SAVE THE QUEENS
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 the wrong side of heaven.

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Message Sujet: the wrong side of heaven.   the wrong side of heaven. Empty Sam 6 Oct - 8:48

save the queens ---- / chadwick "wicky" emerson

21 ans ---- / ace os spades ---- / noah centineo

identité complète / (chadwick emerson) bien que peu de gens te connaissent sous ce nom, car tout le monde te nomme "whicky" depuis toujours. lieu de naissance et origines / T'es né à New York, la ville de la pomme. Tu ne sais pas grand chose de tes origines, tu ne te rappelle plus très bien ; mais t'as du sang gitan et italien. études ou métier / (cascadeur) tu fends l'air, grimpes les hauteurs sans peur. l'asphalte est ton terrain de jeu, ton gagne-pain ; c'est que t'es doué petit singe. l'adrénaline qui pulse dans tes veines, t'en veux toujours plus.  orientation sexuelle / (hétérosexuelle) Tu aimes les courbes sveltes, et les jambes élancées. Vrai adorateur de Venus. statut civil / (c'est compliqué) le cœur en tenaille, prit en otage ; elle te tient. t'es son prisonnier, son jouet ; tu lui aurais même vendu ton âme. pourtant, t'as commis une erreur, une seule ; et depuis les cris et les pleurs fusent. c'est moche, destructeur. c'est ton poison. pi, scénario ou prélien / (scénario) de la jolie Mattie.

save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE

once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star
traits de caractère / Malin - sportif - ingénieux - rêveur - sociable - tête brûlée - courageux - casse-cou - sensible - drôle - taquin.

La clope au bec, t'amusant avec la fumée, parfois te voulant même artiste de ce cancer en bâton : un rond ici, une longue ligne passant en son intérieur, plusieurs volutes parfois qui te donnent l'impression de voir ses formes diverses et variées, au même titre que tu aurais pu le faire en t'allongeant dans l'herbe pour regarder les nuages ; tu es néanmoins toujours interrompu. Par des insultes, par des « fout le camp ! ». Pauvre petit garçon des rues, pauvre gitan que la vie n'a pas épargné. C'est vrai, elle ne t'a pas gâté la garce ; tu te sens oublié depuis tes premiers babillements. Rejeté par ton propre sang, par la société également. T'es un déviant. De ceux qu'on évite, de ceux qu'on craint aussi. T'es un garçon de mauvaise vie qu'on dit. Tu ne démens pas, tu fais toujours les mauvais choix. Tu te débats, tu survis chaque jour et bien que souvent tu te manges le bitume, tu te relèves tout le temps. T'es une âme rebelle. Pour toi, les lois sont faites pour être enfreintes. Insolent. De magouille en truanderie, tu vivotes, arrondit tes fins de mois difficiles ; plutôt ça, que d'cogner les froids bitumes ; plutôt ça que de mendier comme un vrai gitan, de l'argent d'poche à l'Époux — ce serait admettre que seul, tu ne t'en tire pas. Néanmoins le dureté de ton image fait voile. Derrière le masque se cache ce petit garçon rêveur, désireux d'avoir une famille, une vraie.
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Message Sujet: Re: the wrong side of heaven.   the wrong side of heaven. Empty Sam 6 Oct - 8:48

save the queens ---- / TELL ME MORE

once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
Le gamin de six ans ;
Un verre s’écrasa au sol pour se disloquer en plusieurs diamants, et si tu ne pleuras guère, ceux-ci firent office de larmes ; s’éparpillant un peu partout dans la chambre de tes géniteurs. Trop jeune pour comprendre, tu n'as pas saisit que maman planait ; une piqûre magique lui ouvrant les portes d'un monde doux et fictif. Enfant, tu écrasas la peluche au creux de tes bras, et le dragon s'étouffa dans ta poitrine ; accusant le choc de tes battements de cœur si rude. « Tout va bien, poussin ? », un sourire caressa ses lèvres. Elle avait ton cœur au bord des lèvres, au bord de tes rêves. Tu lui accordas alors un sourire, les yeux noisettes brillant faussement d'une lueur douce, affectueuse. Tu l'aimais tendrement, merveilleusement. Simple cœur d'enfant qui s'envolait vers celui de sa mère. Simple imbécile trop épris pour décrire les méandres de sa folie. Il ne fallait pas l'inquiéter au risque qu'elle se perde au fin fond d'une bouteille. Alors tu feintas au milieu de ces adultes imaginaires qui virevoltaient, discutaient, riaient. Au milieu de cette chambre où des mœurs millénaires et dégoûtantes se rejoignaient. Tu dissimulas ta douleur, tu fis taire les hurlements de ton cœur. « Ça va. » Le sourire explosa dans tes prunelles, ravivant tes yeux doux ; la comédie dans toute sa splendeur. L'enfance était jalonnée de délicatesses en caresses ; de déni aussi, ne supportant pas que ton monde s'effondre. Pourtant, tu voyais toujours maman écroulée sur le canapé, mais tu faisais comme si de rien n'était. Papa ou le « connard » comme disait maman toujours à crier et à faire mal, mais encore une fois, tu en faisais fit. Pareil le jour où maman est parti ; une 'omervose' qu'ils ont dit. C'est quoi une 'omervose' ?

Le gamin de dix ans ;
Quelle immonde créature. Elle te dégoûtait, là, avachit sur sa chaise en train de se goinfrer comme un porc. Et ce monstre n'était autre que ton père. Vous partagiez le même sang paraît-il, et si tes yeux n'étaient pas le reflet des siens, tu ne l'aurais jamais cru. Jamais. Tant est si bien que tu ne l'as jamais appelé 'papa', ne l'ayant pas mérité durant toutes ces années. 'Le vieux' ou 'l'alcoolique' suffisait amplement. Et bien que tu reçoives une paire de claques à chaque fois que tu prononçais ces mots, tu ne t'étais jamais arrêté de le nommer de cette manière. De quel droit pouvait-il se le permettre de toute façon ? Le sang ? Sous prétexte que tu sois sorti d'une de ses 'giclées' donc ? La bonne blague. Le respect qu'il réclamait de droit était une mascarade. Il était en train de se remplir la panse devant toi, mais toi, tu n'attendais qu'une chose bien précise : qu'il ait fini. Et tu aurais sincèrement souhaité que ce soit pour débarrasser cette maudite planche de bois qui vous servait de table, mais c'était loin d'être le cas. « Alors aujourd'hui, sur qui je vais me défouler ? » Cette main qui tenait la tienne en dessous de la table, se resserra. Moite de peur, tremblant d'angoisse, tu caressas délicatement cette petite menotte pour la rassurer. La sienne. A elle. Ta sœur jumelle. Ta famille. Toi aussi, tu avais peur pourtant, ton cœur battait la chamade, et l'effroi te rongeait les entrailles chaque soir, lorsque ce gros dégueulasse terminé son repas. Néanmoins, tu n'en as jamais rien montré. Il ne fallait pas qu'elle le voie – surtout pas -, il fallait que tu tiennes bon. Pour 'elle'. Pour vous. Et puis avec le temps, c'est horrible à dire, mais tu as fini par avoir l'habitude. Tu t'es accoutumé à sentir ses grosses mains se fracasser violemment sur ta peau, à ses lèvres charnues prononçaient de vilains mots  ... Ce salopard vous a plongé en enfer. Il vous a entraîné dans sa chute, brisant la moindre parcelle de bonté qu'il y avait en toi ; saccageant ce monde d'innocence dans lequel tu aurais dû baigner à ton âge. « Moi. » Il t'a brisé. Mais tu as quand même réussi à préserver une chose, une seule et unique : ton amour pour Lily. Qu'il te batte, qu'il te fasse souffrir. Tant que tu l'avais elle ; tu avais la force de tout supporter. Alors comme bien souvent, tu te dévouas corps et âme. Combien de fois s'était-il déjà défoulé sur toi ? Tu as perdu le compte au fil des années. Et après que ce porc s'endormit, tu te purifias de toute cette violence d'une douche froide. « Wicky ... » Presque un murmure, tu l'as regarda toujours nu. Elle était en train de pleurer, comme bien souvent. Comme à chaque fois, tous les soirs. Tu savais qu'elle avait mal. Tu savais qu'elle agonisait de te voir encaissé tous les coups, pire, qu'elle souffrait quand c'était à elle de lui servir de punching-ball. Quand ce calvaire va-t-il s'arrêter ? Tu aurais aimé être plus âgé. Tu aurais aimé avoir la carrure pour faire payer à cette ordure. Grandir, mettait trop de temps. Alors à défaut de pouvoir se débarrasser de lui une bonne fois pour toutes pour qu'elle arrête de pleurer, tu l'as prit dans tes bras. Et tu te sentis comme tous les soirs, horriblement démunit. Il y avait tellement de colère et d'amertume dans ta bouche que si tu avais eut encore la capacité de pleurer, tu l'aurais sans doute fait. Toutefois, ton quota de larme, tu l'as épuisé depuis longtemps, lors de cette nuit quand il te brisa plusieurs côtes. « Ça va aller Lily. C'est toi et moi pour toujours. » La consoler. Voilà ce que tu pouvais faire du haut de tes dix ans. Seulement ça. 'Quand vais-je devenir un adulte ?'

Le gamin de douze ans ;
« Je peux aller visiter ? », une envie féroce de découverte t'agrippa les tripes, mordant à pleine dent dans ton adolescence. Tu papillonnais des yeux, jouant de tes charmes naturels sur ta tendre assistante sociale. Tu t'éclipsas dans un rire et dans un baiser sur sa joue qui la fit rougir ; tu dévalas, avalas les distances, assassinant les craintes de cette femme, brûlant la vie, les envies. Tu sacrifiais les interdits, te perdant dans le dédale des petits chemins, pressant le pas. Tout était nouveau, sans doute un peu trop beau. Doucement, tu entras dans un parc. L'herbe s’étalait, grandiose et verte de savoir enfantin, soudain. Et dans sa toute petitesse, elle creva l’atmosphère. Blonde, ses cheveux dévalaient en mèches assassines, divines. Elle lisait un livre plus grand qu'elle, plus lourd qu'elle. Elle était un peu jolie. Timide, tu l'imaginais princesse de ces royaumes stupides, volatiles. Elle était reine d'un monde secret, qui ne demandais qu'à être sauvé. Un sourire et tu courus vers la petite fille. « Salut. Je peux m'installer ? », tu avais la voix tranquille, certain, serein. Personne ne te refusait rien, après tout. Tous se pliaient à tes moindres caprices. Tu étais capable de délice ou de prendre tous les supplices pour mener ton monde où tu le désirais. Un prince, tu étais un prince de sang, un tsar certain de ses droits, certains de ses victoires. Ou pas. Son regard te fixa, intrigué, perplexe. Ses yeux bleus tétanisaient toutes peurs, toutes craintes. Comment pouvait-elle être redoutable dans ces yeux pâles ? Petite chose fragile, tu aurais pu la détruire dans un souffle insouciant. Elle ne comprenait pas. Elle ne te comprenait pas. « Alors ? », tu trépignais, impatient, vibrant d'une allégresse douce, traîtresse. Tu n'étais pas de ceux qu'on fait attendre, qu'on rend à la patience. Tu n'étais pas de ses enfants qui ne veulent pas un peu plus, toujours plus, dans un rire émerveillé, dans un frisson doux. Tu ne savais même pas qu'elle ne savait pas ce que signifie jouer, s'amuser. Déjà ignoré, déjà oublié, la princesse te délaissa. Tant pis, tu n'étais que de passage, tu n'étais que de ses mirages. Dommage. Égocentrique, tu ne supportais pas l'indifférence, l'indécence de ses prunelles. La colère s'envola, se déporta, affamée. Elle allait tout embraser. Elle allait tout voler. Monstrueuse, elle s'agita en bête curieuse, accrochant de ses griffes ton cœur d'enfant. Le poison se distilla. Fureur menace, se dessina, esquissa les rivages de tes crevasses, de tes trop nombreuses blessures. Tu soupiras, mauvais, tirant le lourd livre de ses yeux. « Les filles, c'est pas fait pour lire ... », ta langue claqua, cruauté d'enfance masquée dans une tendre innocence. Tu disais caresses pour tes maladresses. Tu soufflais brutalité pour aimer. Tu jouais mal. Tu aimes mal. Toi, tu ne tremblais pas vraiment, voleur de raison, de pulsions. Tu n'avais pas peur d'elle. Elle était un peu jolie mais pas vraiment toxique. Certain, tu avanças calme, patient devant ses yeux, ignorant la menace. La fille ne comprenait pas, ne savait pas vraiment, n'osait plus tellement. D'inepties en inepties, tu étais un autre de ses gosses prêt à tout briser, tout saccager. Un rire caressa ta gorge. Les filles, ça a toujours été stupide, étrangement docile, presque trop fragile. Un coup de vent, elles s'envolaient. Elle n'était pas vraiment d'accord, se terrant dans une bouderie ridicule. Son visage se ferma et ses yeux n'exprimèrent que le mépris. « T'es pas jolie quand tu ne souris pas. », tu te redressas, écrasant tes mains sur ses joues pour les tirer dans un sourire. « Mieux. », et doucement, tranquillement, tu lui volas un baiser, écrasant tes lèvres sur les siennes. Au fond, tu l'as eu ton bisou, ta petite vengeance pour son indifférence. Mais elle répliqua vite, très vite, trop vite. D'un geste vif, elle te gifla sans douceur et chaleur. La claque résonna, bruyante et brutale. Elle laissa une trace rouge sur ta joue d'adolescent, gravant dans ta mémoire son visage assassin.  « Tu ne sais pas taper, tu es une fille. ». Touché. Coulé.  Et lentement, sous tes pas, ton rire lézarda entre les arbres, faisant chuter la tristesse, le manque de ta soeur et la peur vertigineuse, douloureuse. Puis, tu pris la fuite, rejoignant cette assistante sociale si sensible à ton charme. Tu fuis, tu fuis, tu vis. « Dis, c'est qui cette fille ? ». Un regard. « Mattie. La fille de la famille Bowens, les voisins de ton nouveau chez toi. ».

le gamin de quinze ans ;
Tu as toujours espéré que ton père clamse vite et bien, pourtant, le jour où s'est arrivé pour la première fois depuis longtemps, tu as pleuré. Oui, toutes les larmes de ton corps ; la douleur pulvérisant chaque infime partie de ton cœur, la moindre cellule atteignant le peu d'âme qu'il te restait. On vous a séparé. Du jour au lendemain, Lily est partie dans une famille d'accueil, et toi dans une autre. Tu t'es sentie perdu, incomplet. Vulnérable. Pour la première fois de ta vie, tu t'es sentie vraiment seul ; la solitude étant jadis une allégorie brumeuse, et incompréhensible. C'est là que tu as commencé à perdre pied, 'à partir en vrille' comme dirait le commun des mortels. T'as commencé à faire des conneries. D'abord des petites, puis à mesure du temps, des plus grosses. Traîné de famille en famille, personne n'a jamais voulu te garder. 'Trop instable', 'trop petit con', 'trop gitan' qu'ils disaient tous. T'as jamais bronché. Après tout, qu'ils aillent se faire foutre, non ? T'as besoin de personne, pas vrai ? Lily parti, plus rien n'a jamais eu d'importance à tes yeux. Aboulique jusqu'au bout. Ou presque. Ta famille d'accueil la dernière, la bonne. Celle qui ne t'as pas lâché. Les voisins, Mattie plus précisément toujours avec toi. Eux, le point d'ancrage. Ils t'ont remit sur le droit chemin, t'ont fait presque oublié que t'as une soeur ...

aujourd'hui ;
Verre de vin rouge à la main ; en cette nuit la belle n'a qu'un seul objectif : se soûler. Vite et bien. Elle veut boire pour oublier, elle veut se perdre dans la liqueur carmine pour se soulager. Paradoxale, elle sait bien qu'elle va finir malade, tête la première dans les toilettes à vomir ses tripes. Pourtant, c'est plus fort qu'elle. 'Il' a encore fait des siennes. L'homme aux mille visages, l'imprévisible qui lui brûle le bas-ventre, et empoisonne ses lèvres. Ils se sont disputés hier. Encore. Il a crié, elle a hurlé. Il est parti, et elle s'est retenu de pleurer. Fierté mal placée, elle se montre forte, alors qu'au fond, il la touche vraiment. Il saccage tout, détruisant conviction, pulvérisant toute sérénité. Il la désire, et pourtant, il la rejette. Folie destructrice. Ce mec est instable, inconstant. INCOMPRÉHENSIBLE. Elle le sait la petite Camille comme elle sait qu'il ne changera sans doute jamais. Alors pourquoi est-elle en train d'ouvrir cette porte, sachant pertinemment qui se trouve derrière ? Elle aurait dû l'ignorer sans doute ; faire comme si de rien n'était. Seulement, le voir n'est pas qu'un soulagement. C'est un plaisir, un véritable délice pour le cœur et les sens. Et elle se perd vite, trop vite dans ce regard qui l’obsède. Elle ne sait quoi dire, ni quoi faire. Alors il entre sans rien demander. Bourrin, voilà ce qu'il est. Mais elle a l'habitude la jolie princesse, du moins avec lui. Elle ferme la porte, et là, tout s’enchaîne et se déchaîne. Encore, toujours, tout le temps ; quand Wicky est proche. Lui c'est la tempête, l'ouragan violent. Elle c'est la feuille d'automne, la petite chose légère. On se doute bien de qui gagne à chaque fois. Le 'clic' de la porte comme signal, le 'réveil' est brutal. Camille se retrouve plaqué contre la porte. Oh, elle ne se sent pas bousculée loin delà ; la jeune fille, elle se sent chavirer. Game Over, la partie n'a même pas commencé. Elle ne peut pas résister face à la passion dévorante du sieur qui fait tambouriner sa cage thoracique. Elle se plie devant l'incandescence, qu'elle récompense avec autant d'élan. Elle aime son impulsivité, elle la cajole de caresses, la séduit par des baisers. Et d'un « Je suis désolée. » elle lui emprisonne ses lèvres, suivant la danse endiablée. Elle brûle la petite … Et elle est vite refroidie. Encore. La tempête se calme, disparaît. Wicky recule alors que le corps d'Ambroisie hurle. C'est lui qui la rend dingue. Camille est-ce que tu vas bien ? Évidemment que non, abruti ! Sauf qu'elle se tait. La frustration lui coupe le sifflet. Elle se recoiffe d'un geste de la main, se racle un peu la gorge, et le suit jusqu'au salon pour reprendre ce verre qu'elle aurait dû boire seule. « Il faut qu'on parle … Mattie … Elle est enceinte. »
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cheyenne ---- / un quart de siècle ---- / rpgiste

ville / paris. études ou métier / étude en diététique et vendeuse en prêt à porter pour payer les factures. avis général sur le forum / très joli, actif  the wrong side of heaven. 3794924939 . le détail qui t'a fait craquer / écrire ici. fréquence de connexion / tous les jours. le mot de la fin / écrire ici.

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Message Sujet: Re: the wrong side of heaven.   the wrong side of heaven. Empty Sam 6 Oct - 9:54

excellent choix de scénario the wrong side of heaven. 697000959 bienvenue à la maison chaton the wrong side of heaven. 3476085353 j'ai déjà si hâte de vous lire the wrong side of heaven. 2288768012
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Message Sujet: Re: the wrong side of heaven.   the wrong side of heaven. Empty Sam 6 Oct - 11:53

Mais que de bon choix toii the wrong side of heaven. 1505825564 the wrong side of heaven. 697000959
ouelcome sur stq the wrong side of heaven. 3476085353
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Message Sujet: Re: the wrong side of heaven.   the wrong side of heaven. Empty Sam 6 Oct - 12:13

noah + ce scénario the wrong side of heaven. 1505825564
il nous faudra un lien, vu que mattie est la cousine de sera the wrong side of heaven. 4113627247
bienvenue par ici the wrong side of heaven. 3176379322
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Message Sujet: Re: the wrong side of heaven.   the wrong side of heaven. Empty Sam 6 Oct - 13:13

T'es beau the wrong side of heaven. 697000959 merci de tenter le scénario the wrong side of heaven. 946831849
J'aime beaucoup le début j'ai hâte de pouvoir lire la suite :amoureuse:
Si t'as besoin de moi ma boite à mp t'attends de pied ferme et même si t'as besoin tu viens the wrong side of heaven. 4113627247 (je viendrais moi sinon non mais the wrong side of heaven. 2746359131)
Puis j'ai tellement hâte de jouer tout ça the wrong side of heaven. 697000959 the wrong side of heaven. 3794924939
(on fera peut être des bébés imaginaires the wrong side of heaven. 4113627247)
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Message Sujet: Re: the wrong side of heaven.   the wrong side of heaven. Empty Sam 6 Oct - 13:45

noah the wrong side of heaven. 697000959
bienvenue the wrong side of heaven. 3227196488
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Message Sujet: Re: the wrong side of heaven.   the wrong side of heaven. Empty Sam 6 Oct - 14:16

the wrong side of heaven. 1774268211 the wrong side of heaven. 697000959
Tu vas faire une heureuse ! the wrong side of heaven. 225861324 Et j'vais vous stalker tous les deux ! the wrong side of heaven. 4113627247 the wrong side of heaven. 2746119247
Déjà super choix de scénario, t'auras une partenaire au top du top en plus ! the wrong side of heaven. 697000959 the wrong side of heaven. 857285543
Puis le vava et la plume... the wrong side of heaven. 2470315465 the wrong side of heaven. 2746119247
J'ai hâte de vous lire en tout cas ! the wrong side of heaven. 2288768012
En attendant, je te souhaite un très grand bienvenue chez toi chaton ! the wrong side of heaven. 2781936883 the wrong side of heaven. 805256838 the wrong side of heaven. 3794924939 the wrong side of heaven. 1967697819
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Message Sujet: Re: the wrong side of heaven.   the wrong side of heaven. Empty Sam 6 Oct - 17:16

bienvenue dans l'coin the wrong side of heaven. 1948873765
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Message Sujet: Re: the wrong side of heaven.   the wrong side of heaven. Empty Sam 6 Oct - 17:38

bienvenuuuue. the wrong side of heaven. 3794924939
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