save the queens ---- / K. Atlas McLaren
33 ans ---- / spades---- / jason morgan
identité complète / (Kenneth) l’ancêtre inconnu, le prénom que tu traînes comme ton héritage. Une partie de toi que tu n’exposes pas. Kenneth le compliqué. Kenneth qui se fait discret à s’en faire quasiment oublier. (Atlas) l’encyclopédie, Atlas le monde, qui ne tourne pas rond. Atlas le tout et le rien de ton prénom. La grandeur d’un héritage, d’un nouveau monde. Hauteur de la classe sociale et du standard de perfection de tes parents. Pas de surnom, juste Atlas qui se suffit à lui-même. (McLaren) la puissance, la vitesse. McLaren ou l’empire familial. Plus qu’une famille un clan. Passation de main en main d’une entreprise fructueuse depuis des générations. McLaren le respecté, l’imposant. McLaren où là où on n’en oublie son intimité à mesure que l’on devient un personnage public. lieu de naissance et origines / Au détour d’un voyage d’affaires interrompues par ton arrivé impromptue dans la vie de tes parents. Douce (Angleterre) et son célèbre hôpital londonien. Londres et cette ville qui t’a vu grandir pendant quelques années. Ville de déboire et de souvenirs qui aujourd’hui blesse ton cœur au vif. L’origine d’un mélange (néo-zélandais) et (britannique). Mélange d’ici et d’ailleurs alors que l’Amérique, ce pays d’adoption prend le dessus sur tout le reste. New-York, ta ville de cœur. études ou métier / Le cœur qui s’accélère et ce pic d’adrénaline qui te fait vibrer. La vitesse et la liberté au bout de la piste. Tu es l’homme qui la vit avec risque son existence. T’es ce (pilote de F1) respecté et reconnu pour McLaren Racing. T’es aussi cet (héritier) du McLaren Automotive Group. T’es l’homme aussi brisé qui s’est décidé à foutre toute sa vie en l’air au nom de tout ce que tu as perdu. orientation sexuelle / La (femme) et ces courbes délicates. Ces voix qui réchauffent les maux de cœurs et ces iris qui vous emporte vers d’autres contrer. Mais surtout une femme en particulier. Celle que tu ne pourras plus toucher, plus chérir. Celle dont la voix va se faner à mesure que le temps passe. Dont seules les photos écorchées par les signes du temps te rappelleront que tu as tout perdue. statut civil / La question ne semble plus se poser alors que tu as laissé ton corps, ton cœur et ton âme au pied de sa tombe. Marié à jamais à la femme de ta vie. L’ange envolé vers une nouvelle vie qui a emporté avec tes raisons de vivre. T’es ce (veuf) qui refuse de voir la vérité en face. Enfermé dans la culpabilité d’un passé que tu ne pourras pas changer. Le veuf prêt à vendre son âme au diable pour revenir en arrière. pi, scénario ou prélien / pi.
traits de caractère / Arrogant ❁ Fière ❁ Sincère ❁Franc ❁ Perfectionniste ❁ Maniaque ❁ Sarcastique ❁ Implacable ❁ Loyal ❁ Respectueux ❁ Strict envers lui-même et les autres ❁ Intelligent ❁ Méfiant ❁ Charismatique ❁ Têtu ❁ Observateur ❁ Sûr de lui ❁ Le sensible au cœur de pierre ❁ Passionné ❁ Travailleur ❁ Juste ❁ Rusé ❁ Droit ❁ Aime prendre des risques ❁ Généreux ❁ Souffre en silence ❁ Doux ❁ Attentionné ❁ Jaloux ❁ Implacable ❁ Compétiteur ❁ Rigoureux ❁ Méticuleux ❁ Impatient ❁ Exigeant ❁ Croyant ❁ Honorable ❁ Imprévisible ❁
La vitesse qui coule dans les veines à coup de prise de risque et d’adrénaline intemporelle. T’es la rigueur, le perfectionnisme et l’impartialité. Sur de toi et la langue acérée. Jamais là pour faire de cadeau là où les langues se lies la tienne ne mâche pas ces mots. T'es dur, aussi brut que l’asphalte. T’es cette équilibre qui fait la part des choses. Toujours juste, toujours droit. T’es ce travailleur acharné et le compétiteur invétéré. Tes là, à surpasser tes objectifs. Tu es l'impatience et la réflexion. Observation et méticulosité. T’es la ruse aussi. Le contraste de la rigueur et de la douceur. Quand tu aimes, c’est à en mourir. Passionné au grand cœur, plutôt du genre à donner qu’à reprendre. Cœur si grand que tu souffres en silence. Cœur si méfiant que tu ne l’ouvres pas à tout le monde.
save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
(hometown glory)/ On ne choisit ni où, ni comment on naît. C’est le pur hasard de la vie. Une loterie où on ne peut pas dire que tout le monde à la chance de tirer son épingle du jeu. Tu ne sais pas où te situer aujourd’hui, avec du recul, tu te rends compte que finalement, tu aurais préféré naître pauvre et heureux à jamais que riche et emprunt au désespoir. Le choix, tu ne l’as pas eu, comme personne, et même en y réfléchissant tu n’es pas certains que tu aurais changé de chemin de vie, si ce n’est emprunté celui qui t’aurais évité de perdre l’une des seules choses qui te rendait complet, heureux. Surement, qu’on te trouverait pathétique et injuste de te plaindre alors que tu n’as jamais manqué de rien. Héritier de McLaren Automotive group avec deux parents aimant qui t’on transmit une passion. Un frère et une sœur toujours là pour te soutenir. Pourtant, perdre prématurément l’amour de sa vie rend toutes ces choses tristement amères. Le problème d’être d’une famille de notoriété publique et d’avoir choisi de suivre la trace de tes ancêtres, c’est bien l’exposition. Ne jamais être vraiment seul, tranquille. Votre vie exposée et décortiqué aux yeux de tous sans ménagement. Trop de rumeurs pour trop peu de vérité en échange. Il faut ce forgé un caractère, une carapace pour survivre. C’est ce que tes parents vous, on apprit après tout. Être fort en toute circonstance et tu l'as été jusqu’à un certain point. Jusqu’à ce que tu te rendes compte malgré toi que s’attacher pour trouver la force finissais par vous briser. Littéralement. Tu vie dans le souvenir des bons moments passé en Angleterre et ceux à parcourir le monde. Ceux à apprendre. Ceux à aimer jusqu’à te voiler la face sur la souffrance qui te ronge. (give me a ticket to anywhere)/ T’avais deux passions dans ta vie la vitesse et la sensation forte. La vie qui se vie à cent à l’heure à en prendre des risques pour sentir que l’existence vaut le coup d’être vécu. Aujourd’hui, tu te trouves le toit de l’époque stupide d’avoir pensé que la vie qui ne tient qu’à un fil était stupide. Que la mort pouvait être déjouée. Mais tu n’étais pas un McLaren pour rien, tu avais ça dans le sang. Un talent et un toucher unique. Des enfants McLaren t’étaient celui qui avait hérité du don unique de la conduite. Ton père s’en était vite rendu compte sur les conseils de feu ton grand-père. À peine quatorze ans, que tu connaissais déjà tout par cœur des détails et subtilité de la conduite. Jamais tu n’as pu te contenter des sportives, il te fallait plus. Toujours plus et c’est sûrement ce qu’il t’a perdu. Toujours un peu trop dans l’extrême. Ce besoin vital de ressentir toujours plus. La révélation vint quelques années après quand tu conduis pour la première fois une F1. Tu ne mis pas longtemps à devenir la coqueluche de McLaren Racing. Ton nom t’avait probablement aidé à y parvenir, mais ton talent ne pouvait être dénié de personne. Model, mentor, l’avenir du pilotage de course. T’avais été forgé pour ça de ton apparence à ton caractère. C’était ton sang, ton héritage. Ta vie ou du moins une partie. Une partie que tu croyais égale à l’amour que tu avais pour cette femme, la tienne. Idiot que de croire ça, mais on dit bien que l’on se rend compte de ce que l’on avait que quand on l’a perdue. Tu aurais aimé le savoir plus tôt à t’en aurais évité des peines à toi et à d’autres. (Cause baby you look happier)/ La vie est bien faite que l’on dit, tout finit par rentrer dans l’ordre. Retrouver l’équilibre naturel de la vie. Des choses. Mais rien ne semble venir sans une contrepartie. Rien est beau, rien est parfait. Est-ce le retour de bâton pour les riches où la punition pour être bien naît. Le dicton dit bien que personne ne peut tout avoir. Tu avais tout pendant un moment où tu croyais tout avoir du moins. Étais-tu puni pour ton arrogance par les forces mystérieuses de la nature. Par le destin qui jugeait bon de ne pas tout octroyer. Que le bonheur ne t’était pas destiné. Torture de t’en avoir donné un aperçu pour te l’hôte violemment. Sans aucune merci, sans aucune considération. Voilà que l’on dit que Dieu existe, mais, quel Dieu ferait subir de telles choses à son peuple ?! T’avais trouvé ta raison de vivre, ton essence, ton oxygène. L’amour au premier regard à un âge où on ne pense qu’à s’amuser en prévision de la vie d’adulte qui approche. Ornella ou la perfection. Ta perfection. La seule qui est jamais vue au-delà de ton cœur de pierre et de la dureté de ton regard. Celle qui avait atteint ton âme et compris les méandres de ton esprit. La seule à qui tu dirais, je t’aime, la seule pour qui tu donnerais ta vie et c’est elle qui a fini par donner la sienne. Ta femme. Ton tout. Rencontré à l’âge de l’idiotie. 17 ans au détour d’un couloir de l’école privé Londonienne où tu faisais tes classes. L’évidence quand on dit que derrière chaque grand homme il y a une femme d’exception. C’était elle ton exception et à la vérité sans elle tu te retrouves perdue. Sans rien. Il est loin de le grand homme rongé par la culpabilité de la perte. Vous en avez eu de belle années, mariage, voyage, amour passionné. Tout, et même un futur d’à peine quelques semaines qui avait pris naissance dans son petit ventre. Un bonheur qui était venu avec un sale prix au détour d’une pluie battante et d’un chauffard qui vous coupas la route. Ironie pour le pilote que tu étais. Tu avais tout gagné sur un circuit au volant et voilà que tu avais tout perdue au détour d’une route. Incapable de réagir à la situation. Trop tard. Rien à sauver si ce n’est toi l’épave rescapé du plus grand drame de ta vie. Le bonheur, il n’y en aurait plus, sûrement que tu ne l’avais jamais mérité en premier lieu. (when you're gone, all it does is rain down on me)/ Seize ans d’un amour inexplicable. Sans nom. Seize ans passé à s’aimer et à se déchiré réduit au néant le plus complet en l’espace d’une demi seconde. Un écart sur la route non maîtrisé le comble pour le pilote. Deux vies écourtées et une vie bousillée. Gouffre sans fond et infinie vide. Six mois d’un drame passé que tu revis chaque jour comme si c’était hier. Te ronger d’une culpabilité infondée. T’enfoncer dans le souvenir d’un instant passé qui t’as brisé. Une chance de vie que tu ne sembles pas vouloir alors qu’une partie de toi s'est envolé vers un autre monde. Tu n’as plus goût à rien. Passion d’antan que tu voies comme ta perte. Le comble d’un pilote de F1 et d’un héritier dans l’automobile qui ne veut plus toucher à une voiture. Le comble pour la célébrité qui ne sort plus de cette villa si ce n’est pour se rendre à l’hôpital. Le comble pour toi, si proche de ta famille qui à coupé tout contact. Toi, qui ne veux plus rien si ce n’est qu’elle. Elle ou bien remonter le temps et mourir à sa place. À leur place. Ornella envolée avec la vie qu’elle abritait. Ta vie s’était comme enfoncée dans un nuage de noirceur. Tu semblais te noyer en eaux troubles. Chercher à remonter à la surface et être continuellement attiré par le fond. À la voir partout. À la sentir partout. Pourtant, tu ne pouvais pas te résoudre à ranger ces affaires, à changer de maison avec cette peur de l’oublier. De la déshonorer. Tu te faisais du mal, mais, la douleur semblait être le seul sentiment que tu étais capable de recevoir. Tu ne méritais tout simplement pas mieux que chagrin et souffrance. Ta vie s’en elle semblait face alors qu’elle avait emporté ton soleil. Tu n’étais plus rien à tes yeux. L’espoir mort à jamais… (hold onto me cause i'm a little unsteady )/ De toute façon tu ne veux pas t’en sortir, c’est ce que tu leur as dit au stupide groupe de parole auquel on te force à aller. Pour ton bien qu’il te dise, mais quel bien. Le seul bien dans ta vie est mort. Disparu à jamais. Tu veux oublier la douleur et ne pas te ressayer l’événement en boucle en écoutant parlé d’autre personne de leurs expériences. Tu veux être fort, mais ta force semble t’avoir quitté laissant place à la folie. La folie si profonde que tu en voies des mirages. Fantôme de la femme qui est morte dans tes bras. Une voix qui vient d’ailleurs et des prunelles qui semblent si vivante. Comme la réincarnation de ton amour comme si Dieu te punissait encore. Comme une punition éternelle, il te met sous tes yeux le souvenir vivant d’Ornella. Quelques années de moins, mais la même grâce, la même fougue, la même passion. Elle ou le démon qui te hante pour te rappeler chaque jour la douleur de la perte. Le mal que tu as fait. La ballerine ou peut-être celle qui parviendras à te sauver de tes démons ou a t’y enfoncer un peu plus. Tu ne sais plus à qui, à quoi t’accrocher. Tout te semble si noir à croire que rien ni personne est capable te sortir des méandres de ton cœur…
save the queens ---- / BEHIND THE MASK
sharethemoment (caro) ---- / 26 ans ---- / rpgiste
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