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 Believer. (Atlas)

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Message Sujet: Re: Believer. (Atlas)   Believer. (Atlas) - Page 2 Empty Jeu 7 Mar - 12:03

♛ Believer.
First things first I'ma say all the words inside my head I'm fired up and tired of the way that things have been, The way that things have been, Second thing second Don't you tell me what you think that I can be I'm the one at the sail, I'm the master of my sea, The master of my sea, I was broken from a young age Taking my sulking to the masses Write down my poems for the few That looked at me, took to me, shook to me, feeling me Singing from heartache from the pain Taking my message from the veins Speaking my lesson from the brain Seeing the beauty through the Pain You made me a, you made me a believer. Pain, You break me down, you build me up, believer, Oh let the bullets fly, oh let them rain My life, my love, my drive, it came from You made me a, you made me a believer…

▼▲▼
C’est donc ainsi qu’il la voit, Atlas. Comme une personne capable de prendre des décisions sur un coup de tête, au vif, dans l’instant présent. Un sourire en coin, surpris, vient se dessiner sur le visage d’Isabella aux paroles de son ami. Non, elle ne savait pas qu’il a pu lui envier une telle chose. Elle ne le soupçonnait même pas. Simplement car elle n’a jamais eu l’impression d’être celle qu’il lui décrit. Au contraire, elle a le sentiment de toujours tout retourner dans sa tête. Toujours penser à tout, toujours se torturer l’esprit. – C’est vraiment ainsi que tu me vois ? lui demande-t-elle d’une voix amusée, curieuse de connaître son ressenti. Pourtant, quand elle y repense, beaucoup de ses choix ont été faits sur l’impulsion du moment. Pas seulement à l’université, mais pour des décisions bien plus importantes encore. La manière dont elle a mis son père dehors, d’abord, alors qu’elle n’était encore qu’une adolescente. Son aventure avec Nikolaï qu’elle a rejoint, ce soir où tout a commencé, sur un élan insoupçonné. Comme elle a quitté Luke du jour au lendemain, ou bien, comme elle a acheté cet appartement pour sa sœur. Peut-être qu’il la connaît mieux qu’elle ne se connaît elle-même, Atlas. Peut-être que, si son opinion sur elle-même est trop ternie par toute l’obscurité en elle, il sait mieux voir la lumière en elle. Comme elle le voit, lui, sans doute d’un regard plus beau qu’il ne pourrait l’imaginer. – Moi, j’ai toujours admiré ton goût du risque. J’ai toujours eu le sentiment que rien ne te faisait peur. Une petite vague de nostalgie l’enveloppe alors qu’elle se remémore tous les souvenirs qu’elle a pu partager avec le jeune homme. Il est son ami d’une autre vie mais, de tous, il est aussi le seul qui est resté. C’est peut-être aussi pour cette raison qu’elle prend tant de soin à venir le retrouver chaque fois qu’elle en a l’occasion. Elle l’a perdu une fois, elle refuse que cela arrive une deuxième. Au contraire, elle voudrait être présente pour lui. Lui donner, plus que de simples repères, la force qui lui manque pour surmonter le drame qu’il a vécu. Qu’il vienne à lui avouer son mal-être, c’est déjà un premier pas pour Isabella. Car, jamais, il ne s’y est risqué. Jamais, il ne l’a fait. Il a beau plaisanter, tenter d’amoindrir la portée de ses paroles, la Latina est bien déterminée à saisir cette opportunité. Elle prend ses mains dans les siennes comme pour attraper cette chance qu’il lui laisse, enfin, d’être là pour lui. Pas pour lui apporter de la nourriture, non, vraiment là. Ses yeux plongés dans les siens, elle l’écoute avec attention alors qu’il lui explique ce qu’elle avait déjà quelque peu deviné. Il a peur d’être un fardeau. Peur de confier un poids qu’il estime devoir porter tout seul. Elle prend une petite inspiration, silencieusement, puis finit par l’entraîner jusqu’au canapé pour qu’ils puissent s’asseoir l’un à côté de l’autre. – Tu n’imposes rien du tout. Le plus horrible, pour nous… Pour moi, c’est de savoir que tu vas mal, et de ne même pas être là pour toi. Elle le contemple de longues secondes, désireuse de lui faire comprendre qu’il n’a pas à l’épargner. Pas elle. Ce n’est pas comme si elle était faible, Isa. Elle peut encaisser sa douleur, sa détresse… Sa colère, aussi. Elle peut supporter tout ce qui viendrait de lui tant qu’il accepte de s’ouvrir un peu. Car il n’y a qu’ainsi qu’il pourra aller mieux un jour, en se libérant. – Écoute-moi. Tu n’as pas à penser à moi. Je vais bien… Vraiment, je vais bien. Tu n’as aucune raison de t’inquiéter pour moi, aucune raison de m’épargner. Je pourrais encaisser ta douleur, Atlas. Crois-moi, c’est quelque chose que je connais. lui confie-t-elle, toujours sans le quitter des yeux. Mais elle n’a pas terminé. – C’est à moi de penser à toi. C’est toi qui comptes en ce moment. Alors… Arrête. Arrête de vouloir garder un tel fardeau pour toi tout seul. Le poids sera beaucoup plus léger si tu laisses les autres t’aider à le porter.
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Message Sujet: Re: Believer. (Atlas)   Believer. (Atlas) - Page 2 Empty Dim 10 Mar - 17:23


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{believer}
crédit/ tumblr ✰ w/@isabella kingston

Plus que ta porte tu venais de lui offrir la possibilité de t’atteindre à ton amie. Surement la première que tu laisser entrevoir la carapace qui enfermer dès à présent ton cœur.  La première de ton cercle proches même ton frère et ta sœur tu les avais repoussés. T’étais devenue cette être effrayer de perdre le peu qu’il lui resté et pourtant tu avais cette infime espoir qui s’agitait devant toi et que tentais continuellement de saisir sans jamais le faire pleinement. Peut-être était-il temps ?!  « Oui… t’es quelqu’un de passionné, tu vie avec ton cœur, tu vie pour les autres !! » que tu dis en la regardant un sourire sincère marquant ton visage. Elle avait toujours était là pour ces proches Isabella. Toujours à se battre pour quitte à même s’oublier un peu. Tu lui envié sa détermination et sa férocité de ne pas abandonner si facilement. De ne pas se résoudre à l’échec. Il fut un temps où tu avais été comme ça, aujourd’hui tu te sentais juste incapable de tout. Tu abandonnais d’avance pour toi. Tu ne croyais plus en rien. Plus en toi. « Aha… une vraie tête brûlé c’est vraie ça surement qu’il faut un peu de ça pour se mettre derrière un volent lancer à vive allure… j’étais inconscient !! » ouais, un putain d’inconscient ou rien à admirer tu en étais venue à haïr ta passion. Ce qui te maintenait les pieds sur terre en dehors de ta femme. Maintenant tu n’avais plus rien des deux. Tu n’étais plus rien. Plus rien auquel te raccrocher pour ne pas sombrer. Tu ne t’autorisé plus rien dans la peur de détruire le peu qu’il te restait. Le cœur trop abîmé. L’âme trop écorchée. « Tu es là pour moi, vous êtes tous là pour moi… mais, je crois que je ne suis tout simplement pas prêt à m’ouvrir… je ne sais pas si je le serais un jour… » Tu parles de la vérité de ton cœur meurtrie. Des paroles biaisé par la douleur qui de bouffes. Qui te consumes à petit feu.   « Tout n’est que confusion, j’ai juste la sensation de ne plus avoir de repère… tout est arrivé tellement !! » Tu l’écoutes Isabella et au plus profond de toi tu sais qu’elle a raison. Tu sais que tu ne t’en sortiras pas enfermer ans ta solitude. Bloquer dans ce gouffre sans fond. Dans les fantômes d’un passé que tu ne peux pas changer mais, c’est plus fort que toi. La culpabilité qui ronge ton âme. Celle qui te détruit pour ne rien te laisser. La vie ne t’a rien laissé. Oui, beaucoup dirons que l’argent n’est pas partie mais, qu’es ce que tu en avais à foutre de l’argent quand la chose la plus précieuse que tu avais à disparue du jour au lendemain Envolé dans prévenir. Sans occasion de dire au revoir. « Je n’ai pas l’impression de mérité toute cette attention qu’on m’accorde… on récolte le mal que l’on sème et je vie avec ma culpabilité je n’ai pas à te l’imposer à toi… tu ne mérites pas ça Is’ !! » que tu dis tes mains enserrant ta tasse de café et ton regard se perdant au loin dans le vide. « Je les ai tué Is’… j’étais au volent et je les ai tué… je ne me le pardonnerais jamais !! » le souffle qui se perd et le chagrin qui enserre ta gorge. Celui que tu contiens car tu te refuses à craquer devant quelqu’un. Tu te refuses d’imposer ça à tes proches. Le rapport était claire pourtant rien n’était de ta faute que celle d’un connard alcoolisé mais, dans l’histoire, tu ne blâmais que toi.
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Message Sujet: Re: Believer. (Atlas)   Believer. (Atlas) - Page 2 Empty Ven 15 Mar - 11:38

♛ Believer.
First things first I'ma say all the words inside my head I'm fired up and tired of the way that things have been, The way that things have been, Second thing second Don't you tell me what you think that I can be I'm the one at the sail, I'm the master of my sea, The master of my sea, I was broken from a young age Taking my sulking to the masses Write down my poems for the few That looked at me, took to me, shook to me, feeling me Singing from heartache from the pain Taking my message from the veins Speaking my lesson from the brain Seeing the beauty through the Pain You made me a, you made me a believer. Pain, You break me down, you build me up, believer, Oh let the bullets fly, oh let them rain My life, my love, my drive, it came from You made me a, you made me a believer…

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Et elle a l’impression, tout doucement, de le retrouver, Atlas. Celui qu’elle a connu, celui qui lui parle de cette voix un peu plus légère, celui qui lui sourit de ce sourire qui lui a toujours donné l’impression d’illuminer toute la pièce. Plus encore que ses paroles, aussi touchantes soient-elles, c’est ce sourire qui parvient à l’atteindre en plein cœur. – Tu as donc beaucoup de chance de m’avoir dans ta vie. lui rétorque-t-elle d’une voix malicieuse, juste désireuse de le taquiner. Mais il a raison. Elle n’en a pas l’air, au premier abord, car elle peut s’avérer distante et réservée. Pourtant, elle ne vit que pour et par l’amour, Isabella. Elle est incroyablement attachée à ses proches. C’est certainement pour cette raison qu’elle a su faire d’autant de preuve de détermination en se raccrochant à son amitié avec Atlas, alors qu’il tentait à tout prix de la faire fuir. C’est pour cette raison qu’elle est encore sur son canapé, auprès de lui, à essayer discrètement de lui rappeler la personne qu’il était. Celui qu’il est toujours au fond de lui, même s’il a du mal à s’en souvenir. Elle, elle le sait. – Sans toi, il y a beaucoup d’expériences que je n’aurais sûrement pas tentées. Car c’est certain, il a toujours été bien plus tête brûlée qu’elle. Plus téméraire, à son sens. C’est ce qu’il prend pour de l’inconscience dont il devrait se souvenir comme preuve de son courage. Mais elle sait que le sujet est délicat pour lui, Isa. Elle sait qu’au fond, il ne s’est toujours pas pardonné ce drame, alors même qu’il n’en était pas le responsable. À la place, elle préfère lui dire des choses qu’il paraît davantage prêt à entendre. Pour la première fois, il lui ouvre son cœur sur cette souffrance qu’il garde avec tant de précaution en lui. Pour la première fois, elle a un aperçu de toute la douleur qu’il renferme. – Tu l’es un peu plus aujourd’hui que la semaine dernière. Et peut-être le seras-tu un peu plus encore la semaine prochaine. Tu ne devrais pas être si intransigeant avec toi-même, Atlas. Ni elle ni personne ne pourra jamais remplacer son plus grand repère, sa femme. Mais, sans ses proches, il n’en aura plus aucun. Elle refuse qu’il en arrive à une telle situation, Isa. Même si elle doit venir le harceler jusqu’à la fin de sa vie, elle le fera. – C’est pour cette raison, précisément, que tu ne dois pas t’isoler du monde qui t’entoure. C’est cette culpabilité qui le ronge. Cette culpabilité, cette solitude, et toutes ces tortures qu’il s’inflige lui-même, comme pour se punir d’être encore en vie. Ses prunelles plongées dans les siennes, la belle le fixe avec tendresse, sans doute avec compassion aussi. Mais elle ne peut pas accepter de l’entendre dire qu’il est un meurtrier. – Hé… C’est faux, Atlas, tu sais que c’est faux. Tu n’y étais pour rien, ce n’était pas toi qui étais sous l’emprise de l’alcool, ce n’était pas toi qui conduisais trop vite. Tu n’aurais jamais pris le risque de la mettre en danger, tu le sais. déclare-t-elle avec véhémence, le ton bien plus déterminé cette fois. Elle est persuadée de chacun des mots qu’elle avance, Isa. Seulement, ils ne sont rien d’autre que cela, des mots. Il doit accepter d’y croire pour qu’ils aient un réel impact sur lui. Mais si elle n’a pas une emprise assez forte sur Atlas, elle sait qui en avait. – Dis-moi, à ton avis… Que te dirait-elle, elle, si elle pouvait te parler ? demande-t-elle d’une voix plus douce. Dans l’espoir qu’il se rende compte, enfin, que le voir souffrir autant, c’est la dernière chose que voudrait sa femme.
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Message Sujet: Re: Believer. (Atlas)   Believer. (Atlas) - Page 2 Empty Jeu 28 Mar - 22:20


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Tu l’as laissé entrer sans savoir pourquoi. Tu t’es laisser prendre de ces mots et tu as ouvert ton cœur un peu plus. Tu l’as quitté se masque robotique des tout vas bien alors que ce n’est jamais le cas. « J’en ai de la chance mais… je n’en dirais pas autant pour toi !! » que tu dis peut-être plus pour le toi que tu étais devenue que celui qu’elle avait connu des années en arrière. Tout cela t’avait changé. Toi, même, tu ne te reconnaissais plus. Mais, oui, tu avais de la chance de l’avoir même là, alors que tu ne te sentais plus à la hauteur. Même quand elle avait décidé de se continuer à se battre pour toi alors que toi, tu avais déposé les armes. Tu lui devais tellement à la Latina. « …et sans toi je n’aurais surement jamais demandé Ornella en mariage. Tu as toujours su me garder les pieds sur terre là où j’avais les idées en l’air !! »Vous vous étiez tellement aidé l’un l’autre tu t’en rendais compte aujourd’hui et c’est peut-être pour cela que tu te refuser à la mêler à tout cela. A cette noirceur qui avait pris possession de toi. De ta vie. Il n’y avait plus de vie pour toi, il n’y avait que de la survie. Pourtant, elle s’accrocher et cela te réchauffer étrangement le cœur mais, encore là, tu avais peur pour elle. A t’en détaché des gens auxquels tu tenais pour ne pas risquer de les perdre. Tu ne supporterais pas une nouvelle perte. Non. « …je suis juste épuisé, épuisé de tout ça… j’ai plus la force de continuer Is’. Je ne peux pas continuer comme ça et pourtant je ne voie pas d’autre seul moyen !! » T’es brisé, déchiré. Tu n’es pas prêt à déchargé ton fardeau sur quelqu’un ou si ce n’est sur Nana mais, c’était comme te parler à toi-même. Te livrer sans avoir à le faire. Te laisser hanter par tes démons sans avoir peur d’être seul. Avec la brune elle était presque réconfortante la douleur. Avec Isabella et tous tes proches c’était comme réalité tout ce qui t’étais arrivé. Comme si la réalité te frapper de nouveau de pleine fouet. Tu ne te sentais pas de taille à l’affronter cette putain de réalité. Tu n’étais pas fort. Tu n’avais plus rien de fort. C’était elle ta force et elle était morte alors, que te restait-il ?! Il ne te restait rien que des souvenirs. Des putains de souvenirs qui te déchirer quand il te revenait. Tu avais temps perdu. Tua vais tout perdu. Que te restait-il si ce n’est tes yeux pour pleurer et cette foutue solitude. Ce foutue vide qu’elle avait laissé en toi. « …elle n’est plus là, je serais toujours seule dès à présent ! Elle était tout, elle était ma vie, ma force, mon oxygène… j’ai plus rien Is’… putain je n’ai plus rien !! » Souffle du cœur et détresse de l’âme. Ta les mots qui se déverses et elle a raison ton amie. Tu es peut-être bien plus prêt qu’hier à te livrer mais, cela te fait tellement mal que tu n’en voie pas les bienfaits. Comment cela pourrait t’aider de ressasser tout cela alors que tout ce que tu ressens c’est de la douleur de la souffrance ?!...  « Non, ce n’étais pas moi mais… j’aurais dû l’éviter, j’aurais dû l’anticiper… J’étais énervé Isabella. Je n’étais pas concentré. J’aurais dû mieux savoir !! » La culpabilité qui ne te quitteras surement jamais. Celle qui te ronge. Celle qui te détruit. La voix qui se brise et le corps qui s’affaisse. Ta la douleur au bord des lèvres et le myocarde en implosion. Tu as mal. Mal de tout. Tu te déchire l’âme. Tu te flagelle le cœur. Tes mains que tu frottes sur ton visage et le regard qui s’accroche au siens à ces derniers mots. A  cette question qui résonne encore et encore en toi. Elle avait raison mais, tu n’étais pas prêt à le voir. Ornella n’aurait jamais voulu ça pour toi. Elle aimait tellement la vie et c’est justement pour ça que tu aurais dû être sa place. C’est toi qui aurais dû crever, être six pieds sous terre. Pas elle. Pas eux. « De vivre… la vie est trop courte, d’avancer pour elle, pour eux… » La voix qui se brise et les larmes de l’homme détruit que tu es qui se laisses aller au coin de tes yeux lagons. « …mais je ne le mérite tellement pas Is’, je n’arrive pas à me convaincre du contraire… » La tête que tu secoues et les poings qui se sers et ce mal de chien que tu n’arrives plus à combattre. La force tu ne l’avais plus. A dire vraie, tu n’avais plus rien. Plus rien qui semblait compter assez pour te maintenir en vie.
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Message Sujet: Re: Believer. (Atlas)   Believer. (Atlas) - Page 2 Empty Mer 3 Avr - 10:43

♛ Believer.
First things first I'ma say all the words inside my head I'm fired up and tired of the way that things have been, The way that things have been, Second thing second Don't you tell me what you think that I can be I'm the one at the sail, I'm the master of my sea, The master of my sea, I was broken from a young age Taking my sulking to the masses Write down my poems for the few That looked at me, took to me, shook to me, feeling me Singing from heartache from the pain Taking my message from the veins Speaking my lesson from the brain Seeing the beauty through the Pain You made me a, you made me a believer. Pain, You break me down, you build me up, believer, Oh let the bullets fly, oh let them rain My life, my love, my drive, it came from You made me a, you made me a believer…

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Il lui a fallu du temps. Il lui a fallu de la patience. Mais, surtout, il lui a fallu tout son amour pour Atlas pour arriver à ce moment précis. Celui où il saurait enfin lui ouvrir son cœur, aussi brisé soit-il. Elle a l’impression, tout doucement, de le retrouver. Retrouver cet ami chaleureux, doux, plein de répartie mais toujours tendre. Cet homme si humain, cet homme qui lui a tant donné, plutôt que le mur trop dur qu’il était devenu. Cela lui fait du bien, à Isa, plus encore qu’elle ne l’aurait cru. Alors, quand elle l’entend dire qu’elle n’a pas autant de chance que lui, elle secoue tout de suite la tête de gauche à droite, négativement. Car il n’imagine pas tout ce qu’elle lui doit, Atlas. Là où elle a toujours été la grande sœur pour les uns, pour d’autres la fille trop sage et trop renfermée qui mettait une distance entre eux. Avec lui, elle était juste elle-même. Elle a toujours été elle-même. Il ne l’a jamais traitée comme une personne à part. Elle était juste une fille comme les autres, une fille dont il a réussi à devenir l’ami. C’est la moindre des choses, pour elle, de continuer à être son amie. – Tu ne sais pas tout ce que je te dois Atlas. J’ai trop besoin de quelqu’un comme toi dans ma vie. lui confie-t-elle doucement, presque trop naturellement pour la jeune femme habituellement si réservée. Mais, lui aussi, il pense lui devoir beaucoup. Elle lui sourit lorsqu’il affirme qu’elle a toujours su lui garder les pieds sur terre. Tandis que, lui, il lui a fait entrevoir les étoiles qu’elle ne soupçonnait pas, trop enfermée dans ses tourments. Une parfaite complémentarité pour deux êtres si différents. – Je te retiendrai toujours les pieds sur terre. Qu’il ait la tête en l’air, comme autrefois, ou qu’il essaie de tomber plus bas que terre. Elle se battra toujours pour lui, pour celui qu’il a été, pour celui qu’il sera toujours. Quoi qu’il en dise. Elle sait qu’il est difficile pour lui de se montrer vulnérable face à ses proches, peut-être plus encore pour elle qui l’a toujours vu si fort, si courageux. Mais elle est aussi là pour ces moments, Isa. Ce n’est pas facile de l’entendre dire à quel point il est épuisé de vivre. L’entendre dire qu’il ne peut plus continuer. Mais elle l’écoute, malgré tout, elle se raccroche à lui. Elle glisse même sa main contre la sienne lorsqu’il parle de sa femme. Elle sent son cœur se serrer alors qu’il avoue, le cœur brisé, qu’il n’a plus rien. – C’est faux… Ne dis pas ça, je t’en prie. Tu as tes amis, tu m’as moi. On ne comblera pas la place qu’elle a laissée mais, je t’assure Atlas, tu n’es pas seul… Elle se sent impuissante. Tellement impuissante. Elle voudrait pouvoir le débarrasser de cette souffrance qui l’empoisonne peu à peu, elle voudrait pouvoir le guérir. Mais elle ignore comment, Isa. Elle peut seulement être là pour lui, encore, toujours. Lui montrer qu’il se trompe quand il dit être seul, lui rappeler constamment qu’il ne le sera jamais. Pas tant qu’elle sera là. Elle fait tout pour lui ôter ces idées de la tête. Mais, plus que tout, c’est sa culpabilité qu’elle refuse de laisser prendre l’ascendant sur lui. Même si c’est peut-être déjà trop tard. Son regard plongé dans le sien, elle l’écoute sans un mot, elle l’écoute lui expliquer qu’il était en colère. Pas concentré. Qu’il n’a pas su faire alors qu’il aurait dû savoir. Tant de sentiments qu’il n’avait encore jamais exprimés, jamais devant elle. – Atlas, regarde-moi. Ce n’est pas ta faute. C’était un accident, cela aurait pu tout aussi bien être n’importe qui à ta place derrière le volant, personne n’aurait pu empêcher ce chauffard d’arriver aussi soudainement. Personne. affirme-t-elle, la voix assurée, persuasive. Elle veut juste qu’il cesse de se flageller, Isa. Elle veut qu’il réalise qu’il est en train de se faire plus de mal encore. Il se raccroche à sa douleur, peut-être parce qu’il ne pense qu’il lui reste rien d’autre de sa femme. C’est comme ça que, finalement, la Latina en vient à lui parler d’elle, elle et ce qu’elle dirait, si elle le voyait ainsi. Il a le regard brillant, Atlas. Touché par sa question, il met quelques secondes à lui répondre. Précisément comme elle l’imaginait. Et ce sont des larmes qui commencent à apparaître dans ses grands yeux bleus. Mais je ne le mérite tellement pas Is’, je n’arrive pas à me convaincre du contraire… Elle sent sa gorge se nouer, elle a mal, elle a mal pour lui. Elle ne réfléchit plus à tout ce qu’elle peut lui dire. Elle s’approche de lui pour enlacer ses bras autour de son cou. Peut-être qu’il n’a pas besoin de ses mots, peut-être que ce dont il a besoin maintenant, c’est seulement de craquer. – Bien sûr que tu le mérites… Je te jure que tu le mérites… Elle a la voix émue, elle aussi, le cœur atteint. Elle le serre fort, fort contre elle, comme pour le garder ici avec elle. Le garder en vie. – Tu es quelqu’un de bien, crois-moi, tu n’as jamais fait de mal à personne d’autre que toi, Atlas… Et il serait temps qu’il arrête. Qu’il arrête de se faire autant souffrir.
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Message Sujet: Re: Believer. (Atlas)   Believer. (Atlas) - Page 2 Empty Dim 5 Mai - 14:48


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Tu n’as pas d’autres mots à laisser sur la table Atlas. Tu as tout laissé à tes pieds. Cracher la peine qui assaille de ton cœur à ton âme. Celle qui enserre ton esprit de ces griffes. Tu as tout libérée d’un crie silencieux ou de tes paroles que tu as laissé couler sans réfléchir. Tu t’es laisser prendre au parole de la belle, envolé le contrôle sur ton être où la carapace forgée ces derniers mois. Un genou invisiblement à terre et tout ton être au bord du gouffre le chagrin qui t’as noyé. Littéralement. La voix qui tremble et tu n’es plus maître de toi. La souffrance qui parle pour toi où cette peine accumulé c’est derniers mois qui à assiégé ton esprit. Comme te libéré d’une prison dans laquelle tu t’es enfermé et pourtant tu le sais qu’une fois qu’elle aura passé le seuil de la porte tu replongeras dans la même routine. Dévastatrice. Happer dans les profondeurs par tes démons qui sont devenu ton ombre. Tu te sens bien dans le noir ou tu moins tu t’es évertué à t’en convaincre. Pourtant, l’avoir là, devant toi c’est comme te souvenir que la lumière te manque. Comme te dire que tu pourrais la retrouvé si encore tu le voudrais. –le veux-tu atlas ?! N’es-tu pas bien, là, plonger dans les tréfonds d’un mal sans fin ?!- Tu n’es même pas certain de ce que tu veux alors que tu ne penses même plus à après. Des devenu de ces hommes qui survive un jour après l’autre. T’es comme coincé dans un passé dont tu ne veux pas te libéré. Tu ne voies pas l’avenir alors que pour toi, il est resté piégé dans une vie que tu n’auras plus. C’était elle ton avenir. C’était eux. Egoïste que tu es-tu leur en voudrais presque de t’avoir abandonné à la vie. D’être mort et pas toi. Ta colère n’as pas de sens. Ta rage n’a pas de limite. Tu ne mesure plus l’étendue de tes émotions. De tes sentiments destructeur que tu lâches contre toi-même. Elle a raison Isabella dans ces mots. Elle a raison mais, tu ne sembles pas prêt à l’entendre. A le voir. –Ne vois-tu pas atlas ?! Ne vois-tu pas que tu es le seul à te détruire dans cette histoire ?!- Tu ne les as même plus les mots, tu n’as plus rien comme si le peu que tu as laissé entrevoir t’as vidé du peu d’énergie qu’il te rester. Il n’y a plus que ces putains de larmes que tu ne contrôle plus. Te voilà comme un gamin pourrait être dans le bras de sa mère. Le chagrin au bord du cœur et l’eau qui s’abat sur tes joues. Tu pleur Atlas. Pour la première fois depuis leurs morts tu t’autorise à pleurer. Pas pour eux mais, pour toi. Tu craque pour le rien que tu es devenu, pour ce que tu as perdu. Tu l’as mets de côté la culpabilité juste un instant. Tu te laisses aller dans les bras de ton ami et tu oublies. Tu oublies tout sauf la douleur de ton cœur qui se décide enfin à parler. A sortir. Comme si les paroles d’Isabella avaient fait écho à cette voix que tu t’entêter à faire taire. Il y a des choses que l’on ne peut contenir éternellement. « Elle me manque Is’… elle me manque… elle et ce bébé que je n’ai pas connu… » Souffle de chagrin que tu t’autorise la tristesse de ta vie envolée. « …et j’ai tellement…. Tellement peur de vous perdre…. Perdre le peu qu’il me reste… je ne survivrai pas… pas une deuxième fois ! » Tu te décale de cette étreinte et cette main que tu passes sur ton visage comme la réalisation ‘enfin accepté que tu es en deuil. Que tu ne peux pas continuer à faire semblant. La réalité fait mal et t’es en plein dedans pour la première fois depuis des mois…
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Message Sujet: Re: Believer. (Atlas)   Believer. (Atlas) - Page 2 Empty Dim 12 Mai - 16:25

♛ Believer.
First things first I'ma say all the words inside my head I'm fired up and tired of the way that things have been, The way that things have been, Second thing second Don't you tell me what you think that I can be I'm the one at the sail, I'm the master of my sea, The master of my sea, I was broken from a young age Taking my sulking to the masses Write down my poems for the few That looked at me, took to me, shook to me, feeling me Singing from heartache from the pain Taking my message from the veins Speaking my lesson from the brain Seeing the beauty through the Pain You made me a, you made me a believer. Pain, You break me down, you build me up, believer, Oh let the bullets fly, oh let them rain My life, my love, my drive, it came from You made me a, you made me a believer…

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Il est en train de se briser. Tout ce mur qu’Atlas a construit entre lui et le reste du monde, tout ce mur autour de son cœur. Comme une barrière pour rendre inaccessibles ses véritables sentiments, il la retenait constamment, le plus fermement qu’il pouvait, utilisant le peu de ses forces pour la maintenir debout, plutôt que pour tenter d’aller mieux. Mais il aura beau poser des centaines de barrières, rien n’aurait empêché Isabella de tout faire pour les dépasser, l’une après l’autre, pour arriver à ce moment précis. Le moment où, enfin, il déposerait les armes. Le moment où il cesserait de lutter contre sa tristesse, celui où il se laisserait enfin submerger par elle. C’est comme si les barrières avaient été brisées sous la puissance des torrents. Les torrents de larmes qui s’abattent sur lui alors qu’elle tente, de ses bras, de le maintenir à la surface. Elle ne le laissera pas tomber, Atlas. Elle ne le laissera pas se noyer dans sa douleur. C’est ce qu’elle veut qu’il sache depuis le début. Il peut se laisser couler, il peut se laisser tomber au sol. Il y aura toujours ses proches pour l’aider à se relever. Il aura toujours ceux qui tiennent à lui pour le ramener auprès d’eux. Il l’aura toujours, elle. Peu importe ce qui peut bien se passer dans la vie de l’un comme de l’autre, leur amitié n’en sera pas lésée. Elle ne veut plus laisser quoi que ce soit les séparer, Isabella, plus jamais. En le retrouvant, elle s’est promis de toujours être là pour lui, c’est ce qu’elle fait en ce moment. Elle veut qu’il réalise que, derrière les ténèbres, il y aura toujours une lumière qui l’attend quelque part. Mais c’est à lui de vouloir la franchir, à lui de vouloir se sortir de ce cercle vicieux de souffrance et de culpabilité. Elle peut tenter d’être présente pour lui, elle peut lui donner tout l’amour qu’elle veut. Elle peut lutter pour lui encore et encore. Mais c’est lui qui doit choisir de se battre à nouveau. C’est lui qui doit accepter la main qu’elle lui tend. Il accepte déjà de se laisser aller dans ses bras. Et même si c’est douloureux, même si elle sent son cœur se serrer si violemment dans sa poitrine en le voyant souffrir aussi atrocement, elle est rassurée qu’il le fasse. Rassurée qu’il se laisse enfin aller. Rassurée qu’il se libère, un peu, de toute cette noirceur qui le ronge depuis des mois. Et plus elle le sent pleurer, plus elle le serre dans ses bras, comme pour lui signifier sa présence. Lui rappeler qu’il n’est pas seul. Qu’elle est là, juste, contre lui. Ses mots lui brisent davantage le cœur alors qu’elle reste silencieuse. Elle voudrait lui dire tant de choses mais, elle le sait, il a besoin d’évacuer. Il a besoin de lui confier tout ce qui lui fait si mal. Tout ce qui lui fait si peur. Il finit par se dégager de leur étreinte pour essuyer ses larmes alors qu’elle le contemple avec toute la douceur et l’affection qu’il lui inspire. – Je sais ce que c’est. dit-enfin après un petit silence. Elle prend une petite inspiration. – J’avais quatorze ans quand j’ai perdu ma mère. J’ai eu l’impression que… Que le monde s’écroulait. J’avais mes frères et sœur pour me pousser à me battre, pour eux, mais sans eux, je ne sais pas ce que je serais devenue. Car c’est en prenant soin d’eux qu’elle a pu s’en sortir elle-même. C’est en ayant quelqu’un qui avait besoin d’elle qu’elle n’a pas eu d’autre choix que de surmonter cette épreuve. – Et si tu savais à quel point j’avais peur de les perdre… À quel point, aujourd’hui, je suis encore terrorisée à l’idée de perdre quelqu’un que j’aime. Plus encore depuis qu’elle a perdu l’un de ses frères. C’est une souffrance de laquelle elle ne se remettra jamais, elle le sait. – Mais t’isoler de ton entourage ne te ramènera pas ceux que tu as perdus… Cela te privera seulement des autres personnes que tu peux encore aimer. Alors que c’est ce dont tu as le plus besoin, en ce moment, de sentir l’amour de ceux qui tiennent à toi.
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Message Sujet: Re: Believer. (Atlas)   Believer. (Atlas) - Page 2 Empty Mer 29 Mai - 21:02


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{believer}
crédit/ tumblr ✰ w/@isabella kingston

Des mois dans le déni Atlas. Voilà ce que tu viens de passer. Des mois bercés par une culpabilité qui n’est pas tiennent et une douleur qui à terrasser le peu d’humanité qu’il avait semblé te rester après le drame de ta putain de vie. Bercé d’illusion, tu t’étais laisser à continuer d’avancer au jour le jour comme si de rien était. Tu l’avais ignoré cette souffrante qui paralysait silencieusement ton cœur. Cette rage endormie qui t’empêcher de voir clair. Ouvrir les yeux sur ce que tu étais devenu. T’étais peut-être pas le monstre que tu clamais être mais, tu n’étais pas mieux. Putain d’égoïste qui en avait oublié le reste. Les autres. Ceux qui n’avaient rien demandé. Ceux qui continuer à t’aimer et qui te regarder dépérir sans pouvoir rien y faire. Tu ne leur avais pas laissé le choix et dans le fond, t’étais même pas certain de t’être laisser le choix à toi-même. Étouffé tout seul par la peine, la rage et tout le reste. Sentiment incontrôlable. Émotions de trop pour un seul homme. Tu t’étais laissé aller à des démons. T’étais devenu un homme que tu n’étais pas. Déception pour toi-même et tes proches et cette idée que de là-haut, Ornella n’aurait pas voulu cela pour toi. Elle avait raison Isabelle. Elle avait raison de ces mots et de sa persévérance à tenter de te faire voir ce que tu te refuser à voir depuis tout ce temps. Depuis tous ces mois. Tu ne pouvais continuer ainsi et si tu ne le faisais pas pour toi, tu devais au mois cela à ta femme, à ton enfant… Pour qu’ils ne soient pas mort en vain et que ceux qui sont là à attendre après toi ne se détruise pas pour la peine que tu leurs inflige malgré-toi. T’y pris goût à la destruction, peut-être un peu trop dans les bras de Nana, mais, cela te ressemblait-il ?! T’en savais rien à vraie dire… Tu ne savais plus rien. Bien trop de chose aller et venait ces derniers temps. Bien trop de choses embrumer tes sens et tu ne savais plus quoi faire. Tu te sentais aux pieds d’un mur insurmontable avec l’envie de disparaître dans le fond de ton gouffre. Peut-être bien que tu t’y étais un peu trop habitué à la souffrance. La confortable solitude dans laquelle tu t’étais enfermée. Dans laquelle tu n’avais pas à affronter le fin fond de tes états d’âme.
Peut-être bien que tu deviens fou atlas ?!
Peut-être bien que la souffrance te fais du bien atlas ?!
Peut-être bien que tu ne mérites plus que cela atlas ?!

La réalité s’est que t’avais l’impression de ne plus rien savoir. Perdue entre l’envie de t’en sortir et celle ne plus rien mérité. Pourtant, infime la part qui voulait sauter à cette bouée de sauvetage, aujourd’hui, elle te permettait de t’agripper à elle. A Isabella. A la vie juste un moment de plus. Un moment après l’autre. Aujourd’hui elle libérer tes sens de tes maux. Des maux qui pèsent sur un cœur en débris. Sur un esprit en mettre. Le néant d’un être errant. Le néant d’une âme en peine. Les larmes qui s’évacuent malgré toi dans l’océan de tes yeux à t’agripper à ton amie comme si ta vie en dépendait. Mais, surement bien qu’elle ne tient plus qu’à cela ta vie. Tu ne te guériras pas toi-même alors, à moins que ce soit la mort que tu recherches tu ne trouveras que remèdes dans les bras de ceux qui t’aimes. Elle a raison Isabella et depuis le temps qu’elle s’évertue à te faire comprendre ces quelques mots, la vérité te frappe. La vérité te réveil. De ces paroles qui pique ton cœur. De celles que tu as besoin d’entendre malgré douleur et culpabilité. L’égoïste qui se dit seul est loin de l’être Atlas. Les corps qui se détaches et la dure réalisation qu’il n’est plus temps de fuir. Tu l’as assez fait. La main qui efface ces quelques larmes rescapé de ton visage mais la main qui n’enlèvent en rien le chagrin. « Tu as raison… » Ou les quelques mots qui parviennent à s’échapper d’entre tes lèvres avec une faible force. T’en as plus. T’as plus rien de toi mais, tu as d’eux et c’est déjà un début. Quelque chose auquel tu peux te raccrocher.
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Message Sujet: Re: Believer. (Atlas)   Believer. (Atlas) - Page 2 Empty Mar 18 Juin - 19:20

♛ Believer.
First things first I'ma say all the words inside my head I'm fired up and tired of the way that things have been, The way that things have been, Second thing second Don't you tell me what you think that I can be I'm the one at the sail, I'm the master of my sea, The master of my sea, I was broken from a young age Taking my sulking to the masses Write down my poems for the few That looked at me, took to me, shook to me, feeling me Singing from heartache from the pain Taking my message from the veins Speaking my lesson from the brain Seeing the beauty through the Pain You made me a, you made me a believer. Pain, You break me down, you build me up, believer, Oh let the bullets fly, oh let them rain My life, my love, my drive, it came from You made me a, you made me a believer…

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C’est douloureux. Douloureux de le voir souffrir autant, douloureux de le voir se faire submerger par toute cette peine qu’il a voulu fuir durant tous ces mois. Cela doit être tellement difficile pour lui. Elle le sait, Isabella, car il y a encore quelques mois, elle niait elle aussi la souffrance qui l’habite depuis des années. C’est plus compliqué encore d’assumer les plaies ouvertes de son cœur après tout ce temps. Plaies qui auraient pu être cicatrisées, si seulement ils en avaient eu la force. Mais c’est un mal nécessaire. C’est en s’avouant enfin à lui-même tout ce qu’il refusait de voir depuis des mois qu’il va peut-être enfin pouvoir aller mieux. C’est prendre pleinement conscience de cette douleur qui l’aidera enfin à s’en libérer. Alors, cela lui fait mal, c’est certain, mais elle se sent soulagée qu’Atlas ait pu trouver la force de dévoiler le mal-être en lui. Elle a l’impression de le retrouver, enfin, après une absence beaucoup trop longue. Elle a l’impression de le voir renaître tout doucement des cendres passées. Il n’y avait aucune déception jusqu’à présent, aucun ressentiment dans le cœur de la Latina pour celui qui refusait il y a encore quelques jours de se laisser approcher. Il y avait juste la peur d’être incapable de l’aider correctement, la peur de se dire qu’il ne pourrait peut-être jamais se relever. Mais, pour la première fois aujourd’hui, il a réussi à extérioriser toute cette souffrance en lui. Pour la première fois, depuis une éternité, il a réussi à se confier à elle. Comme à une bouée de sauvetage, il s’est accroché à elle, si fort. Sauf qu’elle ne le laissera pas tenir tout seul, la Latina. Elle sera là pour le maintenir à flot, à la surface, même s’il lui prenait l’envie de lâcher prise à nouveau. Elle se l’est promis, elle s’en fait une fois encore la promesse en ce jour si particulier. En cet instant qu’elle n’oubliera pas, Isabella, celui où elle a eu le sentiment de retrouver son ami. Peu à peu, au fil des minutes et de ses propos, elle voit le jeune homme l’écouter attentivement. S’imprégner de ses paroles comme s’il les comprenait, comme s’il était enfin prêt à les entendre. C’est même ce qu’il lui dit, en fin de compte, timidement. Trois petits moments seulement mais qui signifient beaucoup. Tu as raison. Il lui donne raison… Il la croit. Il croit en ses paroles. Il croira peut-être aussi, bientôt, au fait qu’il a le droit d’être aimé et d’aimer à nouveau. La persévérance a payé, enfin, mais elle ne veut pas se reposer sur ses lauriers, Isa. Il a fait un pas immense, en ce jour, mais il en a encore beaucoup d’autres à faire. Elle le contemple tendrement alors qu’il essuie les quelques larmes qui se sont échappées durant leur étreinte, profondément marquée elle aussi par le moment intense qui vient de se produire. – Tu sais que j’ai toujours raison. lui rappelle-t-elle avec un faible sourire en coin. L’occasion d’alléger l’atmosphère si chargée en émotions. Car elle sent qu’il en a besoin, peut-être qu’elle aussi. Mais, surtout, pour lui, car elle ne veut pas trop le torturer. Elle ne veut pas trop le brusquer. Ce qu’il a fait, aujourd’hui, c’est déjà énorme. Elle est fière de lui, Isa. Fière d’être son amie. Fière aussi d’être à ses côtés pour le voir relever la tête. – Et si nous sortions un peu ? Sortir. S’aérer l’esprit. Cela ne pourrait que lui faire du bien après le moment qu’il vient de vivre. Elle espère qu’il saisira la main qu’elle lui tend, Isa. Elle a encore si peur de le brusquer, de vouloir aller trop vite. Mais, au fond, elle sent que c’est ce dont il a besoin. – Ou bien, nous pouvons aller au restaurant ? Mon plat pourra bien attendre. Laisse-moi t’inviter. Il vient d’accepter le fait qu’il a besoin d’être entouré. Qu’il a besoin d’amour. Que ce n’est qu’ainsi qu’il pourra aller de l’avant, avec les autres, avec ceux qui l’aiment. Que ce sont eux, le remède, peut-être pas à la douleur, mais à la solitude, au vide qu’il ressent depuis trop longtemps. Elle ne saurait se vanter de lui offrir à elle toute seule tout le soutien et la tendresse dont il a besoin, Isa. Mais elle peut lui donner l’amour, tout l’amour qu’elle éprouve pour lui. Laisse-moi t’aider, Atlas. Laisse-moi te rappeler la vie à l’extérieur.
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