Et temps normal, t’aurais pris sa phrase pour une putain de provocation. T’y aurais vu un défi là où il n’en aurait pas mit à la base. Parce que le « Il en faudra plus pour me déconcentrer. » est quand même une sacré invitation dans ta petite caboche. Mais pas là. Pas aujourd’hui. Aujourd’hui, t’as beau faire le con pour le masquer un maximum - t’es putain de sérieux. T’as envie d’apprendre tout ce que tu peux pour ne plus jamais te sentir aussi… démuni, pour le plus jamais avoir à vivre ce qui t’était arrivé. Tu t’attendais à ce qu’il t’apprenne à frapper, direct - ou à éviter les coups ou… tu sais pas trop. Tu ne t’attendais pas à ce qu’il te refile une putain de corde à sauter. Tu la fixes comme si elle allait se mettre à parler - à te parler, comme si elle allait te révéler en quoi l’utiliser pour sauter sur place allait bien pouvoir améliorer ta défense. Mais t’as décidé d’être un bon p’tit gars aujourd’hui et de pas remettre en question les demandes de ton professeur alors tu te mets à sauter à la corde. Et bordel, t’imaginais pas que c’était aussi dur à la fois au niveau de ta respiration, de ton coeur et… de tes jambes qui semblent adorer se prendre dans la corde.
Ta maladresse est pire que tout quand tu fais du sport. Tu le savais déjà, ça. Quand t’étais encore à l’école, c’était une putain de catastrophe. Tes profs pensaient réellement que tu le faisais exprès mais… t’étais juste parfaitement gauche. À un moment, ils ont fini par piger que non, tu ne faisais pas exprès de te prendre le ballon de basket dans la figure, et d'exaspéré, ton prof est devenu moqueur. Tu ne sais toujours pas si tu l’aimais bien ou non celui là, d’ailleurs. « Putain. » siffles Slade alors que tu le fais tomber au sol sans trop le vouloir, sans même comprendre pourquoi. T’es doué toi. Tu fous un mec comme Slade par terre sans même t’en rendre compte alors que t’y parviendrais même pas si t’essayais, si tu t'acharnais. N’importe quoi.
Tu t’es laissé emporter dans la chute atterrissant sur lui de la manière la plus gracieuse du monde. C’est tes genoux qui tapent en premier, de chaque côté de ses hanches, alors que tu penses à la dernière seconde que ouais, c’est peut-être mieux de faire en sorte de pas lui enfoncer un genoux dans les valseuses. T’as pas prévu de l’endommager, encore moins à cet endroit là. T’en as besoin, merde. « Tu l'fais exprès, c'est pas possible. » qu’il lâche et tu lui décroches ton plus beau sourire. « J’adorerais te dire que j’ai fais exprès pour me retrouver sur toi et te chauffer mais… Ça impliquerait que je réussisse à te mettre au sol de mon plein gré. » Et tu ne bouges pas. D’un pouce. À la fois parce que t’as grave envie de reprendre ton souffle, un peu, mais parce que t’es sur lui, parce que t’as rarement la chance de l’avoir en dessous de toi - d’avoir l’avantage. C’est jouissif. T’as l’intention d’en profiter un maximum.
elle sort d'un film merdique, cette scène. même toi, t'as aucune idée de comment il a pu t'entraîner dans sa chute. parce qu'il pèse trois fois rien damen. c'est pas comme si t'avais des difficultés à l'baiser en le portant contre un mur, en tout cas. et, merde, tu fais une tête de plus ? facilement. et pourtant, tu t'retrouves étalé par terre et le blond sur toi. pourquoi ça t'étonnes même pas, que d'le sentir se casser la gueule contre ton bassin. quoique c'est toujours plus agréable que de te prendre un coup de coude dans la gueule parce qu'en plus de réussir à t'foutre par terre, il aurait pu réussir à t'en foutre une. accidentellement, certes. mais ce n'est pas arrivé. (encore heureux, putain.) et il le fait exprès, c'est certain. c'est pas possible autrement. tu vois pas comment ça peut être possible autrement. tu te pinces les lèvres un instant, les sourcils légèrement froncés. et t'y as échappé belle qu'un de ses genoux vienne pas s'exploser entre tes jambes. tu l'observes, lui et son sourire à la con. j’adorerais te dire que j’ai fais exprès pour me retrouver sur toi et te chauffer mais… ça impliquerait que je réussisse à te mettre au sol de mon plein gré. ton regard reste planté sur le blond quelques secondes encore, jusqu'à ce que tu hausses les épaules. ça se tient ce qu'il raconte.
ça ne semble pas le déranger, en tout cas, d'rester planté là comme un con, son cul juste contre tes hanches. sinon, tu comptes bouger un jour ? tu te contentes de demander. tu pourrais facilement le dégager et te relever. mais t'as bien trop envie d'voir ce qu'il est capable de faire, damen. parce que tu sais qu'il est capable de faire des trucs auxquels tu t'attends pas. tu te pinces brièvement les lèvres et viens croiser tes bras derrière ton crâne, l'air de rien, attendant simplement. un mouvement d'bassin, qu'il se redresse, t'en sais trop rien. et si tu fais rien, c'est p'être parce que t'aimes bien voir son corps sur le tien. (et dieu sait que tu ne laisserais ton précieux contrôle pour rien au monde.) c'est rare. putain de rare. sauf quand il vient s'asseoir sur tes cuisses, mais c'est pas totalement la même histoire.
Certes, tu réussirais pas à le mettre au sol de ton plein gré mais là, jusqu’à preuve du contraire, tu as réussi. La preuve en est - il est allongé au sol, sur le dos, et c’est toi qui est fièrement assis sur lui, savourant ta victoire minable. Alors tu profites parce qu’à défaut d’une victoire vraiment méritée que tu ne pourras jamais avoir, tu peux au moins profiter de celle là. « Sinon, tu comptes bouger un jour ? » qu’il demande et tu arques un sourcil. Quand il demande ce genre de choses, c’est quand il veut provoquer une réaction. En général, la réaction en question a tendance à vous mener dangereusement sur le chemin de la baise - soit dit en passant - alors t’es persuadé que c’est ce qu’il cherche, là aussi. Sauf qu’avant de tomber, avant de te retrouver comme ça avec sa provocation en pleine figure, tu n’y avais pas pensé une seule seconde. Ça changeait, tiens. Faut croire que t’étais vraiment concentré, à la fois pour ne pas tomber, pour suivre les instructions et pour faire bien. T’avais voulu apprendre un vrai truc, pour une fois, t’avais été attentif. T’en avais oublié le cul avec Slade pendant pas mal de temps alors que lui était là, devant toi, torse nu. Ça t’en bouche un coin ça, tiens. Parce que tu pensais pas en être capable, en fait. Tu ne pensais vraiment pas pouvoir passer du temps avec lui sans laisser ton regard glisser sur ses fesses ou encore ses épaules, à t’imaginer t’y agripper pendant qu’il te prend. Sauf que là, tu réalises. Là, tu prends conscience que t’es assis sur son bassin, que t’as une main de chaque côté de son torse et qu’il ne porte pas de tee-shirt. T’as soudainement soif.
Il croise les bras derrière sa tête, ce con, autre geste provocateur dans le but de provoquer une réaction et toi tu fais rien. Parce que t’as bien envie de te lever et de l’engueuler pour pourrir une ambiance de travail sérieuse ou tu étais bien plus attentif que tous tes anciens cours d’adolescent réunis - mais t’as bien envie de le bouffer, là, tout de suite.
Il est en sueur, putain. C’est comme dans ces putains de séries pour ados à la noix où les mecs sont torse poils, en sueur et que c’est trop putain de sexy pour être vrai. Sauf que là, t’as la preuve devant toi que c’est vrai, bordel. Putain t’as chaud. T’avais aucune idée que le sport pouvait te rendre comme ça. T’avais aucune idée que de te fatiguer à sauter partout pouvait t’exciter à ce point. Parce que t’as plus l’intention de te lever maintenant, t’as l’intention de le défringuer bien rapidement. « Tu pourrais pas être moche et puer quand t’es couvert de sueur ? Genre comme tout l’monde ? » que tu siffles entre tes dents. Faut dire que t’es jaloux, ouais. T’aimerais bien être aussi… appétissant dans cet état. C’est absolument pas l’cas. Sauf que tes yeux chantent une toute autre chanson. Ils parcourent la peau du plus vieux comme pour sauvegarder cette image dans ton esprit pour plus tard et tu plonges. Tu plonges direct sur ses lèvres pour l’un de ces baisers sauvages, demandeurs dont vous avez le secret.
tu l'observes de longues secondes, ton regard ne le quittant pas, glissant sur ses courbes malgré les fringues qu'il porte. tu te pinces brièvement les lèvres, venant croiser tes deux bras derrière ton crâne. et t'en as profité pour reprendre calmement ton souffle. et ce qui t'étonnes, c'est que ça fait plusieurs minutes, voir même plusieurs heures que t'es à moitié à poil devant damen, et qu'il a l'air de s'en foutre complètement. alors sois ouais, il s'en fout (mais dans ce cas, tu te demandes encore pourquoi il parlait de baise en débarquant chez toi) ou alors il a cœur de bien faire. et d'apprendre à se battre. parce que concrètement, l'idée, c'est ça. t'as bien vu l'état dans lequel il a terminé l'autre soir, quand il a débarqué couvert de sang en plein milieu de la nuit. tu fronces un peu les sourcils, toujours cette envie d'aller frapper ces mecs au travers de la gorge.
tu pourrais pas être moche et puer quand t’es couvert de sueur ? genre comme tout l’monde ? tu arques un sourcil face au blond, l'observant longuement, l'air de lui demander s'il est sérieux. puis tu hausses les épaules, comme si de rien n'était. visiblement pas. tu te contentes de répondre, le coin de tes lèvres se soulevant à peine. esquisse d'un sourire, rien de plus et, de toute manière, tu ne pourrais même pas sourire, plus occupé à glisser ta langue dans la bouche de damen quand il se penche sur toi pour un baiser qui n'a rien de romantique. jamais. juste un échange sale de salive. ça a toujours été comme ça. c'est pour vous chauffer, c'est pour l'ambiance, pas parce que ça compte, pas parce que c'est mignon et que vous tenez l'un à l'autre. manquerait plus que ça. rien que l'idée pourrait te filer un haut-le-cœur. nah, clairement. tu vois pas ce qu'il pourrait y avoir. à part de la baise et du sale. un peu comme maintenant, quoi.
tu mords la lèvre du blond, te redressant sur un coude, n'ayant pas de mal à le faire malgré son poids contre ton torse. tu plonges ton regard dans l'sien, tu sais pas encore si tu vas le déloger et le retourner sur le sol ou si tu vas l'laisser à sa place - sur ta bite. tu te contentes de glisser une main entre vos deux corps pour tirer sur la ceinture improvisée plus tôt dans l'après-midi, d'quoi glisser ta main sous le short, contre son cul que tu viens serrer entre tes doigts, ta bouche à quelques centimètres de la sienne, tandis que tu guettes sa réaction.
Tu t’es donné à fond, t’en as oublié l’fait que yavait Slade et que t’as toujours envie de lui arracher ses fringues avec tes dents… mais t’as sûrement rien appris. Tu ne te souviens pas d’avoir réussi une seule des choses qu’il t’ait montrées - pas une seule. T’es sûrement un cas désespéré. Tu fais sûrement partie de ces mecs trop maladroits pour leur propre bien qui finiront par crever de la manière la plus improbable mais spectaculaire possible ; comme le mec qui avait foutu son bras dans l’cul d’un éléphant et qu’est mort recouvert par les excréments. Ça, c’est ta dose de maladresse.
Bordel comme ça te prend, cette putain d’envie de lui. T’as l’impression de passer de 0 à 100 en l’espace d’à peine quelques secondes. C’est pas humain, putain. C’est pas humain de vouloir autant quelqu’un après cinq putains d’années passées à baiser. C’est pas humain de vouloir autant quelqu’un pour qui tu n’as aucun sentiment. « Visiblement pas. » qu’il a l’audace de répliquer parce qu’il ne pouvait pas fermer sa gueule et prendre le compliment, parce que fallait qu’il en rajoute ne serait-ce qu’un peu. Et tu le fais taire d’un baiser pressé, chaud avant de lui balancer un magnifique « Ta gueule. » à la figure pour mieux ensuite l’embrasser à nouveau.
Il se redresse pour détacher ta ceinture improvisée et t’es ravi qu’il n’y aille pas par quatre chemins, qu’il ne cherche pas à te faire attendre. Faut dire, peut-être que si t’as autant envie d’un coup en fait, c’est parce que plus tu restes dans la même pièce que lui, plus ton excitation monte - et que t’avais pas fait gaffe jusqu’à maintenant. Peut-être que tu ne peux vraiment pas rester indéfiniment dans la même pièce que lui sans que l’un de vous ne perde le contrôle et ne finisse par coller l’autre contre le mur le plus proche. Ça doit être pareil pour lui, en fait. Ça doit être pour ça qu’il ne perd pas de temps, qu’il vire ta magnifique ceinture afin de glisser ses mains dans son short que tu portes pour aller se saisir de ton cul. Et toi, tu lâches un petit soupir de bien être en le sentant faire, alors que tu donnes un petit coup de bassin inconscient. « J’suis sûr tu rêvais de faire ça depuis que j’me suis changé. » Tu souris du coin de tes lèvres avant de venir passer le bout de ta langue sur les siennes, rien que pour le provoquer.
tu te vantes un peu. peut-être. en même temps, damen, il cherche, avec ses répliques à la con. tu aurais pu esquisser un sourire, mais il ne t'en laisse pas le temps (tant pis pour lui) avec un baiser qui n'a de baiser que le nom. comme toujours. ça ne change pas, ça ne changera pas, même si les jours, les mois passent, semblent parfois se rappeler, venir faire un petit coucou. (cinq ans, t'as même pas envie d'y penser.)
tu te redresses, juste un peu, juste après son ta gueule si joliment placé, avant que ses lèvres ne reviennent s'écraser contre les tiennes. tu fermes les yeux, t'attaques à la ceinture improvisée un peu plus tôt dans l'après-midi. tu te mords l'intérieur de la joue, glissant ta main contre son cul que tu viens serrer entre tes doigts. (et dieu inventa, la délicatesse.)
t'observes le blond, ton souffle se mêlant au sien tant vos visages sont proches l'un de l'autre. il vient donner un coup de bassin contre le tien. j’suis sûr tu rêvais de faire ça depuis que j’me suis changé. t'as envie de lui répliquer de ne pas prendre ses fantasmes pour la réalité, mais ... il a sans doute raison, ce con. petit con auquel t'as envie de venir effacer ce sourire. tu l'observes d'longues secondes, venant attraper sa lèvre inférieure entre tes dents et serrant un peu plus fort ses fesses. bouge toi. dans mon sac. tu te contentes de souffler. pas besoin d'en dire plus. capote. lubrifiant. il devrait s'en sortir, non ? s'en douter, aussi. ton visage que tu redresses vers le blond. et p'être que si t'es assez rapide, j'aurais pas l'temps de me relever. que t'ajoutes. parce qu'étrangement, là, maintenant, c'pas désagréable de l'avoir sur toi comme ça. et l'idée d'le voir se baiser sur ta bite aussi, c'est pas désagréable. tu viens t'appuyer sur un coude, ton regard plongeant dans l'sien, attendant de voir ce qu'il va faire. dans tous les cas, c'est une putain d'invitation que tu lui livres, alors il a intérêt à saisir sa chance. puis bon, il a bien travaillé cette après-midi (même si tu ne l'avoueras pas), tu peux bien le laisser t'surplomber. pour une fois.
(y'a beaucoup de trucs insolites ces derniers temps, et t'as pas forcément envie d'y penser.)
« Bouge toi. dans mon sac. » Et putain t’aurais dû t’en douter. Parce que jusque là, le manque de lubrifiant et de capotes ne t’avait pas franchement effleurer l’esprit. Mais maintenant qu’il fait allusion à son sac, tu piges. Tu piges et tu te marres. T’allais le chercher pour un entraînement et le mec prenait de quoi baiser. Optimiste, le mec. Prévenant, aussi. Pis pour le coup, tu vas pas chercher à le taquiner ou à le chercher - t’es bien trop impatient, t’as bien trop envie de passer à la vitesse supérieure. « Et p'être que si t'es assez rapide, j'aurais pas l'temps de me relever » Tu crois bien qu’il te surestime, le gars. Avec le sport que vous avez fait, avec la fatigue dans les pattes, t’es pas certain que tu peux le faire. Pourtant, tu te dis qu’il est capable d’attendre - qu’il fait preuve d’une sacré bonne volontée rien qu’en te disant cette simple phrase. Il essaie juste de se couvrir parce qu’il veut pas assumer. Parce qu’il a dû mal à se faire rentrer dans l’crâne que parfois, il aime bien quand c’est toi qui mène la danse, qui choisit le rythme et qui te baise sur lui. Il est juste pas doué pour le dire à voix haute. Mais ya un problème. Tu sais pas combien de temps tu vas encore pouvoir tenir sur tes pattes. Mieux vaut se magner alors, n’est-ce pas ?
Tu te lèves et te diriges vers le sac. T’aimes pas trop quand il te balance des trucs comme il l’a fait en mode je te donne des ordres mais t’as la flemme de protester aujourd’hui. T’as la flemme de lui dire d’aller se bouger lui, tiens - s’il y tient tellement. T’as pas envie de couper cours à cette future partie de jambes en l’air en lui foutant son bullshit à la gueule là. Sauf que t’as plus ta ceinture improvisée et que t’as à peine fait quelques pas pour que le short se barre, ne tombe au sol et que tu ne te prennes les pieds dedans. T’as de la chance, t’étais pas loin du mur. Du coup, à défaut de finir la tronche la première sur le sol, tu tends les bras pour te heurter au mur et te rattraper. Tu t’octroies même quelques secondes pour savourer ta victoire avant de virer ce putain de short à coup de pied et de te mettre à fouiller dans le sac. Le graal, tu le trouves rapidement, et tu finis par reprendre ta place au dessus de Slade, sur son bassin, un genoux de chaque côté de celui-ci. T’as une capote dans la main gauche, le lubrifiant dans la main droite et tu hoches doucement la tête. « Compte tenu. J’trouve que l’expédition s’est bien passé. J’ai trouvé le trésor. » que tu lâches, comme ça, comme un con - comme un putain de cheveux au beau milieu de la soupe. Et puis tu finis par s'humidifier les lèvres avant de prendre un petit air faussement pensif. « Quoique. Il me semble qu’il m’en reste encore une partie à découvrir. » Tu poses la bouteille de lubrifiant à côté de vous avant de glisser ta main nouvellement libre dans son short, puis son boxer, allant se saisir de son membre sans plus de cérémonie. « Trouvé. » que t’as l’audace de balancer, nouveau sourire au coin des lèvres et doigts baladeurs le long de ta trouvaille.
tu pourrais te foutre de sa gueule quand il manque de tomber en se dirigeant vers le sac. mais est-ce que tu peux vraiment lui en vouloir, après une après-midi sportive. il a pas l'habitude damen. enfin, ça dépend juste quel type de sport, quoi. tu esquisses brièvement un sourire, l'observant viré le short d'un coup de pied, récupérer tout ce dont vous avez besoin dans ton sac. (tu mentirais en disant que tu n'as pas fait exprès de prendre un tube de lubrifiant et des capotes.) le blond retrouve sa place sur tes hanches, ses genoux de part et d'autre de ton corps, les mains occupées. compte tenu. j’trouve que l’expédition s’est bien passé. j’ai trouvé le trésor. tu lèves les yeux au ciel. c'est un enfant. un putain de gosse, t'y crois pas. quoique. il me semble qu’il m’en reste encore une partie à découvrir. tu l'observes de longues seconde, avant de comprendre de quoi il parle. et évidemment que c'est de ta queue. il vient glisser sa main jusqu'à l'intérieur de ton boxer et tu retiens un léger grognement à la sensation. trouvé. tu te redresses sur tes coudes en l'observant. si tu veux mon avis, c'était pas très compliqué à trouver. tu te contentes de souffler en plongeant ton regard dans l'sien, ses doigts glissant doucement à l'intérieur de ton boxer.
Ouais t’es un gosse parfois. Surtout quand tu pars dans tes délires à la noix, comme celui-ci avec tes histoires de trésor. Tu sais pas d’où ça sort, en plus. Tu sais pas qu’est-ce qui te prends à sortir une métaphore pareille et à même aller jusqu’à continuer avec. Tu t’étonnes toi-même, parfois. « Si tu veux mon avis, c'était pas très compliqué à trouver. » qu’il te souffle en te regardant après que tu ais littéralement mit la main sur le fameux fabuleux trésor. « Tu parles de son emplacement ou de sa taille ? » que tu reviens le provoquer avec un sourire en coin. Tu sais que les deux sont possibles. Tu sais que les deux sont largement possibles, pun intended.
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Sujet: Re: never wanna be powerless again (slamn) 
Lun 25 Mar - 18:29
