feel the electricity ☆ ft.mahe

≈ ≈ ≈
{ feel the electricity  }
crédit/ tumblr ✰ w/@mahe velázquez

C’était comme si le feu mort que tu te trimbaler quotidiennement avait retrouvé le combustible qui lui manqué. Peut-être pas le bon mais, assez pour te faire sentir en vie même si ce n’était pas de la meilleure des façons. Tu te sentais encline à te laisser reprendre par les démons de la souffrance ou bien du noir désir qui agitait ton cœur. Mahé comme déposé là, sur ton chemin, ton périple par magie. Tu demandais et c’était là. Effet de dieu ou du diable tu voulais plonger. L’homme t’appeler à plonger avec lui dans ces provocation qui sonner comme une douce symphonie à ton âme endormie par la douleur.  « Et faut tout apprendre à ton style de mec qui penses que toutes les nana s’identifie comme les princesses…. Je ne suis pas moins la gentille de l’histoire que tu l’es… » Que tu lances dans cette douce danse de la provocation. Une réflexion pour ne autre. Ces mots que tu reprends. Ces mots auxquels tu t’accroches pour mieux le harponner lui. Plus il te cherchera et plus il te trouvera. C’était ça toute la complexité du jeu. Toute la dangerosité aussi. Tous les deux nageant entre deux eaux. Eaux troubles d’un désir malsain qui s’agitait entre vous. Tu aimais la piquante caresse que cela procurer à ton âme déjà perdue. Incapable d’être sauvé à tes yeux. Tu te laisses volontiers prendre dans ces filet de provocation qu’il te lance de ces opales qui transperce jusqu’à ton cœur noircie. Il t’a autant que tu l’as. Vous le saviez tous les deux mais, baiser les armes vous sembliez impossible… pas tant que l’autre ne l’aurais pas fait. Tu caresses de ton regard son corps qui s’approches, son corps qui ta plaque contre la froide paroi du mur mais, la fraîcheur ne suffit pas à éteindre le feu qui brûle en toi à en terrasser ton âme. Il est vil le démon qui te fait face. Le démon à la gueule d’ange qui t’appel de ces lèvres et de ces paroles qui provoque ton cœur. La tempête qui s’agitent entre vous semble inévitable et tu t’en réjouirais presque. Masochiste qui veux guérir le mal par le mal comme si c’était là, la seule solution. Le sourire en coin qui agitent le pulpe de tes lèvres et le corps qui répondrait presque machinalement à l’appel du siens. Deux aimants qui s’attirent autant qu’ils se repoussent. Complexité d’un jeu de fou dans lequel vous vous laissiez sombrer. Le tout était de ne pas sombrer seul. « …. Différent comment ?! » Intrigue sensuelle soulever alors que tes iris ne lâchent pas les siennes comme accrocher l’un à l’autre par la force de vos deux regards qui semblait avoir leurs propre conversation. « J’aurais passé mon chemin si tu n’avais pas été sur le miens… mais, vas, je ne t’empêche spas de retourner à te princesse… » cette même voix envoûtante qui enveloppe vos deux être et ta main pas enserré par sa poigne viens se poser avec autant de fermeté que de délicatesse sur l’une de ces épaules le regards tout autant rivé sur les fenêtres de son âme. Son souffle perçant sur ton visage et ton corps qui réponds à ces appels de ton palpitant qui ne tient pus dans ta poitrine. « Alors…. » Juste un mot laisser en suspens dans l’air comme si son prochain mouvement t’aiderais à te décider de ton sors ou peut-être bien du siens. Une chose est sur vous étiez pris à deux avec une envie palpable de  ne pas s’en sortir.  

≈ ≈ ≈
{ feel the electricity  }
crédit/ tumblr ✰ w/@mahe velázquez

La douce violence de ces mots à la contradiction de ces gestes aussi brûlants qu’empoisonné. Délicate elle est la caresse de sa main qui se glisse sur ta joue à en contenir la rage qu’il éveil en toi. A la transformer en ce désir incontrôlé. Ce désir qui t’en déchirer les entrailles à t’en faire mal. Tu t’y accroche à la douleur qu’il fait naître en toi. Tu t’accroche à la bouée de sauvetage qu’il te tant. Au moment de flottaison qui t’offre avant de replonger au fond du gouffre. Plongé avec lui, c’était certains que tu n’y retournerais pas seul. Il était le démon qui t’appeler. Il avait les mots pour te piquer, pour t’atteindre. Ceux qui venaient te chercher au bon endroit pour que tu aies assez de force pour y répondre. Il te connaissait à prétendre qu’il te prenait pour une autre que n’étais pas. Il était doué mais, tu l’étais tout autant. Front contre front dans cette joute aussi verbal que physique. « Crois ce que tu veux… les princesses sont des garces de toute manières, le rôle ne me vas que trop bien que tu dois te dire ?!» Que tu crache presque avec véhémence ton regard accroché au siens. Ton corps répondant au même appel que le siens. Il n’y a plus rien qui compte si ce n’est que le jeu. Cette putain de danse. Ce foutu sentier semé d’embûche ou t’es prête à mordre la poussière juste pour l’entraîner dans ta chute. Gagner dans la défaite tu y es préparer. Sourire en coin qui s’étire à ces mots. A toutes ces paroles et son énergie qu’il déverse pour rien. Tu l’écoute et tu n’en dit rien. Pas plus. Tu t’en délecte de l’instant à en rire avec lui. Trop, toujours plus. Ton corps dont tu lui laisses le contrôle un bref instant. Celui où il pense avoir le dessus sur tout le reste. Celui pour mieux l’attraper par la suite. Qu’il te prenne, qu’il te jette… tu n’en avais que faire de souffrir. La douleur était ton quotidien et lui, lui n’était qu’une fichue distraction. Ton moment pause. « Parce que tu te crois à la hauteur de le juger ?!... » le regard empli de défis et le corps qui se plaque de nouveau contre le mur. Ton corps piégé volontiers par le siens. Tu n’en perds pas une miette de son regard qui cherches le tiens de ces lèvres qui s ‘approches pour te tenter. « … ça tombe bien, j’ai aucune envie d’être une princesse ! » que tu murmures avec chaleur ton visage qui s’approche un peu plus dangereusement du siens. Ton corps qui se laisses attiser par le siens. De sa main qui se glisse sur ta jambe pour la relever. De son corps qui se glisse entre tes cuisses comme pour te lancer un dernier défi avant de finir de sombrer. La lueur qui brûle dans le fond de tes prunelles reflet des siennes. Le visage que tu approches un peu plus, le regard que tu fixes encore plus… Moment en suspens, moment où le jeu prend une autre dimension. Ton visage que tu laisses glisser jusqu’à son oreilles pour un murmure, pour une caresses. Pour une claque de chaleurs de vos deux corps qui veulent succomber. « tu viens en enfer avec moi… » le souffles chaud que tu laisses s’écraser contre sa nuque et tes mains que tu appuies contre son torse pour y tirer sa veste un peu plus à toi. Pour l’attirer dans les entrailles du feu qui vous consumes.

≈ ≈ ≈
{ feel the electricity  }
crédit/ tumblr ✰ w/@mahe velázquez

Aussi doux que piquant. C’était un mélange épicées qui venait cueillir tout ton être. Qui appeler chacune de tes cellules à flancher pour ce putain de jeu dangereux. Tu y répondais à l’appel. Tu ne réfléchissais plus. « Sexy, princesse… tu veux flatter mon égo ?! » douceur sarcastique de tes mots au siens. Tu le regardes, tu le jauge de son désir en réponse au tiens. Vous êtes dans le même bateau tous les deux. Sur la même pente glissante. Vous ne réfléchissiez pas aux conséquences de toute manières aviez-vous vraiment quelque chose à perdre ?! Mieux se repousser un bref instant avant de s’attirer complètement. Le feu qui brûlait en vous avait pour origine le même braiser. Il n’y avait pas d’eau pour l’éteindre. Foutu d’avance à trop vous cherchez vous vous étiez trouvé. C’était bien là ce que vous aviez voulu dans le fond. Gagner ensemble. Se perdre l’un dans l’autre. « Tu te surestime un peu non ?!... » Que tu souffles toujours un mot en réponses aux siens. Jamais tu ne te laisseras défaillir pas même par la proximité de son corps. Pas même par son souffle chaud qui rencontre le tiens et par son corps qui ne fait qu’attiser le tiens à défaillir. Oh, que oui, tu vas défaillir mais, il e feras avec toi dans tous les cas. Elle était là, ta victoire. « Ça tombe bien alors… » Sourire en coin pour son clin d’œil et tu te laisses faire de ces mains qui t’attires un peu plus à lui. Toujours plus à en oublier que vous étiez au beau milieu de la rue. C’était peut-être là, cette chose qui rendait le tout plus attrayant. Excitant presque. Tu te laissais emporté avec plaisir dans son enfer autant que tu l’emportais dans le tiens. Les opales qui s’accrochent intensément à la recherche de ce fameux signe qui changera la donne. A la recherche de cette fameuse réponse à la question qu’il te lance. Sourire à demi carnassier et ton souffles qui se laisse à aller contre le siens. La respiration qui s’envole à ses dents qui se perdent le long de ta nuque à t’en faire perdre la tête. S’en es finit de jouer ou peut-être que c’est tout simplement là le début d’une nouvelle partie. La main qui vient chercher son visage pour le relever à hauteur de ton regard aussi brûlant que le reste de ton corps. Le visage qui s’approche, qui effleure et la bouche qui se frai un chemin jusqu’au creux de son oreille « chez moi alors ?!... » Que tu susurres le corps qui le repousse et la main qui se glisses délicatement le long de son torse. De son corps. Ta main qui vient à la rencontre de la sienne pour l’entraîner dans les tréfonds de démons. Pour l’embarqué dans cette danse rythmé par la souffrance et le désir.