Toute la journée, tu t’es retrouvée à courir partout, cherchant à donner de meilleur chance à cette association que voulait créer un maire, mais les démarches furent plus pénible qu’à l’accoutumé. Tant de chose à gérer, de coup de fil à passer, ou encore de personne à démarcher, compliqué quand la femme qui t’es d’une grande aide n’est pas là. Ta secrétaire. Elle est pas plus vieille que toi, tu as laissé une chance à une personne de ton âge, histoire de ne pas à avoir une personne largement plus vieille que toi dans cette boite. Le travail est passionnant quand on a vraiment d’aider les autres. Toi c’est ton cas, le fait d’avoir vu durant ton enfance ta mère aider, se déplacer avec l’ONU pour faire en sorte que le monde aille mieux à sa manière, t’as toujours laissé admirative. T’aurais voulu vadrouiller dans le monde, allez à gauche ou à droite pour porter secours, pour aider comme elle l’avait fait. Mais c’est une chose impossible, ton père fait tout pour que tu sois en sureté depuis que tu as été enlevé durant ton enfance. Il en cauchemarde la nuit, parfois te téléphonant après l’un des démons de ses nuits pour savoir si tu vas bien. Tu le comprends, tu es le seul enfant, mais tu as du mal à y trouver ton compte, le fait d’être suivi, tu te sens en sureté sauf quand ces hommes sont là, à te suivre, ça te laisse un goût d’insécurité flagrant. Comme si tu n’étais qu’une petite chose fragile, ce qui a le don de t’énerver. Ton téléphone qui sonne, ton père laissant un sms sur ton téléphone, pour te rappeler ton rendez-vous avec lui ce soir, dans le petit restaurant italien auquel tu es complétement accroc te fait plaisir, mais tu as tellement de boulot, que tu es à la limite d’annuler d’abandonner ton vieux père. Et tu le sais d’avance que si tu essayes de faire ça, il te fera culpabiliser. Ton père est plutôt doué dans le fond pour te manipuler à souhait. Alors, tu t’actives, il ne te reste plus que quelque minutes pour bosser et finir par te faufiler en vitesse jusqu’à la voiture que ton père t’envoie pour te conduire. Ton bureau n’est pas loin, alors ça te laisse du temps. Un dernier e-mail envoyé avec les dernières personnes invités à ce gala que tu es en train d’organiser, stars du grand écran, du petit, sportive, personnes possédant une fortune, tous sont invités, puis tu le sais ils aiment ça bien se faire voir les gens riches. Ta mère qui l’a toujours dit, peu importe l’endroit sur cette terre, les riches veulent être vu quand ils sont généreux, toi ça t’a marqué, toi t’aimerais faire plus que donner de l’argent, t’aimerais te donner corps et âme à toutes les causes possibles. Les animaux, les enfants, tellement à secourir. Une fois dans la voiture, tu envoies un message à ton père, prévenant de ton arrivée. Les opales qui se lance dans la contemplation du paysage, vu et revu, des voitures, du bitume, quelques personnes bravant le froid qui fait rage dans la ville. Tu ne vois pas le temps passer quand on vient t’ouvrir la porte, sortant, tu te fais agresser par le changement de température de la voiture au dehors, remontant les épaules pour éviter que le froid ne pénètre dans ton manteau. Dirigé vers ta table, tu sens le truc qui ne colle pas. Une table oui,pour deux, mais ce n’est pas ton père qui t’attends, mais Ismaël. « Encore … » Tu t’en veux encore d’être idiote, lui aussi en te voyant doit bien se dire que vos pères commencent à fatiguer. T’as beau l’apprécier le beau brun, t’aime autant lui faire chier, alors finir ensemble serait comme une déclaration qu’on te pourrisse la vie à vie, et même chose pour lui. « Alors, comment va monsieur Dostoïvski ? » Tu ris un peu. « Ouai, car si jamais ils réussissent à nous convaincre c’est toi qui change de nom, hein ! » Que tu lui lances amuser finissant par lui faire la bise et ôter ton manteau. « Alors tu attendais qui ton père où il t’a vendu ça comme un rendez-vous de travail ? » Puis tu entends la voix du serveur. « Le repas à déjà été réglé et commandé, voici une bas-armagnac 1900 ! » bouteille de champagne puis toi tu commences déjà à avoir envie d’aller étriper ton propre père.
un rendez-vous d'affaires. c'est pourtant ce que t'avais annoncé le paternel. dans un restaurant italien réputé. et t'aurais du voir venir l'entourloupe au moment même où tu avais passé la porte, encore plus lorsque c'est vers une table de deux à l'écart que l'on t'avait conduit. t'aurai du t'en douter, mais non, ce n'est que quand tu l'as aperçu que ton visage s'est transformé en une grimace légendaire. tout, tout, sauf harlow. tu pourrais te lever, déguerpir sans même lui adresser un mot. mais tu sais que ce rendez-vous arranger, les paternels en auront vent, et si tu t'enfuis dès maintenant, ta faute sera retranscrite à ton cher père. et mieux vaut quelques heures en compagie de la fille Dostoïvski, que des heures de remontrances. « Alors, comment va monsieur Dostoïvski ? Ouai, car si jamais ils réussissent à nous convaincre c’est toi qui change de nom, hein ! » tu la regardes en biais, un fin sourire se dessine sur tes lèvres alors qu'elle s'installe. je reste convaincu que le nom Sartier t'irait à merveille, si tu n'étais pas si ... non, en fait, j'ai même pas envie de t'imaginer avec ce nom. lances-tu sans la moindre gêne. vâcheries et coups bas, voilà votre crédo. depuis des années, aussi loin que tu te souviennes. « Alors tu attendais qui ton père où il t’a vendu ça comme un rendez-vous de travail ? » elle le sait, ce n'est pas la première, ni la dernière fois qu'ils vous feront le coup. les paternels s'étant persuadé qu'une alchimie existait entre vous deux. et il est vrai, qu'ils vous arrivent de jouer le jeu à merveille, pas plus de cinq minutes. et ils sont de ceux à penser que la haine rapproche les coeurs. t'as pas le temps de répondre qu'un serveur se pointe, glissant sous votre nez un de leur meilleur cru. le champagne est ouvert et coule déjà dans vos coupes. un rendez-vous d'affaires, un truc urgent apparement. c'est ce qu'il m'a raconté au téléphone. que tu lances. ils nous prennent vraiment pour des cons. tu soupires doucement alors qu'un sourire amusé se dessine sur tes lèvres. puis t'attrapes une coupe de champagne, tu la fais tinter contre celle d'Harlow et t'en bois une gorgée. au moins ton père a toujours eu des bons goûts en champagne. t'arques un sourcil. maintenant que vous êtes là, autant profiter d'un bon repas, de quelques coupes, quelques bouteilles. votre journée se transformera peut-être en une soirée féérique. t'es venu avec ta troupe armée ? tu demandes, cherchant des yeux les gorilles sans cervelle de la belle Harlow. où ton père a enfin compris que tu serais plus en sécurité avec moi qu'avec ces imposteurs ? imposteurs car elle sait leur échapper en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire.
Loin de te douter que ce ne serait pas ton père, mais Ismaël qui était présent pour ce fameux repas demandé par ton père. Agacée, tu aurais pu fuir automatiquement, mais Isma n’y peut rien, tout comme toi. Deux enfants piégés dans les envies des paternels, souhaitant voir deux empires s’associer, mais pour vous il en est hors de question, tout bonnement. Tu t’installes face à lui annonçant avec joie que ce sera lui qui changement de patronyme, plutôt mourir qu’en changer. En vrai, t’as jamais été du style à t’imaginer te marier depuis que tu avais huit ans, tu n’avais plus imaginé un mariage de rêve, digne des plus grandes princesses. Non. Tu voulais juste un amour vrai, mais ce n’était pas non plus ton style que tu y regardais bien, tu n’avais même pas ta propre liberté alors pourquoi t’irait t’enfermer dans une nouvelle cage, même par amour ? « Ouai tu peux toujours rêver ! Tu penses vraiment que j’ai envie d’être une énième meuf sur ton tableau de chasse ? » Tu souris. « Épargne moi le fait que je ne sois pas assez bien, car j’ose pas imaginer le style de femme que tu côtoies ! » Un clin d’œil tu souris. Tu l’aimes bien le sartier, mais c’est de l’amour vache entre vous depuis que vous êtes gosse, il est plus vieux que toi et tu as toujours été la petite chieuse avec lui, tout comme il te le rendait assez bien. Tu l’écoutes et tu ris un peu. « Dans le fond on est cons … on croit encore leur connerie … la preuve on est là ! » Ouai la preuve est là, c’est que dans le fond que ce soit lui ou toi, vous essayez encore de faire la fierté et plaisir à vos pères, mais à quoi bon, quand ils attendent de vous ce dont vous n’avez clairement pas envie de donner. « Je me suis débarrassée moi-même des gorilles ! » Tu prends ton verre venant à l’amener à tes lèvres, alors que tu aurais pu profiter de ta liberté du moment. « Que veux-tu les gars censé savoir me défende ne sont pas de taille face à moi ! » Un regard amusé et un sourire taquin, depuis que tu es jeune tu t’emploies à échapper aux autres et avec les années tu sais rivaliser d’idée folle. « Mais je suis sûre qu’une voiture m’a suivi et en gros que des yeux nous observent, mais avec du bon sens on pourrait se casser de cet endroit … trop fade ! » Luxueux, mais ce n’était pas ici que tu allais pouvoir vider ton esprit. « Alors, tu en dis quoi ? » Laissant voir si le Sartier est encore capable de se rebeller un court instant.
ah ça, pour être cons. vous l'êtes. parce qu'il n'y a que comme ça que vous vous retrouvez en tête à tête tout les deux, lorsque vos pères respectifs s'en mêle. espérant qu'au fil de ces rencontres une alchimie naisse entre vous, vous obligeant à ne plus séparer l'un de l'autre. jusqu'à ce que tu poses genoux à terre. ridicule. pourtant, elle est là, en face de toi, tes yeux clairs ne la lâchent pas quand elle parle, et tu bois une gorgée de vin plus que délicieux. elle s'est débarrassée elle même des gorilles, un ricanement t'échappe. tu n'en attendais pas moins venant d'elle, pire qu'une savonnette, elle leur glisse entre les doigts au moindre signe d’inattention. surement a-t-elle raison, les hommes aux services de son père ne sont pas assez coriaces pour la belle harlow. j'sais pas où ton père dégote ces incapables. t'as un sourire en coin, alors qu'elle continue. ils sont même pas sortis de la caisse ? tu questionnes, tes yeux scrutent la salle de restaurant, personne en tenue de james bond. puis l'extérieur maintenant, à la recherche d'une voiture voulant se faire discrète. tu hausses les épaules. tu sais laquelle c'est ? t'as un mouvement de menton pour la ligne de bagnole garée à l'extérieur. même s'ils vous épiaient, ils ne verraient pas grand chose, vous êtes à moitié dissimulés par les autres clients. ton sourire s’agrandit lorsqu'elle propose de prendre la fuite, comme des adolescents en manque de sensations fortes. comme si, tout ne vous était déjà pas permis. elle te teste, y'a ses yeux qui en disent trop et tu avales ton verre d'une traite avant de répondre. tu sais ce que j'en dis de ces endroits, trop tape à l'oeil. tu te lèves sans plus de cérémonie, t'empares de la bouteille de vin -ce serait dommage de la gacher. on sort par les cuisines, je pense qu'on peut récupérer ma voiture sans qu'ils nous repèrent. que tu lances, alors que tu l'attrapes déjà par le bras. y'a pas vraiment de temps à perdre non ? tu bouscules un serveur sur votre passage, t'entre dans les cuisines comme si tout t'était dû. les commis vous regarde d'un drôle d'air. les deux gosses de riches aux airs louches. après un chemin tortueux, tu pousses enfin la porte donnant sur l'extérieur. le goulot de la bouteille déjà entre tes lèvres, dans ton autre main t'as les clés de ta Maserati. qu'est-ce que t'as envie de faire de ton temps libre alors ? une petite virée ?
Toujours le même refrain. T’as pas envie d’être une princesse, pas envie de donner ta main à un homme, pas à Sartier. Pas moche, mais c’est lui. Voilà tout, c’est lui. T’as pas de raison de l’épouser, pas d’amour, de l’enivrement sans doute pour son corps quand tu t’y perds, mais pas de sentiment qui te pousserait à vouloir briser cette maudite liberté que tu recherches, pour laquelle tu combats ton père et ses hommes. Alors, personne n’est étonné dans ton entourage quand tu es seule, sans aucuns gorilles pour tenir ta main, laisser un tapis rouge se dérouler devant ton être pour que tu marches. Car tu n’as pas besoin de ça et que ces derniers sont aussi doué que des ânes, insulte pour ces pauvres ânes sans doute plus utile. « Me le demande pas, puis à force il finira par trouver les ou le bons pour me coller au train … » Un jour qui n’est pas arrivée et qui te convient amplement. « Ils ne sont même pas entrée dans la voiture, tu me prends pour une débutante ? » T’en avais laissé un dans ton bureau après l’avoir charmé et avoir laissé ta secrétaire t’aider, puis l’autre avait fini par t’échapper même à toi, à croire qu’eux aussi parfois jouaient à cache-cache. Sans doute pas assez intelligent pour capter le but d’une garde rapproché. « La grosse suv noire ! » Que tu lances à Sartier, alors que tu laisses une gorgée de vin glisser en toi. Ils te suivent avec ton téléphone pas encore débranché, mais surtout ton père sachant où tu étais tu as juste voulu prouver ce soir, encore à ton père qu’ils étaient inutiles, mais tu n’étais pas en tête à tête avec le paternel juste Isma’. Tu regardes la voiture, les vitres teintés, soient ils sont en train de dormir, soit de réellement bosser, mais tu t’en fiches, t’es une anguille le plus grand drame de ton père, pourtant c’est lui qui t’as fait t’exercer prenant toute la liberté que tu aurais dû avoir plus jeune. Toi aussi tu as perdu gros durant l’enlèvement et tu ne lui interdirais jamais de vivre. T’as besoin de prendre, prendre ce droit à la liberté et tu cherches Sartier en compagnie dans cette folie, des folies que tu fais bien plus qu’on ne voudrait te l’accorder. « Exactement la même chose que moi ! » L’argent c’est beau, ça offre les choses, mais t’as pas besoin de l’étalé, tu vois trop de malheur pour en profiter à en devenir une petite princesse, on t’a éduqué, sans doute le côté mère Theresa de ta mère, ça. « Direction les cuisines alors ! » Tu te lèves sans même un regard en direction de la voiture censé détenir des hommes fort pouvant te sauver de n’importe quelle situation. Tu suis le mouvement de Ismael, déjà pleine d’envie d’aller t’amuser n’importe tout sauf sous les yeux de ces hommes. La liberté à une porte de vous que Isma’ fini par ouvrir, t’as le cœur qui bat à pleine vitesse comme ci c’était la première fois que tu faisais cela. « Je conduis ! » Que tu lances à Sartier, le sourire aux lèvres, la main accrochant la sienne pour prendre les clefs. « On se laisse porter, ça peut que nous réussir … » Mais ton esprit te porte déjà vers la nature, loin de tout, loin de ce monde si endurant avec toi. « Alors tu montes ? » Que tu lui lances alors que tu prends place sans laisser un seul mot en possession du jeune homme. Tu prends le droit, après tout.
je conduis. plus un ordre qu’une demande, puisqu’elle s’empare déjà de tes clés et s’élance vers la voiture. T’es pas du genre à laisser ton petit bijou entre les mains de n’importe qui, mais Harlow s’est déjà glissée derrière les volant. T’en grimaces. Tu ne tardes a pas t’installer côté passager, perte de repères total. Y’a ses doigts qui jouent sur le volant, son corps qui s’agite sur le siège. t’es sure d’avoir le permis ? que tu demande sourcil arqué, elle a pas le temps de répondre elle a déjà démarré. En trombe, la voiture s’élance. Tu sais pas où elle vous emmène, et t’as le corps entier crispé sous sa conduite. T’es pas le plus sage des conducteurs, mais laissé ta vie aux mains d’une novice... c’est presque trop. Tes yeux clairs se tournent vers la femme, t’essayes de lire dans ses pensées, ça ne marche pas. Elle a le visage impassible, mais à voir la route qui défile, elle a aussi des envies d’ailleurs. où est-ce que tu nous emmènes ? tu questionnes ou bout de quelques longues minutes de silence, t’étais trop concentré sur les voitures et les feux rouges. Tu appuies sur le bouton de l’auto-radio, t’espères qu’une musique agréable sortira des hauts parleurs, il n’en est rien. je t’en prie. ne me dit pas que c’est la campagne qui t’appelle ? tu soupires doucement, t’as jamais aimé la nature et ses animaux. T’es un homme de la ville, citadin pur et dur. Préfèrent être enfermé entre des building que dans des espaces trop verts, un trait de caractère de la famille Sartier, sans aucun doute. si c’est le cas, je préfère que tu me déposes tout de suite ! que t’ajoutes sourire en coin, peut-être que tu te trompes, peut-être qu’elle a d’autres idées pour vous. Tu la laisseras mener la danse jusqu’à ce que l’ennuie te guette, et il te guette beaucoup trop vite ces derniers temps.
T’es comme ça poupée. T’as pas besoin de permission, t’aime obtenir sans avoir à demander. C’est bien plus simple à obtenir d’Ismaël que de ton père, autant le dire. T’as bien plus de mal à te faire entendre par ton père. Ce qui a le don de t’énerver, même si dans le fond, tu parviens assez brillamment à te faufiler comme une anguille loin des hommes qui sont censés assurer ta sécurité. Assise sur le côté conducteur, tu ris à sa remarque. « Je te laisse en juger … après tout, une princesse qui se fait conduire, n’a sans doute pas le permis ! » Tu lui lances un petit clin d’œil. Faisant rugir le moteur de la sa belle voiture. Une belle voiture qui a du cheval sous le capot, ce qui te plaît. Tu conduis par toi-même dés que tu le peux, mais avouons que c’est bien plus facile de te faire conduire tout en continuant tes journées toujours chargé. Puis tu démarres, le sentiment d’être puissante, alors que tu n’as que cette pédale sous le pied, avec laquelle tu joues, évitant les embouteillages, connaissant par cœur la ville, c’est pas là où tu es née, mais tu as eu des années de pratique pour échapper à ces vigiles aussi doué qu’un enfant pour garder la main sur toi. « Ouai, je voulais te présenter quelques bousent ! » Que tu ris en lui répondant. De suite, il est défaitiste, tu n’as pas du tout l’envie d’aller à la campagne, pourtant tu aimes particulièrement la nature, et dans le fond c’est quand même au bout du monde pour le sartier là où tu as enfin décidé d’aller. « Monsieur sartier serait-il un trouillard ? » La peur de l’inconnu ? De la hauteur ? Il y aurait plusieurs peur qui sont à venir qui pourrait faire fuir le fils Sartier. Mais tu le vois plus comme un homme fort, ne faudrait pas qu’il retombe dans ton estime. « Laisse toi conduire, je sais t’as pas l’habitude ! » Et étrangement tu ne parles clairement pas que de la voiture, mais de tout autre chose. La route défile et les paroles aussi avant de vous voir arriver au milieu d’un champ. « Ouai, finalement c’est bien la campagne, mais pas de vache, juste ça ! » Tu jettes un œil sur un petit avion. « Un petit saut dans les aires feraient-ils peur à monsieur ? » Que tu demandes alors que tu arrêtes le moteur, descendant de la voiture et gardant les clefs d’Isma avec toi.
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Sujet: guet apens (ismaël) 
Dim 6 Jan - 21:56
