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 adrénaline. (andrás)

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Message Sujet: adrénaline. (andrás)   adrénaline. (andrás) Empty Sam 23 Mar - 14:54

adrénaline.
Blouson en cuir sur le dos, regard rivé vers l’horizon et l’adrénaline qui électrise tes veines. Le corps qui ne fait qu’un avec la puissance de la mécanique. Tu files au vent. La nuit tombée, le jour oublié t’es dans un autre monde. Ton autre monde où le bip de l’hôpital et remplacer par le vrombissement des moteurs. Tu te laisses porter par les effluves d’essences et les bagarres de rues. Tu ne fais qu’un avec la culture qui t’as vu grandir. Dans la mémoire de ta mère tu suis les traces de ton père. Il n’y a pas de loi, que celle de la rue. Du plus fort. Tu te laisses griser par les regards qui se posent sur toi de ceux qui se demande ceux que tu fou ici et par ceux qui n’ose pas venir dans ton air. T’aimes la sentir la peur dans leurs prunelles. Tu l’aimes le respect de l’un à l’autre. Tu les aimes ces putains de rues qui se transforment à la nuit tombé. T’as laissé tes aiguilles et ta blouse pour tes bottes qui s’écrase sur le bitume et ton casque de moto que tu laisses sur ton destrier de ferraille.
Montre leur qui tu es Jean.
Démarche assuré et regard acérée.
T’es au-dessus Jean. Fais-toi respecter !

Le père qui avait fait de sa fille une reine dans un monde ou sans engin entre les jambes on ne valait pas grand-chose. Tu leurs riais au nez maintenant à tous ces gars qui t’avais prise pour acquise. Tu n’étais pas l’une de ces groupies qui tentaient de se faire remarquer. Toi, tu n’avais pas à essayer. Toi, c’était ton monde. Ton royaume. Ta vie. Étrange cette dualité qui bercé ton cœur. Celle qui sauver des vies pour mettre sa vie en danger. Il n’y a pas d’existence sans risque. Il n’y a rien sans ce sentiment de savoir que tout ne tiens qu’à un fil. T’aimes l’être cette fichue équilibriste qui jongle entre la vie et la mort. Peut-être bien que c’est parce que tu sais qu’il y aura toujours quelqu’un en bas pour te rattraper.
Ride or Die.
Ne regarde pas derrière Jean.
Regarde devant princesse et il y aura toujours quelqu’un pour assurer tes arrières.

T’avances dans la foule agglutinée entre voiture et moto. Les regards qui se tournent pour des salutations avec respect et ton sourire en coin qui se perd au-devant. Tu le sais, il y aura toujours quelqu’un pour toi ici. Ton père au loin qui joue son parrain avec ces frères de routes. Tes oncles comme autoproclamés. Tu l’aimes cette putain de famille. Pas besoin de lien du sang, ici, il n’y a que la loyauté qui compte. « Hey Jean, tu ride ce soir ?! » oncle Al’ qui ne manque pas de te taquiner comme toujours et t’aimes à te laisser malmené pour mieux rebondir. Toujours en subtilité. « Pourquoi, tu veux encore te faire beauté le cul Al’ ?! T’en as pas eu assez l’autre fois ?! » Rire qui se mélanges et tu les entends en t’éloignant les bougoneries du bon vieux Al’. T’es bien la fille de ton père qu’il dise tous. Ils n’ont pas tort.
Ne résiste pas Jean,
Laisse toi aller. Toujours.
On n’a qu’une vie.

L’appel du défis qui résonne en toi et tu en seras ce soir. De toute manière c’était comme si ton nom de famille de donner une entrée direct sur la ligne de départ. Juste un mot et t’avais plus qu’à te mettre en scelle. La main que tu passes dans tes cheveux qui vogue aux grés du vent t’aller l’aligner ton nom sur la liste des départs. Après tout ça faisais un petit moment. Tu voulais éviter un AVC à ton père mais, c’était bien lui qui te le répété qu’on avait qu’une vie. Tu te plantes dans la queue des plus téméraires quand ton regard se laisses happer par l’effet que la vie de tes journées te rattrapes...
@andrás Sorensen adrénaline. (andrás) 2730069674
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Message Sujet: Re: adrénaline. (andrás)   adrénaline. (andrás) Empty Jeu 28 Mar - 19:28

nouvelle soirée passée loin de ta femme que tu prends avec soulagement. ou plutôt de celle qui a tenté de tuer. tu le sens. tu le sais. pertinemment. c’est écrit dans le fond de ses beaux yeux alors que ses douces lèvres n’en parlent même pas. et t’es même pas sûre qu’elle te l’avouera un jour. t’espères. t’y crois. plus que tout. juste pour partir comme tu l’aimerais. pour être sûr qu’elle ne t'enlèvera pas ta fille pour se venger. parce que oui, maintenant, tu t’attends à tout venant de nadja. ta douce créature que tu as tant aimé. certes, pendant un temps. votre amour trop fort, trop rapide, trop soudain avait fini par perdre de sa belle couleur rouge. rouge de l’amour contre rouge du sang. la couleur avait terni entre vous, rouge cupidon devenant noir mortel.
nouvelle soirée passée loin d’elle et tu en étais que des plus heureux. surtout ici. au milieu de tous ces motards, ces amateurs de voitures, de courses illégales dans les quartiers de new-york les moins susceptibles d’y voir se rameuter les flics du coin. t’y retrouvais des amis, des connaissances, des ennemis parfois. t’y retrouvais juste ce dont tu avais le plus besoin. rouler. la vitesse. l’ambiance. alors, accolé à ta moto, proche du bulletin d’inscription tenu par un de tes amis, le rire qui part dans la discussion, tes yeux dérivent vers la file, repèrent les personnes qui viennent apposer leur nom, passent inconsciemment sur une brunette pour continuer, jusqu’à ce qu’ils reviennent à  elle. le corps figé, le regard surpris, jusqu’à ce que vos yeux se rencontrent, se jaugent, prennent le temps de réaliser que l’un est là, l’autre aussi. c’est comme ça de longues secondes ou minutes que tu n’écoutes même plus ce qu’on te dit. tu déploies ton corps, l’allure de viking alors que t’avances, tu viens à elle. je sais pas ce que tu cherches ici mais pour soigner les ptits bobos, c’est par là. tes yeux clairs que tu maintiens sur les siens, t’as pointé du doigt un endroit derrière elle sans détourner le regard, où effectivement, c’est là que quelques spécialistes attendent au cas où et soignent. rien que des mecs et femmes comme vous. amateurs de sensations fortes. amateurs de ces courses de rues. ceux qui aiment se réunir à la nuit tombée, boire une bière autour des bécanes et des bagnoles. sentir l’effervescence, l’ambiance électrique, l’odeur de l’essence, entendre le doux bruit des moteurs. tes yeux sur ton visage, sur l’infirmière qui a été à ton chevet pour les quelques semaines que t’as passé à l’hôpital après ton accident, tu te surprends à être étonné. elle détonne ici tout comme semble être parfaitement à sa place. cocktail improbable mais délicieux. comme c’est le cas lors de ces réunions et rencontres, t’as laissé tomber le vouvoiement. ou à moins que tu cherches ton mec ? tu te mets à sourire dce sourire en coin qui plaît à certaines filles, ton casque de moto que tu coinces contre ta hanche, sous ton bras, alors que tu l’observes comme si elle n’avait rien à faire ici. comme si tu la surestimais. et c’est sans doute le cas. qu’est-ce que tu fais là jolie infirmière ?
@Jean Delanay adrénaline. (andrás) 2480631781
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Message Sujet: Re: adrénaline. (andrás)   adrénaline. (andrás) Empty Dim 31 Mar - 19:02

adrénaline.
Un instant et c’est un virage à 360 degrés que tu emprunte. Celui ou le calme de tes jours viens rattraper le sauvage de tes nuits. Surprenant éclat qui enveloppe tes yeux. Moment de réflexion avant que les pièces d’un puzzle confus ne s’assemble. C’est lui. Lui le bel homme ou le patient que toute les infirmières de ton service s’arracher. Celui dont tu t’étais occupé avec autant de cœur que tu aimes ton métier. Le silence à demi électrique qui enveloppe la distance qui vous sépare. Atmosphère s’étirant dans le temps jusqu’à ce que ces pas ne rejoignent les tiens. Délicat le sourire en coin qui se forme sur le coin de tes lèvres et la lueur brillante qui soulèves ton regard vers le siens. Les nerfs qui caressent ton âme de ces mots qui viennent te piquer. Encore un, qui ne se perd pas plus loin que ce qu’il croit connaître. Encore un, qui tomberas de haut frapper par la réalité. Tu ne le plains pas, tu t’en amuse d’un recoin de ton esprit. Tu jubile intérieurement du simple de son esprit. Masque inébranlable des traits de ton visage qui irait presque à lui donner raison pour mieux le voir atterrir sur l’os qu’est la réalité. Ta réalité. Tu te complais presque à son machisme qu’il te sert gratuitement. On en est bien loin de la prévenance de l’homme du haut de son lit d’hôpital. Surement que tu en es loin aussi de la délicatesse dont tu peux faire preuve. Il avait rencontré le jour mais, il ne savait rien de la nuit que tu étais.  « Oui, tu ne sais pas…en effet !! » les prunelles qui s’accrochent aux bleues des siennes. On en oublie les manières du vouvoiement ou le respect des murs de l’hôpital. Pas de règle ici, que celle de la rue, que celle du plus fort. « Mais ne t’en fait pas pour moi, je ne me suis pas perdue en chemin ! » tu comprends, enfin, tu as grandie avec cette esprit misogyne  alors, tu t’y es habituée. Tu détonnerais presque dans le décor des trottoirs pavé d’engin de vitesses et de moteur en ébullition. Tu ferais presque gamine perdue dans les méandres de la nuit pour quiconque ne sais pas qui tu es. Pour lui, peut-être même un peu plus. Là, loin de ton stéthoscopes et de tes aiguilles. Il ne te connaît pas dans ce décors qui es surement plus le tiens que les murs de l’hôpital que tu arpente pour gagner ta vie. « J’ai tant l’air que ça d’une groupie qui cherches le frissons… » Presque une insulte sortant de sa bouche. L’insulte ultime même à tes yeux. Connard. « Le seul mec que je cherche c’est celui que je laisserais sur le carreau… quant au reste c’qui pourrait bien m’intéresser c’est la marque de ta bécane ou l’moteur que t’as sous le capot !! » elles sont direct les paroles tout aussi que ces jugements sorti de nulle part. Tu pourrais toi aussi t’étendre sur la même pente glissante que la sienne. Jugé l’homme en convalescence qu’il était il y a quelque temps. Jugé sa présence ici plutôt que chez lui avec femme et enfant. Que fais-tu là mystérieux patient ?
@andrás Sorensen  adrénaline. (andrás) 2730069674  
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Message Sujet: Re: adrénaline. (andrás)   adrénaline. (andrás) Empty Mar 23 Avr - 18:30


oui, tu ne sais pas en effet !
qu’est-ce que tu ne sais pas andras ? beaucoup de choses. qu’est-ce que tu sais andras ? beaucoup de d'autres. mais ne t’en fais pas pour moi, je ne me suis pas perdue en chemin ! tu ne fais que passer dans le coin alors ? ta piaule est à l’autre bout de la rue ? que tu continues, taquin, te demandant toujours ce qu’elle fout là l’inconnue pas si inconnue. c’est pas ton genre, d’être misogyne, d’être ce connard détestable qui pense être le roi du monde, le sexe fort, supérieur. tu voues un culte aux femmes, andras. totalement capable au plus profond de toi de te mettre à genoux devant elles. tu l’as fait par le passé. tu as déjà plié les jambes par obsession pour la fille au nom de famille puissant, autant que le tien. pour la sorcière malsaine que t’as laissé empoisonner ton coeur, ton corps d’addiction. et puis t’as recommencé, pour une autre. pour la faucheuse aux cheveux de blé, seconde sirène tentatrice que t’as aimé par folie. trop vite. trop rapidement. pour qu’à son tour, elle t’empoisonne. littéralement. pas de jeu de mot ici. elle en a réellement injecté un. pas pour te garder près d’elle comme l’autre, pour t’éloigner d’elle.
en chemin, t’as aimé un tout autre être, d’une manière différente mais aussi forte. peut-être bien plus encore, de toutes les forces de ton corps, de ton coeur abimé. la prunelle de tes yeux, ta fille. celle pour qui tu détruirais toutes les barrières sur son chemin pour qu’elle accède à l’idéal. tu faucherais tous les comportements misogynes, machistes pour elle. pour freya. ta princesse.
alors non, andras, alors non, jolie infirmière, jsuis pas comme ça.mais ça t’amuse sur le coup. parce qu’elle dépote au milieu de tous. parce qu’elle apparaît comme la reine arpentant sa ruche. tu les vois les regards sur elle, sur vous. les admirateurs. les crains. les jaloux. qui es-tu ?
j’ai tant l’air que ça d’une groupie qui cherche le frissons… qu’elle craque limite, la jolie femme. tout est là sans le dire. l'irritation dans le regard, l’insulte dissimulée sous ses quelques mots. ça te fait monter les commissures, dans un sourire connard, légèrement en coin. c’est l’amusé. celui qui vient de se réveiller. t’as l’air de tout un tas de choses. tu renchéries, le regard comme les mots qui veulent tout dire et rien dire. tu ne la connais pas la jeune femme. tu sais simplement qu’elle est infirmière, qu’elle s’est occupée de toi pendant de longues semaines alors qu’tes forces t’avaient quitté, alors que tu te rebatissais difficilement une santé après ton problème.. la tentative de meurtre de ta femme, celle dont tu es persuadée. c’est elle, rien qu’elle, la coupable. celle que l’infirmière a déjà vu. sais-tu des choses jolie poupée ?
le seul mec que je cherche c’est celui que je laisserais sur le carreau… quant au reste c’qui pourrait bien m’intéresser c’est la marque de ta bécane ou l’moteur que t’as sous le capot ! ça te fait rire, passer à l’arrière de ton crâne ta main sur le chignon que t’as formé rapidement avant ta première course il y a presque une heure. tu m’as l’air bien sûre de toi ? tu cherches, pousses dans les retranchements, la délicieuse satisfaction qui monte en toi de la voir petit à petit enragé, de voir dans ses yeux la flamme qui s’allume, la tension dans les muscles de son corps tentateur le contracter. c’est quoi ton truc ? c’est quoi cque tu conduis jolie infirmière ? que jte prouve qu’il n’est pas devant toi, le mec que tu laisseras sur le carreau. que jte regarde fumer un de ces gars mais pas moi.
@jean delanay
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Message Sujet: Re: adrénaline. (andrás)   adrénaline. (andrás) Empty Mer 1 Mai - 20:25

adrénaline.
Défis, moi, vas-y, je n’attends que ça…
Il te tape sur le système le blondinet aux allures de surfeur mais, tu en redemanderais presque. Tu l’aurais presque dans la peau ce puissant désir qu’il bataille contre toi. Qu’il te pique pour le plaisir de bien lui rendre en retour. Cette presqu’envie qu’il te sous-estime pour finir par le regarder sourire en coin à lui donner une bonne leçon. Non, tu ne te vois pas déjà tout en haut des marches mais, tu sais qu’à l’arrivé, tu avais déjà à demi gagné. Tu le savais à ce regard qu’il déposer sur toi. Que ces prunelles arpentant les tiennes et de ces paroles toutes faites pour te chercher. Peut-être que tu plonges dedans trop facilement où alors, que tu es exactement là, où tu voulais être. Il perd autant que toi finalement et c’est surement là ce qui te contente. L’adrénaline qui coule dans tes veines ou cette excitation au bord des lèvres. T’en veux plus, toujours plus. –cherches moi, trouves moi, attrapes moi-même, fais-le si tu le peux….- « Et toi alors ?!... Tu fuis ta bien-aimée ou tu cherches à retrouver le frisson d’une vie perdue ?! » Il est doux le regard que tu laisses caresser sa peau. Elles sont brûlantes tes iris que tu laisses noyer dans les siennes. Tu vibres jean, tu vibre à ce nouveau rythme qui fait palpiter ton cœur, tes sens… Tu la laisses dérivé ta tête, ton esprit ailleurs à sonder l’homme qui te regarde de son haut surement à penser te connaître. Il cherche la faille là où tu cherches la sienne. Celle que tu crois connaître de lui où une autre phase caché du mystérieux patient dont tu as pris soin toutes ces semaine. –on en est bien loin du lit de l’hôpital, hein... que caches-tu derrières cette carapaces ?!- Silence de question pour les mots superficiels qui masque la danse qui se joue en muet entre vos regards entremêler. Comme deux prédateurs pas prêts à lâcher leurs proies. « … éclaires-moi tu veux ?! J’ai l’air de quoi… » Souffle grisant. Murmure électrique dans un air qui deviendrais presque étouffant alors que vous n’aviez que la liberté du grand air qui entrée dans vos poumons. Tension à ce que tu en oublie le simple mécanisme de respiration. Trop concentrée sur l’instant ou toujours cette même soif de vaincre. Encore, toujours… Dans ton sang. Dans tes veines. Dans tes gênes. « Je ne suis pas sûr de moi… détrompe-toi !! Je sais tout simplement ce que je vaux… et toi alors ?! » -dis-moi, dites-moi ce que vous valez mr.S- Un pas qui te rapproches de lui à le jauger comme tu le jauge. C’était comme être au cœur de l’un de ces combat de coq que se mené tout tes oncles autoproclamé. Tu te sentais comme une putain de lionne face à un adversaire de taille et dieu que tu hais autant que tu adore cela.  Peut-être bien que l’idée de perdre dans ces bras t’effleure ou la force de l’envie de lui donner une bonne leçon. Professeur, élève… t’étais prête à jouer tous les rôles.  –qu’es ce que tu veux, dis-moi ce que tu veux ?!....- « J’en ai bien des truc… un garage trop petit, dépend ce que tu demandes… loyal, déloyale ?!... mais je ne voulais pas décevoir mes frères, pas ce soir… Moteur Evolution® V-Twin 1200cc ! » la voix qui se laisses envoûter dans la douce mélodie des moteur qui rugisse pour une nouvelle course un peu plus loin  « Forty eight® spécial… » Et c’était comme flirter dans un autre langage. Un langage qu’il ne comprenait « … rien de plus fidèle qu’une harley ! » un clin d’œil et le temps en suspend sans une question il le sais, il le sait que tu attends sa réponse. –dis-moi, dis moi ce que tu as dans le ventre toi….-

@andrás Sorensen  adrénaline. (andrás) 2730069674  
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