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 Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek.

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Message Sujet: Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek.   Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek. Empty Lun 26 Aoû - 13:52

La main qui cherche dans le fond de ton sac ce qui pourrait ressembler au mieux à un badge, chaussures à talons que tu tenais de ton autre main que tu lâches par agacement. C’est bien ta veine. Tu souffles une ou deux injures à qui veut l’entendre mais t’es seule devant ce foutu interphone qui clignote rouge par impatience. Soudainement tu renverses ton sac sur le sol en pierre sans aucune gêne, tu serais presque certaine d’avoir réveillé Madame Smith, la vieille femme un peu chiante qui vit au rez-de-chaussée par ton bordel qui dure depuis une quinzaine de minute. Te voilà maintenant à genoux à tâter le sol à la recherche de tes clés avec seule lumière le flash de ton téléphone qui ne possède que cinq pour cent de batterie, comme d’habitude, t’es épuisante Bambi. Un bruit sec attire ton attention et tu vois un homme déverrouiller la porte d’entrée pendant que toi tu te relèves en ramassant tes affaires dans tes bras en vitesse pour rejoindre le hall laissant derrière toi un paquet de chewing-gum et un briquet au sol. T’as même pas le temps de remercier l’inconnu qu’il a déjà disparu, tu hausses les épaules en remettant ton bazar dans ton sac à main pendant que tu montes les escaliers comme tu peux. C’est à ce moment précis que tu te dis que t’aurais peut-être pas dû accepter ce quatrième verre de rhum, la tête tournant légèrement tu agrippes la rambarde de l’escalier pour t’aider dans ta montée. T’es consciente que tu vas encore te prendre un savon par ton patron, encore une fois t’as coupé court avec ce client un peu trop tactile à ton goût. Tu sais qu’un jour tu seras mise à la porte mais c’est au dessus de tes forces, t’es déjà un objet de convoitise qui doit se plier en quatre pour les désirs d’homme et de femme qui ont bien plus d’argent que tu n’auras jamais, alors tu cherches à garder le peu de respect que tu as pour toi-même encore un peu. Certains respectes les règles que tu poses dès les premiers instants, d’autres non et c’est ce qui est arrivé avec l’homme de ce soir. Le bon côté des choses est qu’au moins tu auras bien mangé, tu poses ta main sur ton ventre qui laisse entendre un mécontentement, pas assez apparemment. Une fois devant la porte d’entrée tu tapotes les poches de ta veste machinalement jusqu’à ce que le bruit métallique des clés remonte à tes oreilles. Tu lèves les yeux au ciel en laissant s’échapper quelques mots en un chuchotement à peine audible. « C’est un blague, putain… » Tu manque la serrure une première fois, puis une deuxième avant de réussir à la troisième reprise, ce n’est pas trop tôt. T’ouvres la porte t’attendant à croiser Narek mais rien, la seule chose que tu vois en premier c’est cette bouteille de Tequila vide dont les dernières gouttes tombent au sol. Tu poses tes affaires dans un coin et retire ta veste pour te retrouver avec ta robe quelque peu indécente en unique vêtement, descendant légèrement la fermeture qui s’étend le long de ton dos de manière à te laisser respirer d’avantage. Tu fermes le verrou derrière toi et te dirige sans hésitation vers la chambre de ton colocataire, main sur les yeux,  t’ouvre la porte d’un coup la laissant taper dans le mur adjacent. Aucun bruit, tu te décides alors à retirer la main de tes yeux pour y découvrir le grand brun dans le lit, la chambre empestant déjà l’alcool. Tu souris comme une enfant et marche dans sa direction. Est-ce qu’il dort ? Tu n’en sais absolument rien. « Regarde dans l’état que tu es. » T’appuie sur le bout de son nez avec ton index pendant que tu te penches vers lui. Sourire aux lèvres tu te décides à relever le drap qui le couvre pour le faire voler au sol. Un brun joueuse dans ton regard tu viens chevaucher le bassin de ton ami pour t’assoir sur lui, prenant soin de ne pas mettre tout ton poids. « T’aurais pu m’attendre pour boire la bouteille de Tequila. » Haleine te trahissant, laissant s’échapper une odeur de rhum, tu viens te basculer dans sa direction pour chercher la chaleur.  Coudes positionnés à droite et à gauche de son torse tu laisses glisser un de tes doigts dans ses cheveux avec lesquels tu joues un peu observant ton ami revenir à la réalité, avec toi en premier plan dans son champ de vision.

@Narek Arsen Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek. 3794924939
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Message Sujet: Re: Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek.   Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek. Empty Mar 27 Aoû - 2:46

Tu t'sens devenir comme ton père et ça te terrifies sérieusement, mais tu gardes ça pour toi. Plusieurs soirs que l'on te propose de sortir prendre l'air et toi comme un ermite tu refuses, préférant la pénombre de ton appartement de hipster dans les quartiers verts du Queens plutôt que la folies des grandeurs et les éclats de rires pendant que vous vous adonnez à votre sport favoris, les bars parallèles. Nash va certainement se demander s'il ne t'es pas arrivé malheur, pauvre gosse. Tu lui enverra un message après avoir fini ton joint, ou peut-être après le prochain ou encore celui d'après. Tu t'demande comment elle fait Bambi, pour te supporter finalement, surtout ces derniers temps. En fait, ça t'rends malheureux de réaliser qu'elle n'a connu que l'arménien grincheux et pas si sympathique que ça, la pauvre môme devait vraiment avoir besoin d'un toit pour accepter de partager ton appartement et en un sens, c'est tout bénef' pour elle puisque tu ne lui fait rien payer, faut bien qu'elle se refasse une santé, p'tite mère. Tu lui apportes peut-être qu'un toit au dessus de sa tête, toujours est-il qu'elle au moins elle chamboule un peu ton quotidien et t'oblige à voir au moins son visage. T'essaies de voir le verre à moitié plein en te disant que certes, tu ne sors pas, mais au moins tu vois quelqu'un. Tequila débouchée et posée sur la petite table qui fait face au canapé, tu en as bien consommé la moitié et pourtant tu t'en es pas rendu compte. Faut que j'arrête de boire. que tu penses d'une voix pâteuse, mais tu ne t'écoutes pas, non, tu y pensera demain si dieu le veut. Des ruptures t'en a vécu d'autres, surtout avec Bonnie. "Ha-ha !" tu t'esclaffe seul comme un dément à ce songe, parce que tu sais pas si c'est cette rupture qui te fout en l'air, les 45 précédentes ou la façon dont elle t'a jeté. Pire, si c'est parce que tu continues à la reprendre à chaque fois qu'elle revient la bouche en cœur, à quatre pattes et en marche arrière. Putain ça craint, tu te dégoûtes si bien qu'après avoir négligemment déposé ton pétard dans le cendrier, sans même avoir pris la peine de refermer la fenêtre de la cuisine, t'as décidé de prendre le chemin de ta chambre, renversant au passage ta bouteille vide d'alcool mexicain. A pas lourds tu passes la porte et te laisse tomber sur l'immense matelas qui se présente à toi, tu te défais de ton tee-shirt, mais garde sur toi ce bermuda de sport noir, sachant pertinemment que tu vas crever de chaud durant les 3 heures où tu réussira à dormir, mais la flemme t'empêche de t'en défaire et tu somnoles. Pas longtemps, tu ne saurais pas dire combien de minutes exactement, mais pas assez pour te sentir reposer. Les aigreurs dansent et remontent le long de ton œsophage alors qu'on passe la porte de ta chambre. Des petits pieds, un poids plume, des petits jambes et cette douce voix. Bambi le faon, avec sa tête d'héroïne de princesse de dessin animé et son tout petit corps de gamine pré-pubère. Le cartilage de ton nez est mis à mal par un petit doigt fin qui exerce une légère pression, pour autant, tes paupières restent closes alors qu'elle grimpe sur ton matelas l'affreuse et tel un chat, vient s'installer sur toi - à califourchon. T'es tenté de poser tes mains ne serait-ce que sur ses mollets, mais tu n'en fais rien, tu te contente de plisser les yeux. "J'pues d'la gueule, je suis bourré et j'crois qu'j'ai jamais vu ta tête d'aussi près." tu esquisse un sourire. "J'ai presque envie de compter tes cils, y'sont loooongs." s'échappe maintenant de tes lèvres un rire amusé. "J'constate qu'on a visité l'Amérique du sud tous les deux, à moins qu't'ai fais un crochet par les Antilles."  incertain de ta géographie à l'heure actuelle, impossible de localiser la provenance du rhum, la faute à ton état d'ébriété avancée tu peine également à articuler ces mots et a les rendre intelligibles, mais les effluvent de rhum dans sa voix la trahissent. Tequila pour Nanar, Rhum ambré pour Bibi. "T'as oublié ton badge dans la salle d'bain, l'était posé dans ton bordel-là." le bordel-là, c'est son maquillage que tu te plais à renommer ainsi. "Au fait, c'était c'ment le travail ?" tu bats des cils comme pour chasser les paillettes lumineuses de ton champs de vision, mais t'y arrives pas. Tu bouges pas, tu la touche pas, parce que tu sais qu'elle n'aime pas ça, même ivre, tu l'a bien intégré et tu l'respecte. C'est qu'elle est douce Bambi et toi, t'as pas envie de l'effrayer Narek, parce que tu l'aimes bien cette môme.

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Message Sujet: Re: Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek.   Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek. Empty Mar 27 Aoû - 10:31

L’odeur de tequila qui te remonte jusqu’aux sinus mais qui étrangement, pour une fois, ne te dérange pas. Sans doute parce que tu es dans l’même état Bambi, alors oui ce serait déplacer de dire quoi que ce soit, donc tu restes là dans le silence à regarder Narek de tes yeux de biche. T’en profite un peu c’est vrai, tu profites de ce moment de faiblesse pour le regarder sous toutes les coutures mais ce que tu préfères chez lui ce sont ses yeux et à moins de les ouvrir de force y a pas moyen de te plonger dedans. Tu souris sans même t’en rendre compte idiote que tu es, tu as toujours trouvé que ton ami avait un beau visage, chose que tu ne lui as jamais dit, alors tu restes là, à califourchon sur son corps chaud, à le regarder secrètement avec ta main se perdant dans ses cheveux. Ton regard descend légèrement sous sa nuque pour y découvrir son torse nu que tu caresses du bout des doigts comme-ci tu brisais l’interdit par cet effleurement de ton épiderme mais t’as pas le temps de te perdre dans tes pensées que ton ami ouvre les yeux, enfin ouvre, du mieux qu’il le peut du moins. Ses premières paroles te font rire légèrement, visage juste au dessus du sien t’aurais presque envie de l’assommer à coup de polochon mais t’en fais rien Bambi. « Ce n’est pas faux, mais j’pense bien que l’on est deux dans ce cas. » Si t’avais pas d’alcool dans le sang t’aurais sans doute rougis un peu en constatant le regard de Narek sur toi. T’es étrange Bambi, peut-être trop lunatique, tu peux te montrer douce, tactile plus aimante alors qu’au fond tu n’es que cette femme épineuse au venin détestable. T’es différente  avec Narek et t’es bien chanceuse qu’il ne t’a pas demandé de partir avec ton tempérament changeant pour un rien. Y a votre dernière dispute qui te revient en tête, parce que tu t’étales trop, une dispute qui a commencé d’un rien mais ce n’était pas l’bon jour, ni pour toi, ni pour lui. Une porte qui claque, celle de ta chambre et des larmes muettes qui ont roulés le long de tes joues. T’avais juste envie de le prendre dans tes bras à ce moment là mais t’es restée enfermée dans ta chambre toute la journée sans jamais t’excuser. « Pardon. » Lâches-tu dans un chuchotement sorti de nulle part, y a l’alcool qui te fait tourner la tête Bambi, t’as les yeux quelque peu humide, te redressant pour te remettre assise alors que tes doigts glissent sous son short pour le serrer dans tes poings. T’es faible dans ces moments là, surtout quand t’es avec lui, lui qui t’a tout donné alors que t’étais qu’une inconnue qui l’a bousculé dans la rue, c’est à ce moment là que lui, ce grand brun au regard sombre, est devenu l’une de tes plus grande faiblesse. Pourtant t’es trop têtue pour le reconnaître alors oui, quand t’es avec lui la plupart du temps tu joues  la fière alors que y a ton cœur qui se serre à chaque haussement de ton, mais non Bambi, t’es trop bornée pour l’avouer. Y a ce sourire qui vient effacer tes dernières pensées aux mots de ton ami prononcés avec difficulté. « Honnêtement ? J’ai bu sans faire attention, mais les Antilles c’est plus attractifs. » La pression de tes poings sur son bas ventre qui se desserre au fur à mesure que tes dernières pensées divaguent jusqu’à se faire oublier. La paume de ta main qui vient se cogner sur ton front, erreur de débutante, une tape trop forte qui t’a manqué de chuter de ton navire auquel tu t’es rattrapé de justesse, telle une anguille hors de l’eau sur son bassin jusqu’à redevenir stable. Un soupire accompagné d’un léger sourire débile. « J’me disais bien que je l’avais laissé ici, mais heureusement qu’un homme  m’a ouvert  en bas parce que… Au vu d’ton état j’aurais pas pu compter sur toi. » Cette fois t’as le coussin qui s’accompagne de ta main pour venir s’écraser sur le torse de ton ami, poings posés de nouveau de chaque cotés de son torse t’as le regard qui dévie à sa dernière question. Tu sens tes pommettes chauffer, tout comme l’intégralité de ton visage dans la seconde qui suit. « J’vois que t’as pas la notion de l’heure Arsen. » T’étais partie seulement deux heures, deux heures contre une soirée complète, t’es loin d’avoir respecté le contrat, une fois de plus. T’arrives même pas à l’regarder Bambi, à croire que la lampe de chevet est plus intéressante que ton ami. « Je suis partie… Je… » Tu t’sens idiote parce que c’est le deal, tu loges chez lui dans l’but de te remettre sur pied mais t’es incapable de finir une mission confiée, tu sais que ce soir t’auras pas l’intégralité de ta paye, si ce n’est pas le moindre centime. « Le restaurant c’était bien, il m’a fait boire un peu trop » Sourire niais sur le visage, tu ne peux pas t’plaindre de ça. « Mais une fois dans la voiture il a essayé de me toucher, une fois puis une seconde fois, tu m’connais, je… » Le souvenir de ses lèvres qui s’écrasent sur les tiennent pendant que sa main cherchait à descendre la fermeture dans ton dos que t’as fini par ouvrir en rentrant ici, t’as les yeux qui se ferment. « Disons que ça ne s’est pas bien passé. » T’évites de t’étaler sur les détails, Narek imaginera très bien tout seul. En effet t’aimes pas qu’on te touche du moins pas quand ça vient d’un inconnu et encore moins quand tu ne l’as pas décidé. C’est contradictoire Bambi, tes mains qui sont remontées le long des bras de Narek pour se poser sur ses poignées lors de tes dernières paroles, comme-ci de rien était, tu venais de prendre le dessus sur ses gestes pour lui faire poser ses mains sur tes cuisses qui entourent son bassin le faisant prisonnier de ton emprise. « Et… Toi, pourquoi tu t’es mis dans cet état ? » T’as pas besoin d’ajouter le mot ‘’seul’’, il le devinera. T’hésites avant de balancer ces paroles à l’attention de l’homme entre tes hanches, puis... « Il se pourrait que j’aurais préféré passer la soirée en meilleure compagnie. » Le regard qui se débloque enfin de cette foutue lampe de chevet pour se planter dans le sien, l’alcool te faisant dire des choses que jamais t’aurais osé prononcer par manque de cran. Tes doigts qui glissent sur le matelas, libérant ainsi ses poignées telle une invitation silencieuse aux toucher pour la première fois en plusieurs mois.

@Narek Arsen Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek. 3794924939
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Message Sujet: Re: Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek.   Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek. Empty Mar 27 Aoû - 11:59

Beaucoup préfèrent choisir les Antilles et leur Rhum, pourtant il te semblait que cette eau de vie provenait d'Amérique du sud, avait-ce là une importante primordiale, avais-tu d'autre choses à penser ? Oui, voilà pourquoi tu te dis qu'à l'occasion, il serait bon pour ta culture personnelle de te renseigner d'avantage. Tu peines à rester concentré sur tes pensées quand ses doigts se glissent sous l'élastique de ton bermuda et s'y accrochent jusqu'à ce que Bambi se mette à faire du rodéo, pourtant à cette heure t'es pas le plus actif des canassons du coin, mais cela te démontre que la petite brune aussi s'en est mit plein le foie. Tu prends une profonde inspiration en lui adressant un drôle de regard, ta main gauche s'en vient frotter ton visage "J't'aurais lancé le badge par la f'nêtre." soupires-tu en faisant retrouver à ta main sa position initiale. Cette proximité tu n'y prêtes pas vraiment attention, peut-être même volontairement, mais tu sais que si elle ne cesse pas de s'agiter et remuer du bassin, tu devras trouver la force de la faire basculer de là avant que ce qui fait de toi un homme ne se réveille - tout ce que tu t'es enfilé ce soir ne suffirait pas à l'endormir. Puis la torture continue, Bambi elle aime bien te malmener, surtout quand t'es en position de faiblesse, à croire qu'elle se plaît à profiter de ta personne quand t'es pas en mesure de lui dire non. Mais, c'est pas toi que ça va déranger dans l'fond, si non tu l'aurais déjà envoyée chier. Plus de notion de grand chose à c't'heure-ci, que tu penses, mais que tu décides d'exprimer en haussant simplement les épaules une moue enfantine sur ton visage. Ses lèvres s'arrondissent et de ces dernières sortent des sons, des ensemble de mots et tu comprends que quelque chose ne s'est pas bien passé. L'escorting, c'est quelque chose que tu espérais ne jamais avoir à pratiquer et souvent, Narek, tu te demandais où ces femmes pouvaient bien trouver le courage d'en faire leur gagne pain. Alcool à foison, tu arque un sourcil en observant attentivement les traits de Bambi en te demandant quelle genre de sous race immonde peut bien faire boire une femme dans l'espoir de pouvoir en profiter derrière et la fierté dans tout ça, où elle est ? T'as jamais été le plus grand gentleman et tu le sais, pour autant l'arménien, toi t'as des valeurs et une certaine étique, pour sur que si tu le pouvait, t'irais enculer toi même tous ces connards sans morale. T'as envie de poser une main rassurante sur le haut de son bras, mais t'en fais rien, Bambi passe déjà assez de temps en compagnie d'hommes qui n'ont de cesse de poser leurs sales pattes partout même s'ils n'y son pas invités - enfin, c'est la vision que tu t'fais de son métier - alors tu t'abstiens. La colère qui gagne tes entrailles par contre, tu peine à la contenir, parce que quand bien même y'a quelques mois tu ne connaissais pas cette biche, tu t'es fais à sa présence et tu l'apprécie cette gosse, l'idée qu'un homme se soit mal comporté à son égard te donne simplement envie de le retrouver et de lui faire la misère. Mais tu ferme ta gueule, t'intériorise. Elle veut pas en parler, et tu comprends. La pulpe de tes doigts entre finalement en contact la peau de ses petites cuisses, entre lesquelles tu es détenu prisonnier, pour le coup, c'est toi qui détourne le regard de son visage pour le balader sur un des mur de la pièce avant de décider que fixer le plafond n'était peut-être pas une mauvaise idée. T'es pas mal à l'aise, mais tes mains ne bougeront pas d'où Bambi a décidé de les déposer. Ce sont ses derniers mots qui te font baisser les iris sur le visage de la belle. "A cause d'une femme, et d'la vie en règle générale." tu réponds d'une voix rauque en te raclant la gorge, tu bats des cils et prends une profonde inspiration. "T'aurais certainement bu tout autant sans craindre mes arrières pensées lubriques, mais ça t'aurait pas rapporté une thune." Une de tes mains remonte jusqu'à sa taille marquée alors que la seconde vient caresser la joue de la demoiselle avant de glisser derrière son oreille de longues mèches de cheveux. Tu l'observes longuement la brune, ta main a disparu sous une masse capillaire sombre alors que la seconde, elle, est retourner caresser le haut de sa cuisse. Si on t'avait dit un jour que tu partagerais ton appartement avec une jeune femme que tu connaissais à peine, je crois que tu aurais ris, tu l'aurais pas cru. Tu t'es jamais imaginé vivre avec quelqu'un, et là voilà qui débarque, les yeux humides et toi tu décide de lui ouvrir ta baraque, de lui filer une chambre. "J'pense surtout que t'es courageuse de continuer à faire ça, alors que t'en as horreur." tu t'redresse légèrement, cale de nouveau ta tête dans les deux oreillers qui se trouve sous ton cou. "J'suis pas d'très bonne compagnie, d'puis..." tu réalise que c'est depuis presque aussi longtemps que tu la connais finalement. Putain, t'as jamais été agréable avec elle, non Bambi n'avait pas eu la chance de connaître le véritable Narek, celui qui rit et enchaîne les conneries. Merde alors. "Mets-moi des baffes putain, j'dois être le colocataire le plus déprimant d'la terre." tes mains viennent recouvrir l'intégralité de ton visage alors que tu ris à moitié, mais putain, tu le sais ça, que t'es chiant comme la pluie, toi qui déteste les gens qui broient du noir, t'es devenu l'un d'eux.

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Message Sujet: Re: Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek.   Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek. Empty Mar 27 Aoû - 13:34

T’as jamais vraiment compris ce que tu ressentais vraiment pour Narek, tu l’as toujours vu comme l’homme qui t’a accueilli chez lui un soir sous la pluie battante alors que t’avais un toit Bambi. Enfin, t’en avais un pour quelques semaines seulement avant d’être foutue à la porte pour impayé. C’est le quotidien que tu menais avant d’être tombé sur lui ce soir là.  Il t’a jamais rien demandé en retour et ça te gêne un peu en réalité mais tu comptes bien te rattraper un jour ou l’autre, reste juste à savoir quand. Au fond, t’as pas vraiment envie de partir Bambi, non bien au contraire, t’as pris l’habitude de voir cet homme chaque matin, l’habitude de vos petites engueulade parce que tu prends trop de place Bambi. Tu peux pas protester, la preuve t’es là encore assise sur son bassin dans sa chambre, t’es bien trop envahissante comme nana mais t’en as besoin, t’as besoin de Narek dans ta vie, tu le sais mieux que quiconque. Tu l’as toujours considéré comme un ami, pourtant tu viens de poser les mains de ton ami sur tes cuisses dénudées par ta robe qui remonte petit à petit dans cette position peu confortable. Peut-être que tu en as besoin au final, de ce contact aussi léger soit-il. Narek ne t’a jamais touché, du moins il a toujours évité, c’est toi qui est toujours venue pour quémander une petite attention, à croire qu’il t’a bien cerné le jeune Arsen. Ses mains restent pourtant immobile sur ta peau qui se réchauffe sous ses paumes t’as ce regard presque insatisfait mais t’es certaine que ce regard ne retiendra aucune attention, t’es douée Bambi quand il s’agit de cacher ce que tu ressens mais là t’as besoin qu’il le détecte. T’es qu’une femme en manque d’affection Bambi, voilà tes dernières pensées que tu chasses d’un mouvement de tête en arrière laissant s’échapper un soupire. Non, c’est plus que ça mais t’es incapable de savoir de quoi il s’agit. T’as ce regard insistant sur lui alors qu’il porte son attention ailleurs, t’aurais presque envie de poser tes mains sur les siennes pour les retirer bien plus vite que tu ne les as posées, cependant t’as enfin son regard qui capte le tien. Y a ces quelques mots qui viennent s’enrouler autour de ta poitrine et te serrer te donnant l’impression que ta cage thoracique va se briser en morceaux sous les yeux bruns de ton ami. Ta mâchoire qui se crispe faisant disparaître tout sourire. T’en as vu des femmes traverser le pallier mais aucune n’est revenue deux fois alors tu t’es toujours dit qu’il devait s’agir que d’un simple jeu, après tout  tu ne peux te permettre de juger au vu de ton métier Bambi. T’es incompréhensible Bambi, tu relâches sans vraiment prêter attention la pression de tes cuisses sur son bassin. Pour la première fois depuis bien longtemps t’as ce sentiment qui te revient en pleine figure et le pire c’est quand tu ne t’y attends pas, la jalousie qui te ronge mais encore une fois t’es bien trop bornée pour l’admettre. « Je vois. » C’est tout ce que t’es capable de prononcer, froidement, pourtant ce n’est pas les mots qui manque mais t’as la rage au ventre. «  Tu ne m’as jamais parlé de cette femme ? » Tes mains qui se détachent de son corps à ces derniers mots, t’es pas certaine de vouloir en savoir plus mais tu t’es promise d’être présente pour lui comme il l’a été pour toi quelques mois auparavant, alors t’optes pour le silence pendant que tes pensées sous l’alcool te font délirer. Sa main qui remonte sur ta hanche t’aurait faite frissonner si t’étais pas autant en rogne, qu’importe t’essaie de te calmer, après tout ce n’est pas avec ce comportement que tu arrangeras les choses. Pensées lubriques ? Tu t’penches légèrement en avant, sourcils froncés. « Narek, crois mois, j’aurais préféré passer cent fois la soirée avec toi que d’sortir avec un homme ou une femme dans l’but de m’faire payer. » Tu viens de balancer ces quelques mots comme une lettre à la poste pendant que l’homme sous tes hanches venait de replacer une mèche de cheveux derrière ton oreille. T’as le palpitant qui s’accélère, son pouce caressant ta cuisse t’as les idées qui naviguent entre bonnes ou mauvaises. Tu te contente de tourner la tête vers sa seconde main de manière à laisser tes lèvres pulpeuses embrasser la paume de sa main. T’as pas l'droit de merder Bambi mais ce n’est pas l’envie qui te manque, bien au contraire, tu regretterais presque de l’avoir autorisé à te toucher alors que tes yeux en demande plus, caché par sa main tu te mors la lèvre inférieur maudissant l’alcool bien que tu sois certaine que c’est justement l’alcool qui te pousse à agir ainsi, à agir comme tu as si souvent de fois eu envie. T’es faibles sous ses yeux Bambi, t’es incapable de reprendre le dessus alors oui, tu fuis du regard. Son mouvement te fait tourner la tête. « J’suis incapable de faire autre chose, du moins à l’heure actuelle, le but c’est de… D’être autonome le plus vite possible que tu puisses… retrouver ta vie d’avant, d’avant moi. » Tu sais que t’es un boulet, qu’il traîne derrière lui parce que être ici lui fais d’avantage de dépenses mais t’as pas envie de partir, t’es bien ici sous ce toit, dans son lit à moitié allongé sur son corps dégageant cette chaleur si appréciable. Ton regard se noirci rapidement sous ses propos, regard qu’il ne peut voir puisque son visage est recouvert de ses mains, brisant ainsi son toucher sur toi. Tu te saisis bien trop rapidement de ses mains, t’es peut-être un peu violente mais t’en es pas consciente Bambi. Tu dégage son visage sans rien dire, t’as juste déposé un baiser non loin de la commissure de ses lèvres avant de te lever. « T’es peut-être le plus déprimant mais t’es le colocataire le plus sexy que j’ai pu voir. » Tu lui adresses un clin d’œil sourire en coin qui étire tes lèvres teintées de rouge. « T’as de la chance, je suis une colocataire en or, t’es toujours capable de marcher ? » Tu te laisses basculer en avant en faisant attention de ne pas tomber, tu ris un peu en ayant manqué de chuter sur le lit, les cheveux venant chatouiller son visage, tu souris. « Si c’est l’cas, tu peux me rejoindre dans la cuisine ? J’vais t'aider à te changer les idées. »

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Message Sujet: Re: Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek.   Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek. Empty Mar 27 Aoû - 22:43

Bambi se ferme un bref instant, mais tu n'y prêtes pas attention parce que ton état ne te permet d'être réellement objectif, non tu ne t'attardes pas sur ce détail. Elle reprend ses mains et tu dis adieu au doux contact chaleureux et des caresses dont elle te gratifiait en te questionnant à son sujet. Bonnie Blue, appelée ainsi par ses parents conservateurs qui descendent certainement d'anciens esclavagistes sudistes. Bonnie, rien que de penser à son prénom tu sens tes entrailles se tordre pendant que ton cœur se serre et tu te demandes à quel moment t'as cessé d'être un homme, quand est-ce que t'as enterré ta fierté au point d'la laisser se jouer de toi comme elle l'a fait. Baise-moi mal une fois honte à toi, baise-moi mal deux fois honte à moi. t'intériorise un soupir alors que tes paupières s'ouvrent suffisamment pour que ton champs de vision cesse d'être en 16:9. "J'vois pas pourquoi j't'en parlerais." les épaules qui se haussent de nouveau, c'est qu'il y tant de choses que tu tais Narek. Tu donnes l'impression au monde que tu es un livre ouvert, mais quelle arnaque tu es, ceux qui s'aventurent à tenter d'en parcourir les pages réalisent bien souvent qu'il s'agit d'écriture cryptée. Tu leur donne l'impression d'être accessible et extraverti, mais la verité est toute autre. Tu ne dis jamais plus que ce qu'ils ont envie d'entendre. Quelques rares élus connaissent la vérité, ou du moins une part. Ezéchiel pour qui tu n'as aucun secret, plus maintenant et Lina qui te suit depuis des années, elle ignore tout du sort de ta pauvre mère et du destin tragique de ton père. Tu ne lui adresse plus la parole, quand à l'autre, il est mort. Ta sœur ? Tu ne parles pas d'elle non plus et peu de gens connaissent son prénom. T'as pas parlé de Bonnie à Bambi tout comme tu ne lui a rien raconté du reste, d'une part parce qu'elle ne te l'as pas demandé, d'une autre, parce que c'est toi que ça regarde. Tes prunelles se plongent dans les siennes alors qu'elle te surplombe, elle ne pèse rien et ça te surprend, tu luttes d'ailleurs afin d'éviter à ton esprit un grand débat sur la différence entre un kilos de plomb et un kilo de plumes. Mais t'aimes pas tellement ce qui sort de sa bouche, t'as envie de plaquer ta main sur ses lèvres pour l'empêcher d'en rajouter, la faire taire. Tu ne lui demande rien, tu veux pas non plus l'entendre te dire qu'elle ne sait rien faire d'autre, c'est faux. Bambi, t'es pas plus bête qu'une autre, que tu penses, sans l'articuler. Là tu songes même à lui faire un poste sur mesure au garage, qu'elle vienne bosser avec toi et se mette à gérer la paperasse, mais le fil de tes pensées t'échappe. Tes lippes s'étirent alors qu'elle te complimente, serait-ce du baratin ? T'arrives pas à te décider, mais dans l'fond, à cette heure, ça n'a pas grande importance. "Oh putain..." que tu soupires, tu râles même parce que tu sais que quoi qu'elle te propose tu vas la suivre, parce qu'elle est mignonne et douce et qu'elle sait comment s'y prendre cette bougresse pour te faire bouger ton cul, même quand dans tes veines ne circulent que du thc et de la tequila. "Allez-allez !" tu souffle en dégageant de ton visages les longues mèches brunes qui te chatouillent le nez et les yeux. "Commence déjà par ranger ton bordel, après on r'parlera du statut de meilleure coloc' s'tu veux bien." tu grogne en riant à demi, rien de méchant dans cette remontrance, de la taquinerie surtout. Tu regarde avec envie le dos de la jeune femme assise près de toi et te dis, l'espace d'un instant, que si elle n'avait pas été si frêle, tu aurais pu t'appuyer sur son épaule pour lever ta vieille carcasse, mais ce n'est pas le cas. tes pieds touchent le parquet après quelques secondes de lutte intérieure qui déterminera si tu dois ramper jusque la cuisine, ou si tu es apte à tenir sur tes jambes. Balekouilles, que tu te dis en t'élançant hors de la chambre, d'un pas lourd et pataud, t'es branlant mon pote, mais tu vas tenir. "Bon, moche, tu viens où comment ça s'passe ?" tu t'impatiente presque alors que ton premier réflexe est tout de même de prendre appuie sur l'îlot central de la cuisine. Son regard se perd à l'extérieur, par delà la fenêtre ouverte d'où émanent les bruits de la ville. "Tu veux vraiment que je te parle d'elle Bambi ?" une voix absente s'échappe de tes lèvres, comme-ci la question venait de s'échapper de là sans même t'avoir demandé la permission, comme-ci tu n'avais pas articulé ces mots.  

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Message Sujet: Re: Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek.   Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek. Empty Mer 28 Aoû - 12:08

T’as le cœur qui se serre Bambi, les paumes de tes mains qui disparaissent sous tes doigts, les lèvres qui se retrouvent pincées entre elles. Au fond, tu sais qu’il n’a pas tord, il n’a aucune raison de te parler de ses sentiments envers une femme puisqu’il ne te doit rien, après tout, t’es que cette colocataire qui partage son toit, ou son lit si ton humeur s’y prête mais les occasions sont rares. T’espère juste que la pointe qui vient de se planter dans ton organe vitale n’est semble qu’à une simple écharde et que tu l’oublieras bien vite. Tu ne l’as pas vu venir cette baffe en pleine tronche Bambi, celle qu’est provoqué par la jalousie, la possessivité voir peut-être un peu des deux. Parce que si y a une autre femme, où serait ta place à toi ? Tu te retrouveras seule de nouveau. Y a tes yeux qui s’humidifie sans vraiment comprendre, c’est flou dans ta tête Bambi, encore plus puisque l’alcool s’est mélangé à ton sang, t’as pas envie de te faire du mal, et t’as pas envie de lui en faire non plus alors tu te tais. De toute façon  t’es persuadé qu’aucun son ne serait capable de sortir de tes lèvres rouges. Alors t’as le regard vide qui le scrute sans même relever sa dernière remarque, cause de tes pensées qui t’échappes. Tu reviens vite à la réalité quand t’entends cette injure qui s’échappe de sa bouche, tu souris, satisfaite. Les doigts prenant appuient sur le matelas pendant que ton regard descend le long de ton ami sans pouvoir retenir cette esquisse en coin qui se dessine sur ton visage. « Mon bordel ?! » T’as ce rire enfantin qui s’veut sincère. « J’aurais pu te dire que tout ça c’est pour me faire belle pour toi mais… » Une moue vient détruire cette courbe parfaite de tes lèvres. « J’crois pas. » Les jambes qui s’étendent sur le sol de sa chambre, croisant tes chevilles. Tu lèves yeux au ciel en regardant le grand brun essayer de marcher un pas devant l’autre, retenant un rire moqueur, t’es même pas certaine de faire mieux Bambi. Vous faites peine à voir. Un sourcil qui se arque quand les lettres m, o, c, h et e viennent retentir à tes oreilles, t’attrapes de nouveau le polochon que t’envoie dans sa direction, mais t’as jamais su viser Bambi, encore moins dans cet été. Le polochon qui bute dans la porte, faisant ouvrir d’avantage cette dernière. « Après toi. » Tu te lèves en prenant appuies sur la table de chevet, t’as envie de faire bonne figure et de ne pas lui montrer que t’es jambes sont sans doute trop frêles pour te maintenir. Tu rejoins Narek dans la cuisine et ris de plus bel quand tu remarques que l’homme est toujours maintenu par l’ilot central. « Alors, on a dû mal à tenir debout ? » T’arrives à marcher Bambi, t’es pas aussi lamentable que lui, mais t’as quand même le cerveau qui semble faire un 360 de temps en temps sans te prévenir. Tu poses tes genoux au sol pour ouvrir le placard en bas, sortant de sa cachette une bouteille de tequila que tu poses sur l’îlot. « Les mélanges c’est pas bon, j’sais mais au vu d’ton état j’préfère en assumer les conséquences, t’vois j’prends soin de toi. » Tu remontes sur tes pieds, deux verres à la main et le sourire qui s’agrandit mais ce sourire ne dure que peu de temps, revoilà cette fameuse femme qui revient dans la discussion, tu manques de faire tomber un verre pendant que tu sens ton sang bouillir. Tes deux paumes qui se posent à plat sur le bois. « Narek. » Ta langue qui passe légèrement sur ta lèvre inférieure avant de la mordre. Tu soupires en venant poser tes fesses contre l’îlot alors que son corps se trouve à côté de toi. « Je ne suis pas certaine. » Y a la jalousie qui te ronge mais tu t’abstiens de le préciser. « Je… Pas maintenant, j’ai envie de profiter de ce moment ensemble… C’est égoïste. » Ta main droite qui vient se plaquer sur ton visage puis dans tes cheveux. « J’ai juste envie de te changer les idées, mais si tu y tiens vraiment alors... Vas-y. » T’as le regard qui espère que non mais t’as ce sourire qui hurle que tu seras toujours là pour lui, quoi qu’il arrive, une main rassurante qui s’pose sur la sienne pendant que l’autre vient se saisir de la bouteille encore intacte.

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Message Sujet: Re: Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek.   Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek. Empty Mer 4 Sep - 1:59

Et elle s'fout d'ta gueule la garce, elle arrive à te faire lever ton gros cul défoncé de ton lit alors que clairement, la tequila et cette chère marijeane te demandaient, mieux, te sommaient de rester coucher, mais à la simple demande de la douce et tendre Bambi, t'as obéis. Comme un bon petit toutou. Elle cette vilaine petite garce se fout d'ta gueule. T'aurais pas dû t'lever de là. Mais Bambi elle ets comme ça, ne te veut aucun mal et bien que sans savoir comment, t'aies réussit à l'apprivoiser, elle n'en reste pas moins vraiment sauvage. C'est simple, quand t'es sobre, elle s'permet pas tout ça, mais faut dire que ces derniers temps, t'es plus facilement accessible avec 3 grammes dans l'sang. Pourquoi elle sort des verres, de tes yeux à demi clos tu l'observes sans réellement percuter l'objectif de la mission qu'elle s'est fixée. Tu captes pas non plus que de Bonnie, elle n'a pas envie d'entendre parler. A c't'heure-ci à vrai dire, ton cerveau il tourne au ralentis Narek et dieu lui-même pourrait venir te serrer dans ses bras que tu ne te rendrais pas compte de qui se trouve en face de toi, j'ai envie d'dire que t'es pas du genre croyant, ça aide aussi. Mais c'est un tout autre débat-là. "Nan vas-y on s'en fous, j'demandais ça comme ça." qu'tu balances, parce qu'ne un sens c'est la vérité, t'as pas spécialement envie d'en parler et si en 3 mois la pauvre môme à finit par comprendre qu'une connasse t'avait fait du mal, elle a eut la politesse de ne pas poser de question. En un sens ça t'pète les couilles, parce que ça veut dire que t'as pas l'air engageant, pas assez pour qu'on te pose des questions. T'es prêt à parler de ta blonde uniquement quand t'es pas tout à fait toi-même, quand t'es touché parce qu'il est tard mec. Puis si t'y réfléchis à tout ça, elle n'demande rien parce qu'elle doit craindre que tu pète tout dans l'appartement et la chasse dehors, sauf que : non. Si tu lui a proposé un endroit pour vivre, ce n'était pas dans le but d'exercer quelconque pression sur elle à ce sujet, tu comptes pas la foutre dehors parce qu'elle est pas organisée. Elle vit là et s'rend utile comme elle peut, tant qu'elle aura besoin d'être là, elle le restera. "Allez on profite, c'pas tous les jours que tu veux prendre soin d'moi alors..." tu relève le nez dans sa direction et lui adresse un léger sourire, curieux de connaître ce qu'elle te réserve. "Tu vas nous faire des remèdes anti-gueule-de-bois j'espère, parce que j'peux te promettre que si j'avale encore une goutte d'alcool, j'lâche une galette qui va t'marquer à vie t'es-pas-prête." le dos de ta main vient essuyer tes lèvres alors que tu te racles la gorge. C'était vrai, depuis que la petite Hargrove partageait ta vie, les choses semblaient plus faciles, puis t'avais cette présence féminine agréable, t'étais jamais totalement seul, et ça, même la nuit. "Si tu veux profiter de mon corps..." tu pouffe de rire, manque de perdre l'équilibre, mais te rattrape de justesse au plan de travail et te redresse. "C'est l'moment, parce qu'encore une gorgée d'tequila et j'deviens impuissant." tes prunelles noires parcourent les traits fins du visage poupin de Bambi qui se tient près d'toi. "Fais pas la gueule, qu'est-ce qui t'tend comme ça là ?" qu'tu fini par lui demander face à son petit air renfrogné qui la rend d'avantage mignonne.

@BAMBI HARGROVE   Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek. 2465598603    

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