Après avoir passé un mois et demi avec ma famille en Italie après avoir terminé ma troisième années d’études, je venais de me taper un bon huit heures de vol. Je n’avais pas revue ma famille depuis le temps des fêtes, car j’étais très occupé avec ma compagnie, mes études et aussi ma fondation. Je n’ai pas encore terminé mes études et c’est pratiquement difficile maintenant de tout penser à ça. Des fois j’y pense de laisser ma dernière année, mais comme j’ai déjà terminé les trois premières, je ne peux pas abandonner comme ça. J’ai eu une bonne conversation avec mon père concernant ça et je m’attendais de le voir frustrer ou encore déçu, mais avec tous mes efforts, il le savait très bien que je me donnais corps et âme pour ma compagnie. Il n’a jamais pensé de sainte vie de voir sa fille être à la tête d’une entreprise aussi jeune et pour sa part, s’était facile, car il était sûr à 100% que s’était pour devenir la sienne dans les années à venir. S’était écrit dans le ciel qu’il était pour prendre la relève et il prend cette chance avec passion et aussi avec sérieux. Être passionné par ce qu’on aime, c’est la clé de tous nos succès et aussi de croire en nos rêves et de vivre le moment présent. Il m’a donné tous les meilleurs conseils possible pour ne pas que je me perds en cour de route, car si non, je vais paniquer et perdre la tête en même temps. Maintenant que je suis de retour à New York, je vais prendre cette journée maussade pour relaxer et je textais Mara pour savoir ce qu’elle faisait aujourd’hui. Je laissais un coup de fil à ma massothérapeute pour un bon massage pour me détendre et je donnais aussi un coup de fil à ma Dermatologue pour un bon faciale, etc. Je veux me sentir bien avec tout ce décalage qui me rend dingue en ce moment. J’avais complètement oublié comment s’était dure de ressentir tout ça. J’arrivais chez moi dans le calme. Aucun son, s’était comme si j’étais dans une maison hanté, mais avec tous les bruits de l’avion et l’aéroport, c’est normal, car j’entends un simple cillement dans mes oreilles. L’Italie va toujours être mon chez moi, mais là, je suis contente d’être revenu aux États-Unis.
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Sujet: une vie de coloc ♥ (mara et elivia) 
Mer 12 Juin - 20:40
Après avoir passé un mois et demi avec ma famille en Italie après avoir terminé ma troisième années d’études, je venais de me taper un bon huit heures de vol. Je n’avais pas revue ma famille depuis le temps des fêtes, car j’étais très occupé avec ma compagnie, mes études et aussi ma fondation. Je n’ai pas encore terminé mes études et c’est pratiquement difficile maintenant de tout penser à ça. Des fois j’y pense de laisser ma dernière année, mais comme j’ai déjà terminé les trois premières, je ne peux pas abandonner comme ça. J’ai eu une bonne conversation avec mon père concernant ça et je m’attendais de le voir frustrer ou encore déçu, mais avec tous mes efforts, il le savait très bien que je me donnais corps et âme pour ma compagnie. Il n’a jamais pensé de sainte vie de voir sa fille être à la tête d’une entreprise aussi jeune et pour sa part, s’était facile, car il était sûr à 100% que s’était pour devenir la sienne dans les années à venir. S’était écrit dans le ciel qu’il était pour prendre la relève et il prend cette chance avec passion et aussi avec sérieux. Être passionné par ce qu’on aime, c’est la clé de tous nos succès et aussi de croire en nos rêves et de vivre le moment présent. Il m’a donné tous les meilleurs conseils possible pour ne pas que je me perds en cour de route, car si non, je vais paniquer et perdre la tête en même temps. Maintenant que je suis de retour à New York, je vais prendre cette journée maussade pour relaxer et je textais Mara pour savoir ce qu’elle faisait aujourd’hui. Je laissais un coup de fil à ma massothérapeute pour un bon massage pour me détendre et je donnais aussi un coup de fil à ma Dermatologue pour un bon faciale, etc. Je veux me sentir bien avec tout ce décalage qui me rend dingue en ce moment. J’avais complètement oublié comment s’était dure de ressentir tout ça. J’arrivais chez moi dans le calme. Aucun son, s’était comme si j’étais dans une maison hanté, mais avec tous les bruits de l’avion et l’aéroport, c’est normal, car j’entends un simple cillement dans mes oreilles. L’Italie va toujours être mon chez moi, mais là, je suis contente d’être revenu aux États-Unis.