les vapeurs bouillantes. Vous enfermez loin du reste du monde, dans ta petite salle de bain. Là où personne ne peut, ne pas croire à votre histoire. Personne, même pas vous.

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Message Sujet: Re: sex, breakfast for champions (sasha)   sex, breakfast for champions (sasha) Empty Lun 14 Oct - 21:26

elle te donne de l’amour Sasha,

De l'amour pur, de l’amour innocent, enfantin, de l’amour qu’on ne peut faker, qu’on ne peut tromper. elle te donne de l’amour comme on t’en a rarement donné avant, avec son corps qui te réclame, avec sa bouche qui t’embrasse mais surtout avec son âme qui s’enroule autour de toi, qui s’accroche, t’accroche. tu lui appartiens maintenant Rio, et ce n'est pas bien grave, tu te fais à l’idée, t’aime plutôt ça. tu l’aimes elle. et c’est ce qui compte pas vrai ? et peut-être bien que c’est avec elle que tu finiras tes jours, quand tu seras vieux et desséché, que tu chercheras une jolie âme à regarder, peut-être que c’est la sienne que tu pourras contempler, qui sera là à tes côtés. pour toujours pas vrai ? tu sais bien que ça veut pas dire grand-chose pourtant, que Sasha un jour en aura peut-être marre de toi, de ta famille dysfonctionnel, de tes responsabilités. et si toi t’en a marre Rio ? si un jour tu ne l’aime plus ? Ça te parait lointain aujourd’hui de penser à ça, mais demain ? et après-demain ? et la semaine, le mois d’après ? qu’importe, aujourd’hui tu l’aimes.

tu l’aimes dans vos souffles qui s'entremêlent, dans l’air chaud qui se fracasse contre sa peau blanche, mélange des couleurs, contraste de lumières. tu la serres contre toi, fort, très fort, assez fort pour t’en imprégné. et tu pourrais rester là des jours entiers, assis sur le lit, ta belle sur tes genoux, serrer à ne plus pouvoir respirer, à s’en étouffer, littéralement. rester là pour toujours, s’aimer pour la vie, et puis tant pis pour les autres, tant pis pour maman, tant pis pour Angie, et puis les autres. tant pis pour tout. ce serait votre monde à vous, votre petit cocon merveilleux. Ton cœur ralenti, doucement, au long des longues secondes qui s’étire. tu la lâches enfin, quand elle t’embrasse, cascade de douceur quand elle vient caresser ta joue. elle recule un peu plus pour se lever, pour te proposer d’aller à la douche. Petits mots doux qui font du bien au coeur.

t’hoche la tête, tu veux bien la suivre jusqu’à la salle de bain, te perdre dans les vapeurs d’eau chaude. “ouais, j’arrive”, tu te laisses pourtant tomber sur le lit, prennent quelques minutes encore pour récupérer, profiter du calme de son appartement. “mais après on va petit déjeuner ! je meurs de faim !”, t’en fais pas trop, t’as l’estomac dans les talons, gourmand à l’idée de goûters aux pancakes que tu as toi-même apportés. gourmand à l’idée de te poser en face d’elle, de la voir les cheveux dégoulinant, mordre avec appétit dans le petit déjeuner, de partager ces moments-là avec elle, tout simplement. comme si vous étiez l’un de ces couples de la télé, comme si vous étiez l’une de ses représentations parfaites. peut-être bien, au fond tu voudrais y croire.
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