another love (autumn)

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{ another love }
crédit/ tumblr ✰ w/@autumn rosenwald

Tu es dans l’attente de la jeune femme qui s’occupera de ta mère, qui l’aidera dans sa démence. T’as le cœur en vrac de voir cette si douce femme être à mal avec cette maladie. Tu ne sais pas trop comment tu dois l’annoncer à ta sœur, mais tu le sais que plus tard tu le feras et au plus vite elle te massacrera. L’envie de mettre fin à cette peur qui te serre le ventre, la peur de perdre ta mère, il ne reste plus grand-chose que quelque sourire qu’elle offre ainsi. T’as du mal à imaginer ta vie sans elle, pourtant tu es parti dix ans loin d’elle et autant dire que c’est une chose qui te laisse à mal. Tu voudrais tout bonnement tout réparer, sa mémoire, son sourire et son âme. Tu le sais cette femme est restée forte tout au long de sa vie, que ce soit par les moments horrible dans lesquels elle a dû survivre ou encore en élevant deux bouches, puis quatre. Cette femme fût la mère des pauvres âmes de ton enfance. Tu en fis parti, tes deux potes aussi, ils étaient des frères et le sont toujours. Ce qui est bien c’est que tu puisses vivre bien avec l’argent que tu as gardé tous les mois à tes payes, payant parfois plus quand vous aviez des déplacements. Tu n’avais pas besoin d’user l’argent sauf pour aider, tu en gardais toujours, pour voir venir les mois d’après. Tu as fini par ne pas être ce que tu voulais dans la vie, tu avais toujours rêvé d’aider les gens, d’être une force pour les autres, pour tes proches. Les pompiers c’étaient et c’est toujours ainsi que tu les vois. Tu ne les envisage pas autrement à vrai dire. Mais, ta vie a pris des tournants, des carrefours que tu as toi-même choisi, fonçant tête baissé dans un braquage pour aider ta frangine, tu le referais, partir à la guerre avec Hakan aussi. Tu ne peux pas renier le passé, par le regretter non plus, car tu aimes tout ce que tu as fait, mais aurais voulu plus, comme une carrière auprès de ces hommes de feu, mais comme on le dit, rien n’est interdit dans la vie pas vrai. Quand tu entends toquer à la porte, tu es encore en train de penser, tu évites de rester trop longtemps avec cette fille, repensant clairement à ses mains sur ton corps, te donnant des envies. Puis, tu dois aller bosser. Rien de bien flagrant, ou de rassurant. Tu vas juste aider une des filles, tu ne sais pas laquelle, à tout mettre en place, ce soir, tu ne danses pas, tu seras de garde devant la porte, les hommes ne dansent pas, pas d’argent glissé dans le slip par des mains parfois plus baladeuse qu’autre chose, qui te filent des envies, encore et toujours. Tes putains d’envie qui te donnent envie de fondre et parfois de pécher, encore. Tu le sais en soi ce n’est pas tant pêcher, mais tu ne penses qu’à ça quand tu ne penses pas à la vie bordélique que tu as. Tu aurais pu demander à ton frangin de bosser avec lui, mais tu ne peux pas te prendre une balle dans ce pays, tu ne peux pas laisser ta mère, dans une merde noir, alors dans le fond pompier aussi c’est une peine perdue, l’abandonner de la sorte, alors qu’elle s’est toujours battu pour ta sœur et toi, puis les deux mousquetaires manquant, impossible. T’as vite fait de rejoindre le quartier uppé où se trouve le club, endroit distingué pour personne pouvant payer. Tu glisses la clef dans l’entrée à l’arrière, essayant de ne pas faire peur à l’autre personne si elle est présente. Quartier chic, ne veut pas dire qu’on est à l’abri de tout, tu les as vu les mecs en manque désireux de venir sans aucun argent dans le coin et surtout sans invitation, il ne faut pas que l’argent pour y aller. Enfin, tu n’es sans doute pas mieux que ces mecs, mais tu songes à ne pas y penser justement. Puis, tu entres, voyant derrière le comptoir la petite Umn qui range derrière, préparant sans doute aussi sa représentation. Tu te glisses dans son dos, les mains gelées, déposant tes mains dans son cou. «  Salut, bôté ! » La voix suave, c’est plus fort que toi, toujours.   

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crédit/ tumblr ✰ w/@Dakota Bussby

Tu essayes de t’en sortir désespérément et c’est peut-être là, le problème. Peut-être que tu essayes tout simplement trop ou peut-être ben que tu n’es pas destiné à t’en sortir ?!... Ta vie, c’est surement ça, résolue à une existence merdique à pourrir seule sans n’avoir accomplie aucun de tes rêves de gamine. Tu n’avais plus personne pour croire en toi et ton derniers remparts étaient décédé il y a quelque mois. Il restait Bear, oui mais, rien ne semblait pareil. Les coups durs du destin semblaient avoir tout changé. Il avait changé et tu le comprenais car, ta putain de vie t’avait changé aussi. Tu n’étais plus la même non plus et tu en étais à regretter la gamine pleine d’espoir que tu  étais il y a quelque année de cela. Avant que tes parents viennent se faire écrouler le château de carte dans lequel vous vous étiez construit avec Bear et votre grand-mère. Tu avais cette impression d’être comme piégé sous des décombres à crier sans que l’on t’entende. Toucher du bout des doigts la délivrance sans jamais être capable de l’atteindre vraiment. Voilà comment tu te sentais ces derniers temps. Comme un robot qui passait chaque jour en essayant de s’en sortir sans jamais vraiment parvenir à le faire. Tu recherché de la clarté où il n’y en avait malheureusement pas et en attendant… et bien, tu faisais ton possible pour courir après ce que tu pensais déjà être mort : tes rêves. Tu continuais à y croire comme une idiote en continuant de t’enfoncer dans une putain d’illusion. Comme si jouer les vierges innocentes qui se déshabilles pour de l’argent aller te sortir de la merde de ta vie. Le seul bienfait que tu en tiré c’était bien de ne pas finir à la rues. Tu pouvais te payer les factures au moins avec ce boulot. Puis, tu avais fini par te convaincre que ce n’était pas si mal ici. Tu t’y étais trouvé des amis ou plutôt des gens sur qui tu pouvais compter. Tu étais bien traité dans un sens quand on retirer de l’équation les clients qui se croyais tout permis de par le nombre de zéro derrière leur compte en banque. Tu finissais même par te dire que c’était un boulot comme un autre. Pourtant tu ne trompais que toi-même alors que, tu te sentais coupable de servir des mensonges à ton frère. Surement qu’il t’aurait enfermé sur le champ s’il te savait en train de te dénudées pour de l’argent. T’étais loin de la gamine innocente qui venait se réfugier dans ces bras de son frère à chaque fois que vos parents repartaient car, ils avaient mieux à faire que de s’occuper de leurs gamins. Aujourd’hui tu cherchais le réconfort dans les bras d’homme qui n’en avait rien à faire de toi et qui au final ne t’aider même pas à te sentir mieux. Chaque jour, tu aimerais te réveiller dans une toute autre vie et pourtant tu en es toujours au même point. Tous les jours à revêtir le même costume dans ce club qui se veut luxueux mais, qui dans le fond, ne vaut pas mieux que tous ces putains de strip-club. Tout est juste une image comme ce sourire que tu cales sur tes lèvres chaque soir en entrant en scène. Ce même sourire que tu affiches en rangeant derrière le contoire comme si tu mettais de l’entrain à la tâche. Dans le fond, tu le faisais. Tu y voyais les bons côtés c’était bien ce qui t’aidé à tenir. Tu laisses ton esprit divagué à la musique d’ambiance que tu as mises pour combler la solitude. Tu détestais être seul et c’était bien ça le problème. T’es concentré sur ce que tu fais, trop peut-être comme toujours tu te coupes du monde. Un bruit que tu ne perçois pas… puis ces mains froides qui se glissent dans ta nuque et cette voix qui susurre à ton oreille. Un vrai sourire qui se glisse sur tes lèvres alors que tu te relèves un peu plus « Dako, ce ne sont pas des manières que de se glisser derrières des jeunes filles innocentes… » Tu susurres entre tes lèvres à la recherche d’un pseudo réconfort qui à l’arrivé te rappel encore et toujours que tu ne t’en sortirais probablement jamais.  

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crédit/ tumblr ✰ w/@autumn rosenwald

Maitre de son destin, puis enlisé dans un karma pourri. Tu l’as provoqué cette vie merdique, peut-être pas la maladie, mais tu as loupé des occasions d’être avec elle, d’être proche de celle que tu as toujours vu arrondir le dos pour vous élever, vous donner de quoi manger, ta jum’, tes mousquetaires. Le cœur sur la main, voilà ce qu’était ta mère, toujours là pour essayer de défendre face à ces brutes qu’étaient les autres parents. Violence verbale, physique, délaissement, elle était la seule à être là pour vous. T’es fière d’elle alors tu veux lui rendre la même, en laissant sa liberté à ton oiseau, ta petite sœur, même âge, à quelques minutes d’intervalles, mais elle reste le bébé de la famille. Point. Tu n’avais pas envie de rester trop longtemps chez toi, évitant l’autre fille, cette fille qui soigne les maux de ta mère et qui avait fini par aider à soigner tes propres maux. Des maux que tu ne partages pas, tu profites juste de ta belle gueule, alors que tu laisses les remèdes être le corps des filles, laissant tes démons te dévorer avant de te ramener à la vie. Une boucle infinie, une boucle qui aide tellement à cesser de s’ouvrir un petit moment, un doux moment. Tu essayes bêtement de ne pas succomber parfois, mais c’est comme ne pas avoir envie de découvrir quel goût à un bonbon. Toi t’es trop gourmand, gourmandise de chair, euphorie de corps de femme. Tu glisses souvent dans des pénombres dangereuses dont les femmes te laissent plonger sans sourciller, alors que leur cri cristallin te laisse en émoi. Alors, une fois arrivée sur ton lieu de travail, plutôt un lieu de paradis pour toi, même si tu n’as qu’une envie protéger toutes ces filles qui ont fini par arriver dans le coin. Tu veux leur bien, même si parfois tu te perds dans leur drap, ce n’est arrivé que peu de fois ici, deux fois, une ancienne qui a disparu puis Autumn. Justement celle que tu viens de rejoindre, sortant la voix suave, la douceur de tes gestes, tu glisses tes mains le long de sa joue, de son épaule, t’as le sourire, car tu es bien, la douceur de sa peur te fait du bien, alors que tu laisses des baisers parsemer son cou de baiser après la froideur et rugosité de tes mains caressant son cou. « Où est cette jeune femme innocente ? » Que tu demandes le ton un peu moqueur alors que tu glisses tes mains jusqu’à son ventre, finissant par mordiller son oreille. « Je ne la vois pas en tout cas … » Tu souris et laisses tes bras l’encadrer un peu plus, l’amenant à se serrer contre toi. Puis tu déposes ton menton contre son épaule, le regard du petit puppy abandonné de sorti, tu souris. « T’es toujours aussi douce pour le regard, beaucoup trop ! » Que tu lui susurre à nouveau, alors que tu vas trouver sa main pour la faire se tourne face à toi, opale contre opale, bassin contre bassin. Tu le sais si elle ne t’arrête pas, tu iras trop loin encore. Mais dans la douceur, tu prends et tu acceptes les non, même si tu fais souvent le gamin un peu vexé après. Tu souris alors que ton nez s’impose contre le sien, sentant son souffle se mourir contre tes propres lèvres. « J’ai presque envie de te dévorer ! » Et bien plus, sans doute entendre sa voix se heurter à ton cœur, tes oreilles profité de la mélodie qu’elle chanterait pour toi, son souffle se saccadant. Te voilà perdu dans tes souvenirs d’avec Autumn, il n’en n’avait pas fallu long avant que tu perdes déjà pied. Les femmes une drogue, des missiles lancés sans aucun mode de contrôle chez toi. « Arrête-moi ! » Autant la supplier, peut –être qu’elle sera te calmer, mais ce n’est pas gagné. L’envie monte en toi sans même avoir à t’en soucier.  

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crédit/ tumblr ✰ w/@Dakota Bussby

Tu vivais pour ces moments. Ces moments qui venaient effleurer ton âme dans un réconfort qui n’était qu’une bien belle illusion. Juste le temps d’un instant à combler ce vide en toi. Juste un moment pour te sentir moins seul. En vain, car la minute d’après elle reprend ces droit cette fichue solitude. Ce manque de je ne sais trop quoi d’explicable. Tu en avais besoin de ces instants charnels comme si c’était une putain de bouffée d’oxygène. Comme si cela te permettais de reprendre ton souffle alors qu’à l’arrivé tu finissais toujours par te sentir aussi mal qu’au point de départ. Pourtant à chaque fois tu replonger. Tu replonger dans ces bras à lui ou dans les bras d’un autre… C’était pareil de toute manière. Tu n’assouvissais là que ton désir d’être moins seule et pourtant tu ne restais personne à leurs yeux. Qu’un moment de plaisir éphémère. Tout était éphémère. Rien à qui ou à quoi tu pouvais te raccrocher et c’était ce qui te tuer à petit feu. Pourtant, dans tout ça, tu te dégouttais presque toi-même à en regretter ton innocence. A en regretter la gamine qui courrait après le bien ou celle qui voyais la beauté partout. Oh, oui, l’espoir tu l’avais toujours en toi mais, rien n’était plus pareil. Rien n’avait plus la même saveur. Tout n’était qu’amertume. Alors, l’espace d’un corps à corps tu pourchasser la douceur et la volupté pour oublier que ta vie semblait foutue d’avance de toute manière. « Elle a laissé le démon la posséder il semblerait…. » Murmure de ta voix qui se fane dans l’air. Murmure de ton désir d’avoir ces mains parcourant ta peau nue au-delà de a barrière de vos vêtement. Qu’il vienne de prendre, te posséder, te faire oublier… Tu les laisses ces mains parcourir le chemin de ton corps qui ne demande qu’à s’offrir à lui. Encore et toujours tant que l’espace d’un instant tu te sentes importante dans les yeux de quelqu’un. Tu nourrissais ta solitude à coup de plaisir charnel et Dakota était l’arme parfaite. Vous vous êtes bien trouvé tous les deux chacun avec le même besoin à assouvir. Chacun ces raisons mais, l’arrivée était la même. L’envie aussi. Il te fait frémir de cette douce pression de son corps contre le tiens. Il te donne envie de ces murmures à ton oreille qu’il finit par mordiller. Oh, oui, il te l’a fait perdre la tête à en oublier tout le reste même l’endroit où tu te trouves. « Je serais aussi douce que tu le voudras… » Voix suave, voix envoûtante et le souffles qui se perd encore et toujours dans l’air dans la mélodie de ton cœur qui s’envole dans ta poitrine. Oh que oui, tu en as envie. Envie autant que lui et le désir qu’il garde dans son pantalon. Tu te laisses faire dans la simple idée que tu sois siennes et qu’il soit tiens juste ici. Maintenant. Qu’il te contrôle pourvu que tu oublies ta merdique existence. Tes iris qui retrouvent les siennes et cette chaleur qui montent en toi. Là, au creux de ton ventre. De ton bassins attiser par le siens aussi vicieuse que cette envie qu’il a su éveiller en toi de quelque mots. De quelques gestes. Toi, tu voulais plus. Tu voulais tout. Sourire contre sourire tu te laisses enivrer de son visage qui viens rencontrer le tiens.  Son nez contre le tiens et son souffles qui effleures avec une infime délicatesse les traits de ton visage. Le coin de tes lèvres qui ne cesses de se relever et tes bras qui s’agrippent à sa nuque. Plus proche, toujours plus proche. «… hm, presque, seulement… » Que tu souffles avec défis. Avec l’envie brûlante que vous cédiez tous deux à la tentation que vous vous offrez mutuellement. Tu le contemples de tes prunelles et tu le tentes de tes mains qui glissent dans son dos puis, l’aventure dangereuse le long de son torse. « …et si je n’en ai pas envie ?! » questions faussement innocente pour toi qui ne voulais qu’une chose : plonger. Te perdre dans ces bras comme il en avait envie de te perdre dans les tiens. Tu le savais. Tu le sentais son désir. Son désir qui ne faisait que répondre au tiens. Résonance de vos âmes. Echo de vos désirs.   

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crédit/ tumblr ✰ w/@autumn rosenwald

Le destin ? C’est peut être bien réel, mais tu le sais chaque choix fait que le destin changera, plusieurs chemin, bon, mauvais et souvent les cons comme toi choisisse le mauvais, pour de bonne ou mauvais raison. Toi, du moins pour toi tu avais de bonne raison, de bonne raison d’aller chercher de l’argent dans la banque, la braquant, puis ce premier coup de feu tiré, aucune défense, juste de bonne raison. Une seule bonne raison : Arès. Lui, elle. Eux. Ta famille compte pour toi à tel point que tu pourrais leur donner ta chemise, l’organe qui joue du tambour dans ta cage thoracique. Tous les moyens sont bons pour arriver là où on veut arriver, voilà tout. Besoin de réconfort, comme toujours, mais jamais le même, c’est toujours différent avec Autumn, pas une fille de passage, un peu plus, mais pas trop. Un juste milieu. Tu t’amuses de ces mots, alors que tes lèvres parsème sa peau laiteuse de baiser, mordillant quelques fois sa peau, alors que tes mains glissent sur son ventre plat, tu colles ton bassin à elle, il ne te faut pas longtemps pour monter en pression, pour sentir cette envie te submerger. Ce maudit démon c’est toi, c’est l’envie qui te ronge, ce besoin de combler ta peine, ton manque dans le sexe. Utiliser parfois les filles, ne plus les revoir, puis y a les autres que tu pourrais voir tout le temps, donner un plaisir, recevoir, un bel échange qui te comble quelques temps avant de quémander une nouvelle dose. Un putain de droguer, pas de drogue pure, juste cette liaison entre deux corps qui se fait, ces sensations naissantes en toi que tu demandes sans cesses à sentir, à vivre dès que ton être blessé le demande. Un besoin constant, une envie qui ronge tes muscles. L’odeur de sa peau qui s’enivre avec douceur, la douceur de sa peau qui se confronte à la brutalité de la tienne. « C’est pas mal parfois d’aller brûler en enfer ! » Invitation à s’infiltrer dans ton monde, ton enfer, doux et brulant, complétement détérioré, merdique, tu survies et ça te va. Une douce demande, une demande de sérénité, qu’elle te donne un bout de quiétude à ses côtés. « Comme toujours ! » Presque trop docile dans ses mots, mais ces mots chantaient de façon suave, harmonie qui fait battre ton cœur, prouvant que l’homme que t’es il est vivant, il ne vit peut être pas que pour une chose. tu ris contre la peau de son cou à ses mots. Presque, seulement. Si seulement elle savait, le presque n’est là que pour faire joli, que pour duper la belle, car tu aurais juste envie de la dévorer ici. Face à face, opale face à opale. Tes mains qui se promènes, qui glisse contre la peau de son bras, finissant leur course un peu partout. Ils galopent prenant possession de chaque parcelle de son être, tes lèvres ne cessent d’en redemander. « Alors ne le fait pas ! » La braise consume la prunelle de tes yeux, des yeux qui n’ont dieu que pour elle. Tu le sais d’avance tu ne te retiendras pas, pas ce soir. Tes lèvres qui caressent les siennes sans vraiment les touchers, le souffle qui fait tout le boulot. Ses mais qui encadre ton cou, tu n’as plus qu’une envie ne faire qu’un t’occuper d’elle comme elle pourrait le mériter. Entendre cette douce mélodie caresser tes oreilles son chant de sirène te domptant à chaque gémissement. Tu n’en peux plus d’y penser, faut que ce soit le moment. Tes mains qui se posent sous ses fesses, la soulevant et l’emmenant sur l’un des canapés du salon vip. Tu la dépose te glissant entre ses jambes, glissant tes lèvres sur les siennes, alors que tu ne trouves sa langue pour partager quelques pas de danse endiablé. Le corps appelant le sien, tes mains glissant sous sa robe, tu la caresses, palpant ses formes avec douceur et envie. Alors, que tes lèvres glissent dans son cou, continuant directement et avec envie jusqu’entre ses cuisses. Plus rien ne compte, plus rien ne pourrait te stopper même pas une foule en délire, car plus rien ne compte sauf le plaisir, le désir charnelle qui fait rage en toi. Cette addiction si bonne et mauvaise à la fois. Tu te jettes corps et âme.  

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crédit/ tumblr ✰ w/@Dakota Bussby

Tu ne le sais qu’éphémère ce moment de réconfort de ton corps lié au siens dans des effluves de désir et de passion. Tu le vois arriver ce moment d’après ou le sentiment d’être de nouveau seule envahiras ton corps. Ce n’est que l’illusion d’un instant que tu te sens chérie et  envelopper de chaleur. Juste un putain de mirage qui dur le temps d’un corps à corps charnelle avant de retourner à ta vie. Tu te berces de ces idées que cela t’aides à te sentir moins seule. A combler le manque dans ton cœur. Dans ta vie. La réalité est bien plus moche, cela ne t’aides en rien. Tu te fais du mal plus qu’autre chose. Tu t’enfonces dans le néant et pourtant tu le fais avec plaisir. Le plaisir de ses mains parcourant ton corps et de sa bouche se jouant de la tiennes. De ces mots électrisant chaque parcelle de l’épiderme de ta peau. Il sait te parler l’homme, il sait venir te chercher. Combler ton désir, ton envie d’être à deux plutôt que seule. La sensation ne dur jamais éternellement et c’est surement pour cela que tu y reviens à chaque fois. Oh que oui, tu les aimes ces danses endiablés rythmé par le souffles entrecoupé de désir. Tu les aimes ces moments de plénitude ou seul le plaisir compte. C’est peut-être pour cela que Dakota et toi tout c’est fait comme une évidence. Tu ne te souviens plus du comment mais, tu te souviens de l’instant. La connexion de deux âmes qui avait besoin de quelques choses. Plaisir sensuelle. Désir charnelle. Vous vous étiez perdue l’un dans l’autre. L’un avec l’autre et voilà que retrouver ces sensations ancré dans ton flots de souvenirs te faisais palpiter. Littéralement. Tu vibrer pour lui. Vibrer de sentir ces mains puissantes enserrer ton corps, torturer de caresse ta peau. Non, tu ne l’arrêterais pas, pas ce soir. Jamais. Pas tant que tu ne te sentirais pas pleinement combler. Pas tant que tu n’aurais pas trouvé ce qui manquer à ta vie. Dakota il était ton pansement. L’homme savais y faire et c’était comme si lui dire devenait impossible. Il envolé toute once de volonté en toi à coup de baisé planté dans le creux de ta nuque. Son souffle qui se perd sur ton visage et ta tête qui défaillis. Tu n’es plus sur Terre. Tu es avec lui, ailleurs, dans un autre monde. Un monde ou seul le désir d’assouvir ce besoin viscérale compte. Lui et toi. Rien d’autre. Tu te fou de l’endroit tu te laisses prendre telle une marionnette. C’est le marionnettiste de ton corps en ébullition sous ces gestes qui font palpiter ton cœur. Fourmiller de plaisir ton corps. Tu te perds dans ces baisers. Sous ces baisers. Tes prunelles qui se perdent dans le siennes et tout est fini. Tu te laisses défaillir à son contact. Perdue dans ce canapé à la merci de sa bouche qui suis le chemin de ton corps. Ton plaisir que tu ne peux taire et tout es oublier. Tout ce qui embrume ton esprit qui s’éclaire en l’instant juste pour lui. Il te montre la voix et tu le suis. Tu l’appel à toi et tu le cajoles de tes mains, de ta bouches qui vas, qui viens. Qui cherches encore et toujours. Tu veux trouver, tu veux l’emporter dans l’instant comme il t’emporte. Vos souffles qui se mélanges de vos respirations accélérer où tu y puisses ton oxygènes. Tu vie pour l’instant. Tu t’en débarrasse de cette robe et de tout le reste. Tu les laisses courir tes mains pour retirer son t-shirt avec l’envie de sentir son corps se presser contre le tiens. Tu veux tout lui donner. Tu veux tout avoir de lui. Sourire qui se perd un instant de vos visages à la même hauteur « fait moi brûler en enfer alors… » Que tu sous entends avant de retrouver sa bouche presser contre la tiennes. Avant de lâcher prise. Littéralement.

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crédit/ tumblr ✰ w/@autumn rosenwald

Ton corps contre le sien, le canapé étant le nid de cette immoralité qu’est votre. Un plaisir, un échange charnel, un besoin d’être vivant. Tu as besoin de sentir le corps d’une femme contre toi. Une drogue, des effluves d’envies qui brûlent et terrasse à la fois ton être. Le besoin d’entendre les gémissements de la sirène que tu as choisi. La belle Autumn qui est plus chaude qu’un automne. T’es prêt à t’envoler à ses côtés, pour découvrir les prémices d’un septième ciel que vous avez déjà cavalé à deux. Main dans la main, bouche contre bouche, peau contre peau, ne faisant plus qu’un. Comme toujours. La même mélodie, des nouvelles intentions, des caresses différentes, cela dépend l’humeur, l’envie de jouer ou d’être expéditif. Tu devrais l’être, tu devrais expédier ce corps à corps très vite, mais au diable le taf, au pire vous donnerez un joyeux spectacle aux clients. Tes doigts qui glissent sur elle, en elle, tu laisses ton imagination débordante combler le besoin de la jeune femme. Tes lèvres glissent contre sa peau, trouvant les siennes, échangeant de l’affection, alors que tes mains se baladent le long de ses courbes si divine, ces mêmes divinités qui laissent les beaux comptes se perdre contre son âme, son corps qui charme, toi, eux. un corps qui plaît, qui fait des ravages et toi, tu le sais, tu sais quel gout à cette peau nacré, tu laisses, ton âme s’envoler, alors que ton plaisir se décuple, que tu continues de ne penser qu’à elle avec ,ce goût sucré en bouche, tu as plus qu’envie de ne faire d’elle et toi, une seule et même personne, durant quelques minutes, laissant vos âmes se convoiter, brûler d’amour l’une pour l’autre. Pourtant ce n’est pas de l’amour, mais peu importe, tu le sais que tu as un profond respect pour la belle délicieuse qui chante sous tes caresses, sous cette langue gourmande à souhait. Ta peau connaissant la sienne, et vice versa. Les gestes, ne sont pourtant pas les mêmes, toujours du nouveau, qui ne vous laisse pas en manque de nouveauté. Une chose qui est bien avec elle. Les opales qui se perdent dans les siennes, alors que tes lèvres quémande un autre baiser, alors que tes mains pressent un peu plus sa cuisse gauche, remontant cette dernière, alors que tes lèvres sentent les siennes un peu plus loin d’elles, tes yeux qui nagent dans les siennes, ces mots qui te donnent le top, te donnant l’envie de ne plus être qu’une chose une bête. Glissant en elle avec brutalité et délicatesse à la fois, tu souffles contre ses lèvres venant chercher les siennes pour l’embrasser avec sauvagerie. Tes mouvements son ample et fort. Une danse que tu connais, tu la connais si bien que les filles sont souvent différentes, tu te laisses aller complétement. Sentant la jouissance arriver, mais tu te retiens, tu te calmes, calmant la bête en toi, pour la laisser arriver en première, quand cela sera fait, tu en feras autant, alors que tu continues de malaxer ses courbes avec délice. Une danse où la belle reprend le pouvoir, venant te chevaucher avec hâte, alors que tu glisses tes mains sur ses femmes agrippant ces dernières comme si ta vie en dépendait.  

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crédit/ tumblr ✰ w/@Dakota Bussby

Tu t’agrippes à son être ou à l’instant qu’il t’offre. L’unisson de vos âmes qui chantent l’une pour l’autre. Tu t’agrippes au moment comme à un putain de remède miracle. Solution magique de caresses et de désir en pleine explosion. De vos souffles qui se mélanges et de vos lèvres qui dansent les unes pour les autres. Le rythme de vos myocardes qui plie sous l’appel du désir. Plaisir de vos corps qui se mêlent l’un à l’autre ne laissant plus rien d’autre compter que l’échange charnel de vos envies mutuelles. L’esprit qui s’envole vers d’autre contré juste l’espace d’un instant. Moment libérateur de tout ce que tu traînes derrière toi. Solitude faussement comblé qui reprendront ces droit après t’avoir laissé tremblante dans les bras du métisse. Le temple de vos corps que vous vous offrez l’un à l’autre. Chacun avec vos raisons. Chacun avec vos besoins. De la hâte dans vos caresses de la violence dans votre douceur. C’était comme redécouvrir à chaque nouvelle étreinte. Perdue dans ces bras bien loin d’ici. Déconnecté d’une réalité que tu voudrais oublier et tu l’oublie l’espace de ces mains qui virevolte sur tes courbes et des tiennes qui se délectes de sa virilité. Vos corps qui s’apprivoisent d’une peau contre une autre. Tes iris qui se perdent dans les siennes dans le chant du bonheur. Du plaisir. Tu souffles pour lui et ces petits miracles qu’il laisse sur les sillons de tes courbes. Tes la feuilles tremblantes sous le plaisir de votre union. Qu’un seul être qui se moue sur la même mélodie. Force délicate de cette emprise qu’il a sur toi et la chaleur qui ampli tes sens. Le bonheur qui perle sur ta peau à l’esprit qui s’enivre. Vos bouches qui se perdent pour mieux se retrouver. Tes jambes qui s’enroulent autour de son corps telle une pieuvre emprisonnant sa proie. Pour le moment que vous partagiez tu étais à lui et il était à toi. Aucune obligation entre vous juste des moments de pureté charnelle ou il n’y avait que l’évasion qui comptait. Tu t’évader en lui. Avec lui. Tu laissais tes ailes se brûler sous les assauts puissant de son corps qui demander tout. Silence électrique sous les respirations saccadées par l’effort du plaisir. Fantasmagorie orgasmique. Prévenance de l’attente avant de se laisser divaguer pleinement. Totalement. Porter comme sur un nuage invisible. Soulever de terre sous la tétanie du délicat de ton corps qui se courbe. Soupire sucrée qui se perd dans l’air quand le moment de se libérée arrive. Viens à toi pour te posséder dans la moindre cellule de ton corps. Les sens décuplé à mesure de sensation enivrante. Enivrée de lui qui viens à tour et s’est ensemble que vous finissez la route. Sueur d’un effort qui n’est que plaisir que pas assez. Gourmand de plus. Gourmand d’éternisé le moment où les corps se relâches. Feuille délicate qui tremble encore des sensations encré au plus profond. Intense symphonie liée d’un sourire de ton regard se déposant sur lui. Tes lèvres capturant une dernière fois les siennes de son corps surplombant le tiens. « et maintenant… je suis bonne pour la douche… » Murmure qui s’envole au creux de son coup ou une invitation à demi-mesure de toute manière la salle était prête et tu n’étais pas venue plus tôt pour rien…