This black and sticky hole ...| Nevaeh

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crédit/ tumblr ✰ w/@nevaeh mcgrath

Tu te retrouves dehors en plein orage, l’eau s’écoulant du ciel, alors que tu n’avais qu’une envie de rester au chaud. Mais c’est impossible, pas avec ce chien qui en avait décidé autrement. Satanait chien. « Gabby ! » Tu ne cesses de répéter son prénom espérant qu’il revienne. Ton chien n’a jamais vraiment accepter les orages, il en a toujours eu peur depuis qu’il était petit. Maintenant, qu’il a les moyens et les aptitudes à prendre la fuite pour aller se réfugier n’importe où. Alors, que la pluie se calme, tu es trempée, te promenant dans les rues de ton quartier, tu tentes de le trouver. Tu suis quelques jappements qui te guident vers lui, puis tu fus tout bonnement dans le noir. La pénombre des étoiles n’éclairent pas suffisamment. Alors, tu commences à angoisser, continuant de t’engouffrer dans le manteau noir qu’a créé cette coupure de courant. Mais te rendant compte que cette dernière dure, tu commences à te dire que tu devrais faire demi-tour, mais tu n’as pas le courage d’abandonner ton chien, même si cet abruti porte juste le prénom d’un autre abruti. Tu continues à marcher, laissant quelques voitures passer les feux pleins fard, faut dire que plus rien ne fonctionne et que y voir quelques choses dans ces rues est tout bonnement impossible. Tu te retrouves devant une bouche d’égout avec une ouverture sur le côté, vu qu’elle se tient sur un trottoir. Tu entends japper à l’intérieur, le temps de voir ton chien à l’aide de ton téléphone, tu essayes de le retenir, mais il s’enfonce et tu ne le vois plus. Ton téléphone éclaire la route et la voiture qui arrive sur toi, le temps que tu réagisses, tu manques de te faire renverser par cette dernière qui s’arrête juste devant toi. Au sol, tu tentes de te redresser t’éblouissant toi-même par la lumière de ton téléphone. Une femme sort de sa voiture, tu la laisse parler, mais tu ne lui réponds même pas. « Vous avez pas un pied de biche dans votre caisse ? » Que tu demandes, une idée bien précise en tête, une idée complétement con, mais qui ne va pas te faire reculer. Tu jettes la lumière’ de ton téléphone vers la jeune femme, tu aperçois avec beaucoup de mal son visage, il faut dire que le peu de lumière que donne ton téléphone pourtant puissant n’aide pas. « Alors ? » Que tu réclames à nouveau te demandant ce qu’elle fichait à t’observer de la sorte. Elle comptait t’observer dans cette pénombre si longtemps ? Tu es impatiente, surtout que les jappements de ton chien ne cesse de s’éloigner et que ce petit con tu l’aimes et que tu n’as clairement pas envie de le perdre.
 

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crédit/ tumblr ✰ w/@Jihane Al Masrí

Tu avais encore la voix de ton père qui n’entendait rien résonant dans ta tête en boucle. Les nerfs en pelote et des idées plein la tête pour contrecarrer les plans de ta famille qui t’évincer des affaires familiales. T’en avais que faire d’être docteur toi, ou alors peut-être que si, tu aimais ça… mais, probablement pas autant que d’appartenir à l’entité former par les McGrath. Te préservais, qu’ils voulaient et tu ne pouvais conter sur l’appui de personne dans l’histoire pas même Nana que tu considérais comme une grande sœur. Encore une fois, tu avais joué la gamine capricieuse pour qu’ils réalisent et pourtant la connerie faites tu te sentais comme une enfant qui n’aurait jamais le jouer qu’elle demande. Coup de tête irréfléchie ou guidé par ton impulsivité, tu avais volé les clés de voiture de ton frère pour claquer la porte au nez de la résidence familiale. Certainement pas la meilleure des idées alors que le karma semblait s’abattre sur toi. Orage qui gronde dans le ciel New-yorkais et pluie battante qui détrempes le bitume du Queens. Gamine peu rassurée au volent d’une voiture qu’elle ne maitrise pas. Te voilà regrettant ton geste. Regrettant de ne pas simplement te contenter de la vie que souhaite t’offrir ceux qui t’aiment plus que tout au monde. T’aurais presque voulue faire demi-tour mais la visibilité brouiller par la nature qui s’agitait tu ne savais même plus où tu allais. Presque tenter de laisser la voiture là, sur le bas-côté quitte à devoir essuyer les foudres de ton frère dont tu ferais les frais dans tous les cas. Pas de retour en arrière possible alors que tu te laisses surprendre par les lumières de la ville s’éteignant une à une te laissant dans une agitation palpable. Tu n’étais que stupidité. Une stupidité au volent d’une voiture alors que tu préférais de loin être à pieds. Stupidité plein phare qui manqua de heurter quelqu’un en plein milieu de la route. Plus personne. « Putain !! Merde !! Ce n’est pas vraie ! » Que tu t’exclames alors que le calme que l’on peut te connaitre à totalement disparue. Voiture que tu stoppe net dans ta course pour faire le tour en manquant de tombé. Vision qui cherche un point d’ancrage dans la pluie qui s’abat sur ton être. Frêle silhouette au sol qui semble se mouvoir. Souffle de soulagement. « Ça va ?! Vous n’avez rien ?! » Que tu lance au travers du tonnerre qui fait rage. Regard incrédule en attente d’une réponse alors que tu dois avoir l’air d’une pauvre abrutit. Tu te laisses surprendre par l’étrangeté de la requête surement que la jeune femme encore sol n’as plus toute sa tête. « Euh… un pied de biche ?! Vous êtes sûr que ça va ?! » Une main tendue vers la silhouette pour l’aider à se redresser, pas certaines de comprendre où elle voulait en venir. « Je ne suis pas certaines, ce n’est pas ma voiture… » Dieu c’est ce qu’il y avait dans le coffre de ton frère. Un arsenal, une pharmacie ou pire un cadavre en décomposition. Putain pourquoi tu avais pris sa caisse. « Pourquoi ?!» Lances-tu curieuse ou suspicieuse, de savoir dans quelle mission la blonde pouvait bien être pour être au milieu de la route, sous la pluie, à vouloir un pied de biche. Te tuer ?! Voulait-elle te tuer ?! Après tout, un coup de pied de biche bien placer, ça pouvais faire mal...
 

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Ton téléphone qui éclaire, pas forcément le mieux au monde, autant dire que vu la nuit intense avec ce ciel sans étoile, c’est compliqué de s’y retrouver. Beaucoup trop. Tu maudis le chien tout en t’inquiétant pour lui, tu ne sais pas ce qui lui prends d’aller courir dans un égout, sans endroit pour se cacher est normalement le parc où vous vous promenez ou alors sous le ponton de la plage, mais pas cette fois. Il est parti comme l’orage s’en est allé maintenant. Et toi tu t’efforce avec ton téléphone de le voir, de l’entrevoir et surtout de le faire revenir vers toi. Mais faut te réjouir, il n’y a pas d’odeur trop désagréable à cet instant pourtant le visage presque collé à la bouche d’égout. Mais voilà, que les engins prévu pour être sur la route passent, une voiture surtout, une qui manque de te renverser. Ta faute. Et tu es surprise et un peu paniquée sur le coup, alors que ta lampe t’éblouis, tu la retourne vers la voiture qui te tue les yeux avec ses fards. Un petit air frais qui te caresse, te fais trembler alors que tu entends des chaussures claquer sur l’asphalte, puis tu déposes ton regard sur un visage, une petit métisse, qui te demande si ça va. Toi t’as pas trop demandé, tu t’en fiches, puis merde t’as demandé si elle avait un pied de biche ou autre chose. « Oui, ça va, mais du coup ? » Tu deviens presque agressive dans tes mots, mais tu tentes de faire de ton mieux pour ne pas lui hurler dessus, mais la panique gagne tout ton être, la peur de perdre gabby. Mon dieu que cette phrase est étrange quand tu repenses que Gabriel est de nouveau dans le coin. Enfin. « Oui je suis sûre que ça va …. Vous ça ne va pas vu que vous ne comprenez pas ma demande ! » Tu commences à t’agacer, alors que tu n’es pas très charitable au niveau des explications du pourquoi tu veux un pied de biche. Tu choppes sa main, pour te relever et tu l’écoute te dire que ce n’est pas la sienne. « Je ne vais pas vous tuer ! » Que tu dis en voyant enfin ses opales croiser les tiennes durant ses mots. « Je veux juste enlever ça ! » Ça qui est égal à libérer le chien. Faut tout dire, mais toi tu dis rien, tu laisses juste plein de question à la jeune femme qui s’est tout de même arrêté pour toi, elle aurait pu continuer son chemin. « Mon chien a eu peur de l’orage et il est là-dedans … » En vrai au plus tu t’écoutes, au plus toi-même tu aurais déjà pris tes jambes à ton cou pour ne pas rester prés de toi. « Je ne suis pas folle, vraiment …. » T’essayes de trouver les mots maintenant que toi-même tu as pensé avoir peur de toi. « Vous montez dans la voiture et vous me jeter le pied de biche puis vous êtes libre … je veux vraiment juste récupérer mon chien … cet abruti. » Puis un jappement lointain. « Mais il avance ce con en plus ! » Que tu dis à haute voix.

 

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Tu avais joué l’idiote encore une fois. La fois de trop surement pour que tu t’en rendes compte à ces points. Malheureux qu’il ait fallu frôler le drame pour que tu en viennes à la réalisation que tu devrais réfléchir avant d’agir parfois. Que tu devrais sourire et dire amen au bon vouloir de ta famille qui dans le fond ne désirait que ton bien. N’est-ce pas ?!... tu étais faussement convaincue alors que tu faisais le tour de la voiture sous une pluie battante dans un stress palpable d’avoir failli tuer quelqu’un. Soulagement vain quand les dire de la jeune femme semblait farfelue. Peut-être avait-elle heurté sa tête sur le bitume en tombant alors que sa demande à peine audible au travers de la pluie et de l’orage te semblait incompréhensible. Un pied de biche mais dans quel but ?! Pourtant, les rôles semblaient inversés alors que son regard posé sur toi semblait dire le contraire de ce que la situation pouvait dépeindre. C’était toi qui semblais être folle à ces yeux. T’étais là, planter devant elle, incrédule. Entre vous deux c’était surement toi la plus ridicule alors que tu tentais de comprendre et de chercher des réponses là où il n’y avait pas de questions. A croire que la pluie battante avait embarqué une partie de ton cerveaux il te fallut un moment pour comprendre ou alors c’était de sa faute à sa requête qui manquait d’explication en premier lieu. Tu t’en étais foutu à la seconde ou tua vais entendue le mot chien. Il ne suffisait pas grand-chose de plus pour activer es méninges. Pauvre chien pensas-tu. Alors que d’une main tendue vers la blondinette tu t’activas. L’aidant à se relever avant de faire le tour de la voiture de ton frère pour aller dans le coffre. La boule aux ventres d’en découvrir le contenue ravi que la pénombre de la nuit t’empêches d’y voir suffisamment claire. Quelques minutes à chercher à la lueur de ton téléphone pour y déterrer l’objet souhaité. L’objet ou la clé du sauvetage. « Hors de question que je vous laisse y aller seule, on ne sait pas sur qui ou quoi on pourra tomber la dessous !! » lances-tu alors que tu attrapes le pied de biche et que tu claques le coffre. « Je viens avec vous !! » détermination dans la voix et dans le regard que tu plonges dans celui de la jeune femme. « Attendez-moi !! » que tu dis en lui lançant habillement l’instrument avant de courir pour mettre sur le bas-côté la voiture. Tu attrapes une lampe torche et ferme le véhicule avant de courir la rejoindre pour l’aider à ouvrir la plaque d’égout. « C’est qu’il est rapide en plus !! » tu constates alors que la plaque cède enfin et un soupir de soulagement s’échappes entre tes lèvres alors que tu penses aux pauvres animal dans les dédales souterrain de New-York. « Il s’appelle comment votre chien ?! » Demandes-tu curieuse mais aussi soucieuse de te rendre utile alors que tu t’engouffres dans les égouts de la ville. Voilà ta putain de punition pour avoir fait un caprice à ta famille. Petite balade dans les égouts avec une inconnue à la poursuite d’un chien fuyard.
 

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Tu t’en fais beaucoup trop pour Gaby, t’aimerais qu’il revienne de lui-même, mais faut pas compter sur lui pour faire cela. C’est trop demander. Le chien est parti, dans la panique, tu as agis sans te dire qu’il pourrait arriver quoi que ce soit. Tu ne voulais qu’une chose le rassurer et non pas le poursuivre à travers ce parc qui n’est pas très accueillant durant la nuit, voire très lugubre comparé à quand il porte son manteau enfantin et joyeux durant la journée. Tu avais déboulé sur une route, pensant pouvoir le trouver, mais il s’était surtout enfoncer dans une bouche d’égout, tu ne cessais de te demander si c’était toujours là que le petit venait se cacher par ce temps de chien, un temps qui l’effraie avec les éclairs, les bruits sourd du tonnerre tapant à côté de vous. Tu avais parfois l’impression d’échapper de peu à un allumage en règle pas un coup de tonnerre. Tu avais manqué de perdre ta vie sur les roues d’une voiture. L’ambiance de la soirée, le manque de lumière vu que tout avait fini par sauter dans toute la ville à en croire le boucan qui pouvait régner ainsi que le tonnerre faisait que ce n’était pas rassurant d’être dehors. T’y penses pas à toutes les choses qui pourraient se passer, tu tentes de faire de ton mieux pour récupérer le chien, le reste t’importe peu. Du moins tu demandes un peu d’aide à la jeune femme, même si elle a l’air de penser que tu vas la tuer avec ce cric sans doute que t’aurais eu la même pensée en réalité. Tu finis donc par expliquer à la jeune femme ce que tu veux faire de l’objet que tu viens de demander histoire qu’elle n’aille pas crier au futur meurtre de sa personne ailleurs en te laissant sans rien. « Non, non … » Non, tu ne vas pas embarquer une fille que tu ne connais pas et qui a rien demandé dans une aventure à la con. Pas vrai ? Quoi que dans le fond c’est tentant. Façon ton non, il est comme passé à la trappe, pire qu’un fantôme cette réponse inutile, vu que la femme avait déjà prévu de venir avec toi et donc, tu étais juste là à attendre patiemment qu’elle revienne alors que les gouttes d’eau glissaient sur ta personne te laissant tremper jusqu’à la moelle. « Ouai, mais il est surtout con ! » Tu l’aides à ouvrir cette plaque d’égout. Tu l’entends japper, et dans le fond tu es plutôt heureuse que la femme ait décidé de venir avec toi affronter la merde qui t’attend dans tous les sens du terme. Tu ne sais pas à quoi t’attendre là-bas. « Il s’appelle Gaby … démunitif de gabriel. » tu souris toujours en annonçant ça, tu penses à l’autre, tu ne devrais pas sourire en pensant à lui, hein. Mais t’as pas l’air au courant de ça. T’es dans l’égout et l’odeur elle te frappe pas tout de suite, mais quelques pas après ton entrée avec la jeune femme dedans. « Si je vous vomis dessus on punira le chien !’ » Tu ris puis tu manques de tomber en entendant un bruit derrière toi, t’es une flippette en vrai. « Punaise. » Que tu t’écris t’accrochant à ta camarade d’exploration des égouts de la ville de New-York. « Y a un rat ! » Que tu hurles dans ses oreilles la faisant trébucher sur le milieu là où se trouve l’eau … oups.
 

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La soirée s’annonçait des plus tranquille non sans compter sur tes crise de gamine pourri gâté ou plutôt de gamine qui espérait toujours de faire entendre raison au siens sans grand succès. Tu savais que tout étais perdu d’avance. Que tout finissais par revenir au même point. L’histoire qui se répétait sans cesse. Toi qui tentais de communiquer, de te faire entendre dans un dialogue de sourd pour finir par te faire remballer par un non catégorique comme à chaque fois que tu tentais d’aborder le sujet. Cette fois, peut-être que tu avais été un peu loin et voilà que les forces supérieur voulais te le faire payer. Te stoppant dans ta course et manquant de renversé une jeune femme dans tes âges à en voir ces traits angelique. Toi sous cette pluie battante avec la seule lumière de ton téléphone qui prenait l’eau pour vous éclairer. Toi qui par bon cœur ou par stupidité ce mis en tête d’aidé la jeune femme à rattraper son chien évadé dans les égouts de la ville. Tu étais surement gagnais par la folie. Ignorant le non catégorique de la blonde tu t’étais imposé après avoir rangé la voiture sur le bas-côté et pris le nécessaire à votre aventure souterraine si on pouvait appeler une expédition dans les égouts newyorkais comme une aventure. « Il est probablement pas aussi con que le miens… il a probablement eu peur ! » Que tu dis en te débâtant contre la plaque d’égout pour vous créer une porte d’entrée dans les bas-fonds. Dans quoi vous lanciez-vous alors que tu t’imagines déjà tomber sur un fou qui vous enfermerez. Tu t’attendais toujours au pire toi, la dramatique. On ne sait jamais après tout beaucoup de film d’horreur prenait place dans les égouts. Bien sûr il fallait que tu te mettes à penser à ça avant d’y entrer. Tu sors de tes pensées manquant de t’étouffer en entendant le prénom du chien de la demoiselle. « Gabriel ?!... Sérieusement… je connais un Gabriel, ça lui vas bien remarque !! » Tu rigoles alors que la plaque finit par céder avec un peu d’aide et que l’une après l’autre vous entriez dans l’endroit sous le reflux d’odeur à t’en faire vomir. Dans quoi tu t’étais lancé mais, tu pensé au petit chien perdu et ta détermination te revenais oubliant le reste… ou presque ! Voilà que ta collègue d’aventure parle de vomi et qu’un haut de cœur te prend par surprise. Tu te pince le nez avançant à la lueur de ta lampe de torche. « Il seras privé d’os le vilain ! » Que tu lances comme pour détendre l’atmosphère avant d’être prise par un effet domino malgré toi. La blonde qui cries, toi qui cherche la raison, toi qui voie le rat… et toi qui finit par terre dans une flaque d’un mélange d’eau et tu ne préfères pas savoir quoi. « AHAHAH… MON DIEU… QUEL HORREUR !! » Que tu t’exclame manquant de vomir à nouveau. « Putain, sérieusement… » Que tu lances contre toi-même alors que tu te relèves comme tu peux essuyant tes mains contre ton pantalon déjà mort. Tu ramasse la lampe torche sous le jappement lointain de l’animal qui semble s’éloigner. Sans réfléchir de tes mains sales tu attrapes celles de l’inconnue pour te lancer dans une course vers l’aboiement du chien perdu. « Il est par là, faut pas qu’on le laisse s’échapper !! » Tu n’avais qu’une envie, sortir au plus vite de cette endroit et ne plus jamais y remettre les pieds.
 

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Tu pourrais maudire Gaby pendant des heures, mais dans le fond, tu sais que c’est inutile, ça ne fera pas change ce bougre d’animal. Tu aurais pu rester chez toi et ne pas te confronter à la tempête de dehors, mais tu l’as fait, autant dire que tu n’imaginais pas faire autrement. Tu l’as jamais vu filé, cette fois-ci ce fût le cas, alors tu l’as suivi, normal. Pour le coup, te retrouver presque écrasé au sol, puis presque accusé d’avoir de mauvaise idée, en voulant un crique, tu seras passée par bien des étapes, avant de t’évader en direction des égouts. Quelle idée stupide dans le fond. Tu as le cerveau en pause ou comment ça se passe ? Aucune idée. Mais t’as limite envie de demander à la jeune femme qui te suit pourquoi elle le fait. C’est pas son chien et elle ne te connait pas, du moins cette fille que tu n’as vu qu’avec peu de lumière te dit quelque chose. Ton esprit n’a juste pas fait tilt. Dans quelques secondes vous serez dedans, tu ne penses même pas à comment ça doit être, t’as vraiment une seule optique en tête, récupérer ce chien. Tu vois que la jeune femme s’en sort avec la bouche d’égout, alors tu la laisse s’en dépêtrer, tu abuses un peu, mais c’est surtout que ta bouche, tente de faire revenir le chien par tous les moyens. Siffler, hurler, pleurer … on sait jamais si un truc fini par marcher. Mais rien. « Pourquoi les vôtres sont cons ? » Que tu demandes, curieuse, alors que la pluie continue lamentablement de s’abattre sur vous. La plaque fini par céder sous les rires de la jeune femme alors que toi tu es encore en train de calculer dans ta tête. « Moi aussi je connais un Gabriel ! » Que tu ne lâche pas trop sûr de devoir le sortir, autant dire que ce n’est pas superbe de l’avoir appelé ainsi le chien, mais c’était aussi un moyen pour toi d’avancer, ouai avancer en entendant et râlant après lui, ça aide dis donc. Parfois t’as des idées complétement folle, comme celle d’appeler ce pauvre chien ainsi, puis même Gabriel ne méritait pas ça dans le fond, fin fallait chercher bien profond pour dire qu’il ne méritait pas ça, mais ça c’était avant. Tu es d’une faiblesse affligeante princesse, tu serais limite en train de dire que tu lui avais pardonné que c’était la même chose. Puis te voilà en train de t’enfoncer dans les entrailles de la ville, les chiottes de toutes la ville et autant dire que la nausée elle est déjà en train de te traumatiser d’avance, une envie de vomir et de d’étaler se fait ressentir, mais tu ne peux pas faire ça. « Je vais surtout l’amener à la spa il comprendra sa leçon … » Tu ne devrais pas blaguer sur ça, y a tellement des connards qui sont capable d’abandonner leurs animaux que tu ne devrais pas en rire, c’est juste que tu sais que toi tu ne serais pas capable de ça, sauf de le menacer, comme si le petit Gab captait clairement ce que tu disais, qu’il avait le décodeur humain comme les adultes avaient le décodeur charabia d’enfant. Le drame, il devait arriver. Pas le choix. Tu ne peux même pas te retenir de rire, tu imagines tellement être à sa place que tu en ris et tu en pleurs presque, c’est une horreur. Clairement. Beaucoup trop d’émotion pour le coup. « Je suis désolée je ne devrais pas rire …. » Elle a l’air courageuse, elle prend sur elle, t’es pourtant habitué à être crade et compagnie, mais autant dire que là, ce n’est juste pas possible, l’odeur qui va avec est clairement impétueuse pour le coup. Ta main dans la sienne, elle te choppe pour trouver le chien, plus motivé que toi pour le trouver ou l’étriper ça reste encore à voir. « Allez on va le chopper. » Tu ne vois pas grand-chose, elle court, toi tu tentes de voir dans cette pénombre malgré qu’elle éclair, car elle illumine surtout sa route, pas la tienne, vu que tu es derrière elle. Tu finis par t’étaler au sol, alors que tu entends le chien aboyer de plus en plus violement. « Merde … » Tu te relèves et d’un coup plus de lumière. « Oh putain. »
 

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Toujours là, à te demander dans quoi tu t’étais embarquée et avec une inconnue qui plus est. Surement que la boule de rage qui s’agitait en toi suite à l’engueulade familiale, t’avais foutu un coup au cérébrale. Ou peut-être, que tout simplement la belle blonde dont tu ignorer toujours le prénom t’avais eu juste en prononçant « chien » et « égaré » dans la même phrase. Mère Theresa des animaux tu te faisais en cette soirée ou le ko semblait prendre place au cœur du Queens. Surement que tu te projeter trop à sa place. Imaginant le mal et la panique que tu éprouverais si c’était ton chien à la place du siens. Surement que tu n’aurais pas tergiversé autant de temps. Tu aurais foncé dans le tas directement. Alors, sans réfléchir tu n’avais pas laissé le choix à l’ange blond en face de toi. Tu t’étais imposé dans son aventure et il fallait dire que tu n’étais pas non plus rassurer de la laisser seule s’engouffrer dans les égouts de la ville. Tu ne voulais pas avoir ta mit sur ta conscience. « Je ne dirais pas con mais, comment dire mon chien n’est pas le plus futé d’entre tous !! » que tu lui réponds en rigolant légèrement avant de réussir à faire cédé la paque d’égout. L’odeur qui te prend au cœur et pourtant déterminée à fendre le dédale sombres des cavités abyssale à la recherche de fameux Gaby. Surprise de la révélation de la jeune femme sur le petit sobriquet de son chien. Elle connaissait aussi un Gabriel. Tout à fait amusant de nommé son animal par le prénom de quelqu’un de notre entourage qu’il soit proche ou non. « Il a du fou faire quelque chose de sévère pour que vous nommiez votre chien comme lui !! » Que tu dis un rire léger mais pas moqueur ne voulant pas te sentir con si tu avais visé juste. Sur ces paroles vous vous enfoncèrent sous la ville en continuant la conversation surtout pour vous rassurer et comblé l’effrayant silence qui vous entourez. « Aha pauvre bête… » Que tu lances avant de te laisser surprendre par le crie aigüe de la jeune femme. Ta complice d’aventure elle a vu un rat et cela t’as fait dégringoler au passage. Odeur pestilentielle et tu prenais sur toi même pour ne pas en rajouter en vomissant. Dieu que tu avais hâte de sortir de là. Tu te mis à rigoler à l’unisson avec la blondinette face au ridicule de la situation. « J’avoue que c’est drôle !! » tu lances en te relevant t’essuyant les mains comme tu le pouvais sur ton pantalon quand, l’aboiement du chien te sortit de ton euphorie contre le ridicule de la situation dans laquelle tu t’étais fourré. Ni une, ni deux, tu attrapes le bras de ta nouvelle amie pour la tirer avec détermination. « Oui, il ne faut pas qu’il nous échappe !! » course effréné guidé par le chien qui se fait entendre. Peut-être trop rapide et stupide alors que tu continues sans te rendre compte que tu as perdu la belle en chemin. Horreur quand tu t’en rends compte et que ta lampe torche commence à faire des siennes. « Mince… » Que tu lances revenant sur tes pas à la faible lueur qui s’émaner de la torche. « EH HO… BLONDIE ?!!!! TU ES LA !!!! OUHOU !! » Tu laisses ta voix s’évader dans l’air aussi fort que tu le peu dans l’espoir de ne pas l’avoir perdue elle aussi. Qu’elle aventure de merde.
 

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Tu pensais faire cette chasse au chien seule, mais tu avais fini par croiser la route de cette jeune femme qui t’a aidé, alors qu’elle n’était pas obligé de braver cet orage pour aider. Alors, ça te faisait plaisir de voir qu’on pouvait parfois compter sur les autres. Se faufiler dans les égouts par gentillesse faut vraiment en avoir envie. « C’est quoi comme race ? » Que tu demandes plutôt curieuse de savoir de quelle race ce fameux chien peu futé était. Comme si la race changeait les choses. Puis, tu parles du nom de ton chien. Gabriel. Enfin Gaby. Autant dire que c’était peu de temps après les faits que t’avait fait ton ex, Gabriel, alors c’était une chance de vengeance clairement puéril, tu étais jeune et plutôt mal à cause de lui. Alors, tu n’avais pas songé, qu’entendre le surnom du jeune homme à longueur de temps ne serait pas simple au début, puis après ça allait mieux avec le temps en vrai. Alors, tu ris un peu en l’entendant dire qu’il a du faire un truc de fou, c’est tellement le mot juste pour déclarer le geste horrible qu’il avait eu lieu. Pourtant, le temps avait l’air d’avoir fait que tu pouvais passer outre, tu as encore un peu de rancœur sans nul doute, mais tu réussis à ne pas étriper le jeune homme, y a du bon, du coup. « C’est ça, un truc de fou … » tu lèves les yeux au ciel, chose que ta comparse d’égout ne peut clairement pas voir. L’odeur frappe directement ton pauvre odorat, ce chien va te rendre folle, tu devrais le donner à Gabriel, vu qu’il te chante qu’ils s’entendent bien ! Aussi chiant l’un que l’autre. « Pauvre nous oui ! » Que tu dis amusée, car jamais tu pourras abandonner un animal pour n’importe quelle raison. Non tu ne serais pas capable de le faire, clairement pas. Autant dire que c’est donc impossible. « C’est même très drôle ! » Mais tu es quand même désolée de l’avoir fait chuter en voyant cet infâme rat, t’as rien contre lui, le pauvre doit surement nourrir sa famille, mais il peut le faire en étant loin de toi, hein. Sans se montrer. Assez bête, vu que tu as déjà eu une petite souris, mais le calibre était clairement pas le même, sans doute. Être sale ce n’est pas une chose que tu n’aimes pas, c’est une habitude, mais pour ce qui est de l’odeur ce n’est pas la même. « On l’aura ! » C’est la mission. Puis d’un coup c’est le noir complet, plus d’éclairage, juste une voix lointaine. « OUI JE SUIS LA, MAIS TU ES OÙ ? » Tu ne vois rien, clairement tu n’as pas la vue d’un chat. Un chat. Tu entends un miaulement. « Pourquoi tu miaules que tu demandes juste bêtement. » Te doutant que ce n’est pas elle, mais quand même. « Tu m’entends ? » Tu paniques, légèrement.
 

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crédit/ tumblr ✰ w/@Jihane Al Masrí

Voilà une aventure dans laquelle que tu tétais mise que tu n’oublierais jamais. Autant improbable que drôle. Ce n’était après tout pas tous les jours que l’on s’engouffrer dans les égouts de New-York avec une inconnue à la recherche d’un chien fugueur. Voilà là une histoire que tu reparlerais d’ici quelque année en rigolant très certainement. Tu aurais presque pu regretter d’avoir proposé ou plutôt imposer à la jeune femme ta compagnie mais, tu n’aurais pas pu te résoudre à la laisser seule y aller. Une légère peur d’apprendre aux informations sa mort sait-on jamais ou à dire vraie tu ne pouvais pas laisser ton cœur se fermer quand il s’agissait de chien. Dieu que tu fondais face à ces boules de poil toute race confondue. « C’est un staffy une vraie boule d’amour et de maladresse ! » Que tu lances en réponse à la question de la jolie blonde dont tu ne connaissais toujours pas le prénom. Vous ne connaissiez pas vos prénom mais, vous sembliez avoir plus en commun que vous le saviez mutuellement. Des points communs aussi finalement tu avais peut-être rencontré là une future amie. Une rencontre pour le moins originale mais, très certainement que sa tisserais des liens fort. Toute les deux embarqué dans cette folle aventure. A vous noyez dans la même boue alors que vous aviez rigolé de ta chute voilà qu’à son tour la belle s’étalas dans la boue sans que tu puisses le voir trop emporté dans la course poursuite, tu l’avais perdue en chemin. Pour arrangé les choses la lame torche qui avait choisie se même moment pour rendre l’âme. Le pompon ou la scène digne d’un film d’une comédie d’horreur. Il n’y en avait pas une pour rattraper l’autre. Tu appelles un peu hasardeuse avançant à tâtons dans le noir cherchant ton téléphone dans ta poche pour t’éclairer du peu de batterie qu’il te semblait te rester. Jusqu’au bout la merde comme pour aller avec l’odeur qui vous entourez et qui recouvrais tes vêtement souiller par les déchets de la ville. Beurk tu t’en retenais de vomir. « JE SUIS LA NE BOUGE PAS !!! » ta voix qui fend l’air alors que tu penses te rapprocher guider par le simple faisceau de lumière de to mobile. « Je suis là… tu es là ?! Je ne miaule pas !! » Tu explose de rire, un rire nerveux. Putain vous deviez être belle toute les deux. Tu tends ta main dans l’air tendant de l’éclaire pour qu’elle la voie. « Tu voie ma main ?! Je ne te voie pas moi ! » Ta main que tu secoues devant toi alors que tu te laisses surprendre par un aboiement proche fendant l’air « HAHAHA ! » Que tu cries de surprise manquant à nouveau de trébuché !! Voilà que tu te juré de ne plus jamais suivre qui que ce soit dans les égouts même par bonté d’âme. Vous étiez folle toute les deux.