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 night tales. (hadès)

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Message Sujet: night tales. (hadès)   night tales. (hadès) Empty Mer 29 Mai - 10:34

- juda veut récupérer la fille.
- non.
- ce n'était pas une question, plutôt un ordre. il ne fera plus affaire avec toi, tant que la gamine ne sera pas rentrée chez elle.
- il avait qu'à mieux la surveiller, sa bien aimée. (rire) elle ne rentrera pas, tant que vous n'aurez pas nettoyé votre merdier.
- un mois, il te laisse un mois pour nous la remettre. pas un jour de plus.
les mots de trop. les ordres et la menace à peine voilée qui passent de travers et font disjoncter les neurones d'ézéchiel, qui peine à garder son calme depuis le début de la rencontre. il fallait mettre les choses aux clairs, revoir les alternatives possibles et visiblement parler de ce boulet qui leur traîne dans les pattes depuis des semaines, voire des mois. c'est sur le parking de bowling ringard qu'ils se sont retrouvés, quelques kimomètres à peine de la baie du queens. il s'est pointé en taxi ézéchiel, il a attendu presque trente minutes que le pseudo prêtre se pointe. maintenant, il a la sensation de se faire enfler. qu'on veut lui retirer des mains les rennes qu'il tient bien fermement depuis des années. en guise de réponse, il soupire longuement, croisant ses bras contre son torse dans l'espoir de retenir ses nerfs. t'as compris lachance, pas un jour de plus, alors tu ferais mieux de te mettre au boulot, et de trouver une solution si tu veux pas qu'au prochain massacre, ce soit ta tête qui soit mise à prix. il voit rouge le motard, il serre les dents, pas assez fort pour retenir sa main qui vient s'écraser sur le visage parfait de son interlocuteur, c'est le capot de sa bagnole qu'il lui fait rencontrer en premier. il ouvre la bouche ézéchiel, mais ses gestes sont plus rapide que ses mots et en un coup de genoux dans les côtes voilà l'homme à terre. le blond au dessus de lui, son tibia contre sa gorge et ses doigts ancré à ses cheveux. vous me menacez ? moi ?! qu'il lui crache au visage, sa tête rencontre le sol à plusieurs reprises. la haine s'intensifie à mesure que le sang glisse sur ses doigts, vous osez me donner des ordres, putain d'incapables, pas foutu de terminer leur sale boulot ! il hurle, son poing ne s'abat qu'une fois contre le visage, assez fort pour que l'homme perde connaissance. il ne sait pas si c'est le manque certains d'air, ou le coup porté, mais il ne bouge plus. ézéchiel se redresse, encore plus fou de rage que ce connard ne reste pas éveillé, il lui assène des coups de pieds dans le ventre, les côtes, le buste, jusqu'à en perdre son souffle. éreintée, le coeur affolé, il ouvre le coffre de la caisse ne lui appartenant pas, soulève non sans peine le corps inerte pour l'y foutre à l'intérieur.
merde, merde, merde, merde, merde. il assit côté conducteur, les phalanges recouvertes de sang, MERDE ! il s'époumone dans l'habitacle tout en frappant sur le tableau de bord, le volant, jusqu'au klaxon qu'il laisse tinter de longues secondes. le cerveau à l'envers, il démarre en trombe. il ne sait pas l'heure qu'il est quand il atteint sa destination, pas assez tard, le bar n'est pas encore fermé. enfermé dans la caisse, enchaînant cigarette sur cigarette, il attend. ses idées noires lui jouent des mauvais tour, comme ce soir, elles l'habitent entièrement et l'empêchent de réfléchir comme le joueur méticuleux qu'il est. la once de lucidité qui lui reste, l'a poussé à se retrancher chez le seul homme en mesure de rivaliser avec ses démons ce soir. l'oncle, respecté et admiré. l'oncle, plus rigoureux, qui ne sait pourtant rien.
il franchit la porte du bar avec l'homme à moitié inconscient posé sur l'épaule. il a plus les yeux clairs ézéchiel, ses pupilles dilatées au possible et le visage d'un fou tout droit sorti de l'asile. il balance le mec sur la table de billard, comme un chien ramènerait une proie à son maître - la fierté en moins. il a le regard qui cherche son hadès, tout en le fuyant, ce n'est pas de la peur, c'est un manque d'explications rationnelle auquel il fait face. il passe une main contre son visage, se debarasse de sa veste en cuir. donne moi un truc à boire, un bonjour, comme un autre.
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Message Sujet: Re: night tales. (hadès)   night tales. (hadès) Empty Jeu 30 Mai - 14:29

lachance est dehors. dans sa voiture depuis déjà dix minutes. il a pas l'air de décoincer. il fait déjà sombre. le soleil a foutu l'camp depuis deux longues heures et ce sont les phares du neveu qui éclairent la seule fenêtre du bar. y'a la poussière qui flotte dans l'air, les vapeurs d'ivresse aussi. et les questions sans réponse d'un oncle devenu presque frère. j'm'en occupe. grand patron au narcissisme ce soir étouffé, solomos torchonne quelques verres derrière le bar, à l'abri des oreilles indiscrètes et relents d'alcool persistants. derrière la crasse de la fenêtre, donnant un air tamisé à cet endroit mal famé, il voit les yeux du monstre de fer. deux billes incandescentes qui le fixent. un défi. un appel au secours. ou une menace. il ne sait dans quel état il trouvera sa chaire de l'autre côté de la porte. ezechiel est imprévisible. il est de cette fumée que l'on veut attraper. dont on aimerait se saisir. il erre tout autour et lorsque l'on referme le poing, que l'on pense son identité capturée, tout son mysticisme s'évapore entre nos doigts. effleure les phalanges avec une insolence indifférente. sa folie lèche les âmes des uns et martyrise les corps des autres. il est de ceux que l'on ne prévoit pas. de ces tempêtes que l'on anticipe pas. longtemps que hadès se contente de regarder. se contente de se laisser happer parce ce qu'il aurait pu lui-même créer.

la nicotine dans l'nez,
tu l'sens ruminer.
votre sang bouillonner.
sa raison s ' é c r a s e r.


trop peu d'patience. solomos claque le cul du dernier verre contre l'étagère à portée de bras et balance le torchon humide sur le comptoir -elle va gueuler, encore, l'âme serviable qui passera juste après. la paume sur le bois, il avait fait le premier pas pour sortir de sa tanière, traverser l'antre et rejoindre le tourmenté juste dehors. pas besoin. c'est la porte qu'ouvre à la volée et une silhouette difforme qui fait son entrée. il plisse les yeux, le vieux. aperçoit qui sort de l'ombre, le blond et sur son épaule, un sac de viande inanimée. son impulsion s'évanouit et il se sert finalement de son bras comme d'un appui, le r'gard rivé sur l'humeur givrée d'son neveu. son soupir passe inaperçu dans le vacarme du macchabée qui vient se heurter sur l'improvisé le plus proche. et il revient là où la soirée l'a enfanté, attrapant le verre qu'il venait de déposer. la salutation anticipée. des regards furtivement échangés. solomos fait simple. un grand verre de whisky. trois glaçons. et ses coudes qu'il plante près du blond. tu m'expliques ? la réponse de faisant attendre, le vieux se redresse et se sert à l'identique. revient à ezechiel et la première gorgée avalée, il lève la barbe vers l'inanimé. et elle est encore vivante ta bidoche ? dans la pénombre, il voit pas les poumons s'animer. il voit pas non plus les regards finalement se désintéresser. scène peu extraordinaire pour cette bande de rejetés. l'autre main qui s'enfouie dans la poche, il garde près du coeur sa précieuse liqueur. ses iris qui se baissent finalement vers ezechiel. les siennes sont fuyantes et agitées. pas surpris d'cette spontanéité.

y'a ton coeur qui s'meurt,
quand l'sien s'noie dans
l'malheur.
t o r p e u r.
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Message Sujet: Re: night tales. (hadès)   night tales. (hadès) Empty Jeu 30 Mai - 18:00

ézéchiel n’est plus qu’un amas d’atome en combustion.
l’être humain s’évapore sous la haine qui l’échauffe. les neurones ont grillés les uns après les autres, rendant le fond de son esprit aussi sombre et glacial qu’une grotte.
s’il se concentrait, il n’entendrait que la voix de l’envie destructrice, celle qui lui murmure des heures durant qu’il devrait les tuer tous jusqu’au dernier. ces incapables, ces fils de chiens, ces prêtres misogynes, les assassins de sa vengeance. s’il se concentrait, il pourrait devenir fou, c’est bien ce qui est en train de lui arriver. dans sa caboche ça scande des louanges sanglantes. il veut tout éteindre. réclame un verre après avoir abandonner sa proie, bien en évidence. c’est un verre de whisky qui glisse jusqu’à lui, il la main qui tremble quand il s’en saisit. la rage secoue le récipient quand il le porte à ses lèvres et en avale le contenu cul sec. le verre claque sur le bois au même temps que les paroles de l’aîné. tu m’expliques ? tu m’re sers ? qu’il répond du tac au tac, déjà assis sur un tabouret, les deux coudes plantés dans le comptoir alors que tout son corps ne semble vouloir que toucher le sol. il voudrait trouver les mots justes, mais il s’est promis d’agir en solitaire. mais le corps inanimé que son oncle pointe d’un coup de menton est la preuve formelle qu’il n’est qu’un homme. même pas la moitié d’un sur-humain. juste un super-villain au bord de l’explosion cérébrale. et elle est encore vivante ta bidoche ? il a attrapé lui même la bouteille d’alcool, s’est servi une rasade avant de tourner enfin ses pupilles jusqu’au concerné. j’crois. il soupire, plante enfin ses iris dans celle d’hadès, le rouge lui est monté aux joues, le relent d’amertume au bord des lèvres, il se sent prêt à vomir des paroles qui peut-être n’auront aucun sens pour son oncle. un putain d’enculé, il pensait pouvoir m’donner des ordres, à moi, des ordres, il crache plus qu’il ne parle, il avale une gorgée et se redresse pour s’approcher du corps qui s’anime, regarde le, même pas foutu de se tenir debout, il a le rire jaune ézéchiel, il se masse l’arrière du crâne, marche de long en large en attendant que le prêtre refasse complètement surface. c’est comme ça que les choses se passent dans le business maintenant ?! il n’a d’yeux que pour son oncle, les paroles n’ont plus d’valeur ? les connards peuvent se torcher avec le contrat et v’nir réclamer ensuite ?! c’est comme ça ? il s’époumone, il hurle parce que le connard en question à ouvert les deux yeux, qu’il s’est redressé et il est même descendu de son perchoir. hagard, il regarde tout autour de lui, ézéchiel se demande pourquoi il n’est pas encore mort. alors il le frappe de toutes ses forces, mais contre toute attente l’homme réplique et lui cisaille la lèvre. il est hilare ézéchiel, il fait craquer les os de son cou avant de lui asséner une nouvelle droite. il s’effondre, l’hémoglobine coule et il se sent comme Rocky Balboa, à bout de souffle il s’appuie sur le comptoir pour avaler une nouvelle gorgée. du repos avant l’prochain round.
il est sonné le blond.
perdu,
l’énergie lui fait défaut.
j’me suis mis dans une sacrée merde.
il avoue, l’regard perdu dans l’fond de son verre. j’veux pas que tu me rassures, j’veux que tu me secoues les puces, que tu me mettes une raclée, que mes idées s’éclaircissent.
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Message Sujet: Re: night tales. (hadès)   night tales. (hadès) Empty Mar 11 Juin - 14:41

tu connais ça,
la conscience qui tremble
comme tes phalanges crispées.
tu connais ça,
l'sang dans tes méandres
et tes envies d ' a s s a s s i n e r.


l'gamin lève pas les yeux. il ignore la question du vieux. balance une réponse banale, sert une question bancale. il noie dans l'whisky la terreur au fond d'ses pupilles. il sait pas d'qui il a peur ; de lui ou des autres, de c'qu'il est capable de donner ou de c'qu'ils sont capables de recevoir. solomos baisse le visage sur l'attitude désordonnée du jeune clébard aux aboies. d'ce gamin au cul dans l'coin. acculé. piégé. les babines retroussées pour bouffer la moindre main qui dans sa folie viendrait s'aventurer. et p't'être même celle du vieux loup aux expériences passées. aux similitudes exacerbées - un presque géniteur qu'le blond donne l'air d'admirer. comme s'il restait quelque chose à contempler. hum. un grognement sans signification que l'plus jeune comprendra sans lever l'attention. hadès dépose son verre juste devant, fait vriller ses poignets pour servir une troisième liqueur ardemment répétée. j'suis pas certain qu'ce soit la solution. le verre qui claque une nouvelle fois contre le bois. l'ivresse qui danse dans le contenant, coule sur les parois. dévale la pente du désarroi.

ezechiel n'écoute pas, gobe le tout en une seule et unique gorgée, s'sert plus qu'il n'en faut avec la première bouteille à portée. solomos pose la question. l'ultime. celle qui fait se lever la progéniture aux allures de fratrie. une nouvelle gorgée s'sentir un peu plus anesthésié. il reste silencieux, le plus âgé. pose un regard criant de neutralité sur le gamin qui se redresse. hadès dépose une nouvelle fois son échine contre les étagères juste derrière. il boit un brin d'bonheur. suit du regard le blond qui gueule. qui s'bat avec lui-même, fout des droites dans un miroir. ça lui fait d'la peine, parce qu'il comprend pas. parce que pour une fois, c'pas lui l'roi. le sang qu'il ne sauvera pas. une nouvelle gorgée pour oublier. solomos, il réagit pas. pourtant y'a son coeur qui crie, là, au fond. son coeur qui s'tord de voir le gamin balancer sa raison dans l'décor. il revoit les jeunes années, celles d'erreurs criblées.

s'il te plaît arrête.
parce que quand tu frappes,
tu rentres dans ma tête.


puis y'a les phalanges du blond qui craquent dans l'silence - ou p't'être sont-ce les mâchoires de l'inanimé, le peu d'vie qui s'débat dans son corps tout cassé. la carcasse qui tombe en même temps que la première goutte carmin qui vient de dévaler les lèvres du bourreau. celui-là même qui revient s'échouer au bar, agrippe le verre de ses poings abîmés. la merde c'est c'que tu crois avoir entre les jambes. solomos s'avance, fait tanguer ses épaules vers le gamin recroquevillé. fait claquer ses paumes près des coudes d'ezechiel. alors va falloir qu't'arrêtes tes conneries. par sa présence rapprochée, hadès intime aux plus jeune de lever le museau. d'affronter sans broncher les yeux d'la maturité. parce que j'vais pas inlassablement planquer tous tes macchabées. juste parce que tu sais pas t'contrôler. silence radio. les générations qui se toisent. les regards qui s'bouffent et les mâchoires qui se crispent. les loups d'battent en silence, à coups d'iris et de grincement de dents. toujours ce silence radio. et enfin, les discussions qui reprennent. putain eze, qu'est-ce qui t'prend à la fin ? la proximité respectée, hadès lève un index accusateur qu'il plante dans l'épaule tendue d'son protégé. les aveux qu'il va devoir - enfin - lui cracher.
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Message Sujet: Re: night tales. (hadès)   night tales. (hadès) Empty Jeu 13 Juin - 8:34

la merde c'est c'que tu crois avoir entre les jambes. il grogne ézéchiel, ne relève pas le visage, se concentrant sur le verre qu'il tient entre ses doigts esquintés. alors va falloir qu't'arrêtes tes conneries. il s'est rapproché son oncle, le blond n'a d'autres choix qu'affronter la dureté de son regard et de ses mots, parce que j'vais pas inlassablement planquer tous tes macchabées. juste parce que tu sais pas t'contrôler. il se redresse comme il peut sur ce tabouret, bombant le torse comme un enfant qui refuse la réprimande. ça va, y'en a pas eu tant que ça. qu'il ose, détournant ses iris vers la dépouille encore fumante, il s'assure qu'il respire encore -plus pour contredire l’aîné que par réel intérêt. il joue les effrontés en sachant pertinemment toute la reconnaissance qu'il lui doit. les corps sans vie qu'il l'a aidé à camoufler, les faisant passé pour de simples accident ou en jettant leur carcasses dans une décharge. c'est qu'hadès a le bras plus long que lui. peut-être ézéchiel y parviendrait-il, lui aussi, s'il calmait les flammes des enfers incendiant son intérieur. putain eze, qu'est-ce qui t'prend à la fin ? il scrute le doigt qui atterit contre son épaule avec mépris. rien. que ses dents serrées lui permettent d'articuler.
l'esprit ne veut pas se livrer.
les décombres s'entassent et finiront par tout ensevelir. s'il en avait l'audace, il repousserait le quarantenaire. il agirait comme un gosse, refuserait l'aide que son sang lui offre pourtant en quelques battements de paupières.
c'est l'coeur qui vend la mèche.
c'est l'coeur qui lui file la nausée. c'est ce coeur, qui lui fait vomir une nouvelle fois des maux qu'il ne parvient plus à garder sous clef. il fallait que j'le venge. il faut que j'le venge. qu'il commence, la voix tremblante de rage. mon père. c'est eux, tous autant qu'ils sont, qui lui ont fait sauter la cervelle. et par eux, il entend les hell's, ses doigts s'accroche à sa veste en cuir qui tout à coup brûle son épiderme. il s'en debarasse à la hâte, la jette sur le sol juste à côté du futur cadavre. j'ai pris la décision de couper la tête, de bouffer la reine. il a repris sa place face à son oncle. il est perdu, se sent comme un môme surpassé par les événements. alors il a fallu que je joue au plus malin, que je cherche de l'aide chez des clébards qui rêvaient de la voir au fond d'un cercueil. il continue, déballe tout sans la moindre retenu, ils l'ont raté ce jour là. elle devait crever sur le coup. maintenant, regarde là, avec sa jambe de bois. il siffle, passe une main dans ses cheveux, il n'avouera pas, qu'il n'a pas eu assez de cran, que la voir souffrir lui a rendu une part d'humanité. qu'il aurait pu la laisser se vider de son sang, mais que c'est bel et bien lui qui lui a sauvé la vie. j'veux les tuer, tous, autant qu'ils sont hadès. les altaïr, ce connard de la secte des douze lunes, saräi et tout les hell's pliant le genoux devant elle.
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