Son las cinco de la mañana Y yo no he dormido nada, Pensando en tu belleza Loco voy a parar. El insomnia es mi castigo Tu amor sera mi alivio Y hasta que no seas mia no viviré en paz. Bien conocí tu novio pequeño y no buen moso Y sé que el no te quiere, por su forma de hablar. Àdemas tu no lo amas, porque el no da la talla, No sabe complacerte como lo haria yo, Pero tendré paciencia porque el no es competencia, Por eso no hay motivos, para yo respetar. No, no es amor, Lo que tu sientes, Se llama obsesion, Una ilusion en tu pensamiento,Que te hace hacer cosas, Asi funciona el corazon…
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Tic tac. Elle attend qu’il prenne sa décision. Elle attend qu’il choisisse. Rester ici dans ce bar, à se lamenter sur ce qu’il aurait pu faire de sa soirée, ou la suivre, elle, sans savoir ce qui l’attend. Elle n’est pas inquiète, elle sait qu’il va venir avec elle. Elle sait qu’il a besoin de décompresser autant qu’elle, besoin d’oublier autant qu’elle. Puis, peut-être aussi qu’elle a trop confiance en elle pour douter sur son envie de la suivre. Elle n’a pas l’habitude qu’on lui dise non, Cassey. Et lui non plus, il ne lui dit pas non. J’suis d’accord. Par contre, tu choisis le lieu. J’suis pas bien difficile. Un sourire enjôleur vient se dessiner sur le joli visage de la jeune femme. Satisfaite, ravie même, qu’il ait accepté. Parce qu’elle aussi, elle a besoin d’autre chose ce soir. Elle aussi, elle a besoin de se laisser surprendre par la vie ce soir. En réalité, c’est tous les soirs qu’elle en a besoin. Et c’est bien trop rarement que cela arrive. Alors elle mesure sa chance, vraiment, elle est contente qu’il vienne avec elle, l’inconnu. – Tu ne vas pas le regretter. Qu’elle lui promet, clin d’œil espiègle qui ponctue ses paroles. Sans attendre plus longtemps, les deux amis d’un soir quittent le bar pour rejoindre l’air frais et prometteur de la nuit. Elle commence à marcher, un peu au hasard, elle qui n’a élu domicile à New York que depuis quelques jours. La ville a encore beaucoup à lui faire découvrir mais l’inconnu ne lui fait pas peur. C’est même tout le contraire. C’est le trop-connu qui l’effraie. Se tournant vers cet autre inconnu à ses côtés, elle lui adresse un sourire malicieux. – J’tiens tout de même à te préciser que je n’habite New York que depuis quelques jours. Alors, j’risque autant de t’emmener dans le meilleur restau de la ville que dans le pire. Mais n’est-ce pas cela qui est excitant ? Ne pas savoir ce qui les attend, c’est bien plus intéressant. Et la soirée est bien plus captivante soudainement.