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  I'm the outsider in your crowd (gabriel)

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Message Sujet: I'm the outsider in your crowd (gabriel)    I'm the outsider in your crowd (gabriel) Empty Dim 2 Sep - 17:24


Gabriel & Jihane.
I'm the outsider in your crowd.
Message d’urgence sur ton portable. Tu lis encore et tu essayes de la joindre. Rien, pas de réponse de la part de ta tante. Ça t’inquiète directement et tu te poses des questions, tu te demandes ce qui se passe, se trame. Elle n’est pas du style Lyz à t’envoyer ce genre de message : vite. Urgence à la maison .   C’était un court message, mais assez suffisant pour soulever bien trop de question en toi. Alors, tu paniques un peu, t’es surtout un peu rougeâtre en plus d’être pleine de cambouis vu que tu bossais sur l’ancienne voiture de sport des années soixante qui appartenait à ta défunte mère, avant de finir entre tes mains, avec ton père. Tu avais prévu de passer la soirée avec ta famille, Lyz avait prétexté être pas au top pour ne pas venir. Alors ce message en plus de t’inquiéter et en train de soulever des questions dans ton esprit. Tu te délecter de passer ton après-midi les mains dans le moteur de cette voiture qui avait un jour appartenu à ton grand-père maternel, qui avait fini par lui léguer et qui t’appartenait maintenant, mais fallait la rénover avant de pouvoir l’utiliser. Sauf qu’on oublie souvent que malgré  ta grande passion pour les voitures, tu as horreur de conduire en ville. L’horreur, même. Attends rester sur du cinquante et tout … tu risques de t’endormir ou autre délire. Alors, tu cherchais une excuse dans ta tête, une excuse pour te sauver sans faire la moindre frayeur à ton père. Hors de question. Tu commences à savoir dans quelle situation ton père se sent mal à l’aise. Style quand tu parles de tes problèmes féminins. Il t’a toujours envoyé voir Lyzéa, sa sœur, ta tante. Alors, c’était toujours le truc à faire, quand tu voulais lui échapper ou échapper à une conversation. Tu le regardes et tu prends un air pas au top et tu souris. «   Je me sens pas bien … je crois que mes … »  Il te stop. «   Tu devrais rentrer ou te reposer ! »  Bam. Ça fonctionne parfaitement. Alors t’embrasse les petits, ton père, laissant ton visage marqué par le cambouis, tu n’avais pas pris le temps d’observer ça, peu importe.

Durant le temps qui sépare votre maison familiale à ce petit pavillon que tu partages avec ta tante, un laps de temps assez court, tu parviens à l’appeler durant le chemin. «   Putain répond ! »  Tu paniques avec les secondes sans nouvelle, pas de message, pas de réponse. Que se passe-t-il ? Tu n’es pas bien. Tu n’es déjà pas très bien depuis que tu sais que tu dois passer ces maudits tests pour savoir si tu souffres de ces gênes, des gênes de ta mère. Tu penses de plus en plus à elle, sans pouvoir en parler, sans penser avoir le droit de l’ouvrir, de dire ton ressenti. Tu ne veux tellement pas rendre mal tes proches que tu t’oublies dans la bataille. Tu te bats avec tes émotions, essayant de ne pas céder face à l’immense peur des résultats, un verdict qui pourrait tant changer de chose pour toi. Tu ne veux pas le voir, et encore moins y songer. Mais ça t’oppresse, ça te tue petit à petit. Tu t’en poses des questions, ta jolie caboche en est pleine. Tu le regardes cette beauté d’immeuble, censé rassuré par sa force, tu le regardes à chaque fois que tu penses que c’est le moment, que tu vas y aller, que tu vas te lancer. Mais non. T’es pas prête, t’es pas bonne. Il te faudrait la femme, l’unique femme qui mériterait d’être ton modèle, mais tu n’as plus que tes yeux pour la pleurer et rien d’autre. Tu commences à courir, le cœur qui se prépare au pire quand tes opales se posent sur la maison. Tu pinces tes lèvres, tu vois tout fermer. Et les questions ne s’apaisent pas dans ton esprit. Tu prends tes clefs, et tu entres. Les clefs en main.

« Lyzéa ? »  Tu ne l’as jamais appelé tata. Pourquoi ? T’en sais rien. C’est ainsi. Innée comme appeler son père papa et héros et sa mère maman et reine. «   Punaise, mais t’es où ? »  Puis tu t’approches de la cuisine, alors qu’un bruit sourd et flippant se fait entendre. Ça venait de la porte, du rideau électrique. Le cœur qui bat à cent, à mille à l’heure même. Tu vas voir et t’aime pas, tu ne peux pas ouvrir la porte, le courant qui se coupe. La blague ? «   Lyzé a ? »  Punaise, il se passe quoi ? Sinon les interrogations font toujours rage dans ton pauvre esprit qui va finir par mourir asphyxié à force.  Tu reçois un sms qui fait que tu es rassurée : en haut. Ça vient de Lyzéa. Alors, tu montes, toute contente, mais dans une certaine optique de la frapper. Tu l’as cherché dans toutes les pièces de l’étage jusqu’à entendre du bruit dans ta chambre. Tu fronces les sourcils et tu ouvres la porte, dans le noir, tu prends ton téléphone pour y voir plus clair. «   Il sa passe quoi putain ? »  Que tu hurles, mais tu n’as pas fini de hurler, la belle, oh non. Tu ne vois pas de chevelure brune se déhancher sur l’échine de ce corps, car ce n’est pas elle. Puis tu le vois, tu vois son visage. «   Gabriel ? »  Tu viens sans doute de lui crever un tympan en même temps que les tiens. «   C’est quoi ce bordel ? »  Que tu demandes. Puis tu sors de ta chambre te prenant le propre encadrement de ta perte de chambre. « Putain ! »

 
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Message Sujet: Re: I'm the outsider in your crowd (gabriel)    I'm the outsider in your crowd (gabriel) Empty Mer 12 Sep - 17:41


Gabriel & Jihane.
I'm the outsider in your crowd.
Jour de gloire. Devant sa glace, l'air grave sur le visage de Gabriel montrait bien l'importance de la situation. Voilà plusieurs jours que le jeune homme avait cherché une faille, quelque chose ou quelqu'un qui pourrait lui être utile afin de ne serait-ce que pouvoir s'approcher et parler à Jihane. Leure dernière conversation avait hanté le jeune homme, littéralement, jusqu'à parfois n'en plus pouvoir dormir certaines nuits. Il en était alors venu à la conclusion qu'il devait faire quelque chose. Si ce jour-là, Gab s'était retrouvé au bord de la rupture émotionnelle, prêt à tout abandonner et à vivre toute sa vie avec le poids de la culpabilité. Il s'était bien vite rendu compte que cela allait être impossible. Pas dans son tempérament. Pas lui, malgré elle. Si une chose lui restait de son passé, c'était sa détermination et son goût prononcé pour se mettre dans la merde. Il avait donc décidé d'agir.

Contre toute attente, il était allé rendre visite à Lyzea, dans sa boutique et entre une commande loufoque pour genre quinze personnes et quelques coups d'oeil de chatons, il avait tenté de plaider sa cause. Est-ce que ça avait marché ? Oui et non. Non, elle ne lui avait rien promis, il avait pédalé dans la semoule et en plus de ça, il était ressorti avec des gâteaux pour une semaine .. Hum. Mais, oui, puisqu'elle venait de lui donner rendez-vous chez elle. Bingo. Il en aurait presque été jusqu'à chanter l'hymne nationale, la main sur le coeur, comme pour aller au combat ... Puis son look, mon dieu son look. Dans l'esprit de Gabi, pour convaincre la tante un peu plus âgé qu'eux, il fallait faire mature et genre intello. Bah oui, non ? Si, bon bon. Du coup, Gabriel s'était fait une raie, dans les cheveux, avant de lever les pouces genre c'était trop bien pour le style. Ensuite, des lunettes de vue ... Bon, il voyait trouble, ce n'était pas les siennes, celle de Maddy, mais qu'importe, dans son esprit, il avait exactement la dégaine attendue. Un peu intellectuel et bon à marier. Attention, il ne voulait pas se marier hein, juste parler de Jihane et convaincre sa tante de l'aider, mais ... Dans la tête de Gabriel, tout ça était d'une logique imparable, c'est tout ce qu'il y avait à savoir.

Après avoir un peu galéré pour trouver le lieu à l'aide de l'adresse fournie, Gab s'était finalement garé devant. Son casque retiré, il profitait de son rétro pour remettre bien sa raie, hors de question de gâcher l'effet escompté. Devant la porte, une chose bizarre, elle était entrouverte... "Putain, je vois rien ... " Gab dû retirer les lunettes une seconde pour vérifier et effectivement, la porte n'était pas fermée. Peut-être pour lui ? "Lyzéa C'est Gabi.. Heu, Gabriel, Stinson, je peux entrer ? " Pas de réponse et donc, très naturellement, il s'engouffrait à l'intérieur. On aurait dit une maison de vampire ... Est-ce qu'il fallait flipper ? Volets fermés, pas un bruit, pas un chat et puis surtout, après quelques mètres, la porte qui se refermait sur lui ... "Bordel de tête à queue... MADAME Al MASRI ? " Gabriel commençait à se demander si on lui avait pas tendu un piège pour le tabasser en famille ... Plausible. Impossible de rouvrir la porte.

Coincé ici, Gabriel décidait de faire le tour du propriétaire, pour tomber sur Lyzea d'abord, par curiosité ou autre ensuite. "Chouette. Personne n'a rien vu." Dans la cuisine, il venait de piquer un paquet de chips, ayant faim rien que d'être dans ce lieu, avant de monter à l'étage. Pas psychopathe du tout ... Tout ça avant du bordel et quelqu'un qui venait d'entrer. Gab eut le réflexe très étrange de se cacher un peu, avant de finalement entendre une personne monter. Une voix, il eut un haut-le-coeur en reconnaissant celle qui appelait Lyzea ... Jihane. "Bon sang ..." et lui qui voyait quedal en plus ... Bon, il était temps de sortir et d'essayer de comprendre tout ça. Il décidait carrément de se montrer et d'aller à sa rencontre. De toute manière, il ne pouvait pas sortir d'ici. Elle venait de poser une question, il décidait d'y répondre "Il y a quelqu'un qui s'amuse à fermer les portes. Je mise sur Casper. Salut ! " Sans doute pas une bonne idée, ni une bonne approche ... Pourquoi elle hurlait ? Il était à côté ..." Ben oui c'est moi ... "

Reprenons. Il était seul chez Lyzéa et elle lui tombait dessus. Logique qu'elle se prenne l'encadrement de la porte de sa chambre. Il avait ri, un peu avant de se reprendre, au dernier moment, d'un geste certainement salvateur. "Doucement, doucement ... Je vais pas te manger." En parlant de manger, il lui faisait face, il fallait être poli, lui proposer quelque chose ... "Tu veux des chips ?" Qui lui appartenaient sans doute, bien joué Gabi, alors qu'il lui tendait le paquet d'un air un peu bête. En revanche, ils étaient deux dans cette galère maintenant, à moins que la jeune femme n'y soit mêlée, Gabriel commençait à avoir peur, faisant un mouvement de recul. "Toi tu sais peut-être ce qui se passe ici ? " Un coup d'oeil, à droite, à gauche, derrière sans trop voir, se prenant un mur, avant de la regarder de nouveau. "Si ma dernière heure à sonner, je veux le savoir, mais faudra qu'on parle avant." Etape par étape, Brave Gabi. "Tu as bonne mine." Bon, des fois, il faut quand même savoir se taire. Ou chercher à Caresser dans le sens du poile un possible agresseur, au choix.
 
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Message Sujet: Re: I'm the outsider in your crowd (gabriel)    I'm the outsider in your crowd (gabriel) Empty Jeu 20 Sep - 10:02


Gabriel & Jihane.
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T’as quitté ton père pour pouvoir savoir ce qui se passait pour Lyzéa. T’as pas hésité une seconde à accourir pour elle, à ses côtés. Pas de réponse. Pas d’explication. T’es dans le vague, tu ne peux qu’entendre le crépitement de ton cœur qui s’emballe rapidement en imaginant le pire dans ta petite tête. T’aimes pas trop ce que tu ressens, mais t’as pas trop le choix à vrai dire. Non, clairement tu n’as pas le choix que de supporter tout cela. Alors, une fois chez vous, autant dire que tu n’hésites pas. Tu pénètres dans la maison, pleine d’appréhension. Ouai, car tu ne sais pas trop dans quelle position ou situation tu pourrais retrouver ta tante. Ça t’enchante pas d’imaginer le pire, mais c’est ainsi. Depuis quand la vie fait des cadeaux ? Jamais. Faut pas trop en demander à cette peste. Tu cries son nom, mais pas de réponse. Non rien. Le silence règne en mettre dans l’endroit. Un grand coup de pression t’envahit, quand tu déambules dans la maison. Pas de Lyz, pas de tante. Elles ne font qu’une, même si t’as plus la sensation d’avoir une sœur en la personne de celle qui est censé être ta tante. Puis un sms qui vient à te demander de monter en haut. Du moins tu présumes. Tu n’as que ça à faire après tout. Tu as bien du mal à ne pas paniquer, tu pourrais monter les marches à une vitesse folle, mais non. Non, tu as bien trop peur de ce qui pourrait ce tramer à l’étage.

L’atmosphère est lourd, entre le manque de pénombre qui pourrait vraiment te guider et l’absence de réponse de Lyz’, tu es vraiment mal. Tu as gravis l’escalier avec douceur, laissant le temps à ton cerveau de ne pas mourir sous les coups des interrogations qui ne vont que te malmener depuis le début. Pas d’air, pas le temps de respirer. Ça te lance, ça piétine avec audace et ça te laisse sur ta faim. Ouai, car pas de réponse. Elle est bien gentille, toi tu es juste paniquée, imaginant le pire, car c’est ainsi qu’il faut faire. Voir, imaginer le pire pour finalement voir que la situation n’est pas aussi lamentable que ça. C’est pour ça que tu présumes souvent que tes résultats seront horrible pour la maladie, des résultats pourris, comme ça tu ne tombes pas de haut si c’est le cas. Tu t’y attendais, tu es préparée. Mais pour le moment ne t’as pas le cran d’affronter cela. L’idée pianote dans ta tête, mais n’est pas encore mûre, il lui faut encore du temps. Toi t’as pas vraiment envie de savoir, plutôt de traumatiser un peu plus, que de craquer, que de foncer et pénétrer dans un hôpital, dans cet hosto. Peut-être que la solution pour ne pas paniquer ça serait de viser un nouvel établissement, moins de souvenir. Un bruit émanant de ta chambre te fait flipper. Tu te précipites dans ce rideau de nuit qui est créé par l’absence d’électricité.

Ton portable ce sauveur. La lumière t’éclaire, te laisse suivre un chemin. Nez à nez avec Gabriel. Pas de Lyzéa, ça devrait presque te rassurer que lui ne soit pas avec elle, non ? Tu n’arrives plus à penser, à tempérer les questions qui se déhanchent sur une mélodie bien trop folle pour que tu puisses suivre la cadence. Tu hurles, non pas que tu le veuilles, mais aveuglement te fait hurler, la situation aussi. Mais bon le noir t’aimes pas trop ça. Ta lampe de téléphone éclair, mais pas suffisamment. Alors, tu t’interroges sur sa présence, sur tout ce qui s’est passé depuis ton arrivée dans ta maison. Pinçant tes lippes, tu glisses une main dans tes cheveux, des mains pleines de cambouis, mais c’est clairement le cadet de tes soucis pour le coup. « Si seulement y avait que Casper, je pourrais être heureuse ! » Lâchais-tu la voix sans relief. Pas envie d’hurler, t’es énervée, mais t’as sur les nerfs là de suite contre Lyzéa. Elle est où ? Il lui arrive quoi ? T’as bien l’intention de le découvrir. « Ouai c’est toi et tu fais quoi ? » Puis là tu hurles à nouveau. Tu t’amuses à tester toutes les intonations possibles, ou comment ça se passe ? Tu le regardes, t’as bien du mal à fixer tes yeux sur lui, non pas qu’il soit horrible, mais c’est que dans la pénombre tu n’y vois pas grand-chose.

Tu ne tiens pas en place, tu fais tout à la va vite et tu finis par te prendre l’encadrement de ta porte de chambre. T’en as marre, t’es à deux doigts de craquer, littéralement. Tes lèvres s’ourlent avec douceur alors que tu l’entends te dire d’y aller doucement. Il ne va pas te manger. Ouai, tu fuis sans doute Gabriel dans cette manière de rebroussait chemin, tout en testant de trouver ta tante, une abonné absente. Ça te pique les yeux ce manque de lumière, t’aimes pas du tout cette situation, t’as pas le temps de penser qu’il te propose des chips. « Non. » Moins brutale qu’à l’accoutumée, moins revancharde aussi. Pas que tu abandonnes, mais t’as trop de chose en tête pour hisser la muraille de chine devant ton cœur pour être en mode défensif agressif. « Pour ce qui est de me manger je pense avoir capté que tu avais de quoi te rassasier ! » Les chips. Tu as du mal à ne pas avoir envie de le faire sortir d’ici de force, le prendre par les cheveux, que tu vises maintenant avec ta lampe, et tu te mets à rire. Hilare. Pas méchamment, quoi que. « T’as croisé un intellectuel dans ma chambre ? » pincement de lippes, tu fixes Gabriel et cette façon de se coiffer, ça lui ressemble ? C’est bel et bien la question que tu te poses. T’es curieuse, dans le fond il aurait changé depuis ces dernières années d’apparence ? Mais là, c’est beaucoup, non ? Enfin, tu le regardes et hausses les épaules. Tu croises les bras avant de répondre. « Non, juste que moi je vis ici, donc ceci explique ma présence, mais toi tu fais quoi ici ? » T’as toujours pas eu de réponse à cette question, et tu en veux une. Absolument. « Tu es devenu un épieur ? Besoin de venir fouiller … » Puis ‘un coup tu penses, mais ce n’est pas top comme pensée. « Sérieux pourquoi tu étais dans ma chambre ? » T’as vite fait le tour avec ton cerveau à imaginer la frimousse de Gabriel plongé dans ton tiroir à sous-vêtement. « Je n’ai pas l’intention de te tuer et parler on l’a déjà fait alors, en quoi je devrais encore t’écouter ? Tout a été dit ! » Que tu lances alors qu’il finit par te complimenter sur la bonne mine que tu as … tu lèves les yeux au ciel. « Une bonne mine ? Tu as une bonne vue dans la pénombre qui règne en maitre ici ! »

Le téléphone en main, tu le fixes pour écrire un message, mais une fois celui-ci composé à l’intention de ta tante, pas de réseau, pas de possibilité de l’envoyer. « Putain, mais c’est quoi ce délire ! » Toi t’en sais rien de ce qui se passe, mais la situation est digne des films d’horreur que tu lookes avec Lyz’, elle tente de se venger des fois où tu te moques d’elle dès qu’elle frémit comme une feuille sous les caprices du vent ?

ps: sorry c'est un peu long  I'm the outsider in your crowd (gabriel) 4199206909
 
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Message Sujet: Re: I'm the outsider in your crowd (gabriel)    I'm the outsider in your crowd (gabriel) Empty Ven 12 Oct - 16:05


Gabriel & Jihane.
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Quelle situation étrange. Pour être honnête, pas désagréable, mais étrange. Gabi était supposé rencontrer Lyzea, lui parler de Jihane. C'était un peu gonflé en soit de se rapprocher de la tante pour parvenir à ses fins, mais c'est tout ce qu'il avait trouvé. Aussi longtemps qu'il puisse s'en souvenir, Lyz avait toujours été agréable avec lui. Cette fois encore, dans sa boutique, elle avait fait le choix de l'écouter plutôt que de l'envoyer se faire promener. Il était chanceux ou peut-être qu'il s'était emballé trop vite ? Cette maison, complètement fermée, cette atmosphère flippante, pesante... Et si Gabi était tombé dans une sorte de piège ? Dans le noir, ils allaient tous débarquer et lui taper dessus. Joyeuse activité en famille. Se venger de ce qu'il avait fait à Jihane par le passé.

D'assurer et confiant, avec son paquet de chips, il commençait à avoir un doute. Lui, comme un imbécile, il avançait, il se promenait, jusqu'à l'étage, sur ses gardes, petit-à-petit quand même. Une chambre ... Dans laquelle il s'était réfugié en entendant du bruit. Puis Jihane venait d'entrer en piste, un peu déboussolée, une vraie petite pile électrique aussi. Curieusement Gab se décontractait un peu, elle n'avait pas l'air de vouloir le frapper, ce qui était un bon point mine de rien. Présentations grotesques, comme à son habitude. Au sujet de casper, il optait de ne pas rebondir. Oui, il comprenait très bien qu'à l'heure actuelle, elle préférait se retrouver nez à nez avec un fantôme, plutôt qu'avec lui. Pas très glorieux, mais logique. "Je me suis dit que c'était une jolie maison ici en passant devant, alors j'ai décidé de visiter, normal quoi." L'humour, cette arme fatale, peut-être pas la bonne étant donné que ça provoquait un hurlement et un tête-à-tête dans l'encadrement de la porte ..." Je rigole hein ... En fait, c'est pas toi que je devais voir. Paniques pas ! "

Il ne comptait pas la laisser fuir, quoi qu'il arrive, il allait rester avec elle pour avoir le fin de mot de l'histoire. Et tant mieux, si elle ne voulait pas de ses chips, plus pour lui. Bon, la situation légèrement rocambolesque mettait un peu le bazar dans sa tête et son ordre de priorité. Il allait rebondir sur le fait de se rassasier, mais voilà qu'elle le pointait avec son téléphone .. Avant d'éclater de rire. Ben quoi, il avait un bouton ? Mince, les cheveux ... Gabi s'empressait bien vite de se décoiffer et d'enlever cette raie horrible, un réflexe direct face aux rires de Jihane." Oué, euh, non ... attends ! "Il décidait de faire pareil et de pointer son téléphone sur elle aussi. "Et toi tu as danser sous une voiture non ? " Deuxième tentative de la faire rigoler, mais ça ne marchait seulement que pour se moquer de lui. Dommage. Il trouvait que pour une fois, il y avait un échange non violent, mais voilà qu'elle se remettait à courir partout, à s'éparpiller dans ses mots et dans ses pensées sans doute ... Gab la laissait parler, la regardant avec un sourire même. Attardé ? Non, c'est qu'il la trouvait jolie à s'énerver avec du cambouis plein la tronche ... Lui et ses priorités, encore. "Oui, une bonne mine." Pas question d'en dire plus par contre, juste chercher des explications à tout ça. Focus.

Comment aborder la question ? S'expliquer ? Il avait réussi sur toutes les pièces à se retrouver dans sa chambre à elle, faut le faire. Il devait lui avouer qu'il était venu voir sa tante pour lui parler d'elle. Lui parler tout court ? D'un coup, Gabi ne savait plus exactement ce qu'il devait dire ou pas. Dans l'ordre jeune homme, dans l'ordre." Bon pour commencer, je ne savais pas que c'était ta chambre d'accord ? Et j'ai pas fouillé, promis." De là à ce qu'elle s'imagine qu'il était allé dans ses tiroirs, il se devait d'être clair pour éviter un coup imminent. "Ensuite, je me répète, mais je venais voir quelqu'un d'autre, Lyzea. Pour lui parler ... Pâtisserie." Hum ? La crédibilité, on repassera, mais les mots - Je suis venu pour parler de toi. - ça ne sortait pas. Enfin, ce qui l'embêtait le plus finalement, c'est qu'elle soit encore fermée à la discussion. Une partie de lui, aurait voulu autre chose, qu'elle ait eut le temps de réfléchir depuis leur dernière rencontre houleuse. Que les paroles qu'il avait pu avoir aient eu un impact, mais il constatait que non. Pas grave, il haussait les épaules et il était temps de changer de tactique. "Pour comprendre ce qui se passe ici, si on ne parle pas, ça va être compliqué."

Il devenait évidant à sa tête, les yeux rivés sur son téléphone qu'elle ne comprenait rien elle non plus à ce qui se passait là. On les aurait donc piégés, tous les deux ? Lyzea était capable de faire un truc du genre ou alors c'était quelqu'un d'autres ? Il aurait peut-être dû flipper, mais au contraire, ça l'emballait ... un sourire se dessinant même sur son visage. "Pas de réseau hein ? J'ai essayé avant. Moi je pense que toi et moi on va devoir faire équipe là." C'était clair pour lui, il avait une occasion de se rapprocher de Jihane, c'était le moment. Parler n'avait pas marché, alors il devait lui montrer." On peut peut-être commencé par essayer de remettre le courant non ? Tu sais où se trouve le compteur électrique ? "D'un geste malin, il l'invitait à avancer, mais Gabi étant Gabi, il ne pouvait pas s'empêcher d'en rajouter un peu trop. "T'inquiètes, pour la pénombre, je couvre tes arrières ! " Mouai, phrase un peu maladroite, voir même tendancieuse, rattrapage nécessaire." Enfin, je t'éclaire quoi, de derrière." Se taire est pourtant parfois la meilleure chose à faire.
 
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Message Sujet: Re: I'm the outsider in your crowd (gabriel)    I'm the outsider in your crowd (gabriel) Empty Mer 24 Oct - 19:38


Gabriel & Jihane.
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Ta vie à cet instant serait moins complexe si ce n’était pas avec lui que tu étais coincée dans le coin. Tu ne l’aurais pas cru, mais le revoir ça a comme brisé un mur en toi, le barrage qui contenait l’effluve de sentiment, bon comme mauvais à son égard. Autant dire que c’est un mélange détonnant et clairement explosive si tu finis par te laisser aller. Mais t’as aucune envie d’aller dans sur un ring de combat ou même d’imagine autre chose. Alors, songer à être calme, y songer, ce n’est pas totalement le faire, mais presque hein. Tu serais épanouie si Casper était le seul dans le coin, mais ce n’est pas le cas, y a ton ex, le destructeur en herbe. Quoi qu’il est plutôt doué pour un débutant. Il t’explique suite à ta demande ce qu’il fout chez toi, chez vous. Lyz n’est pas là, t’es pas encore en train de faire le rapprochement heureusement pour lyz, vraiment. Tu le regardes, tes opales qui jonchent son être alors que sa réponse manquerait presque de te faire rire. Mais t’en fait rien, car y a la rancœur autour de ton cœur qui t’en empêche, ça prend apparemment du temps de passer à autre chose quand ton corps est dévoilé aux yeux de tous, que ce soit de simple jeune ou jusqu’au dark web. Bon, t’en sais rien jusqu’où on était ces photos, mais tu t’en fiches, en vrai tu ne veux même pas laisser ton esprit effleurer les choses que ces gens ont pu faire en déposant leur regard dessus. « Heureusement que tu rigoles … sinon tu dois rentrer dans pas mal de maison … » tu croises les bras, c’est presque de l’humour et la voix elle est posée, pas dans l’excès ou l’attaque. « Puis je panique si je veux, hein … tu devais voir qui ? Gabbi le chien, c’est ton pote ? » Mais forcément, tu te doutes que c’était ta tante. Là t’as peut être bien des envies de meurtre. « Lyz ? » Le regard qui te brûle quand il croise celui de Gab, alors tu le fuis, cherchant à déposer tes opales ailleurs.

Coincée à quelques centimètres de lui dans cet encadrement de porte. Tu restes inerte, l’observant, te moquant même de lui. Peut-être bien que tu retrouves un peu d’humour malgré sa présence. Du progrès. Enfin, cette coiffure ne peux que te faire sourire, ça serait compliqué, on dirait qu’il avait rendez-vous avec le banquier pour un prêt ou autre. C’est assez amusant, car tu te l’imagines pas de la sorte, à tes paroles le jeune homme se décoiffe, laissant le bordel s’imposer d’un revers de main. ça le rendait bien plus … non, interdit de penser de la sorte, même si ça le rend vraiment sexy. Reprends-toi jeune fille. Une petite piqure de rappel de qui est le jeune homme face à toi ? Pas besoin. Tu ris avec lui, ça fait bien longtemps que tu ne l’as pas fait, peut-être bien que tu devrais serrer les lippes et ne clairement pas accompagner son rire. Mauvaise idée, mais tu continues riant à gorge déployée. Dansé sous une voiture ? La lumière de son téléphone en pleine face, tu plisses les yeux, les paupières tentant de créer une pénombre convenable. « Comment ça ? » Puis, tu te dis que tu as bossé sur la voiture, mais quand même tu aurais vu une tâche sur ta tronche ? Quoi que vu la précipitation dans laquelle tu avais quitté ton père c’est fort possible que non. « Ouai si tu le dis … attend pas de merci. » Que tu lui dis avec un léger sourire, même si tu souffles le chaud et le froid, mais bon. Enfin, tu commences à te poser des questions, bien trop, ton esprit va imploser et te laisser sans aucun neurone.

Tu le regardes attendant les réponses à toutes les questions qui venaient de fuser en sa direction. Le regard qui parvient à capter le sien, mais tu ne t’y accroche pas trop. « Et je dois te croire parole ? » Tu lèves un peu les sourcils et tu souffles. « Non, car tu es la bonté même, donc, tu comprendras que je n’ai pas confiance, hein ? » Que tu lui dis. Autant être honnête, mais tu es calme, un coup pas, puis un autre si. Mais là tout va mieux, du moins tu crois. Pâtisserie. Tu y songes, vrai, pas vrai ? Tu en sais quoi ? Pas grand-chose à vrai dire. Tu ne sais pas quoi penser. « Pourquoi avec elle et pas une autre … c’est ma tante, tu le sais donc pourquoi ? » Oki, tu vas le croire, mais pourquoi elle n’est pas une autre ? La meilleure ? Faut pas pousser, elle est douée comme toutes les autres et donc tu te refuses de croire que la raison est vraiment celle-là, mais tu vas le laisser croire, car peu importe. « On parle depuis tout à l’heure non ? » Parler et hurler, des choses différentes, mais tant pis. Il a compris le principe, tu es sûre de pouvoir échanger avec lui en parlant, puis criant s’il le faut, c’est pas bien compliqué. Pourquoi il sourit en te balançant le fait que vous n’aviez pas de réseau ? Trop de question, trop de chose qui font que ça t’énerve. « Jamais. » Tu ronchonnes un peu, t’aime bien bouder, ronchonner, mais tu passes au-dessus, c’est ainsi. « Oki, mais ça changera rien à notre relation ! » Une relation de je te hais, mais j’avoue que je te regarde ? Tu ne diras rien à ce sujet. Tu l’observes et tu hausses les épaules. « Dans le sous-sol … » Tu grimaces. Pas envie d’aller là-bas. Puis tu commences à avancer sous sa demande avant de te retourner. « Non, tu ne surveilles pas mes arrières je suis assez grande ! » Tu souffles. « Et je m’éclaire seule ! »

Avançant avec du mal, vous avez travers les couloirs des chambres, puis l’escalier qui mène à la cuisine ou se tient la porte du sous-sol. T’ouvre la porte et tu entends un truc venir d’en bas ce qui te fait faire un bon, marchant sans faire exprès sur le pied de Gabriel et manquant de te foutre au sol, mais tu finis juste dans les bras de l’autre abruti. Mais t’y reste pas longtemps, car non, ce n’est pas possible. « Pardon. » Un peu de politesse. Puis tu délaisses la poignée de la porte, allant prendre un couteau dans la cuisine, mais en faisant ça faut farfouiller la cuisine et tu te coupes, rien de grave, quelques gouttes de sang, mais ça pique. « Putain. Nous faut de quoi nous défendre ! » Carrément parano.
 
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Message Sujet: Re: I'm the outsider in your crowd (gabriel)    I'm the outsider in your crowd (gabriel) Empty Lun 12 Nov - 16:15


Gabriel & Jihane.
I'm the outsider in your crowd.
La probabilité de succès sur des tentatives pour la faire rire ? Faible, très faible, Gab le savait, mais il avait tenté quand même. La dernière fois qu'il s'était retrouvé face à elle, seul à seul, il était resté sans réaction, il avait totalement subi la discussion, à juste titre d'ailleurs. Depuis, il avait cogité, il avait ressassé, les vieux souvenir ce qu'il avait fait. Il comprenait le degré de haine que Jihane avait pour lui. Ca ne le freinait pas cependant, au contraire. Quitte à aller jusqu'à voir sa tante dans sa boutique. Il était strictement incapable de laisser couler, de laisser les choses telles qu'elles étaient. Il avait eut de l'affection pour elle dans le passé, quoi qu'il en dise, il s'était rendu compte qu'il en restait toujours depuis. Qu'il ait une autre chance de passer du temps avec elle, même s'il ne comprenait pas comment c'était possible, Gab se devait de la prendre. En étant lui-même cette fois, pas cette pâle copie tétanisée qu'il lui avait offerte au garage. Pris de court. "Je suis peut-être agent immobilier en plus, tu sais pas." Est-ce qu'il avait détecté une once de sourire ? Impossible, mais pourtant...

"Entre Gabi on est pote. Il parait. Enfin, c'est connu. " Une ombre de complicité ? D'humour. Avec la proximité, c'était même étrange, mais il était bien Gab là. Si bien qu'il passait volontairement sous silence la réponse au sujet de lyz, pour l'instant. Elle était trop proche, elle pouvait le frapper. Encore. Qu'elle se moque de lui, ça le déstabilisait, mais d'un autre côté, il était sur la bonne voie non ? Si on lui avait dit ce matin qu'il rirait aujourd'hui avec elle ... Même de lui. Le problème de la coiffure était réglé. Tout devenait bon à prendre concernant les réactions de la demoiselle. Tant qu'elle ne devenait pas une boule de nerf. Ca restait positif. Quitte à oser se moquer à son tour ? Puis la complimenté ? - Attention Gab, Attention. - Trop de confiance d'un coup pouvait nuire au bon fonctionnement de ce ... Tête-à-tête imprévu. "J'attends rien, t'inquiète pas, je le dis juste."

Ne pas en faire trop, surtout, ne pas en faire trop. Phrase à l'ordre du jour. Et commencer à se justifier aussi. Qu'elle se dise qu'il était allé fouiller dans ses culottes, hors de question. "Je le jure. Regardes mes yeux, ils ne bougent pas." Bon, il ne savait pas ce que ça donnait, figé dans ses opales, mais il essayait de montrer qu'il était fiable cette fois. Sans ciller, manquant de rire à nouveau." Et je le répète, mais je comprends que tu n’as pas confiance, encore. Je vais faire avec. Pour l'instant. " Le clin d'oeil et la mine sereine. Qu'est-ce qu'on avait dit ? Ni une, ni deux il se retrouvait acculé, cette fois-ci se devant de dire à demi-mots la vérité, un peu camouflée par cette histoire de pâtisserie, c'est vrai. "Ben, elle fait des bons gâteaux quoi." Et c'est sa tante, mais hors de question de la pousser à crier de nouveau. Elle semblait indécise, mais heureusement, laissait couler l'explication. D'un autre côté, il y avait à faire, plus urgent que subir un interrogatoire, ça même Jihane le comprenait. "C'est vrai c'est un bon début." Jamais, ce trop grand mot le faisait rire, avant de faussement jubiler, pour la chercher encore. Etre lui-même lui allait beaucoup mieux que la dernière fois, c'était certain." Notre relation ? Donc on a une relation. Ca c'est de l'avancée !" Doucement Gabi, doucement. Ou pas, il la poussait légèrement en souriant avant de faire une tête choquée au possible. Sans rien à dire, miraculeusement il taisait la blague possiblement douteuse sur le sous-sol à deux, dans le noir qu'il avait en tête. Non sans s'emmêler les pinceaux par la suite et provoquer .... Sa mise au point. Pas de lumière, noté, mais il la suivait et ils faisaient équipe. Une idée de Lyzea ? Si c'était ça, il se promit d'acheter encore tout plein de gâteau.

En sa présence, Jihane avait des envies de crier, de lui lancer des regards noirs, de faire des sourires, malgré elle, avant de se rattraper, mais elle n'avait pas encore été maladroite. La surprise était de mise avec elle dans ses bras. Il n'avait même pas senti la douleur de son pied du coup. Pas de sourire, mais un regard bienveillant en la rattrapant." Pas de mal, du tout." C'était presque un moment romantique ça non ? Avant qu'elle ne s'excite de partout encore ... Jusqu'à se couper. "Doucement et c'est pas toi-même que tu dois attaquer, laisse-moi voir." Docteur stinson ? Non, pas vraiment, mais il connaissait les bases tout de même, Gab s'était coupé, fracturé des choses et même brulé un bon nombre de fois. Arrêter l'hémorragie et faire un bandage de fortune, c'était dans ses cordes. De satisfait, il fronçait ensuite directement les sourcils avec un air roublard et faussement méfiant. Quoi que. "Bon, par contre, je ne suis pas certains que notre relation soit assez avancée pour que je te laisse avoir un couteau en ma présence. Je ne veux pas que tu te blesses avec de nouveau." D'un oui déjà et de deux, prendre un coup tranchant n'était pas dans ses plans du moment.

"Laisse ça donc, je saurai nous défendre." Sans lui laisser le choix, il l'éloignait des lames et se mettait entre eux et elle. L'invitant à lui montrer le reste du chemin à suivre. Avant un bruit qui manqua de lui provoquer un petit cri. Il avait heureusement réussi pour son égo d'homme à l'étouffer au dernier moment. "Tu crois qu'il y a quelqu'un d'autres ici ? Un autre agent immobilier ? " Bon, dans sa stuppeur, il disait n'importe quoi, mais il avait l'envie d'un coup de prendre un couteau en douce, sans qu'elle ne voit, ce qu'il fit, avant de s'avancer. "Je vais y aller d'abord, tu me suis." Gentleman ? Curieusement oui, c'était flippant, mais c'est naturellement qu'il avait envie de se diriger vers le bruit en protégeant Jihane. Il n'y réfléchissait même pas. "Toi tu as le droit d'éclairer mes arrières hein." De l'humour, sans vraiment le vouloir. Il espérait juste ne pas se retrouver confronté à un cambrioleur super baraquer ou pire, un vrai fantôme. Là, il serait obligé de crier. "Monsieur le fantôme cambrioleur ?"
 
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Message Sujet: Re: I'm the outsider in your crowd (gabriel)    I'm the outsider in your crowd (gabriel) Empty Dim 2 Déc - 15:25


Gabriel & Jihane.
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Ça te fait étrange d’être avec lui, dans la même pièce plongée dans le manteau de l’obscurité. Tu n’as pas demandé cette rencontre, tu te demandes forcément ce qu’il fout là, mais lui à l’air d’avoir réponse à tout. Tu lèves les yeux en l’entendant te dire qu’il est peut être agent immobilier. Tu ne pourrais pas dire non, faut dire que vu son accoutrement ou même ses cheveux sont droit, c’est compliqué de lui rétorquer qu’un agent immobilier était mieux présenté. Pour le coup, t’as rien à dire. Alors, tu hausses les épaules en levant les yeux au ciel avec dédain. Tu peux rien faire d’autre, puis façon t’es même pas sûr qu’il te voit réagir avec l’obscurité qui règne clairement en maitre dans le coin. Gabriel parvient malgré tout à te voler quelque rictus, des minuscules, t’acceptera pas autre chose. T’oublie pas tout ce qui s’est passé, tout ce que cet homme a pu t’apporter dans ta vie le bon et le mauvais aussi, un gros mauvais, pas énormément juste cette histoire de photo. Tu lèves les yeux au ciel et pince tes lèvres, tout en foutant tes mains sur ton visage. Il te désespère et te fait rire. C’est un peu la merde en somme. T’es pas censée rire et encore moins avec lui, ou même de lui. Mais tu ne peux pas non plus t’en empêcher de toute façon. « Ouai qui se ressemble s’assemble ! » Bam. Prend ça Gaby. Que tu te dis.
Tu souris alors qu’il remet le bordel dans ses cheveux, il ressemblait plus à celui que tu avais connu là, car tiré à quatre épingle ça t’avait littéralement coqué, heureusement que tu avais su le reconnaître, car sinon tu l’aurais assommé. Oui, tu ne l’as pas fait car tu l’avais reconnu et aussi car même ton envie de meurtre à son encontre dans le fond c’était évanouie dans les airs, même si tu n’oubliais pas. Comment le faire ? Cette histoire avait tant fait couler de larme. Plus par le fait d’avoir été trahis par celui que tu aimais que par les photos en réalité, ça t’avait détruite, mais tu avais su reprendre ta vie en main, avec ta tante qui elle savait pour cette histoire de photo, tu n’avais pas osé en parler à ton père, et encore heureux, car tu es sûre que le jeune homme face à toi serait enterré dans du béton avec ton père et celui de Teagan. Car dire un truc à l’un reviens à le dire au second. « Tant mieux ! » tu as bien fallut lancer un merci à la suite de sa phrase, alors que tu venais de dire que tu n’allais pas en donner un, mais bon parfois, le cerveau fait faire des choses complétement folle.
Il tente de te convaincre qu’il n’a pas fait ce dont tu l’accuses, fouiller dans tes culottes, le croire ou non ? T’en sais trop rien à vrai dire. Mais tu vas lui laisser le bénéfice du doute, car ses opales dans les tiennes te font une drôle d’impression. Te faudrait surtout une paire de claque Jihane pour te remettre les idées en place. Mais bon, ce n’est pas à l’ordre du jour. Tu ne dois pas oublier, pourtant tu te laisses charmer, pas une bonne chose à faire, même si tu ne céderas pas ainsi, car tu es plus forte que ça. Plus redoutable qu’il ne pourrait le penser. Cette histoire t’a donné du panache, puis aussi une envie de vaincre de toutes les manières possibles les hommes. Leur donner ce qu’ils méritent, surtout ceux qui font des choses à ne pas faire aux femmes. T’es pas féministe, ou presque. « Ok ! » t’as rien d’autre à dire et puis tu coupes directement le contact de tes opales avec les siennes. « Pour l’instant, limite dont je n’avais pas connaissance pour ne pas te faire confiance, elle se termine quand dans l’an 3000 ? » Que tu lâches. T’exagère, clairement, mais tout de même. « Ça doit pas être la seule à en faire de très bon … » Toi-même tu en fais des très bon, alors forcément tu ne comprends pas. Lui ne te diras peut être pas le pourquoi du comment, mais Lyz, le fera, du moins tu espères qu’elle le ferait, sinon, tu ne comprends pas. Il a raison, faut vous parler, la langue des signes il connaît peut être le Gab ? Tu as un rictus à cette idée, mais tu te doutes que non il ne connait pas, peut-être qu’en vrai il pourrait t’étonner, mais bon, t’as pas le temps pour ça.
Une relation ? Non, mais pourquoi tu as dit ça au fait ? Tu ne sais pas, mais tu t’en veux, il va encore moins lâcher le morceau. Tu lèves les yeux au ciel en secouant la tête. « Tu me fatigues Gabriel ! » Que tu lâches lasse de sa réflexion, car tu t’es mise seule dans cette merde en ouvrant ta bouche sans contrôler tes mots avant, quelle idée, sérieux. Avec tout ça, tu ne fais attention à rien tombant dans les bras de Gab, quelle godiche tu fais. Tu t’attardes pas dans ses bras, histoire de pas ressentir ton organe central battre, voilà pourquoi tant de rapidité dans tes mouvements. Tu as peur que tout ça déclenche un peu plus les anciens sentiments que tu avais pour lui, car tu le sais ils sont là, juste très bien enfouie et cela te convient parfaitement. Tellement brut dans tes mouvements que tu finis par t’en blesser toi-même, bêtement. Mais tu continues sans te plaindre, jusqu’à ce que Gabriel décide de vérifier ta coupure. Rien du tout, juste une blessure, tu ne vas pas en mourir, mais tu te stoppe le laissant regarder, alors que tes yeux cherchent par tous les moyens à éviter ceux de ton ex à présent. « Ça va … je ne vais pas en mourir ! » Que tu juges bon d’ajouter. Tu finis par te marrer par ses dires en levant les yeux au ciel, alors que tu trouves une réplique drôle pour toi à sortir. « Dommage tu as deviné mon plan de chuter sur toi dans les escaliers et te planter en même temps, en mode, pardon j’ai glissé ! » Tu continues de rire alors que tes opales rentrent en contact avec les siennes. Tu finis par rire de sa remarque. « Ah ouai et tu nous défendrais comment ? En me jetant en pâture ? » Que tu demandes très sérieuse.
Mais tu n’as finalement pas trop le choix, vu qu’il bloque le passage aux couteaux, alors tu finis par souffler et commençant à montrer le chemin. Puis ce bruit qui te donne la chair de poule, tu ne te sens clairement pas en sureté ici, sauf que t’es pas conne tu es enfermée, bin oui c’est ça d’avoir tout faire informatisé en mode connecté, vous voilà piégé avec une autre personne ça se trouve. « Euh peut-être.. » Que tu ne dis pas rassuré, puis tu les déposes tes opales sur lui, alors qu’il propose de prendre la place du premier de cordé, donc le premier à mourir, que grand bien lui fasse. « Ça se trouve c’est juste une souris ! » Que tu lâches, histoire surtout de ne pas dramatiser toute seule dans ta tête et ne pas finir folle. « Mon tour de mater ton cul c’est ça ? » Que tu lances, naturellement. En vrai ça te faisait moins peur de savoir que tu n’étais pas seule et en plus ave lui, même si ce n’était pas le mec parfait, loin de là, même. « T’arrête ! » Tu le tapes pour le faire taire, car te fait flipper ce con, tu l’éclair et tu entends un bruit cette fois émanant d’en haut. « Eux on est combien dans cette putain de baraque ? » Le sursaut avait fait que tu avais fini par te coller à Gabriel en descendant les marches, cherchant sa main que tu trouvas assez rapidement. Quelle idiote..


 
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