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 I’m not what you think I am (cosemy)

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Message Sujet: Re: I’m not what you think I am (cosemy)   I’m not what you think I am (cosemy) - Page 2 Empty Lun 5 Nov - 21:07


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{ I’m not what you think I am  }
crédit/ tumblr ✰ w/@emeraude hamilton

Un instant tu la regardes, assimilant ce qu'elle vient de te dire avec son histoire de glaçons. Elle est pas possible... Tu ris sous cape en secouant doucement la tête de gauche à droite, très lentement. Un putain de sourire sur tes lèvres. Celui que t'as pas eu depuis un moment. Parce que ta vie est compliquée. Parce que tu considères que ta vie c'est de la merde. T'arrives pas à passer à autre chose, t'arrives pas à penser à des choses meilleures. Et t'as quitté ta fiancé y a quelques mois comme un lâche, devant l'aéroport, à cause de ça. A cause de ta vie. Et voilà que tu ris. Voilà que t'arrives à penser le temps de quelques instants à quelque chose d'autre. C'est surprenant. C'est stupéfiant. Tu dirais même que c'est déstabilisant. T'aimerais te secouer et te dire que t'as pas le droit à tout cela. Mais tu te laisses glisser, tu profites de ce réconfort le temps d'une soirée passée avec elle comme un petit garçon se réfugiant dans les bras de sa mère après un cauchemar. Mais simplement toi, ton cauchemar il est réel. Tu le retrouves quand tu fermes les yeux mais aussi quand tu les as ouvert. Tu crois que ce sont des espions ? tu lances, mimant l'inquiétude dans ton regard, dans ta voix, pour continuer sur la lancée. Si c'est pas dans ton lit, sur l'oreiller d'à côté, que tu la retrouves cette offrande... tu laisses planer le doute sur cela, comme si ça pouvait arriver. Comme si ça t'étais arrivé. Et c'est le cas. Déjà que tu dormais mal et peu la nuit, te réveillais avec ça à côté de toi n'avait pas été une partie de plaisir. Surtout avec un chat te guettant à terre. oserais-tu dire que Mr Chat n'a pas de culture ? air offensé sur ton visage, tu fais mine de boucher les oreilles de l'intéressé pour ne pas qu'il puisse entendre cette infamie. non mais oh, tu l'entends ? pour qui elle se prend de te critiquer et de me critiquer ? tu fais genre que tu parles à ce gros matou, en lui caressant sa petite tête après l'avoir éloigné de la demoiselle. Alors que toi, tu ne demanderais qu'à être rapproché d'elle. Que ton canapé ne soit pas si grand, si long. Tu serais tenter, juste pour le truc, de haïr ta soeur et ta mère, s'étant converties en décoratrices d'intérieur sans te laisser le choix, pour l'achat de ce canap. Tu l'aimes d'habitude. Un peu moins dans ce genre de moment où tu te sens carrément stupide de penser à ce genre de choses. Emeraude, c'est la tentation mais l'inaccessible. Emeraude, c'est l'attirance que tu dois repousser. Emeraude, c'est celle qui te sors de tes pensées intimes alors que tu réalises que t'as pratiquement pas suivi le début de l'épisode. Ton regard qui se tourne vers elle, tu ne peux louper ce mouvement de ses cheveux qu'elle relève sur sa tête en un chignon flou, à la découverte de son cou gracieux, là où t'aimerais poser tes lèvres. Et voilà tes pensées interdites, assimilées à des images toutes aussi interdites d'elle et toi. D'elle contre toi. D'elle sous toi. C'est quand Mr Chat commence à planter ses griffes dans tes cuisses que tu bouges. Ou du moins, que tu sors de ta léthargie. De ton blocage sur elle et sa nuque. D'elle et son corps. C'est qu'il ta fait mal ce con de matou. Tu le repousses doucement mais tu le remercierais presque. Il t'a remis sans le vouloir dans le droit chemin, ou pas... tu te méfies en fait des chats depuis que t'as lu un roman sur eux. Dedans, ils voulaient conquérir le monde... Ai-je l'honneur de rencontrer le premier estomac sur pattes de l'histoire ? tu lances en boutade alors que t'as contourné le canapé, alors que tu te diriges vers la cuisine ouverte. Tu passes derrière le plan de travail central. Ca sent bon, divinement. Comme Emeraude. Arrête. Un coup d'oeil au four et tu te décides de l'arrêter. Heureusement que t'es là, jpense que c'est prêt. Tu veux manger où ? tu lances en sortant le plat en le plaçant sur le plan de travail. Plateau repas sur la table basse ou ici.. deux choix, deux possibilités d'être proche de la jolie jeune femme. Avec un léger avantage (et préférence) pour la table basse, elle était moins grande que la table bar ou que la grande table.
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Message Sujet: Re: I’m not what you think I am (cosemy)   I’m not what you think I am (cosemy) - Page 2 Empty Mer 7 Nov - 20:44


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{ I’m not what you think I am  }
crédit/ tumblr ✰ w/@cosimo saint

Tu te sens bercée comme si, allongée sur un lit d’eau, tu te faisais délicatement porter par les vagues jusqu’à te retrouver au large, étrangement, sans jamais te perdre. Tu te laissais doucement happé par cette vague de bien-être qui éveillé tout tes sens. De ton cœur à ton âme. C’était une étrange sensation que ce tourbillon qui te prenait avec autant de force que de passion. A la fois brise légère qui viens soulever vos cheveux un doux soir d’été, à la contrebalance d’une tempêtes de neige hivernale. Autant ancrer dans l’instant que transporter à mille lieues d’ici. Transporter par lui. Ailleurs. Soufflée par son sourire qui illumine son visage dans un élan spontané qui te surprend. Il est beau son sourire qui t’en vole un au passage. Il est doux son léger rire à t’en réchauffer le cœur. Tout semble tellement loin des dernières semaines aux saveurs de guerre froide dans l’appartement. Alors, tu profites, simplement. Tu ancre chaque bride de cet instant qui semble être en suspens dans le temps. Une bulle qui vous enveloppe. C’était comme si quelqu’un avait mis pause sur la télécommande qui contrôlait vos vies respectif. Un souffle de merci qui agitait ton esprit alors que voilà des semaines que tu ne t’étais pas sentie aussi bien. Pas aussi toi. Pas besoin de te cacher, pas besoin de mentir non plus. Il n’y avait que lui et toi… et Mr Chat en spectateur de ce rapprochement qui sonnait comme une évidence. A vous l’aviez fui cette évidence et tu t’en étais tristement contenter de son comportement. A te dire que c’était toi le problème… soulagement que de te dire que tu n’en étais pas un. Aurais-t-il perdu son temps avec toi sinon ?! Ta putain de raison qui te criais qu’il avait surement pitié tu l’étouffer à coup de son regard plongé dans le tiens. A coup de légèreté aussi. De tes blagues pourries qu’il semblait suivre avec plaisir et cette connexion que tu ne pensais pas avoir ressenti un jour… si ce n’est avec Mahé mais ça, c’était encore autre chose ! Autre chose dont tu ne voulais pas pensé. Pas ce soir. Pas avec Cosimo. « Oui… mieux vaut resté discret… » Un chut que tu mime au milieu de ta bouche et un regard malicieux échangé avec l’homme qui éveillait en toi un désir incontestable. Vous vous trouviez bien là, dans l’humour. Un humour qui cachais quelques chose de plus profond. Une gêne, une peur ou bien l’éveille d’étrange sentiment. Un peu de tout. « … je ne t’ai pas dit ?!... les animaux mort j’adore… je suis sataniste et ma chambre et pleine d’animaux empailler ! » Que tu lances avant d’exploser d’un jolie rire communicatif à t’en tenir les côtes. « … bon, en vraie, tu m’entendras hurler en pleine nuit et tu seras obligé de venir déloger la chose !! » sourire sincère qui s’éprend de ton visage à tes yeux pétillant qui viennes retrouver un instant les siens. Moment ou te prend d’affection un peu plus pour tes deux colocataires qui se lances dans une scénette qui mériterait un Oscar. Tant de dramatisme voilà ce que mime ton visage plein d’amusement. « Moi ?!... mais pas du tout… Je ne doute pas que Mr Chat soit le plus cultivé d’entre nous je souhaite simplement élargir son répertoire !! »  Petit clin d’œil charmeur après avoir faussement clamé l’innocence de ta personne. « Non mais critiquer… tout de suite les grand mot !! Je rêve ou je vies avec deux Drama Queen ! Vous devrez me remercié oui !! » Toujours cette même vague de d’humour partagé alors que tu ne te souviens pas la dernière fois que tu as autant rigolé. Tu t’enfonces dans le canapé à tenter de revenir à la série dont tu n’as même pas suivie les premières minutes bien trop prise par le moment. Les rares fois ou tes yeux avait été plongé sur l’écran télévisé tu te concentrais pour ne pas laisser ton regard s’échapper dans la contemplation de l’Apollon assis non loin de toi. Trop loin de toi. Preuve étant tu ne pus t’empêcher de brisé se silence à peine gagné en prétextant la faim. La vérité, c’est que tu avais cette envie presque viscérale de combler le silence de sa voix. « … L’estomac sur pattes vous salut mon très cher !! » Que tu lances avec ce sourire qui ne semble pas décidé à quitter tes lèvres tu le suis du regard jusqu’à la cuisine ouverte. Il te fait plaisir de ces mots et tu te prends à espérer que cette atmosphère qui règnes ce soir s’éternise. « La table basse chef !! » dis-tu en te glissant du canapé jusqu’au sol pour faire de la place. Tu adorais être par terre, connecté au sol mais le vraie prétexte était la proximité à manger sur un petit espace à ces côté. « Je t’empêche de suivre ta série… je suis nulle, tu as besoin d’aides ?! » le regard qui se tournes vers la cuisine dans un léger sentiment de culpabilité alors que tu demandes s’il passe un aussi bon moment que toi ou si tout cela n’est qu’une illusion.
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Message Sujet: Re: I’m not what you think I am (cosemy)   I’m not what you think I am (cosemy) - Page 2 Empty Mer 14 Nov - 17:38


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{ I’m not what you think I am  }
crédit/ tumblr ✰ w/@emeraude hamilton

Hochement de tête discret, tu passes deux doigts en signe de clef devant tes lèvres minant la fermeture de ta bouche, comme si, effectivement, tu allais garder le secret. Comme si vous alliez être discrets devant les glaçons espions. C'était puéril. C'était enfantin mais qu'est-ce ça te faisait du bien. De parler, comme cela. De plaisanter, comme cela. Sans penser aux choses difficiles, aux choses emmerdantes ou tristes. C'était comme si tu faisais une pause dans ta vie, comme si toute ta vie s'était arrêtée et que tu faisais une aparté. Ca te plaisait. T'aimais bien, malgré tout ce qui te disait de ne pas te lancer là-dedans, t'allais pas encore revenir sur tes contradictions. Tu laisses ton regard courir sur son visage alors qu'elle parle. Tu laisses ton regard tombait sur ses lèvres bougeant à chaque mot, à chaque parole qu'elle sort, qut'en écoutes presque pas ce qu'elle dit. Jusqu'à ce qu'elle se remette à rire. Jusqu'à ce que son doux rire revient envahir tes oreilles, ta tête. Tu l'aimes, ce rire. Tu l'aimes bien, elle. Heureusement que t'as un homme fort comme moi pas loin de toi pour te sauver. tu lances, là comme ça. Là sans réfléchir. Là avant de te rendre compte de ce que tu viens de dire. Toi-même, tu vois presque cela comme une proposition. Toi-même, tu vois surtout cela comme une idée stupide, comme une pure blague. Toi ? L'homme fort ? Toi ? Ce mec qui se réveille parfois en hurlant, comme elle viendrait de le décrire pour elle ? Douce ironie. T'enchaînes sans attendre sur ce pauvre chat qui se fait traiter d'inculte, ton pauvre gros matou. T'enchaînes pour ne pas lui permettre de rebondir là-dessus. Et si au fond t'es gêné, si au fond t'es chamboulé, tu montres rien. T'as ce putain de visage parfait, celui qui ne montre jamais qu'il souffre, celui qu'on t'a appris à avoir à l'armée : le masque. Visage outré alors que tu sers Mr Chat contre toi, tu finis par sourire. Quoi ? Nous des dramas queens ? On aura tout entendu de la part de la gente féminine Mr Chat, honteux ! tu fais en regardant la ptite tête du chat avant de te concentrer sur l'écran. Puis au bout de quelques minutes, tu t'es finalement levé pour regarder le plat de lasagne, avec un petit commentaire pour son estomac. Dilemme posé, répondu, t'attrapes les assiettes pour vous préparer vos parts. Non t'en fais pas, reste où tu es. dis-tu en secouant la tête à la négative. De toute façon, tu ne la suivais même pas cette série. Ton esprit et ton corps étaient bien trop occupés à se focaliser sur la jeune femme qui se tenait sur le même canapé que toi. Tu rapportes tout rapidement sur la table basse ; assiettes, couverts, boissons, avant de t'installer sur le sol. C'est bête, alors que t'as un comptoir avec des chaises hautes, alors que t'as une immense table pour manger mais tu fais souvent cela, t'asseoir à même le sol, le dos contre le canapé, à manger devant la tv. C'est une habitude, un sentiment de réconfort. Voilà pour Madame l'estomac sur deux jambes. tu taquines, tu la regardes, tu piques dans ton plat en lui souhaitant bon appétit. Et sous la série qui continue de défiler devant tes yeux, tu finis par retourner ton regard vers elle. Alors dis-moi, qui es-tu Emeraude Hamilton ? tu lances, sérieusement. Bizarrement, t'avais envie de connaître un plus que son prénom de pierre précieuse et son nom commun, un peu plus que la couleur de sa brosse à dents ou de ce qu'elle prenait au petit-déjeuner le matin. Tu la sondes du regard alors que tu portes ta fourchette à tes lèvres.
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Message Sujet: Re: I’m not what you think I am (cosemy)   I’m not what you think I am (cosemy) - Page 2 Empty Dim 18 Nov - 16:51


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Tu aimes cette douce vague de chaleur qui t’envahie en sa présence. Tu ne te soucis plus de toi et des tourments de ton esprit, non, tu sembles tout oublier, avec lui. Tu te sens envelopper comme dans une bulle où le temps c’est arrêté. Une pause dans vos vies respectives. Tout semblait vous ramenez à cette instant ou vos prunelles se croiser et vos rire s’harmonisaient à la perfection. C’était parfait, là, la définition de l’instant. Tu te laisser bercé par l’atmosphère étrange qui vous entourer. Tu te laissais prendre au jeu de la simplicité avec lui. Tu te sentais toi, réellement toi. Plus besoin de te cacher ni même de faire semblant. Il te prenait tel que tu étais et pour la première fois depuis votre première rencontre sur le seuil de la porte d’entrée, pour la première tu te sentais regardé pour de vraie. Tu te faisais surement des idées sur beaucoup de chose et surement que tu aurais tout le temps de t’en vouloir ou bien même de ramasser les morceaux de ton cœur qu’il finirait par écraser à coup de son si charmant sourire. Mais, pour l’heure, tu ne voulais pas y penser. Pas d’avenir, pas de futur, juste l’instant. Cosimo, toi… et Mr Chat dans un instant en suspens. Tu te prenais à espérer que tous ces sentiments s’agitant en toi étaient réciproque. Partagé. Tu te laissais guider par l’illusion que ces regards fuyants et que ces sourires sincères avaient tout avoir avec toi. Tu t’en voulais presque déjà de voir toutes ces paroles comme des propositions. Tu te trouvais ridicule, stupide de tomber encore pour un homme qui ne voulais probablement pas de toi et qui finirait par te rejeter comme ils le faisaient tous. Pourtant, tu ne cessée d’espérer, alors qu’il avait l’air de se surprendre lui-même par ces paroles. Peut-être que tu ne rêvais pas tant que ça ? Peut-être qu’au fond de son être il voulait te protéger. Tu parles te lancer ta putain de conscience. Ton cœur, lui, était prêt à se laisser sauver par lui s’il fallait mais, tu te gardais bien de l’exprimer. Tu remercias secrètement sa précipitation vers autre chose masquant la gêne qui pendant une demi seconde avait pris le dessus sur le reste. Il était après tout plus simple de reporter votre attention sur la boule de poil qui partager vos vies que sur l’étrange sensation qui oscillait entre vous. Mettre de côté ce qui pourrait tout compliquer. Ignorer les signes et les faire taire à coup d’humour. Mine faussement offusqué face aux deux mâles de l’appartement contre toi. Tu n’avais pas besoin de plus de complication dans ta vie, non, il te fallait juste ça. Juste de la simplicité…et lui. « Ahlala je vous jure… les hommes !! » plaisanterie qui te fais un bien fou à en oubliant ta journée pourri et tout le reste. Tu savais que tout reviendrais à la minute ou vous regagnerez chacun vos chambres mais, faire comme si tout aller bien c’était ce dont tu avais besoin. Ça et de manger alors que tu matérialise la voix de ton estomac affamé en attrapant Mr Chat pour lui faire quelque papouilles avant qu’il ne t’échappe pour retourner sur son perchoir. Te glissant sur le sol, ton refuge, faisant de la place sur la table basse alors que Cosimo se charger du reste. Tu t’occupais du mieux que tu pouvais l’esprit pour ne pas te laisser envahir par des rêves qui ne deviendraient probablement jamais réalité. Des rêves où lui en était la pièce maîtresse. Des rêves dont il t’en sortie de sa voix, de sa présence et de l’odeur de lasagne. Assiette posé devant toi tu tournes ton regard vers lui en souriant « Mr L’estomac vous en remercie Mr le chef !! » tu rigoles avant de sentir les effluves du mets devant toi à t’en éveiller les papilles. Il n’y avait pas que cela d’éveiller alors que tu l’observe s’asseoir à tes côtés dans une proximité aussi perturbante que grisante. « Bonne appétit Cosimo… » que tu lances avec douceur avant de te lancer dans la dégustation du plat tentant désespérément de te raccrocher au image du téléviseur défilant devant tes prunelles mais, sa présence à lui était tellement plus forte. Alors, tu ne cherches plus à perdre ton temps dans cette série dont tu n’avais même pas réussi à suivre une seule minute. Ton regard qui se tourne vers lui pour croiser ces iris qui t’observais au même instant. Comme un appel commun reçu au même moment et cette question qui te prend de cours. Première fois ou il semble réellement épris de l’envie d'en savoir plus sur toi. Pas de bonjour expéditif, pas de regard froid juste sincérité et curiosité. Petite rire gêné et ton regard qui prend de nouveau la fuite à la mesure du rouge qui vint légèrement tinter tes pommettes. Te voilà gênée sans savoir pourquoi. « Il n’y a rien d’intéressant ou de palpitant à propos d’Emeraude Hamilton je t’assure… je ne voudrai pas t’endormir ! » sourire sur les lèvres alors que tu joues nerveusement avec le bout de lasagne piquer sur ta fourchette «… Mais si tu insistes et que tu ne m’as pas googler encore !! » Ricanement et regard en coin vers son regard perçant qui semble déceler les tréfonds de ton âme « Fille des Hamilton, petite dernière d’une fratrie de trois grand frère qui se prennent pour des gardes du corps… actionnaire et héritière d’Hamilton Corporation et accessoirement tentant de se construire un nom par elle-même avec une galerie d’art. Amoureuse de l’art, de la beauté… du Queens… » Petit récit non exhaustif de ta vie qui n’avais rien d’extraordinaire « rien d’exceptionnelle en fait ! » Tes iris qui se poses dans les siennes avec autant de curiosité que les siennes « et vous alors ?! Qui se cache sous cette carapace Mr Saint ?! » Portant ta fourchette à la bouche sans perdre une miette de ses yeux dans lesquels tu tentais d’y lire désespérément quelque chose. N’importe quoi qui t’en apprendrait plus sur lui. Toujours plus…
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Message Sujet: Re: I’m not what you think I am (cosemy)   I’m not what you think I am (cosemy) - Page 2 Empty Jeu 22 Nov - 18:23


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Depuis quand tu n'avais pas partagé un repas avec une autre femme ? Tu veux parler ici d'une fille comme Emeraude. Autre qu'une fille avec qui tu ne comptais pas reprendre contact après la fin de la soirée ou plutôt après un passage par les plaisirs de la chair. Sans doute depuis ton ex-fiancé. Depuis près de deux mois. Depuis que tu l'avais quitté. Et même à ce moment là, vous ne faisiez plus réellement de dîner tranquille comme celui là, comme si t'avais déjà prévu de la quitter prochainement. Et c'était pratiquement le cas. C'était le cas. T'avais tenté de t'éloigner d'elle, de Ainhoa, comme si la douleur serait moins vive grâce à cela. Enfin, t'avais pas envie de penser à cela en cet instant. T'avais juste envie de passer un bon moment. Avec ta colocataire. A manger sur le sol contre un canapé, sur la table basse. Ça et rien d'autre. Ça et rien qu'elle. Rien qu'Emeraude. Ainhoa était une autre partie de ta vie. Ainhoa était à penser pour un autre moment. Tu souris à Emeraude, à cette autre femme, quand elle te souhaita un bon appétit. Tu lui rendais par ce sourire avant de lui poser cette question sur elle. T'avais envie d'en apprendre plus sur cette jolie brunette. T'entends son rire gêné et tu relèves les yeux vers elle, heureux de voir ses joues se colorés légèrement d'un beau rosé. T'aimais cela. Voir de la couleur ravivait sa peau. Et malheureusement, t'aurais aimé en voir plus, pas seulement ses joues. T'aurais aimé voir de quel couleur se colorait sa peau lorsque tu y passais les lèvres. "Promis, je me forcerai à rester éveiller." tu lances avec humour avant de reprendre une fourchette des lasagnes de ta mère. C'était bon, ils t'avaient manqué. Ta mère et ses bons petits plats. Tu l'écoutes sans tourner le regard, pratiquement en arrêtant de manger alors qu'elle joue avec sa nourriture du bout des dents de la fourchette. Tu rétorques rien à cette histoire de Google parce que tu veux pas avouer que tu l'as fait. Google ou les réseaux sociaux. T'as tout passé un soir où tu n'arrivais pas à t'endormir. Ou tu ne voulais plus te rendormir. "J'avais cru comprendre que tu aimais l'art oui, alors pas d'ambition de rester dans l'entreprise familiale ?." tu fais en l'entrecoupant. "mais bon, comme tu dois le savoir, ça je le sais déjà. C'était pas réellement ma question Emeraude." tu lances en posant ta fourchette près de ton assiette. "qui es-tu vraiment ?" tu relances, appuyant chacun de tes mots, ignorant complètement la question qu'elle te retourne. Toi, n'était pas le sujet. Tu étais bien trop compliqué. Bien trop détruit. Tu n'avais pas envie de parler de toi mais d'elle. T'avais envie de connaitre tout d'elle, même ses plus profonds secrets. Tu maintenais ce contact visuel, la laissant, autant que toi tu le faisais, plonger dans tes yeux.
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Message Sujet: Re: I’m not what you think I am (cosemy)   I’m not what you think I am (cosemy) - Page 2 Empty Dim 2 Déc - 16:15


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Il t’avait perdu de son regard profond qui semblait décrypté les tréfonds de ton âme à son sourire qui en étirer le tiens. Il en toucher ton cœur qui battait d’un élan nouveau ou peut-être pas totalement. T’étais de celle qui s’emballait trop, qui s’emballait pour un rien à s’en brûler les ailes à l’arriver. T’étais l’habitué du rejet. Celle qui cherchait à combler le vide de ton cœur sans jamais y parvenir. Tu t’étais habitué au schéma que tu suivais constamment. T’attacher au mauvais garçon, t’ouvrir stupidement et tomber de haut après t’être fait rejeter. La question qui mordait tes lèvres mais que tu ne lui poserais jamais. La constatation qui serait forcément vraie et tu l’apprendrais à tes dépend : il allait te brisé le cœur. Tu le savais et tu plongé comme même. Tu te laissais happer par ce sourire, par son rire, par lui… Tu donnais ridiculement le change de ton humour qui semblait l’amuser, ou peut-être bien qu’il rigolait pour ne pas te blesser. Toi, encore une fois, tu préférais y voir un signe là où il n’y en avait surement pas. Là où il montrait juste un peu de gentillesse par politesse. Ce n’était qu’un repas après tout, un repas entre colocataire. Il n’y avait rien de romantique tentais tu de te convaincre alors que ces jeux de regard semblait en dire tout le contraire. Alors que sa curiosité visait autre chose qu’une simple réponse. Tu te laissais embarqué dans les profondeurs de ces désir dans savoir plus à en faire rougir tes joues. Déstabilisé par l’homme, par cette proximité. Il balayait tes révélations aussi vite que tu avais pensé lui en apprendre plus sur toi. Pourtant un petit sourire qui se dessine alors qu’il avoue secrètement t’avoir déjà googler. Sourie vite terrasser alors que tu comprends le réel sens de son interrogation et que ton regard quitte le siens pour retourner sur ces lasagnes pourtant délicieuse que tu as à peine touché. Tu as faim d’autre chose et tu te gifle intérieurement de simplement y penser. « Euh… tu remercieras ta mère, ces lasagnes son délicieuse… » Que tu lances comme pour noyer le poisson alors que tu sens son regard toujours posé sur toi. Toi qui le fuis sans vraiment y mettre l’intention. Tu as presque cette envie de mettre tes mains devant ton visage comme si cela suffirais à masquer le rose de tes joues. Ton regard qui s’aventure de nouveau dans le siens, tellement beau, tellement intriguant. Pourquoi les seuls garçon qui t’attirais devaient être si complexes à comprendre, à contenter. Mahé, Cosimo… tout semblait si impossible. Peut-être que tu ne méritais pas la simplicité, pas l’amour… Peut-être que tu chercher trop ou là où il ne fallait pas. « Je… je, je suis une idiote qui cours souvent après l’impossible ! Je me fais du mal toute seule et je préfère parler des autres que de moi… j’aimerais qu’on me donne le mode d’emploi au bonheur… le vraie… mais,… mais ça, c’est demandé l’impossible !! » Que te prenais-t-il alors que tu n’avais que rarement laissé parler ton cœur préférant tourner en rond plutôt que d’assumer. Toujours guidé par cette peur d’être éternellement mise de côté.  « … alors, je me ramasse comme je peux ! Voilà… je suis stupide je te l’ai dit ! » et voilà que tu te caches vraiment ramenant tes mains sur ton visage en secouant la tête attendant les rire moqueur de Cosimo comme si c’était la seule issu possible. Toi, tu aurais ris de toi.
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Message Sujet: Re: I’m not what you think I am (cosemy)   I’m not what you think I am (cosemy) - Page 2 Empty Mer 5 Déc - 21:10


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C’était pas vraiment aux lasagnes que tu pensais à cet instant mais elle avait raison, les lasagnes de ta mère étaient délicieuses. Comme toujours. Comme tous ses plats. En parfaite descendantes d’Italiens. T’esquisses un pauvre sourire, un léger hochement de tête pour confirmer que tu le feras. “Je te l’avais dit.” tu lances comme pour rappeler (ou te rappeler à toi-même) que tu as souvent raison. Tu te dis ça parce que tu penses toujours que c’est mal ce que tu fais. Mauvais, tu ne sais pas pourquoi. Tu ne devrais rien craindre, ce n’est que ta colocataire. Tu trompes personne, t’as quitté celle que tu aimais pour la protéger elle. Alors voilà le problème. Si t’as quitté Ainhoa pour la protéger, ce n'est pas pour mettre Emeraude en danger. Et pourtant, comme le con que t’es, comme ce mec têtu, tu restes là à partager ton repas avec elle, à discuter dans cet espèce de soirée télé que feraient des amis, des frères et sœurs, un couple, des amants. C’était ça ton problème, au fond de toi, t’étais faible. Après tout, ce “traumatisme” qui ne passait pas mais que tu refoulais, n’était-ce pas une espèce de faiblesse ? Une psychologue, un médecin te dirait qu’il n’y avait aucune faiblesse là-dedans. Que t’étais juste un homme. Pas une machine. Pas un de ces mecs prêts à tout, quitte à tout perdre, comme tu voyais face à toi sur le terrain… Regard sur la jeune femme, t’as lancé cette question avec intérêt. Autant que tu fasses ta connerie jusqu’au bout. Comme elle te la fait remarquer, tout ce qu’elle vient de te dire, t’en as connaissance. Tu as trouvé toutes ces informations sur internet. Tu te demandes d’ailleurs encore pourquoi une fille comme elle a besoin de s’installer ici, en colocation. Certes, le loft est divin, meublé avec goût par les femmes de ta famille mais tout de même. Elle pourrait s’offrir bien plus. Et elle pourrait même se lotir bien mieux qu’avec un mec comme toi. Tu l’observes parler d’elle avec un peu plus de passion, un peu plus… d’elle ? Tu ne sais pas vraiment comment expliquer cela mais tu souris, en observant ses moindres faits et gestes sans détourner le regard. Sans grande surprise, t’aimes ce que t’entends, voire même t’aimes apprendre un peu plus d’elle. Ta main se déplace, sans plus aucun doute, plus vite que ta raison, sur l’un de ses poignets. Tu repousses une de ces mains qui cachent son visage en tirant avec douceur ce poignet que tu tiens. “Je ne trouve pas ça stupide.” tu lances avec douceur, avec gentillesse. Toi-même tu aimerais n’avoir plus que ça à penser. Toi aussi t’aimerais avoir ce genre de broutilles qui te ronge le cerveau plutôt qu’une vision de sang et d’éclats qui tourne en boucle dans un coin de ta tête. T’aimerais avoir le tracas des personnes simples ; les peines de cœur (bon tu en as une avec celle que tu as quittée), les problèmes d’argent, les problèmes au boulot, les collègues lourds (que tu as un peu aussi), la révision de la voiture ou encore ce robinet qui fuit sans cesse. Quelle cravate tu vas porter demain matin au boulot ou encore qu’est-ce que tu vas ramener au dîner de ta mère. C’est tant de problèmes qui se font surpasser par un drame. “Si tu veux tout savoir, j’ai pas les réponses à tes problèmes.” tu dis sans la lâcher, la pulpe de ton pouce qui ose même explorer une si petite partie de sa peau. T’étais même pas légitime pour aider les autres. T’arrivais pas à régler ton problème, ce n’était pas pour faire l’hypocrite avec les autres. Tu laissais les autres se démerder avec leurs problèmes comme toi tu voulais qu’on te laisse tranquille. “Et j’ai pas le mode d’emploi au bonheur, loin de là..” tu fais une pause, ton regard sur l’union de vos deux peaux sur son bras, en te rendant compte que tu t’exposes un peu trop en avouant que toi aussi, t’es loin d’avoir accès à cette stupide notice. “Tu ne risques pas de me la voler. Ce n’est pas ici qu’il faut chercher.” tu finis par dire, une pointe de rire jaune dans ta voix. Tu finis par te reculer sur tes mots, par la lâcher et rompre la connexion de vos regards.
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Message Sujet: Re: I’m not what you think I am (cosemy)   I’m not what you think I am (cosemy) - Page 2 Empty Jeu 13 Déc - 20:02


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Ton cœur trop sensible, ton cœur ce faiblard qui ne tiens pas deux seconde face à un peu d’attention et voilà qu’il craque. Tu te le serais arraché s’il n’était pas cet organe nécessaire à la vie, à ta vie. Putain que tu aurais aimé être de celle régie par leur raison plutôt que par leur palpitant s’agitant dans la poitrine au moindre sourire. Toujours à chercher cette chose que l’on appelle l’amour comme si c’était le seul et unique but de la vie. Comme si ce serait l’accomplissement de toute existence. Etre là, toujours à espérer même après les enchaînements de déception sentimentale que tu avais subie. Tu y croyais comme une idiote comme si l’amour  était la seule chose dont tu avais besoin pour être complètes. Comme si tu étais tout simplement incapable de te contenter de ce que tu avais déjà. N’avais-tu pas assez de chose pour te rendre heureuse ?! Probablement que non… Pas faute d’avoir essayé, d’avoir fait des efforts pour ne pas tomber dans le piège. Tu t’étais laissé porter par la distance que Cosimo avait d’entrée mis entre vous. Tu l’avais suivi cette vague tentant même de te convaincre que tu n’étais qu’un portefeuille qu’il l’aidé à payer le loyer. Pourtant, ce soupçon de je ne sais quoi dans ces sourires, ces regards et le peu d’attention qu’il t’avais porté en vous croisant même que rarement dans le loft que vous partagiez. Même ça avait suffi à te dire qu’il y avait quelque chose, quelque chose que tu n’étais pas la seule à sentir. A ressentir. Ce soir finissant de te convaincre. De te faire tomber. Il t’avait eu et sans aucun effort. Dieu que tu t’en voulais alors que tu demandais quand tout cela allait finir. Toi et cette foutu manie de flancher pour des mecs qui n’étaient pas pour toi. Qui ne voulait pas de toi. Mahé, Cosimo… t’en devenais folle. Littéralement. T’avais beau prendre des résolutions de ne plus te laisser avoir et voilà qu’il ne t’avait fallu qu’un mot de lui, une invitation presque détournée pour tout balayer d’un revers de la main. A passer d’une soirée seule dans ta chambre comme tous les soirs à celle assise par terre à quelque centimètre de lui dégustant les lasagnes de sa mère et parlant de toi. Il arrivait à te faire parler de toi d’un simple regard accroché au tiens. Toute tentative d’évasion, de détournement, était impossible. Il t’avait attaché à lui de ces prunelle le Cosimo et comme une idiote tu t’étais laisser prendre. Il avait délié ta langue de son regard appuyé à t’en sentir comme une gamine gêné. T’avais cette impression de n’être que ça dans ces yeux ou dans ceux de n’importe qu’elle homme qui pouvait croiser ta route. Jamais assez bien, jamais assez femme. La surprotection de tes frères n’avaient surement pas aidé à te donner confiance en ton potentielle. Tu déblatérais tes paroles avec une passion vaine avec cette impression de te tourner en ridicule. Envie de disparaître non sans embarqué ton assiette pour te consoler de ne pas être assez bien pour qui que ce soit. Pour lui. Le visage caché de tes mains tel un bouclier qui te protégerait de quelconque attaque. Quelconque rire. Pas de rire pourtant, non, rien que de la prévenance à t’en chambouler un plus le cœur. Tu le détesté ce traître de myocarde qui s’agitait pour un rien. Mais, étais-ce vraiment rien ? Sa main qui attrapes avec une grand délicatesse ton poignet pour te dégagé le visage rosie par la honte. Son regard qui cherches le tiens et ces paroles qui viennes dégagés tes auto accusation de stupidité. Ces mots qui te rassures et finisses par t’en émouvoir presque l’âme. Il n’y est pas plus avancer que toi sur le sujet. Le bonheur vous fuyez tous les deux. Tu en trouvais sa triste persuadé qu’il le mérité sans vraiment le connaître. Tu te laisser réconforté par ce délicat touché ce ces doigts caressant chastement la peau de ton poignée. Simple contact suffisant à t’électrisé l’épiderme. Trop peu et pourtant suffisant tu te dis alors qu’il rompit tout contact. Le manque de ces yeux dans les tiens. De sa peau contre la tienne. T’avais envie de lui donner le bonheur, de le trouver pour lui juste pour revoir ce sourire qui illuminait si rarement son visage. « Parfois, j’ai juste l’impression que le bonheur n’est qu’un simple concept inventé pour donner de l’espoir au gens et leur permettre d’avancer un jour de plus ! » triste constatations mais, tu en étais persuadé pourtant. Persuadée, mais prête à t’épuiser à la tâche juste pour le connaitre une demi-seconde. Un silence qui s’installe couvert par le bruit de la télévision et des couverts qui clinques sur les assiettes qui se vides. Silence lourd de sens, trop peut-être même. Tu l’aimais pas se silence entre vous. Tu n’aimais pas cette distance alors que ton corps n’étaient qu’à quelques centimètre du siens. « Merci… » Que tu lances comme ça. Mot qui sort de nulle part. Parole presque inconsciente de la gratitude que tu as pour lui depuis le premier jour. Une inexplicable gratitude. « merci de ne pas m’avoir mis à la porte, je veux dire… de tout ça enfin, tu n’es pas obligé de le faire, tu sais...» ton regard rivé sur ton assiette vide la peur de le regarder. La peur qu’il se décide finalement à te rejeter alors que tu es celle qui a tendu la perche.
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Message Sujet: Re: I’m not what you think I am (cosemy)   I’m not what you think I am (cosemy) - Page 2 Empty Ven 21 Déc - 13:00


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Tu n'aurais pas pensé passer une soirée telle que celle-ci. Pas difficile à imaginer, tu aurais regardé la télévision, mangé et tenté de dormir. Tu n'aurais réussi, hanté par tes cauchemars et alors, tu te serais maintenu éveillé. Juste pour y échapper. Juste pour tomber raide de sommeil et espérer te réveiller quelques heures plus tard avec l'impression de d'être reposé. Il y avait bien longtemps que tu n'avais plus ce sentiment. Ton corps était fatigué autant que ton âme, tu le savais, tu le sentais. Et pourtant, c'était comme si tu étais boosté à quelque chose de malsain. Comme les drogues que pouvaient prendre les soldats de l'armée allemande lors du second conflit mondial, juste pour rester au bon niveau, juste pour supporter tout cela. Toi, évidemment, tu ne prenais aucune merde. T'avais juste le ressenti sans les prendre. Tu savais que ce n'était pas bon, que ton corps finirait par te lâcher. C'était simplement que tu n'avais aucune solution à ton problème. Et cette soirée passée en compagnie d'Emeraude était comme un exutoire pour toi, comme une pause dans ta vie. Tu disais merde aux horreurs, tu mettais sur pause et les repousser le temps d'une soirée. Après, tu les autoriserai à revenir te hanter. Comme si tu avais le choix... T'hochais la tête à ce qu'elle venait de dire, plus ou moins d'accord avec elle alors que tu reprenais ta place, alors que tu venais rompre ce contact physique qui vous liait. "J'pense surtout qu'il y a des moments de bonheur, tout simplement. Dans une vie de merde, tu as quelques épisodes où tu te sens bien." t'haussais les épaules en disant cela. T'aurais aimé lui dire que le moment que vous partagiez en cet instant faisait partie d'un de tes moments de bonheur. Un de tes moments de bien être. Un des rares depuis le début de ton cauchemar réel. Et c'est sur ces pensées que le silence s'installe entre vous. Silence lourd de sens mais qui bizarrement te faisait du bien. Il n'était pas pesant d'une mauvaise manière. Une autre découverte pour toi, que tu détestais dans l'immédiat mais le silence vous englobant te semblait naturel entre vous. Non pas gêné mais plutôt reposant, tout en étant électrique. Difficile à décrire. Tout comme il était difficile de mettre des mots sur ce qui vous lier vraiment. Et son merci brisant ce silence te surprend autant que t'en interroge alors que ton regard interrogateur revient se poser sur la sirène. Elle t'évite elle, de ses yeux un peu trop gros mais qui lui donne son charme, qui t’ensorcelle. Sans jamais l'avouer, t'aimais qu'elle te regarde et détestais qu'elle te fuit. "Tu n'as pas à me remercier, Emeraude." tu rétorques rapidement. Tu ne voyais même pas pourquoi tu l'aurais mise à la porte. "Tu es ici chez toi. Tu payes pour être ici et ma soeur t'a choisi. Même monsieur Chat t'a accepté. " petite note de plaisanterie à la fin pour tenter de lui faire relever le visage vers toi. Tu n'oses plus renouer le contact physique avec elle, notamment parce que tu avais déjà eu du mal à te séparer d'elle quelques minutes plus tôt. Légèrement masochiste, certes, tu ne souhaites cependant pas continuer à narguer le diable. "Et si tu parles de ce soir... Tout ça... Ca m'a fait plaisir de passer un peu de temps avec toi, je.." tu t'arrêtes, réfléchis à tes mots en fronçant les sourcils. "Excuse moi de n'être pas le meilleur colocataire du monde.." confession, excuse, tu n'en revenais pas toi-même de l'avoir mis sur la table mais tu t'excusais vraiment d'avoir été con, fuyant et froid avec elle. Et pourtant, même en le faisant, tu ne savais pas réellement si tu changerais à l'avenir. Il y avait tellement de choses dans ta vie qui te rendaient ainsi. T'aurais aimé te confier à elle et pourtant, tu ne savais pas si tu étais prêt. De même pour elle. Tu craignais toujours tant de choses. D'être jugé responsable, de voir de la pitié, qu'elle te conseille comme les autres de voir un stupide psy. Tu poussais un soupir en te relevant pour débarrasser vos assiettes et rejoindre la partie cuisine.
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Message Sujet: Re: I’m not what you think I am (cosemy)   I’m not what you think I am (cosemy) - Page 2 Empty Sam 22 Déc - 18:22


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Une journée de merde que tu avais passée et pourtant si tu t’attendais à passer une soirée dans la même ligné à de goinfrer de glace rhum raisin, tu t’étais laisser surprendre par le cours de la vie. Du destin. Surprise par lui ou la dernière personne que tu pensais te surprendrais de la sorte. Offert sur la table comme la libération du poids de ce jour un moment de pause de ton quotidien. C’était là, la métaphore parfaite. Comme si pour toi, il avait enfoncé la touche pause de la télécommande qui régissait sa vie. Après t’avoir étrangement repoussé voilà qu’il t’accordé un peu de son temps. Étrange sensation que vous aviez laissé planer dans l’air qui séparer vos deux respiration. Ton âme comme électrifié par la sienne à en oublier tout le reste l’espace d’un instant. C’était comme si, il pouvait lire au plus profond de toi. Comme si de ces prunelles il parvenait à toucher ton cœur. Tu te laissais prendre à ces questions à t’en faire rougir les joues sans jamais te demander pourquoi il resté si évasif sur lui. Pourtant, tu te demandais pourquoi il s’intéressait autant à savoir qui tu étais vraiment ? Tu n’y trouvais là, rien d’intéressant… mais tu te prenais au jeu. Tu te livrais dans l’espoir qu’il se livre un peu en retour et le peu qu’il te disait te contentait. Peu semblait être beaucoup avec Cosimo. Il n’avait pas besoin de grand discours alors qu’il visait tout simplement juste. «  Tu as probablement raison, il y a toujours des instant de pause comme je les aime à les appeler… »  un sourire sur tes lèvres et un léger regard de tes prunelles dans les siennes. Tu te laissais aller à ce moment de silence qui en réconfortant étrangement ton âme juste de sentir sa présence à quelques centimètre de toi. Surement que dans l’instant, tu n’avais pas eu besoin de plus. Peut-être que ces bras enroulant ton corps aurait été bien mieux mais, tu étais être à te contenter de peu pour un instant passé avec lui. Juste pour toucher du bout des doigts cette sensation qui envahissait chaque cellule de ton être. Un silence que tu finis par briser ou que ton cœur pris le contrôle sur le reste. Comme toujours. Le traître. Un merci lâché dans l’air qui rejeta à coup de paroles qui suffisaient à te redonner le sourire. Tes iris recherchant de nouveau les siennes comme si les mots n’était plus nécessaire l’espace d’un moment. Légèrement hochement de tête comme pour acquiescé les mots qui sortait de sa bouche. Puis ces aveux lâcher semblant le surprendre lui-même et tu te sentirais coupable de l’avoir mené à ces révélation. « Mais non, tu es comme tu es ! Je ne t’en veux pas… c’est moi je fais peur quand je mis mets !! » Que tu te tentes a plaisanté à ton tour alors que tu sais que de ces mots. Tu comprends que son comportement n’as rien à voir avec toi mais, que c’est bien plus profond et cela t’en attriste le cœur. Tu n’es pas à ta place pour en dire plus alors, tu te contentes d’un sourire timide peint sur tes lèvres tout en le suivant du regard alors qu’il débarrasse. Tu te relèves pour le rejoindre et réduire la distance qui te touche plus que nécessaire. « La glace n’est que partie remise, je n’ai plus faim… merci même si tu n’en veux pas !! » que tu lances en attrapant ces yeux à la volé « je suis fatigué je vais te laisser… » Ton sac et tes dossier laisser sur le sol tu attrapes le tout avant de te diriger vers ta chambre te retournant une dernière fois pour un « A demain Cosimo… » Plein de prévenance car, à en entendre les cris de son sommeil ces nuits étaient tout sauf bonne et voilà que tu te jurais stupidement d’essayer de changer ça la prochaine fois.  

...FIN...
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