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| Sujet: seesaw kid. Jeu 13 Sep - 12:09 |
| save the queens ---- / tomás thorens
29 ans ---- / ACE OF SPADES ---- / stevan
identité complète / tomás friedrich laszlo thorens, du plus au moins pompeux, dont il n'a épargné qu'un surnom qui lui ressemble : tommy. lieu de naissance et origines / né en plein mois d'août sous le signe rutilant du lion dans une clinique privée de londres où sa mère vivait recluse depuis de longs mois (s'épargnant toute tâche aussi difficile que monter trois marches et rincer une assiette afin de mettre à bas la progéniture parfaite, sans défaut). ses origines sont anglo-américaines, allemandes, hongroises. il n'en fait jamais cas, n'ayant pas saisi l'intérêt de se pencher sur les dizaines d'arbres généalogiques qui passionnent pourtant sa famille. études ou métier / haute et grande école de commerce selon la volonté du père, là où tout le monde l'attendait consultant puis senior partner au sein d'une grande entreprise de lobbying, il a choisi de monter sa boite. sport, street, skate, urban, les fringues ouroboros se font en featuring avec les visages de demain. la boite a littéralement décollée depuis son partenariat avec colin kaepernick en 2017. orientation sexuelle / ce sont les femmes qui l'intéressent. parmi elles, pas forcément les plus clinquantes et si possible, pas celles dont instagram a remplacé la matière grise. il lui arrive de passer du sexfriend posé au couple calme, ses coups d'un soir sont toujours bonne ambiance, et on ne trouvera pas une femme pour dire de lui qu'il est un vrai connard. son coeur a battu fort pour une fille dont le souvenir ne parvient pas à s'étioler. statut civil / célibataire, il fréquente la même fille depuis environ six mois. elle est jolie, graphiste et photographe, ils se sont rencontrés autour d'un brainstorming pour la marque. ça a commencé par de l'amitié, puis du sexe, et aujourd'hui, c'est un mix sympa des deux, sans passion et sans heurts. pi, scénario ou prélien / pré-lien de @arthur vale.
save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE
once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star mommy issues / sa mère... un délire. ce que ses amis disent dans son dos, c'est que sa mère est le portrait craché de celle de jax teller dans soa. profondément attaché à elle, dépendant du lien d'exclusivité qu'elle a instauré entre eux depuis sa naissance, tommy est incapable d'ouvrir les yeux et de réaliser que madame thorens n'est autre qu'un véritable tyran doublé d'une connasse finie. anita thorens a fait un enfant pour elle, et pour elle seule. elle s'ennuyait et elle avait besoin d'un condensé narcissique d'elle-même. elle rêvait d'une fille à son image, elle a eu ce petit prince blond aux grands yeux bleus : ça ferait l'affaire, question poupée. choyé, couvé, protégé, tommy avait toujours raison aux yeux de sa mère. chaque bêtise faite à l'école devenait une erreur d'appréciation de la part du corps enseignant. tout ce qu'il demandait, il l'avait. avant même de demander, sa mère se targuait de pouvoir lire ses désirs dans ses pensées, et les anticipait. que tommy thorens ne soit pas devenu un petit fis de pute bourgeois et imbu de lui-même relève d'une intervention salvatrice divine. aujourd'hui encore, même s'il a pris de la distance avec sa mère, il reste incapable de lui asséner la moindre véritable critique. incapable de se résoudre à couper les liens avec elle. peut-être qu'au fond, dans l'inconscient, il sait à quel point elle est seule et triste. peut-être qu'il a simplement pitié d'elle. thorens & ross / c'est le nom que tout le monde connait dans le milieu du lobbying : le cabinet de son père et de son associé, will ross. la boite brasse des millions, intervient partout, tout le temps, faisant le lien direct entre les entreprises privées et les instances politiques gouvernementales. via thorens & ross, tommy peut avoir ce qu'il veut : un stage, un emploi, des entrées vip, des places de concert, des rencontres avec des célébrités... de tout ça il n'a jamais voulu. de l'amour monnayé de son père il n'a pas pris un cents. la révélation a eu lieu très tôt : tommy est un fan absolu de football, et pas qu'américain. il suit le championnat anglais, la premier league, mais aussi la champions league et les championnat espagnol. il pratique le foot depuis l'enfance. son père, en l'apprenant, est intervenu façon richard iii auprès du dirigeant du club pour le faire passer en semi-professionnel alors qu'il n'en avait absolument pas le niveau et surtout, alors qu'il n'avait pas encore fait ses preuves pour mériter une telle promotion. il a fait exprès de jouer comme une merde pendant toute la saison pour être recalé. cette première rencontre avec la corruption et la facilité avec laquelle les hommes et femmes se laissent dicter des lois peu conformes à l'éthique l'a marqué pour toujours. depuis, il a toujours évité le piston comme on évite une mst. borderline / tommy, si on demande autour de soi, est ce qu'on peut communément appeler un mec tranquille. pour autant, il n'a jamais fait l'unanimité dans les cercles huppés auxquels il est censé appartenir : mauvais garçon à l'école privée, chahuteur au collège de l'upper east side, il a très vite (et sans méchanceté) déserté les groupes d'enfants de riches et futurs kings of the world pour trainer avec les classes moyennes. depuis les classes moyennes, il a fait la rencontre de certains issus du bas de la chaine alimentaire, et beaucoup sont devenus des amis. le temps a passé, et ses cheveux blonds se sont gominés, rasés sur les côtés, ses doigts, son torse, se sont peu à peu recouverts d'encre et de dessins que sa famille percevait comme rebelles, sans en saisir la signification. au sein des thorens, il a d'abord été clair que tommy prenait la voie qui menait directement aux sept enfers. puis, le voyant bosser en start-upper, on a admis qu'il avait un certain talent, et on l'a placé dans la case artiste original. le délinquant qu'on voyait en lui avait simplement été... une crise d'adolescence. ceux qui rencontrent tommy pour la première fois voient en lui un mec cool issu de la classe moyenne de manhattan, fun et sociable, toujours là pour les potes, spécialiste de l'entraide, fumeur de joints et rouleur d'exception. quand on apprend qu'il est le fils et héritier direct de thorens, de thorens & ross, qu'il possède plusieurs propriétés et rooftops autour de central park, quand on regarde les noms des écoles qui composent son cv, on a un choc. rien ne laissait présager un tel écosystème pour un mec pareil. extrait de sa condition comme un papillon après sa mue. le cocon doré laissé loin derrière, il plonge ses mains tâchées dans le bronze sacré de la rue, avec laquelle il fait corps. c'est comme ça qu'il aime vivre. arthur & tommy / tommy voit les gens comme ils voudraient être. pas comme ils sont. son intelligence sociale est plus développée que son intelligence culturelle et mathématique : il a un don pour le relationnel. les gens l'apprécient immédiatement parce qu'ils sentent que ce gars-là n'est pas prise de tête. le masque que les gens portent, tommy l'accepte tel quel sans chercher à le défaire. tommy fera toujours semblant de croire à vos histoires, même à vos mensonges, parce qu'il sait que si vous les dites, c'est que vous avez besoin d'eux. arthur n'a jamais été son trophée, et pourtant, elle était belle, elle était bonne, elle était sur le point de devenir actrice, mannequin, avoir cette fille avec soi, c'était être 'le' mec. lui, il voyait la fille qui l'aime. la petite nana avec ses rêves de gosse logés dans un coin du coeur et titubant sur une route existentielle pavée de sales intentions. on lui ferait toujours payer d'être trop jolie, trop mince, trop bronzée. avec lui, elle serait en sécurité, parce qu'il serait toujours incapable de profiter d'elle, de se servir d'elle comme d'un faire-valoir. il n'a jamais eu besoin de ça. il a déjà tout : l'argent, les relations, l'assurance. arhur, il l'aimait pour ce qu'elle voulait être : une fille bien, une actrice talentueuse, un grand coeur. et plus il l'aimait pour ça, plus arthur se familiarisait avec cette version ++ d'elle-même. plus tommy aimait arthur, et plus arthur s'aimait. ça le rendait heureux de la voir s'aimer. les paroles de sa mère, l'enjoignant à se séparer d'elle, n'ont jamais trouvé en lui d'issue favorable. elle avait pourtant une tonne de reproches à lui faire : peu intelligente, cette fille, actrice ratée, finira par coucher pour jouer dans un film et tu seras malheureux. vénale, tellement centrée sur elle, prend trop soin de son physique, se regarde tout le temps. des conneries venant d'une mère à la jalousie maladive, ne supportant pas l'idée qu'une femme la remplace un jour dans le coeur de son fils. il a peut-être merdé en prenant à la légère la haine corrosive d'anita envers arthur. à ses yeux, c'était tellement lointain. on s'en foutait tellement fort, de ce qu'anita pouvait penser, dire, faire. jusqu'à ce qu'arthur s'en aille. tommy n'a jamais compris. personne ne lui a jamais parlé de ce qu'anita avait manigancé dans son dos. de la manipulation qu'elle avait mise en oeuvre auprès d'arthur, saupoudrée de sempiternels 'mon fils mérite mieux que toi'. alors il s'est fait une raison simple. le genre de truc efficace et nourrissant : elle est partie parce que vous vous aimiez trop fort et qu'elle a flippé. elle était trop jeune pour se dire ça y est, c'est le bon, c'est le dernier. passer sa vie avec le même homme, c'est ok quand tu t'es fait ton expérience, mais quand t'as vingt piges... son entourage a été peiné d'apprendre que sa nana s'était barrée sans se retourner, sans s'expliquer. tout le monde aime beaucoup tommy, alors, quand tommy est triste (et ça n'arrive pas souvent), on se bouge pour le sortir, lui remonter le moral, lui présenter des copines. tout le monde a été tellement gentil, un putain de collectif de secours pour voler après lui et le retenir de sombrer. aujourd'hui encore, personne ne parle d'arthur, personne ne prononce plus son nom devant tommy. personne ne veut lui faire de la peine. |
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| Sujet: Re: seesaw kid. Jeu 13 Sep - 12:09 |
| save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
Présentation de la collection aut-hiv. 2019 à l’actionnaire majoritaire pour la Californie. 8h45 - qui, au XXIe siècle, cale une réu à 8h45 de l’aurore ? Des personnes mortifères, sans aucun doute possible. No shit, le degré d’ennui de cette réunion va bientôt atteindre son stade maximal. On est à 8,5 sur l’échelle établie par Nate et votre serviteur, et je note le chiffre en haut de la page de mon carnet au Bic noir. Je me ronge l’ongle, l’air de rien, l’œil torve, au bord du gouffre spirituel et physique. Je porte un jean noir Boglioli et une chemise Valentino cramée à certains endroits par des mégots inconscients et mes cheveux n’ont jamais été aussi crades. Possiblement encore poisseux du champagne de la veille avec lequel Nate m’a fait prendre une douche improvisée. Ça fait environ deux heures trente – et je suis même surpris que des gouttes ne perlent pas au bout des mèches. La célèbre phase déchoquage inventée par l’armée est une plaisanterie énarque de mauvais goût. Ce type – comment il s’appelle ? Coup d’œil à sa carte de visite, Jeremy Cohan – en train de déblatérer d’une voix éteinte devant son PowerPoint naze (travail de deux stagiaires pendant une semaine, validé par deux consultants au bout du rouleau et persuadés de « faire partie d’un grand tout ») ne doit sûrement pas se souvenir lui-même de la dernière fois qu’il a poussé cette plainte ravie venue du ventre, vous savez… le rire. La nana de la direction communication est mignonne. Je jette un regard sur sa carte de visite, nonchalamment étalée sous mon nez en éventail avec le reste de la team. Nom de famille : « Fenty ». D’accord. Pistonnée jusqu’à la garde. Je lui adresse un sourire rassurant. Je connais ton papa, tout va bien. Juste histoire de mettre les choses au clair : j’ai beau être encore défoncé, il n’y a pas que moi qui m’emmerde. Thijs est en train de sombrer dans son quarante-et-unième café de la matinée, Ron fait semblant de regarder l’intervenant, mais, dommage, on voit bien que ses pupilles fixent uniquement les boutons de manchettes de ce dernier, et Reinier est sur le point de péter les plombs. Des tics étranges secouent à rythme régulier les pointes de sa moustache old school, il mâchonne sa serviette de papier qui s’effrite lentement entre ses dents, signe de la dégénérescence de sa patience – en plus, son assistante personnelle, Anna, est en congés maternité, il n’y a plus personne ici pour lui donner son quart de lexo en cas de panique existentielle. Last but not least : que branle Nate ? Pas son genre de me lâcher pour ce style de merde. C’est au moment où je me fais la réflexion et envisage lentement mais sûrement son décès (peut-être juste après le before et la douche au Roederer, quand je l’ai perdu de vue ?) que la troisième porte de la salle de réunion s’ouvre et que la gueule de Nate apparaît dans l’embrasure. Un sourire d’excuses totalement con, un regard de Reinier qui signifie « ferme ta gueule et va t’asseoir », bref, une petite entrée comme on en avait besoin en ce long, long moment au purgatoire. Je souris et retire du fauteuil vide à ma droite mon attaché-case. Nate y dépose son gros cul au moment où Daniel tente l’impossible : citer un docu BBC qu’il a vu la semaine dernière et dans lequel notre investisseur fait une intervention de dix secondes sur un total de cent treize minutes. Génial. Quelqu’un a-t-il d’autres interventions passionnantes à nous faire partager ou bien personne n’a envie de saupoudrer l’inintérêt de cette réunion d’une énième couche de merde ? Merci. Nate tente d’intercepter mon regard, je le sens. Je cala pas. Aucune idée de ce qu’il va me sortir mais je sais que ça va être soit beaucoup trop drôle pour que je ne me mette pas soudainement à hurler de rire en pleine réunion, faisant frôler l’arrêt cardiaque à Fenty et signant la mort par asphyxie de Reinier (étouffé en avalant l’intégralité de son mouchoir), soit beaucoup trop intéressant pour que je ne rebondisse pas dessus et que nous entamions un débat enflammé qui nous fera passer pour deux écoliers stupides, Reinier nous accusant à la fin de la réunion avec moult renfort de postillons de ternir l’image de la marque (dont, dois-je le préciser, nous sommes les sacrosaints fondateurs géniaux). Bien déterminé à ne pas lâcher l’affaire, Nate attrape son stylo (un feutre noir) et rédige à mon encontre sur le dos de la carte de visite de Fenty qu’il vient d’attraper : « Jin me suce à 13h. » Je le regarde. Il sourit comme un shlag, les yeux explosés. Peut-être même plus que les miens. Je hausse un sourcil, dis à voix haute sans me soucier de l’assemblée qui nous entoure (ça allait forcément finir comme ça, je m’en doutais) : « Bradford ? » Jin Bradford, dans mes souvenirs, est la stagiaire aux airs latinos softs engagée depuis quelques mois au pôle communication / marketing et que, de ce que j’en sais, Nate rêve d’ajouter à la liste abominable de ses conquêtes de travail. La nymphomanie de Nate a sûrement paumé ses dernières limites le jour où Reinier lui a présenté ses bureaux à l’étage « design » peu après avoir imprimé ses cartes de visite « directeur de la création » en cinq mille exemplaires. Cela dit, je suis assez surpris. L’actuelle copine de Nate, Sandy (Corrie ? Nancy ? Fanny ? Un truc en –i) est beaucoup plus jolie que la plupart des filles qu’on peut croiser ici. Ce qu’elle fout avec un type pareil ? Elle l’aime. Elle aime qu’il la maltraite et l’adore à la fois, qu’il la trompe et l’adule, elle aime sentir qu’elle le perd un peu plus chaque instant et se battre pour le récupérer à peu près chaque soir. Elle fait de leur couple un cinéma permanent – j’adore ce genre de nana en mode Le Combat, la Guerre Femme. Et je suppose que Nate aussi. Elle l’aime, je l’ai vu dans ses yeux la seule fois où je l’ai croisée, quand Nate l’avait conviée au défilé de la collection, l’hiver dernier. Il avait été suffisamment galant pour inviter son officielle plutôt qu’une assistante en échange d’une pipe dans les toilettes du showroom. Moi, j’avais proposé à Jodie de m’accompagner, mais elle avait déjà quelque chose de prévu ce soir-là et je m’étais ramassé le vent du siècle. Dépité et le cœur (l’égo ?) en miettes, je m’y étais rendu en cavalier solitaire, enchainant les coupes de champ alternées cachets de d et petits fours au caviar. Quelqu’un avait sans le moindre doute empoisonné ma nourriture, me faisant rentrer à quatre pattes aux alentours de vingt-trois heures, submergé par une gerbe monumentale, tandis que Nate batifolait en présentant la « femme de sa vie » à toutes les assistantes qu’il avait chopées en leur jurant à l’époque (c’est-à-dire le jour précédent) qu’il était aussi célibataire que le pape François. Je renifle sans prêter attention à la question qu’a posée Fenty dans le silence mortuaire de la salle de réunion, dans une tentative courageuse mais vaine d’animer son séminaire. Je m’empare à mon tour de mon Bic et griffonne sur mon carnet, en dessous du 13h : « Je croyais qu’elle était pas intéressée ? » Une douce panique s’empare lentement de moi à mesure que je vois l’œil gourmand de Nate déchiffrer mon petit mot et un sourire carnassier se dessiner sur sa bouche. Je le soupçonne de plus en plus d’avoir drogué Bradford pour en arriver là, or, ma première préoccupation est de savoir, petit a) quand va-t-elle reprendre connaissance, b) à qui va-t-elle en parler une fois réveillée dans l’appart de Nate en face de Central Park, seule et paumée au milieu d’un salon vintage qu’un magnat du porno n’aurait pas moins bien décoré, c) serai-je inquiété ? Rire des frasques sexuelles de mon associé et accessoirement meilleur ami est une chose (voire même mon activité préférée dans la vie), patienter sur le banc de WorkForce1 à ses côtés en est une autre. je préfère être clair : mon choix est déjà fait. save the queens ---- / BEHIND THE MASK
holster, al. ---- / 225 ans ---- / rpgiste soft
ville / ici c'est paris. études ou métier / édition. avis général sur le forum / ben je sais pas, ça a l'air chouettos. le détail qui t'a fait craquer / ce pré-lien, le sursaut d'inspi. fréquence de connexion / sans problème en semaine, pas le week-end (vie sociale les gars). le mot de la fin / j'aimerais bien réserver personne, faites-moi savoir si c'est imposs. |
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| Sujet: Re: seesaw kid. Jeu 13 Sep - 12:22 |
| j'adooooooore ce que je viens de lire. j'suis vraiment trop contente que tu sois là. il est parfait ton tommy. j'ai trop hâte qu'on puisse rp ensemble, j'sens qu'on va faire de jolies choses, toi et moi. un grand bienvenue. hâte de lire la suite. ps : par contre, il faudrait qu'il soit né en angleterre. puisqu'arthur a vécu là-bas avant de venir à ny pour fuir justement tommy et sa mère. mais tommy et sa mère ont pu déménager ensuite, sans problème. |
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| Sujet: Re: seesaw kid. Jeu 13 Sep - 12:28 |
| contente que ça te plaise (finalement ça reste un gentil garçon ) merci d'avoir créé ce pré-lien d'extrême cutance me dépêche de terminer, hâte aussi edit : je modifie tout de suite |
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| Sujet: Re: seesaw kid. Jeu 13 Sep - 12:40 |
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| Sujet: Re: seesaw kid. Jeu 13 Sep - 12:41 |
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| Sujet: Re: seesaw kid. Jeu 13 Sep - 12:42 |
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| Sujet: Re: seesaw kid. Jeu 13 Sep - 13:16 |
| Super choix de scénario, voilà, tout est dit. (J'vais vous stalker, ça c'est sûr ! ) Plus sérieusement, j'aime beaucoup ce que je lis et ton perso a l'air vraiment trop cute. Je connaissais pas non plus ton vava mais il a grave du charme. Hâte d'en savoir plus sur ton beau Tommy. En tout cas, je te souhaite un très grand bienvenue chez toi , t'as choisi une super partenaire de rp et puis n'aies pas peur de @Bass Nobody, si il pouvait avoir toutes les filles à ses pieds, il serait le roi du pétrole. Mais c'pas le cas. (jotem d'amour quand même chaton ) |
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| Sujet: Re: seesaw kid. Jeu 13 Sep - 14:49 |
| bienvenue ce scénario, cet avatar et ce perso |
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| Sujet: Re: seesaw kid. Jeu 13 Sep - 16:00 |
| - Lion Reed a écrit:
- ohlala j'aime tellement ce scénario,
c'est un super choix (puis la ref a soa pour sa mère ) bienvenue ici
merci chat j'av je me suis refaite la série ya qques mois, la vie c'était que du bonheur mais j'avais presque oublié à quel point gemma était tarée - Bass Nobody a écrit:
- alors toi, j't'aime pas.
(je plaisante, t'es bô. ) juste arthur elle est à bass, donc voilà quoi. (possessif, moi ? ) bienvenue, ce scénario c'est trop le feu. attends tu crois tu dead ça là ?moi je veux bien puisque de toute façon elle est clairement plus à tommy ( ) mais je te signale que dans ton profil t'as titré célibataire frère btw, chaude pour un lien entre les deux et ton avatar est divin, le petit diams scintillant dans l'oeil j'arrive plus à regarder autre chose - Sera Cohen a écrit:
- je connaissais pas cette bouille mais qu'est-ce qu'il est canon
bienvenue par ici, ce scénario est une tuerie ( et puis king min yoongi omg, jtm ) merci beaucoup *coeur avec les doigts* @OPALE SIMMONSomg la queen des posts de bienvenue là merci énormément, ça me fait trop plaisir - Jean Paradise a écrit:
- bienvenue
ce scénario, cet avatar et ce perso tks ton profil on en parle ?? shook de l'avatar, le gif, les icons, c'est tellement esthétique |
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| Sujet: Re: seesaw kid. |
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