F / MADELAINE PETSCH (non négociable)

identité complète / Dolores "Lola" Rosewood (totalement négociable tant qu'elle ne s'appelle pas Germaine) tranche d'âge / au choix (mais moins que 23 ça risque de faire jeune vu que Milo va sur ses 29 ans) statut civil / célibataire études ou métier / au choix et à décider en fonction de l'âge que tu lui donnes ! Je la vois bien (tenter de) vivre de sa passion, quelque chose d'improbable qui fait briller son regard quand elle en parle, ça peut être étudiante en art comme écrivain pour enfants en passant par fleuriste ou archéologue, selon ton inspiration ! groupe conseillé / au choix, j'aurais dit ace of hearts mais ça m'est égal avatar souhaité / madelaine petsch

miles "milo" cooper / (première rencontre) Au premier coup d'œil, Milo sut qu'il avait tout intérêt à l'éviter - les filles comme Lola ne lui apportaient jamais rien de bon, il avait appris sa leçon, maintenant. Ils ne jouaient pas dans la même cour, et il le savait - mais le problème, c'est que les garçons comme Miles n'avaient jamais su dire non aux filles comme Lola. C'est pourquoi, lorsqu'elle vint l'accoster au milieu de la boîte où ils passaient la soirée pour lui acheter quelques-unes de ses fameuses pilules magiques pour elle et ses copines, subjugué par sa beauté et le charme qu'elle dégageait, il lui tendit sans réfléchir la quantité de comprimés qu'elle lui avait demandée. Il l'avait regardée s'éloigner tout en tentant de se convaincre qu'il ferait mieux de rester loin d'elle. Il n'avait pas pu s'empêcher d'établir instantanément un parallèle avec Carmen, la dernière déesse qui l'avait accosté de la sorte, pour les mêmes raisons, quelques années plus tôt, et qu'il avait aimée de tout son soûl avant qu'elle ne lui brisât le cœur. Et de se dire que sans Carmen, il ne ressentirait pas aujourd'hui cette terreur permanente de l'engagement, qui l'empêchait d'éprouver le moindre sentiment de crainte de finir blessé une nouvelle fois. (le déclencheur) Il aurait dû l'éviter - les filles comme Lola ne lui apportaient jamais rien de bon, et il en eut la confirmation lorsque l'une de ses copines vint le trouver, paniquée ; Lola avait eu les yeux plus grand que le ventre, et était désormais inconsciente. Il s'est maudit d'avoir été assez stupide pour se laisser charmer par la jeune femme au point de lui donner plusieurs comprimés, ce qu'il ne faisait jamais et précisément pour cette raison. Puis il s'est béni de toujours avoir ce spray de naloxone, antidote aux pilules qu'il revendait, dans une de ses poches. Elle reprit conscience dans ses bras après quelques minutes. Ses copines, aussi bourrées que paniquées, avaient débarrassé le plancher. Il ne pouvait l'emmener à l'hôpital - on lui poserait des questions, et il aurait encore plus d'ennuis qu'il n'en avait déjà... et puis, malgré lui, il ne voulait pas la lâcher, Lola. (et puis...) Il prit la résolution de couper les ponts sitôt qu'elle serait remise sur pied - les filles comme Lola ne lui apportaient jamais rien de bon. Mais alors, pourquoi Lola s'était-elle montrée si profondément reconnaissante, douce et embarrassée à son réveil ? Et lorsqu'elle avait manifesté l'envie de rester en contact, pourquoi avait-elle eu l'air si humaine, si accessible, même ? Force lui est d'admettre qu'au final, il s'est peut-être trompé à son sujet - et qu'au final, Lola n'a absolument rien d'une Carmen.