Sujet: Re: coffee break (isabella) Mar 2 Avr - 18:37
une « relation » est un rapport entre deux personnes. je crois bien vous en avez des « rapports ». tu observes isabella de longues secondes, haussant les épaules. et sans doute que si ce n'était pas elle, tu te serais contenté d'évoquer la relation entre le cul de damen et ta queue. mais bon. tu ne veux pas non plus choquer la jeune femme, alors tu te contentes de ce petit haussement d'épaules. est-ce que je te gêne lorsque je parle de damen ? tu penches un peu la tête sur le côté en l'observant de longues secondes, silencieux. tu peux parler de lui autant que tu veux. tu te contentes de souffler. tu n'en as pas grand chose à foutre en réalité. si elle veut parler de damen, elle n'as cas le faire. ça ne va pas changer le sens de ta vie. un léger soupir s'échappe de tes lèvres et tu glisses une main dans tes mèches brunes.
tu laisses ton regard glisser contre les traits de la brune. elle a l'air plus détendue, heureuse. tu te pinces les lèvres un bref instant. tu as envie qu'elle le soit, elle le mérite. ah ? car tu l’avais deviné ? tu hausses les épaules et ris un peu face à isabella. tu te pinces les lèvres. je suis pas si perspicace que ça, déconne pas. tu souffles avec un léger sourire sur le coin des lèvres. ouais, non, t'es pas ce genre de mec à lire dans les yeux des gens. mais tu commences par me dire que t'as pas besoin d'un homme pour avancer. sauf que j'ai jamais prétendu le contraire. avant de me parler d'un mec. tu te contentes d'esquisser un sourire. et puis p'être qu'ouais, ça ne t'as pas trop étonné. tu la connais bien au final, isa, depuis les années que vous vous connaissez. merci. il me rend heureuse. il a plutôt intérêt de le faire. et de ne pas la faire souffrir. tu te pinces brièvement les lèvres, venant t'accouder contre la petite table, attendant la réponse de la jeune femme, quand au fait de te le présenter. je serais vraiment heureuse de te le présenter. il a fait la connaissance de peyton et miles à noël, il faut bien qu’il fasse celle de mon autre frère. tu l'observes de longues secondes. t'es pas un sentimental, même de ce côté-là. ouais. tu souffles simplement en esquissant un petit sourire malgré tout. c'est vrai que c'est comme une petite sœur, isa. et que tu la protèges autant que céleste. tu me rediras. que je vois avec le boulot. tu ajoutes finalement. que tu puisses arranger tes horaires.
Sujet: Re: coffee break (isabella) Sam 6 Avr - 18:04
♛ Castle on the hill.
When I was six years old I broke my leg I was running from my brother and his friends And tasted the sweet perfume of the mountain grass I rolled down I was younger then, take me back to when I Found my heart and broke it here Made friends and lost them through the years And I've not seen the roaring fields in so long, I know I've grown But I can't wait to go home I'm on my way Driving at ninety down those country lanes Singing to "Tiny Dancer" And I miss the way you make me feel, and it's real We watched the sunset over the castle on the hill…
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Aucune réponse. Puis, un silence. Et, enfin, il dit quelques mots, mais pas ceux qu’elle avait envie d’entendre. Tu peux parler de lui autant que tu veux. Ce n’est pas tant qu’elle veut le mettre dans l’embarras, ce n’est pas du tout son genre. Mais elle aimerait, bien, un jour, qu’il lui explique pourquoi il ne tente rien avec cet homme. Ils ont l’air complices à tous niveaux, tous les deux. Ils s’entendent sexuellement, ce qui est déjà un pas relativement important. Elle le sait, elle est désormais en couple avec celui qui n’était que son amant. Elle devrait savoir que son cas n’est pas une généralité, Isa. Et, au fond, elle le sait. Mais elle ne peut pas s’empêcher d’être intriguée par la relation qui lie les deux hommes. Alors, prenant son autorisation au mot, elle lui demande avec un sourire innocent sur les lèvres. – Comment le vivrais-tu si tu le voyais avec un autre homme ? Juste, histoire de savoir. Le pauvre, elle ne l’épargne pas de sa curiosité. Mais la Latina finit par accepter de changer de sujet pour parler d’elle. Elle et Nikolaï. C’est fou comme elle se sent de bonne humeur, légère, quand il est dans ses pensées. Ce n’est pas une sensation dont elle a l’habitude, Isa. Quand elle entend les propos de son interlocuteur, elle se met à sourire, amusée. Puis, c’est un rire léger qui s’échappe de ses lèvres lorsqu’il la met face à ses propres paroles. – C’est vrai. concède-t-elle, lui donnant raison sans mal. Elle a pris soin de se justifier, comme pour prôner son indépendance, peut-être parce que paradoxalement, elle n’a jamais eu autant besoin d’un homme avant lui. – J’ai tellement besoin de lui, Slade. Je n’ai jamais ressenti une chose pareille. confie-t-elle finalement d’une voix à peine audible. Elle l’aime fort, si fort. Cela lui fait tellement de bien que, parfois, cela lui fait peur. Elle ne sait pas comment elle le vivrait s’il venait à se lasser d’elle. Il ne vaut mieux pas l’imaginer. Elle boit une gorgée de son café alors qu’il acquiesce simplement pour une rencontre entre eux. Slade a quelque chose d’impressionnant mais Nikolaï est loin d’être timide, au contraire, elle est convaincue qu’ils pourraient parfaitement s’entendre. Elle hoche la tête en signe d’acquiescement. – Je vois avec lui et je t’en parle sans faute. Elle repose sa tasse de café, presque terminée, sur la table avant de poser son regard dans celui de son ami. Elle hésite, pendant quelques secondes, mais finit par lui avouer. – J’ai encore du mal à y croire parfois. Comme s’il allait partir du jour au lendemain. Elle n’a jamais accordé toute sa confiance à un homme. Il y a une partie d’elle qu’elle a toujours gardée pour elle, Isa. Mais, avec lui, elle se sent mise à nu en permanence. C’est peut-être la faute de son père. Sûrement même. Seulement, pour quelqu’un d’extérieur, c’est sans doute difficile à comprendre. Elle se mordille la lèvre fébrilement, reprenant. – Tu dois trouver ça stupide…
Sujet: Re: coffee break (isabella) Jeu 18 Avr - 14:56
tu fronces un peu les sourcils face à isabella. tu sais pas ou elle veut en venir. damen et toi, c'est juste de la baise, ouais. rien d'autre. même si ça fait cinq ans. (putain d'ironie.) de toute manière, ce n'est pas comme si t'étais le genre de mec à être en couple. t'es pas franchement romantique. tu te mords l'intérieur de la joue un bref instant, tandis que la brune ne se gène pas pour renchérir à ce sujet. comment le vivrais-tu si tu le voyais avec un autre homme ? tu l'observes de longues secondes, haussant les épaules à ses mots. qu'est-ce que j'en ai à foutre qu'il soit avec quelqu'un d'autre. tu souffles dans un soupir. ouais, tu t'en fiches pas mal. (non.) tu glisses une main dans ta nuque, observant la jeune femme un instant, détaillant brièvement les traits de son visage. elle termine tout de même pas changer de sujet, et tu avouerais sans mal que tu es un peu plus à l'aise avec cette nouvelle discussion. même si les histoires de cœur, en général, c'est pas ton truc. c’est vrai. j’ai tellement besoin de lui, slade. je n’ai jamais ressenti une chose pareille. tu hoches la tête à ses mots, mais, en réalité, tu n'as aucune idée de ce dont elle peut parler. tu ne connais pas ça, toi. pas vraiment en tout cas. mais tu es heureux pour isabella. préservez ça, alors. tu murmures doucement, ne sachant même pas de quoi tu parles.
tu as bien envie de le rencontrer, d'ailleurs, cet homme dont elle te parle. tu l'observes un instant, elle ne semble pas totalement contre. elle te connaît, isabella. elle sait que t'as l'air d'un ours, mais qu'au fond, t'es pas si méchant que ça. pas avec les gens que tu apprécies. tu esquisses un petit sourire. je vois avec lui et je t’en parle sans faute. le silence retombe un instant sur votre discussion, mais le brouhaha ambiant ne cesse pas, lui. tu te pinces brièvement les lèvres, et, finalement, isa reprend la parole. j’ai encore du mal à y croire parfois. comme s’il allait partir du jour au lendemain. tu dois trouver ça stupide… tu hausses les épaules un instant, et retiens un soupir. tu te mords l'intérieur de la joue un instant. je sais pas. je ne connais pas ça. tu souffles faiblement face à la brune. tu soupires un peu, haussant les épaules. mais je veux bien te croire. tu ajoutes, esquissant un petit sourire.
When I was six years old I broke my leg I was running from my brother and his friends And tasted the sweet perfume of the mountain grass I rolled down I was younger then, take me back to when I Found my heart and broke it here Made friends and lost them through the years And I've not seen the roaring fields in so long, I know I've grown But I can't wait to go home I'm on my way Driving at ninety down those country lanes Singing to "Tiny Dancer" And I miss the way you make me feel, and it's real We watched the sunset over the castle on the hill…
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Elle lève les yeux au ciel en guise de réponse aux paroles de son ami. Il est d’une mauvaise foi, c’est dingue. Elle a beaucoup de mal à croire qu’en cinq ans, il n’ait développé aucun sentiment pour cet homme. Mais il n’est peut-être pas prêt, Slade. Peut-être qu’il n’en a juste pas envie. Et elle n’est personne, elle, pour le diriger vers une voie qui ne lui donne guère envie. Il serait juste malheureux, Damen aussi. Ce n’est pas du tout ce qu’elle souhaiterait. Alors, elle ne dit plus rien, Isabella, elle se contente de changer de sujet pour parler d’un amour qui, lui, est bien réel et présent. Il suffit de voir ses yeux remplis d’étincelles quand elle évoque le nom de Nikolaï. Elle adresse un petit sourire à son interlocuteur lorsqu’il lui dit de préserver cet amour. Elle y compte bien, Isa, elle a trop peur de le perdre pour faire autrement. C’est ce qu’elle finit par lui confier, d’ailleurs, alors qu’il n’est certainement pas la meilleure personne pour entendre ce genre d’aveux. Il affirme ne pas connaître un tel sentiment. – Si un jour ça t’arrive, j’espère que tu m’en parleras dans ce cas. lui dit-elle simplement, petit sourire innocent aux lèvres. Elle sait bien ce qu’il veut dire, elle le sait avant même qu’il le fasse. Il ne veut pas d’histoire d’amour, encore moins d’un petit-ami. Mais la conversation reprend néanmoins entre les deux amis, sur une note plus insouciante, quelques minutes encore avant qu’ils ne finissent par se séparer. Elle dépose un baiser contre la joue de Slade tout en prenant soin de lui faire promettre de lui donner un peu plus de nouvelles, jusqu’à leur prochaine rencontre.