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 a glow in the dark | Aspen

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Message Sujet: Re: a glow in the dark | Aspen    a glow in the dark | Aspen  - Page 2 Empty Sam 12 Oct - 17:28


Aspen &  Kenan.
a glow in the dark.

Le repos du guerrier, tu l’attends. Pied fixé au sol dans l’attente que l’enfer vienne te prendre, tu ne veux plus que ça. Ton cœur qui renonce, la vie qui s’époumone, tu ne veux plus de cette dernière. T’aurais aimé que personne ne prenne attention à ton être inerte, liquide transparent venu du ciel se mélangeant à ton ethnie qui s’écoulait de ta blessure par balle. Bosser pour la mafia fut ton erreur ? Non naître fut la vraie erreur. L’erreur de tes, vos parents. T’aimerais qu’on te laisse dans la mocheté de vie que tu as, celle que tu as toujours eu. Les moments qui avaient éclairé ton âme te guidant sur une vie plus joyeuse se sont envolé avec tes espoirs et l’amour donné à ton premier amour. L’oublier. Tu le prétends, tu y crois et puis te voilà redoutant ce moment. Elle. Lâche qui a abandonné sur l’asphalte ton myocarde, laissant s’envoler tes rêves pour vous. Aspen. Prénom que tu n’as plus entendu depuis des années, le mal qui écorche ton âme et redoutable. Comme une force qui fait rage en toi. Pour la repousser, l’éviter à tout jamais. Abattre le mal avant qu’il ne t’abatte, résumé parfait de celle-ci. Elle chantonne la sirène, divine créature d’antan. Elle attend de toi que tu souris, que la remercie ? T’arriveras pas à lui faire se plaisir, à te forcer, le manteau lugubre recouvrant ton champ de vision est sans doute le fautif ? ton cerveau drible tes battements de cœur, impossible de laisser le passer venir bousculer ton présent, actuel déjà chaotique. Peu importe ce qu’elle voulait, ce que sa présence représentait, il était trop tard, trop tard pour qu’elle vienne à toi. Pourquoi maintenant quand la pulpe de tes doigts caressent les ténèbres ? Tu ne veux qu’une chose, en finir, finir de survivre, d’espérer t’y retrouver. Pouvoir protéger ces êtes qui sont les tiens, cette famille qui ne tien plus qu’à des fils invisibles. Blessé, animal à terre, incapable de retrouver la moindre force pour s’en sortir, à quoi bon ? Les questions sont les mêmes et les réponses toujours négatives. L’envie n’y étant plus, l’envie ayant quitté cet être divin que tu étais avant. Le temps d’un instant tu pourrais songer à retrouver l’espoir, la lumière dans cette vie, mais tu n’y parviendras pas. Tu le sais. T’es blottis dans la douleur qui fait succomber toute ta vie. «   je vais bien.   » elle y croit vraiment ? Tu n’y crois même pas. Tu vas bien ? Non sans aucun doute que tu ne vas pas bien. Aucune blessure apparente physiquement, mais le reste est brisé, les coups trop nombreux pour y survivre paisiblement. La survie est tienne depuis la seconde fois où ta mère a tenté de te tuer, éteindre la lumière de ta vie, te dire adieu, car tu es monstrueux. Elle avait raison. t’as raison, je vais bien… dégage t’aimerais lui dire tout cela, lui dire qu’elle dégage, mais tu ne veux pas déverser une seule miette de sentiment, bon ou mauvais peu importe. Quel argent qu’elle te chante, tu ne fais que rire intérieurement, alors que ton visage ne déclare pas que tu es hilare à l’instant. Œil appâté par l’argent, tu te l’étais décrite ainsi, depuis qu’elle t’a délaissé pour la fortune de sa famille, lâché car tu ne savais où vous alliez finir, vous aviez fini dans la voiture, rien de rassurant. Te tuant à la tâche pour survivre, pour qu’eux vivent. Les plus importants, ton sang qui coule dans leur veine, elle comme lui méritaient le meilleur et à présent tu n’es plus qu’un poids à supporter.  T’éclipser, sans même savoir où tes pieds se déposent. «   je n’ai jamais été un héros alors ça tombe bien !   » Réponse à tout, froidement , la glace pourrait s’installer entre vous, juste par le souffle que tu glisses entre chaque mot lui étant destiné. Comme le monde tu es fou, tu ne danses plus sous la puissance de son amour, quand dans tes yeux avant, elle était la déesse cajolant ton cœur. Un temps révolu qui n’est plus votre. Un temps qui avait manqué, marquant ton visage à dix huit ans, jeune et bête. Promesse qui écorche ton cœur, le myocarde qui rit d’elle. «   tes promesses ne valent rien.   » Que tu lâches aussi prétentieux que tu sais encore l’être. L’âme qui roucoule doucement à cette réponse que tu songes à lancer. Accordant à l’ancien amour d’antan la découverte que son choix fut le bon. «   t’es drôle.   » Tu souffles. La tête sans doute tourné ailleurs que vers elle, encore déstabilisé par ta cécité. «   ma vie est morte, ma santé n’est plus … alors laisse moi crever, comme tu as su le faire avant …   » Tu craches, tu ne parles plus, car la rupture fut immédiate quand l’effluve de son parfum, celui même où tu adorais nicher ton nez pour te procurer une bouffée de bonheur à ses côtés , venait taquiner ton odora. Il s’était glissé avec douceur et sans effort, pour t’envahir et incendier ton cœur. Subtile souvenir qui réchauffe ton âme, déterrant la douleur de cette silhouette s’éloignant de toi quand elle avait décidé de partir, sans toi. «   Alors, il est temps de prouver que tu es honnête capable de tenir tes promesses, laisse-moi. Rien ne te retient.   »
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Message Sujet: Re: a glow in the dark | Aspen    a glow in the dark | Aspen  - Page 2 Empty Jeu 17 Oct - 2:36

c'est comme chuter du dixième étage, à répétition. se ramasser au sol, sans protection. et ça fait vriller toutes les connexions. ça éclate les tympans encore plus durement que le son des basses à plein régime. d'abord, la prononciation de son prénom. le secret qu'elle avait voulu garder, l'uppercut qu'elle avait tenté d'éviter. l'initiative n'était pas venue d'elle, juste d'un collègue. qui sans le savoir avait démolit, d'un coup de pied bien précis, la mécanique qu'elle avait pourtant soigneusement huilée. ensuite, les paroles de kenan. plus violentes que des lames de rasoir. qu'un coup de poignard qui s'acharnerait sur un coeur déjà à plat. elle avait tout perdu de son éclat aspen. et ça durait depuis plusieurs années. aujourd'hui, le portrait s'était encore davantage obscurcit. à chaque fois qu'il s'invitait dans le paysage, il le ravageait. la maîtrise couplée à l'habitude. coup de maître. et retraite inenvisageable. ne lui restait plus qu'à essayer de recoller maladroitement des morceaux épars. pourtant, les explications ne seront pas pour maintenant. le courage lui manque, les blessures à vif la tordent. et elle le sent, qu'il ne sera pas réceptif. il n'est pas prêt à entendre ce qu'elle pourrait avoir à lui dire. pas prêt à intégrer des vérités qui l'avaient brisé et qui l'avaient forcé à se tirer. loin de lui, alors qu'elle ne réclamait que le contraire. vulgaire marionnette entre les mains du destin. celui qui avait pris la forme d'une mère, et qui en avait oublié tous les codes. le retour d'ascenseur est brutal, quand c'est lui qui cherche à fuir. lui qui s'escrime à mettre une distance entre eux. celle qu'elle avait effacé plusieurs minutes plus tôt, sans savoir vraiment comment l'appréhender. c'est là qu'elle comprend combien ça fait mal. de se sentir rejeté par une personne qu'on aime, de se sentir trahi par quelqu'un qu'on croyait sincère, de ne devenir qu'une parenthèse ou un chapitre dans l'histoire d'une vie entière. il se lève kenan, prêt à franchir les pas qui rendront définitive la cassure. ceux qui mettront un point final à ce qu'ils avaient été, puisqu'il ne reviendra pas. le message est suffisamment clair pour qu'elle n'espère même pas une issue différente. son équilibre est précaire, rendant sa fuite plus ardue que prévu. peut-être un signe du destin pour la jeune femme en pièces détachées depuis que les souvenirs étaient revenus la percuter en pleine face. un château branlant, presque autant que lui. je vais bien. tu n'sais plus trop si c'est toi qu'il cherche à persuader, ou bien lui-même. s'il ne tente pas plutôt de te rassurer par tous les moyens pour que tu files, et le laisse enfin en paix. parce qu'il n'est pas heureux de la voir, ou alors il le cache très bien. acteur oscarisé à l'unanimité. l'intérêt qu'elle lui porte, l'attention qu'elle lui octroie, ne suffisent même pas à le faire baisser sa garde un centième de seconde. il est braqué kenan, borné dans ce rejet qui heurte le palpitant déjà à l'agonie. du peu de force qu'il lui reste, elle s'essaie à garder la face. parce qu'elle est sur son lieu de travail. même si celui-ci change de décor chaque jour, chaque heure. les promesses, elle veut les lui arracher. lui certifier qu'elle disparaîtra de sa vie, si c'est réellement ce qu'il souhaite. pourvu qu'il cesse de se malmener et de flotter sur la corde raide. c'est elle qui en pâtira. elle qui en pleurera. elle encore, qui en saignera. mais elle a failli à leurs promesses d'autrefois. et elle ne peut pas recommencer, elle n'en a pas le droit. je n’ai jamais été un héros alors ça tombe bien ! pourtant t'étais le mien, qu'elle se retient d'ajouter. parce que c'est ni le moment, ni l'endroit. parce qu'il en rira sûrement et qu'il ne l'acceptera pas. il n'est pas dans d'assez bonnes conditions pour ce genre de révélations. ça sert à rien de se justifier. peine perdue. tes promesses ne valent rien. un énième coup qui n'épargne pas le palpitant. qui, au contraire, l'amoche encore un peu plus. comme s'il n'en avait jamais assez, comme s'il cherchait à lui faire payer sa lâcheté, son départ anticipé, les nouvelles qu'elle n'avait pas donné. s'il te plaît kenan... elle l'implore de lui offrir un maigre répit, si c'est tout ce qu'il a. elle a besoin de reprendre son souffle. de cesser cette apnée, autant que la suspension de ses battements de coeur. il ne peut pas voir la sincérité sur ses traits, ni les entailles qui parsèment son myocarde. s'il savait, il lui dirait qu'elle ne peut s'en prendre qu'à elle. et il aurait tort, à moitié. son existence a toujours été précieuse aux yeux d'aspen. il avait toujours été précieux dans son regard. t’es drôle. ma vie est morte, ma santé n’est plus… alors laisse moi crever, comme tu as su le faire avant… les mots lui manquent pour se défendre. intimement persuadée que tous ceux qu'elle pourra trouver ne suffiront jamais. tu mens... j'suis pas capable de ça. je l'ai jamais été. ce que t'as fait, tu l'as fait pour lui. t'as voulu lui épargner la gifle que tu t'es prise. l'empêcher de devoir faire un choix et de tirer un trait sur vous deux. t'as pris ce poids sur tes épaules. et il t'a pesé trop longtemps celui-là. il t'a violemment écrasé. toi et tes sentiments. alors, il est temps de prouver que tu es honnête capable de tenir tes promesses, laisse-moi. rien ne te retient. la boule qui se forme au fond de sa gorge la gêne. il lui semble alors impossible de s'en débarrasser quand elle se bat déjà pour retenir des larmes qui menaçaient de couler. j'te dois bien ça. mais j'veux que tu saches que j'suis désolée kenan, sincèrement. et que... si j'avais le pouvoir de tout effacer, de remonter le temps, j'ferais les choses autrement. les paroles sont si difficiles à prononcer. son rythme cardiaque s'emballe et se dérègle. prends soin de toi kenan. la dernière supplique qu'elle lui adresse, en se redressant. prête à partir vers ailleurs, prête à lui dire adieu. une seconde fois. elle ne voulait pas repenser à tout ça. elle n'imaginait pas le retrouver, en se levant ce matin-là. ses pas les distancent irrémédiablement. silencieusement, elle lui dit adieu, le coeur lourd.
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Message Sujet: Re: a glow in the dark | Aspen    a glow in the dark | Aspen  - Page 2 Empty Dim 27 Oct - 19:04


Aspen &  Kenan.
a glow in the dark.

Cœur à l’envers. La tempête qui chahute ton âme. Elle. La cécité. Aspen. Encore elle. Elle débarque dans ta vie comme un feu atomisant tout sur son passage. Aspen est un feu incontrôlable, qui promet de belle chose pour t’envoyer brûler en enfer. Si elle savait que son petit gars d’avant était déjà en enfer, sans doute qu’elle s’en irait. Si elle te voulait du bien ? Juste un si de passage. Une fumée qui n’a pas lieu d’être. Tu sais parfaitement ce qu’elle a choisi plutôt que vous, que toi. Tu l’aurais toujours choisi, elle , ta famille. Toi qui aimais te perdre dans ses noisettes, te noyer jusqu’à oublier tes malheurs dans ton bonheur avec elle. Un jeune con, l’amoureux qui pensait qu’elle serait la seule et l’unique. T’es passé au-dessus, mais les écorces de cet amour sont encore là, à piquer quand tu penses à elle. Son prénom qui fait écho au battement de ton organe, ton odorat qui cherche à se convaincre que tu reconnais son odeur. Mais t’es cassé, t’aimerais que ce ne soit pas fini vous deux, tu le sais t’aurais pas été capable de remonter la pente sans Sage. Elle a été l’ange sur ta route réparant les blessures de la créature qui se tien à tes côtés. Tout va bien dans ta noirceur, tu t’en convaincs jour après jour. La pénombre est tienne, elle n’est pas aussi bonne que quand tes paupières plongeaient tes opales dans l’obscurité, car tu pouvais y trouver la lumière, dès que tu en avais le besoin. Plus maintenant. Tu as tout perdu, maladroitement ta vue c’est comme ta vie, le besoin de dorloter tes opales à caresser les traits de visage des tiens. Un court nombre qui se décompté sur la main. peu de monde qui rendait ton univers pourtant parfait. Le cœur dur comme la brique, incapable de baisser la garde, t’as aucune envie qu’elle soit là, qu’elle ouvre une brèche dans ta tête, dans ton cœur pour que tu songes à elle. Aspen est rayé. Elle n’a plus sa place dans ce monde lugubre qui est tien, elle fut la première chose qui avait foutu le camp dans ta vie, celle qui avait tout détruit en te disant adieu, en te laissant sur le trottoir et t’oubliant. Alors elle n’avait plus son mot à dire. Tu l’entends sa plainte, elle implore, que grand bien lui fasse, tu restes inerte et froid. Retranché sur tes positions, incapable de changer d’avis. Les opales en panne, inerte elles aussi. Elle revient au pire moment ,ce moment où tu es à terre plongée dans ce monde dénuée de couleur, dénuée de sens même. Elle n’aurait jamais du te retrouver la princesse déchu de ta vie, comme elle n’aurait jamais du tomber sur le prince déchu, le prince qui a avancé, c’est détruit à en plier l’échine pour mieux s’en sortir, pour offrir la vie mérité à ceux qu’ils aimaient. Pourtant tu ne peux pas t’efforcer de te battre contre cette voix qui donner de la douceur à ton âme, de la paix à ton cœur vaillant qui ne cesse de battre comme un dingue. Tu t’accroches tout de même à ces branches qui te pousse à la sortir de ta vie, à retrouver un peu de normalité à cette vie qui n’est clairement plus tienne, juste un substitut que t’aimerais effacer d’un clin d’œil. Mais tu ne verrais pas les changements. « l’ange parle. » pas capable de te faire ça, mais elle l’a fait. A qui tu mens Aspen ? tu te le demandes. Tu ne demande qu’une chose, la liberté d’antan, celle de l’oublier, la rayer de ta vie, pour de bon et à tout jamais. Radical, car tu n’es plus qu’un déchet, bien incapable de pardonner, alors que tu ne sais même pas te pardonner toi-même. Tu l’entends sa voix trembler, les opales avant auraient pu voir des larmes, t’aurais eu du mal à ne pas la prendre, la consoler, car ton cœur est doux, beaucoup trop, pour le monde. T’es devenu dur, par choix, c’est un combat incessant en toi, le bien, le mal, la méchanceté, la gentillesse. T’avais jamais compris pourquoi fallait choisir. t’es comme le vélo, on pense oublier, mais on sait que c’est faux quand on pratique à nouveau. tu le sais que tu ne l’as pas oublié, car sa voix qui tremble ça te rend mal et pourtant ton visage reste toujours aussi fermé. C’est la vie. « ça n’existe pas les machines à remonter le temps, alors rien ne sert ces paroles … » non, jamais personne n’a su remonter le temps, changer les décisions, car tu aurais voulu tout modifier à ta vie, épargner ta sœur, ton frère, tout le monde, les aider jusqu’à t’égratigner les genoux. Toi à terre, mais pas les tiens. « On verra. » Froide réplique qui fait écho à cette envie d’arrête de vivre parfois, envie qui hante tes nuits, qui sont comme infini depuis quelques mois. Chacun sa route, chacun son chemin. Une rencontre qui a rendu le cœur horriblement douloureux, tu dis adieu à ce fantôme malsain de ton passé et pourtant, y a la pointe d’amertume qui te reste en travers de la gorge.


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