wake up call (noam)

wake up call

C’est peut-être que tu es fatigué ? La fatigue qui prend aux tripes pas au corps. Celle qui viens de l’âme qui qui vous en bouffe l’esprit. C’est peut-être qu’il te manque ta moitié tout simplement ? Cette partie de toi qu’elle est. Celle qui te permettais d’avancer, de respirer. De vivre. Vraiment vivre. Aujourd’hui, c’est comme avancer à ‘aveuglette sur une route embrumé. Aucune visibilité sur l’avenir et les souvenirs du passé qui vous hante. Les souvenirs de ce que vous avez perdu. De ce qui vous manque. Tu ne sais pas si ça lui manque à elle. Tu l’espère. Toi, ça te bouffes. A petit feu tu te laisses consumer. Tu débats contre toi-même. Tu te bas pour elle. Pour vous. Tu t’es perdu en chemin et tu l’as perdu elle. Oh, oui, tu te les mords les doigts. Tu te le crèves le cœur et tu aimerais qu’elle te voie. Qu’elle te voie pour toi et ton amour que tu as pour elle. Tu demandes trop surement. Tu n’as plus aucun droit. Tu les as perdus. Alors, tu attends la patience au bord des lèvres à espérer qu’elle te laisse revenir dans sa vie. Tu attends en étant là du mieux que tu peux. Tu ne veux pas qu’elle t’oublie. Elle ne peut pas t’oublier. Tu jongles dans ta propre vie. Tu te sens comme un équilibriste en suspens dans l’air. Ta vie ne tiens qu’à elle après tout. Milan est là mais, il n’est qu’une partie du puzzle. Ton puzzle incomplet et c’est ton monde qui est en train de s’effondrer. Oh, oui, la ferté en prendrait presque le dessus. A tenter d’en convaincre certain que tout vas bien alors que, secrètement tu t’effondres. Tu ne cesseras jamais de la chercher elle. Irin. Ta Irin. Tu t’es réveillé trop tard voilà tout mais, tu comptes bien le rattraper ce retard. Même si ce satané temps qui passe à toujours une longueur d’avance sur toi. Même si tout semble perdu d’avance tu te maintiens à flot. Pour ton fils. Pour elle aussi. Tout est toujours pour elle. T’aurais dû lui montrer plus tôt mais, tu es toujours dans l’espoir qu’il n’est jamais trop tard. Si tu le perdais de toute manière que te resterais-t-il ?! Rien. Ta vie sans elle ne se résumé à rien. T’étais l’égoïste qui se raccrocher à son fils car, tu savais qu’elle resterait toujours là. Dans l’ombre. Non loin. Tu te servais de lui par amour pour votre famille. Pour elle. Peut-être qu’elle finirait par le voir tout ça ? T’avais envie qu’elle le voit. En attendant tu avances au jour le jour. Tu te démerdes comme tu pouvais pour être un bon père avant tout. T’aurais peut-être dû tout arrête quand elle te l’avait demandé mais, tu n’avais pas pu t’y résoudre à lâcher une partie de toi. Pourtant tu l’avais bien lâché elle. Out ça pourquoi, ton boulot ?! Une passion, c’était quoi à côté de la tienne avec la sienne. Pas grand-chose. Pourtant tu avais continué. Trop tard la promotion. Pourtant, aujourd’hui c’était encore ce boulot qui t’obligeait à laisser ton fils. Irin qui ne répondais pas à t’en inquiété. A t’en faire imaginer des trucs sur cette vie qu’elle semblait mené sans toi. Sans Milan aussi. Jalousie qui ressort mais, tu ne peux pas t’en empêcher. Tu voudrais ne pas y penser. Ne pas te laisser atteindre par le simple fait qu’elle n’est pas répondu à tes appels mais, tu ne peux pas t’en empêcher. Tu ne peux pas oublier. Tu ne peux pas l’oublier elle. Tu auras tout le temps de te morfondre quand tu seras seul. Quand tu n’auras pas ton fils qui demandes à manger ou a qu’il faut donner le bain. Alors, tu appel Noam. Qui d’autre que la fille du big boss une belle ironie quand on sait que c’est le travail qui t’empêches de tenir ton rôle de père. Noam cette gamine qui t’en fait voir de toute les couleurs mais, pour qui tu serais toujours là. Cette jeune femme en qui tu peux avoir confiance tu le sais. Le soulagement que tu soupire quand la sonnette de la maison retentie. Le petit garçon dans un bras et de l’autre tu ouvres la porte. « Merci, tu me sauves la vie !! » que tu lances en oubliant presque d’y mettre les manières mais, le cœur y es. Elle le sais.

wake up call

Tu détestes comment tu t’es laisser prendre de cours par la vie ces derniers temps. C’était comme ton monde tout étier venait de s’effondrer sous un foutu tremblement de terre. C’était le cas quand tu y pensé. Irin était partie et tout avais été chamboulé. Tu avais perdu tout contrôle et même ton père te reprocher le départ de celle que tu aimais plus que tout au monde. Tu t’évertuer à racheter tes erreur mais tout effort semblait en vain. Dans le vide. Dans le vent. Tu tenter désespérément de remettre de l’ordre dans ta putain de vie mais, c’était comme avancer à l’aveugle. Plus de repère si ce n’est ton fils mais, tu ne pouvais pas t’accrocher de la sorte à un gamin de trois ans en pensant que tout tes problèmes aller se résoudre d’eux même. Non. Tu les assumés tes erreur mais ô combien tu regretter tout cela. Ô combien tu aimerais retourner en arrière et tout changer. Changer pour elle. C’était juste fortement trop tard. T’avais comme raté le réveil. Alors, tu te contenter d’avancer à l’aveuglette. Au jour le jour. Tentant de ne pas te laisser submerger par le chao émotionnel qui règne en toi quand elle ne répond pas à tes messages, à tes appels. Tu te contentes d’appeler Noam au secours car, il ne te reste plus que cela à faire. La porte que tu ouvres sur la jeune femme qui te déchargerait presque d’un poids. Tu peux te concentrer sur autre chose. Le soulagement d’un visage familier ou de te sentir moins seul l’espace d’un bref instant. Milan qu’elle prend dans ces bras et ces mots qui t’arraches un sourire. Un peu, tu oublies. « Tu sais que tu vas réussir à me faire virer un jour !! » plaisanterie à demi sérieuse car, oui, à lâcher des informations à tout vas à la jeune journaliste tu aller finir par en prendre pour ton grade. Peut-être bien que c’était ce que tu chercher. Une putain de bonne raison de décrocher alors que, par toi-même, t’étais incapable de rendre ton badge et ton arme. T’en avais perdu Irin à ce putain de jeu-là mais, pourtant, t’es même pas certains que te faire virer de la sorte lui ferait réellement plaisir. A dire vraie, ces derniers temps, tu n’étais plus certains de rien.  « On voie bien là, qui t’as élevé !! Aussi tenace que ton père !! » Tu ne lâcheras surement rien pour aujourd’hui. Pour le moment car, elle t’aurait à l’usure comme à son habitude. Puis, il fallait dire que tu aimais bien aussi lui être utile. Mettre une pierre à l’édifice à sa carrière de journaliste qui, tu en étais sur serait grande. Elle avait le regard Noam. Elle avait l’envie cette gamine. Quand bien même c’était une emmerdeuse, elle le mérité aussi. Elle n’avait pas eu la vie facile et elle avait bien plus de mérite que certain. Tu la laisses entré dans la maison ton petit homme ayant déjà trouvé sa place dans ces bras et le sourire d’un père fier de sa progéniture qui passe furtivement sur tes lèvres. La porte que tu fermes derrière vous et t’aurais presqu’envie de ne pas aller à l’appel du devoir. Juste pour une fois. Trop tard car, elle, elle n’est pas là. Elle n’est plus là.
Tu as raté ta chance Levi.
Tu t’es réveillé trop tard alors,
Tue-toi à la tâche, donne tout pour elle mais,
Elle s’en fiche Levi. Elle n’est plus là et toi, toi, tu n’es plus rien.
T’en fait des efforts pour ne plus penser à elle. Pour ne plus te laisser prendre par l’obsession d’elle. Pourtant, tout te ramène à Irin. Du simple fait d’avoir à appeler Noam pour s’occuper de ton fils. Tu te sens comme un putain d’abruti d’égoïste. Tes affaires que tu rassemble une fois dans le salon juste pour te presser. Juste pour ne pas te faire prendre par tes propres états d’âme. Dieu qu’ils sont nombreux ces derniers temps. Incalculable presque. « On a fait du découpage et du coloriage ce matin… tu peux le mettre devant un dessin animé mais 30 minutes pas plus. Profiter du jardin, il fait beau….enfin, je te fais confiance ! » C’est vraie que tu lui faisais confiance à la jeune femme. Elle savait y faire avec les enfants et tu savais ce qu’elle avait traversé n’était pas facile et c’était peut-être même bien pour cela que lui laisser Milan ne te déranger pas. Puis le petit l’adorée il n’avait qu’à voir comment il l’a regardé de ces innocents yeux d’enfant. « Possible même qu’il s’endorme, il n’a pas très bien dormi cette nuit.. » t’en avais pas dormi non plus beaucoup du coup mais, toi, c’était commun ces derniers temps. Sans Irin tes nuits n’était plus pareil et tes journées non plus d’ailleurs. Plus rien n’était pareil et tu ne cessé de t’inquiéter pour elle. Loin des yeux, loin du cœur, une putain de connerie. Tu finis de boutonné ta chemise avec un petit coup d’œil à ta montre « Je ne sais pas trop, tu sais que ça ne dépend pas de moi malheureusement. Je te tiens au courant et si j’arrive à avoir Irin pour qu’elle passe le prendre aussi… » Sourire triste à la pensée de cette dernière tu t’éloignes vers la cuisine pour te faire un café avant de partir. « Je peux te proposer quelques chose à boire ?! De toute façon tu fais comme chez toi, comme d’habitude !! » elle connaissais la maison la belle depuis le temps et elle savais que la porte lui serait toujours ouverte.