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 tangled up (sasha)

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Lali Morales;

-- pretty lies, ugly truth --
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Lali Morales



maría.
étangs noirs, ethereal.
4421
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le coeur coffre-fort, uniquement comblé par tout ce qui brille.
femme de chambre dans un hôtel de luxe (le plaza). les sourires de façade qui habillent les traits de son visage, les bonnes manières et les courbettes apprises avec frustration.
en coloc' dans le queens contemporain, et ce n'est jamais assez bien.
no gold-digging for me
i take diamonds
we may be off
the gold standard someday.


☆ ☆ ☆
tadeusz - max - betsi - oona
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Message Sujet: Re: tangled up (sasha)   tangled up (sasha) - Page 2 Empty Dim 4 Aoû - 23:12

une vie perpétuellement sur le fil du rasoir. des contes qui vont et qui viennent. des vérités et des mensonges qui se chevauchent jusqu'à se mélanger. des réalités qui s'effacent petit à petit. et une existence en pointillé selon les battements d'un coeur qui ne sait plus. qui n'a peut-être même jamais vraiment su. un jour il bat, l'autre il ne bat plus. un jour il ressent, l'autre il ne ressent plus. et elle se perd complètement dans ce schéma à demi-effacé lali. la forte tête qu'elle sait montrer à la face du monde lui sert à masquer les bobos, cachés au-dessus et en-dessous de l'épiderme. alors tu parais insaisissable lali, intouchable. rien ne t'atteint jamais. t'es déjà au sommet quand d'autres n'ont pas franchi le premier pallier. et même si tu brodes plus que tu n'es sincère, personne ne le sait alors tu t'en fiches. ta couverture reste intacte. et sasha, d'un coup de pied maîtrisé, fait trembler un peu plus un château de cartes déjà branlant. souvent, elle rentre dans son jeu lali. elle se fait partenaire idéale, partenaire de choix, celle qui ne décevra pas. et d'autres fois, ça brûle un peu plus fort et elle réalise qu'elle va sans doute trop loin. profiteuse dans l'âme, pas habituée pour un sou à épargner les êtres plus fragiles. parce que sasha, elle ne la distingue pas ta putain de comédie. tu la laisses plonger sans états d'âme dans le bain machiavélique qui lui tend les bras. et tu ne culpabilises jamais assez longtemps pour oser penser que tout n'est peut-être pas encore totalement perdu pour toi. tu finiras par te faire une raison morales, le paradis ne voudra pas de toi. quand elle se prend un poil trop au jeu, lali freine des deux fers. évitant sans doute une chute qui écorchera plus qu'elle n'aurait dû. dans un semblant de sentiments sains, elle lui offre une porte de sortie. lui dit combien elle a tort de rester, qu'elle devrait même partir tant qu'elle le pouvait encore. avant que lali n'aspire tout ce qu'il y a de bon en elle, tout ce qui la rend si vivante, tout ce qui fait d'elle ce qu'elle est et la rend unique. sans se fourvoyer, elle voit clair lali. elle voit qu'il y a trop de pureté, trop de bonté, trop de douceur et d'amour à donner chez la jeune réceptionniste. et presque autant, elle sait combien elle ne saura pas y répondre. uniquement capable d'entacher une feuille si blanche. bien essayé mais, à moins que tu me foutes dehors, moi, je reste. un oeil en coin se pointe sur sasha quand elle répond. tu sais même pas comment elle fait pour te suivre, pour ne serait-ce qu'avoir envie de le faire. t'es pleine de contradictions lali. la vulnérabilité qui étreint le moindre de tes mots et de tes gestes, tu la supplies presque de rester. pour finalement lui suggérer de se tirer à peine quelques minutes plus tard. même toi, tu ne te comprends plus. et elle sait pas où elle met les pieds sasha, parce qu'elle ne le lui répètera pas deux fois la jeune morales. sauf qu'après ça, ce sera trop tard. s'pas grave si tu veux pas d'bisous, j'vais arrêter d'insister, okay ? c'est pas que tu veux pas. c'est seulement que tu sais que ça voudra rien dire pour toi, comme tous les autres que tu donnes sans compter. et pour une fois, tu veux faire les choses bien, en évitant d'abîmer une âme déjà bien trop tourmentée. j'ressens plus rien sasha, perds pas ton temps avec moi. cartes sur table, c'était la seule option qui lui restait. y'a rien qui palpite à l'intérieur. ni pour elle, ni pour personne d'autre. y'a que l'or et les billets qui vont briller ses yeux. par la taille, elle la rattrape la blonde. comme si elle refusait d'entendre la moindre de ses paroles. de l'intégrer, d'en comprendre le sens caché ou à demi dévoilé. reviens contre moi, j'ai vingt-quatre ans à te raconter, c'est quand même long... la capitulation pour seule réponse, les habitudes reviennent avec. parce qu'elle a besoin qu'on l'aime lali, besoin de ressentir qu'on l'admire, qu'on se damnerait pour elle. alors elle prend, sans se forcer, tout ce que sasha voudra bien lui donner. même si elle ne sait pas lui rendre en retour. ça fait bien longtemps que son égoïsme n'a plus de frontières. j'suis qu'un poison. même mes putains de parents ne se sont jamais intéressés à moi. elle lâche ça là, et elle se ré-installe dans le même temps. laissant la jeune femme la gratifier d'un léger baiser qui fait du bien. se berçant des caresses dans ses cheveux qui l'apaisent. tu les sens les battements de son coeur, tellement que t'as presque envie de fuir. les tiens n'étant pas pas prêts à se synchroniser, tu voudrais juste qu'elle cesse d'espérer pour mieux tomber. il était une fois, une petite sasha mary alix frances née comme une blague dans une tempête de neige, un premier avril. c'était perdu dans les jolis bois de catskill aux états-unis... y'a que le bruit et le souffle de sa respiration chaotique pour fendre l'air. j'espère qu'elle finit comme dans un conte ton histoire. fais-moi rêver. ça ferait pas de mal une fin heureuse, au moins pour l'une d'entre elles.

_________________
--- c'est une question d'angle, d'envers et d'endroits. comment tu nous vois. comme dans un triangle, il faut être trois. toi, le désir et moi. quand est-ce qu'on se consume, qu'on se console d'en être arrivé là. quand est-ce qu'on se consume, une dernière fois.
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Message Sujet: Re: tangled up (sasha)   tangled up (sasha) - Page 2 Empty Lun 9 Sep - 23:08


Tu sais pas ce que t'aimes le plus chez Lali. Probablement la promesse qu'elle ne sera jamais à toi, le drame perpétuel qui pend au bout de ses lèvres, que t'as envie de croquer pour mieux te damner, pour avoir de quoi écrire, de quoi raconter. Parce que les histoires qui vont tout bien, personne ne veut les entendre, même les enfants s'endorment dessus. Parce qu'au travers de tes iris, ceux de Lali ont la couleur de ta propre perte. Ce serait si simple de foutre le camp, tourner les talons, arrêter de te tourmenter avec des ''si'', arrêter de te faire les douloureuses promesses qu'avec le temps, peut-être qu'elle verra. Parce que y'a l'espoir sous la pulpe de tes doigts qui égratignent sa peau. L'espoir que les jours lui feront comprendre ce que vous pourriez être, que les mois lui feront voir qu'elle ne peut plus se passer de toi, que les années la convaincront de vous donner une chance. Et a un moment, tu ne sais plus si c'est de l'entêtement ou de la folie. Tu te fatigues contre Lali, à attendre Godot qui ne viendra jamais, tu t'essouffles et t'acharnes pour des poussières. Tu te bats contre ta propre ombre, contre ton monde d'illusion. Parce que c'est trop dur de simplement te dire que Lali voudra jamais de toi.

T'as la tête dure, toi. Tu t'acharnes, même avec les gens qui ne veulent pas. Tu t'écorches les genoux jusqu'à ne plus en avoir, jusqu'à plus avoir de larmes à pleurer, t'es comme ça. À chercher les parcelles de bons, même dans les poitrines démones, parce qu'au fond, ils sont des anges déchus, les ailles brulées, qui sont tombés jusqu'en enfer, hein ? Elle ne goûte pas l'enfer, pourtant Lali. Pas quand y'a rien d'autre que tes mires pour briller sous les siennes. Tu vois le meilleur en elle. Tu ce qu'elle a peur d'être, tout ce qu'elle a peur que tu trouves en te laissant gratter dans la terre de son ventre pour y trouver les trésors qu'elle a peur de se faire dérober.

En essayant de te sauver, elle te fait quand même mal. T'es pas certaine de la croire. Parce que parfois quand t'es trop près, t'as pas du tout l'impression qu'elle ne ressent plus rien. L'arrogante certitude qu'elle pourrait y croire encore. Tu mords tes lèvres, fort, pour ravaler les conneries et le trop pleine d'audace. Pour te retenir de relever le défi, le prouver du bout des lèvres ou du bout du coeur, qu'elle a tord. Comme si t'étais l'un de ses princes qui pouvait changer la vie d'une princesse en leur roulant un seul patin. Aujourd'hui, les princesses se sauvent toutes seules. Tu voudrais juste lui montrer comment c'est beau un peu quand on enlève son armure et si le château brule, c'est pas grave, tant pis. T'écoutes pas ses menaces, qu'elle te brises le coeur, c'est pas grave non plus, tu la ramènes vers toi. Refout ton coeur entre ses mains sans lui donner le manuel. Parce que si elle devient ton petit enfer, tu préfères la garder près. Tu te damnes encore, en venant délicatement embrasser le creux de son épaule alors qu'elle tente encore de te sauver d'elle, en parlant de ses parents. Tu veux plus être sauvée, toi, c'est trop tard. Tu pinces tes lèvres en cherchant quoi dire.

« Ça veut rien dire ça. Parfois y'a des parents qui auraient mieux faire de s'acheter des poissons rouges. » Que tu grognes doucement pour la défendre. Même si, quelque part tu remercies ses idiots de géniteurs d'avoir fait exister ta douce Lali. Ta vie serait quand même vachement moins fun sans elle. Moins douce aussi. Parce que là, ta main dans ses cheveux, c'est du petit miel sur ton existence qui te donne envie de ronronner contre l'odeur de ses boucles. « T'as rien de poison, j'pense que t'as juste peur... » Que tu lui chuchotes comme si c'était pas vrai. Parce qu'en vrai, ce ne l'est pas. Toi ça t'as jamais dérangé, de la partager, ou quoi que ce soit. Tant qu'à un moment ou un autre, elle est là, un peu à toi, même en petites miettes. Et puis t'effaces tout avec tes histoires de petite Sasha. Jusqu'à ton sourire un peu triste quand elle espère pour une fin heureuse. Une fin à laquelle t'es même pas certaine de croire toi-même. T'arrives pas à pas la caresser, quand elle est là, dans tes bras. Une main qui joue dans ses boucles, l'autre qui glisse sur la peau de son bras et un petit sourire qui n'veux plus s'enfuir. Parce qu'elle comprime un peu ta poitrine avec son dos, juste ce qu'il faut pour te sentir protégée du reste du monde. Des envies de l'embrasser qui se perdent en histoires, parce que ça pourrait tellement être simple, vous deux contre le reste du monde.

« Donc ouais, petit Sasha née en accident, grandie dans la terre entre la montagne et les mers. Un bébé tellement calme qu'on devait aller voir si elle était pas morte le matin parce qu'elle pleurait pas. Ba non, elle gazouillait en jouant avec ses pieds et en regardant le mobile au plafond, attendant qu'on la retrouve et qu'on la prenne dans ses bras pour rigoler. Papa et maman se sont dit ''oh, c'est ça avoir un bébé ? Faisons-en un autre !'' Et c'est là que les choses se compliquent... » Que tu laisses volontairement en suspend pendant que tes doigts bécotent son avant-bras et que ton autre main masse doucement sa nuque, pour peut-être, la précipiter dans un sommeil. T'es un peu jalouse quand même, Morphée l'a dans tes bras tout les soirs, elle pourrait te la laisser quand même un peu, c'est pas juste.
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Message Sujet: Re: tangled up (sasha)   tangled up (sasha) - Page 2 Empty Sam 19 Oct - 2:07

elle ne sait plus très bien à quoi ressemble leur relation à toutes les deux. quand l'une ne cesse de courir après des chimères, après des espoirs qui resteront sans doute vains encore longtemps. quand l'autre se contente de profiter, de prendre tout ce qu'on veut lui donner, sans jamais essayer de le rendre. lien à sens unique. l'une donne, l'autre prend. l'une s'ouvre, l'autre se ferme. et elle ne mérite pas ça sasha. malchance qu'elle avait déjà eu de croiser sa route. si elle avait le pouvoir de l'épargner un peu aujourd'hui, elle se devait de le lui accorder. c'est pas parce qu'il n'y a plus rien qui palpite à l'intérieur que tu dois pour autant érafler toutes les âmes qui t'approchent. tu feras juste un détour, tu mettras tes contradictions sur la table et tu attendras. qu'ils comprennent, qu'ils te voient enfin comme tu es véritablement. le masque finalement retiré. une vipère déguisée. une sorcière aux allures de princesse. un portrait en apparence parfait mais qui révèle toutes ses noirceurs une fois le vernis craquelé. elle ne parait pas convaincue par tes complaintes sasha. ou alors elle essaie simplement de se persuader du contraire. de recoller des morceaux qui l'aideront peut-être à y voir plus clair. à distinguer ce qu'elle ne remarquait pas avant. et ça l'agace lali. elle qui ne voudrait que la secouer pour lui remettre les idées en place. lui faire accepter que ça ne sert à rien de s'obstiner. qu'elle ne donnera rien, parce qu'elle n'a plus rien à donner. ni à elle, ni à personne d'autre. dans le temps, on a enrayé la mécanique la plus précieuse qu'elle possédait. depuis, elle n'a plus jamais été capable de faire redémarrer le mécanisme. les rouages ont pliés sous le poids des années. ils ont rouillés, se sont disloqués. la machine a pris l'eau. aujourd'hui, il n'en reste plus rien. rien que des ruines. l'entêtement dont elle fait preuve est presque mignon, sauf qu'elle n'en mesure pas l'impact. ni combien elle ne s'expose qu'à des risques de souffrance supplémentaires, en s'acharnant à la contredire comme elle le fait. la sensation de ne jamais être assez claire la prend. sauf qu'elle ne sait pas d'autres façons d'être honnête avec elle. pourtant, elle est là. pourtant, elle écoute. se fait interlocutrice privilégiée, la supplie de s'ouvrir, de lui raconter tout de son histoire. elle a envie de se noyer dedans lali. d'oublier le reste, de se concentrer sur l'essentiel. parce que personne ne sait mieux qu'elle, que ça ne durera qu'un temps. elle se doit de presser le fruit jusqu'à la lie. d'étreindre les moments de douceur et de bonheur avant qu'ils ne lui échappent. définitivement. c'est toujours comme ça que ça se finit non ? on ne lui a pas appris à être heureuse à la jeune morales, alors elle trébuche chaque jour que dieu fait. se prend les pieds dans le tapis comme un gosse qui s'essaierait tout juste à poser un pied devant l'autre, pour tenter de marcher. t'aurais pu lui donner ce que t'avais, te laisser aller l'espace d'une heure, d'un instant suspendu. mais trop vite, elle comprend qu'elle n'en a pas le droit. parce que c'est pas elle qui se fera mal en tombant, c'est encore sasha. et ça, c'est au-dessus de tes forces. quelques bribes d'elle qu'elle lâche par instant. qu'elle jette comme des bouteilles à la mer, pour qu'elles s'accrochent aux bouées de la blonde. ses géniteurs qu'elle évoque de la pire des manières, leur rôle qu'elle remet en cause. attaque frontale, face à ceux qui brillent par leur absence depuis de trop nombreuses années. si longues qu'elle a oublié de les compter. ça veut rien dire ça. parfois y'a des parents qui auraient mieux faire de s'acheter des poissons rouges.. la grimace qui précède des les paroles amères. là, c'était moi le poisson rouge en l'occurrence. le mal que ça lui fait toujours de simplement l'évoquer. et j'parle même pas de mes plus jeunes soeurs. l'égoïsme en guise de seconde peau ne s'applique pas à sa fratrie, jamais. pour eux, elle avait relevé ses manches. avait pris sur elle pour rendre leur existence la moins moche possible. pour eux, elle était devenue attentionnée lali. et l'exploit était si rare qu'il méritait d'être souligné. toi, t'as encaissé. c'est ce que tu fais toujours. mais tes soeurs étaient bien trop jeunes pour avoir à supporter tant d'indifférence. et c'est ce qui te rend dingue. c'est ce qui te pousse à les détester un peu plus à chaque grain de sable qui s'écoule du sablier. la main dans ses cheveux adoucit ses maux, même si elle ne s'en rend pas compte, même si elle ne le dira pas. t'as rien de poison, j'pense que t'as juste peur... la tête qui tire vers l'arrière, les iris qu'elle plante dans les siens. et elle la fixe, de longues secondes qui semblent durer des heures. les réponses qu'elle cherche à travers les billes. l'eye contact qu'elle rompt, effaçant les stigmates de ce qui pourrait brûler à l'intérieur. ses doigts qui se percutent, devenant bizarrement un jeu très prenant. j'ai plus peur de rien sasha, j'suis immunisée. comme si elle avait déjà trop souffert pour une vie entière. comme si toutes les lames pouvant la transpercer ne l'effleureraient même plus. l'armure serrée contre elle, le bouclier en guise de rempart supplémentaire. et le récit que la jolie réceptionniste reprend. donc ouais, petit sasha née en accident, grandie dans la terre entre la montagne et les mers. un bébé tellement calme qu'on devait aller voir si elle était pas morte le matin parce qu'elle pleurait pas. les esquisses de rires innocents passaient la barrière de ses lèvres. elle qui se pensait partie trop loin dans les drames pour pouvoir retrouver un semblant de légèreté ce soir-là. sasha, toujours pleine de surprises. sasha, toujours là pour dérider les esprits les plus froids. ba non, elle gazouillait en jouant avec ses pieds et en regardant le mobile au plafond, attendant qu'on la retrouve et qu'on la prenne dans ses bras pour rigoler. si mignonne qu'elle devait être enfant. tu t'es bien rattrapé depuis... qu'elle plaisante. plus pour détendre une atmosphère trop écrasante, que par pure vérité. papa et maman se sont dit ''oh, c'est ça avoir un bébé ? faisons-en un autre !'' et c'est là que les choses se compliquent... les pupilles qui vagabondent à nouveau jusqu'à elle, pour percer le mystère et deviner la suite des évènements. qu'est-ce qui s'passe après ? la patience s'effrite, soumise au suspense, à l'image d'un film sur écran. elle est douée pour raconter sasha, elle ne peut décemment pas lui enlever ça. un frère, une soeur ? c'est quoi le drame ? ça tombe sous le sens. le programme ne serait pas réjouissant. pas au ton qu'elle emploie, encore moins aux formules qu'elle expire. tu la voulais ta putain de belle histoire. ton conte de fées des temps moderne. faut croire que ça a encore merdé. foutu destin conditionné.

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