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| #1 (sabi) we've been here before | |
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Kija Jung;
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han seungwoo (victon) olympia none 14 965 27 célibataire, bien trop à terre pour s'offrir la vie de couple. extorqueur, il use d'imposture, s'arme de différentes identités pour voler les plus riches. peintre en métier de couverture, il possède un studio où il s'enferme. le queens traditionnel, il voulait un domicile aux mille couleurs.
| Sujet: #1 (sabi) we've been here before Mar 8 Fév - 14:02 |
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S’il y a une chose à laquelle Kija ne s’habitue jamais, c’est l’odeur âcre de la nicotine ; elle s’élève doucereusement dans l’air, effleure ses narines qui, aussitôt, s’agitent légèrement, les sourcils se froncent juste un instant et il ne peut s’empêcher de retrouver ce masque, un mélange conforme de dureté et de sociabilité. L’inaccessibilité. S’approcher pour goûter, se rétracter pour briser. Ce soir, il ne sait pas s’il a envie de plonger ses crocs dans de la chair, de toute façon il ne finit toujours pas ne pas le faire, l’idée même de terminer dans le lit de quelqu’un l’exaspère. Le bar dans lequel il se trouve baigne dans la cacophonie, devenu un bourdonnement pour ses oreilles à force de passer du temps ici. Pourquoi a-t-il accepté de venir, encore ? Ah, probablement parce que ses « amis » paient la tournée. Des riches, il a oublié le nom de certains, les surnomme bébé pour compenser cet oubli, quoi de mieux pour paraître un peu plus attachant. Le regard se détache, encore un peu et il a l’air de ces garçons hautains, surtout au vu de sa posture, le bras alors calé sur le comptoir, il est adossé et observe. Il n’a pas pris le temps de regarder ce soir, trop occupé à savourer son cocktail. Tandis qu’il le sirote, perdu dans ses songes, les iris s’attardent sur une silhouette et tout à coup, le monde s’arrête. Plus de bruits, il n’entend qu’à peine ce que la sulfureuse du groupe tente de lui murmurer au creux de l’oreille, plus de gestes, il ne voit que ceux de celui qu’il aura repéré. De celui qu’il aurait aimé ne pas repérer. La mâchoire se serre un instant, il tente de réprimer la surprise qui menace de peindre son visage, les doigts autour de son verre s’enserrent. Sabi. Lui, putain, qu’il songe, se le répète. Il le pensait loin d’ici, surtout, il ne pensait jamais le revoir, parce que la mort de son ami l’a affecté. Il balaie la pensée, la sait malsaine, beaucoup trop, il tente de la ranger dans la boîte de Pandore, celle qu’il ne compte jamais ouvrir, parce qu’il sait que tout serait de trop. Il est vraiment là, au loin. Tous les moments passés ensemble ressurgissent, malgré lui, il aura tenté de les étouffer eux aussi, mais il se rappelle toujours de son rire, de ses répliques, de leur bataille de morsures, il aura gardé une cicatrice à l’épaule qu’il ne lui a jamais montré. Par fierté, évidemment. Il ne peut s’empêcher de déglutir, de réfléchir, puis finalement, il fait le vide. Il inspire, dépose son verre sur le côté. Il se faufile, se créé un chemin, les pupilles rivées sur lui, il s’approche et dans l’espoir de l’embêter, de le surprendre, il vient se pencher près de son oreille d’un sourire amusé. « Alors on revient sans me prévenir ? » qu’il demande d’un ton carnassier, avant de reculer d’un pas, la mine partagée entre la curiosité et… pourquoi est-ce qu’il est content de le revoir ?
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| | | Sabi Biden;
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kim taehyung. poésies cendrées. 13 965 29 tel Mozart effleure les touches d’un piano, lui érafle les cœurs. Célibataire inflexible, il possède mais n’appartient pas, qui s’essaie à faire fondre le givre se brûle les ailes d’un irrémédiable retour de flammes. logique et patriarche voudrait le vouloir enfoncer ses griffes acérées dans la déferlante politique mais c’est d’une main de maître qu’il fait valser les cartes, c’est dans l’ombre qu’il mise, dans le vice qu’il joue et sous lumière blafarde, il fait tapis. le queens contemporain, un loft chaleureux partagé avec deux autres colocataires.
| Sujet: Re: #1 (sabi) we've been here before Mer 9 Fév - 18:42 |
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Coeur émasculé sous voie lactée, ombre déchue désabusée, quête nocturne d’un sursaut de vie, d’un soupçon de semblant, d’une bribe illusoire, d’un subterfuge, d’un mirage. Rolls Royce défraîchie marqua l’arrêt une fois, deux, puis trois. Démarche désarticulée, regard félin, l’iris tel un brasier lorsqu’il croisa l’once d’une âme esseulée, ici, là où l’enfer eut installé sa tanière, rien ne put solliciter un tant soit peu d’intérêt. Chuchotements carnassiers, traits peints de surprise quand la silhouette poussa nonchalamment la porte. Enfant roi attira l'œil client, les sourires des uns et le mépris des autres, l’indifférence propre à lui-même déferlant par tous les pores. Il dérange, il empiète, il terrasse. Magnétisme nébuleux attise les rancœurs, embrase le dédain et embrasse l’aigre désinvolture qui le caractérise tel un fauve au cœur de givre, diront les tabloïds. Pas prolixe à destination du bar, progéniture indomptable trouva place au comptoir. Ce soir pas de cartes, pas de mises, pas de vainqueur, seulement lui, un verre de whisky-vanille et le souvenir récalcitrant. Habitude oblige, trouble exigeant domine, une cigarette derrière l’oreille et une seconde, éteinte, au bord des lèvres, le regard se meurt dans l’abîme du nectar ambré. On l’observe, on le jauge, on l’épie, il le sut sans même regarder. Alcool sucré roula sur la langue, requête d’un second verre émise d’un geste, les pupilles dilatées tombèrent sur le dossier encore fermé. Il faudra bien que tu l’ouvres un jour, tu crois pas ? sagesse vagabonde, la voix d’Ari berça ses moeurs, pourtant incapable de courir sur les mots, ses yeux refusèrent de s’y soumettre. Papier abîmé par ses ongles, le soupir las lorsqu’il observa le barman servir trois doses dans le verre vide, j’ai dis quatre, qu’est-ce que tu piges pas là-dedans ? qu’il souffla d’un avertissement neutre. Compte pair fut ajusté, aussitôt bu d’une traite. Téléphone extirpé de sa poche pour y déceler un brin de distraction, mode avion ébranlé, les notifications plurent, les appels manqués en ondée, les iris désormais de glace posèrent leur empreinte sur les nouveaux messages - alors, est-ce que tu l’as ouvert ? prêt à répondre que le courage l’eut quitté, un souffle chaud s’écrasa sur sa peau, caressa sa chair d’un frisson lorsque l’effluve du parfum familier chatouilla les sens. La voix s’éleva, fit bourdonner ses tympans, entre ses doigts le portable oscilla et la cigarette tomba des lèvres pour s’écraser sur le comptoir. Mécanisme latent du tabouret fut tourné vers l’interlocuteur, à mille lieues de l’étranger venu pour l’acculer, il intercepta un regard presque oublié jusqu’alors. Mirage recherché se dressa là, devant lui, brève contemplation bafouée par un retour sur terre trop brutal, merde, j’avais parié que tu serai mort, taquin, référence farouche au comportement sauvage de son vis à vis, il renchérit comme s'il ne l'eut jamais quitté, tu viens d’me faire perdre un sacré paquet de fric, tu m’offres un verre en dédommagement, chaton ?
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| | | Kija Jung;
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han seungwoo (victon) olympia none 14 965 27 célibataire, bien trop à terre pour s'offrir la vie de couple. extorqueur, il use d'imposture, s'arme de différentes identités pour voler les plus riches. peintre en métier de couverture, il possède un studio où il s'enferme. le queens traditionnel, il voulait un domicile aux mille couleurs.
| Sujet: Re: #1 (sabi) we've been here before Mer 9 Fév - 19:46 |
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Parfois il oublie que Sabi est le fils du président. Peut-être est-ce sa nonchalance, sa présence imposante, ses canines aiguisées, il a ce quelque chose de sauvage, d’indomptable, en réalité, la seule chose que Kija sut dominer, c’était son argent. Une vraie banque humaine, un portefeuille sur pattes, rien de plus, rien de moins, il n’a pas envie de le comprendre davantage, pourtant il est venu vers lui. Il aurait pu l’ignorer ce soir, continuer ses discussions futiles avec les autres, mais il s’est rapproché de lui, a murmuré près de son oreille, s’est amusé à laisser son souffle s’échouer contre sa peau. Sûrement qu’il se serait amusé s’il avait remarqué ses frissonnements, parce que c’est son genre. C’est leur genre. Aussitôt les paroles prononcées que Sabi réagit, armé de ses fidèles remarques, évidemment Kija esquisse un de ces sourires amusés. Encore un peu et c’est un rictus qu’il aurait affiché. Tu viens d’me faire perdre un sacré paquet de fric, il paraît fier de son coup, pas de celui-ci, non, de tout ceux d’avant, car c’est un sale voleur, bien sûr. « Juste parce que tu m’as traité de chaton et que j’ai jamais aimé ça, j’vais plutôt te demander à toi de me payer un verre, p’tit chat, » opportuniste jusqu’au bout, il ne lâche jamais son but, même dans la taquinerie. Il laisse un court silence s’installer, le temps de l’observer, il ne comprend pas pourquoi il est ici. Pourquoi il est de retour. Lui qui s’était enfui après la mort de l’autre, l’indésirable, il s’était imaginé ne jamais le revoir. Probablement qu’il tente de balayer ces songes curieux, mais le désir d’en savoir plus est là. Il n’aime pas être dans l’ombre, vraiment pas. Et soudain, la main glisse à son bras, d’abord délicatement, puis il finit par la saisir. « Par contre, qu’on soit clairs… » Il l’amène près de lui, plante son regard dans le sien, empli de défi : « J’te mords en premier. » Son rictus s’élargit, devient un sourire en coin, à peine qu’ils se retrouvent et voilà qu’ils reprennent leurs vieilles habitudes, comme si là tout de suite ils se revoyaient qu’après un court instant. Lentement, les iris plantées dans les siennes, sans jamais détourner son attention, il remonte la manche et vient mordre, cette fois il veut lui laisser une belle marque, sûrement pour marquer les retrouvailles.
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| | | Sabi Biden;
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kim taehyung. poésies cendrées. 13 965 29 tel Mozart effleure les touches d’un piano, lui érafle les cœurs. Célibataire inflexible, il possède mais n’appartient pas, qui s’essaie à faire fondre le givre se brûle les ailes d’un irrémédiable retour de flammes. logique et patriarche voudrait le vouloir enfoncer ses griffes acérées dans la déferlante politique mais c’est d’une main de maître qu’il fait valser les cartes, c’est dans l’ombre qu’il mise, dans le vice qu’il joue et sous lumière blafarde, il fait tapis. le queens contemporain, un loft chaleureux partagé avec deux autres colocataires.
| Sujet: Re: #1 (sabi) we've been here before Mer 9 Fév - 22:01 |
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Indifférence inébranlable, l’as de pique ne cilla pas, jamais. Indéchiffrable face au pire, impénétrable à l’égard du meilleur. Ce soir l’impassible céda la place à l’abstrait d’un maigre rictus, le trait d’ordinaire éteint fut irradié d’un halo de lumière, une brèche infime dans le rempart pourtant redoutable du masque de plomb. Voix ensorcelante déferla sa toute puissance, fit pleuvoir l’avarice, le désir vorace de renvoyer l'ascenseur pour renverser la vapeur. Regard levé vers le ciel, soupir las, une dette de plus, une dette de moins, il ne fut pas à un verre près, l’âme déjà mise à prix dès lors les doigts dans l’engrenage vicieux des cartes. Le bras prit d’assaut d’une douceur déconcertante, placidité fut essuyée par brutalité, rien de douloureux, rien qu’il n’eut pas déjà confronté. Les iris se rencontrent, collision brusque dans laquelle les pupilles de Sabi se dilatent davantage. Sourcils froncés lorsque son semblable le mit en garde, l’aveu fendit l’air, trancha dans le vif et envoya valser les barrières de béton. J’te mords en premier, compétition infantile persistante, nécessité de prendre le dessus, appétence insatiable de soumettre, dominer l’autre par les crocs, jeu espiègle qui n’appartint qu’à eux et ce, depuis la nuit des temps. D’abord silencieux, Sabi l’observa d’un oeil frigide, la manche remontée, les onyx s’attardèrent sur les canines aiguisées qui, dangereusement, approchèrent son bras et impitoyables, s’insinuèrent dans la chair. Le derme intérieur de la joue malmené, un râle rauque roula sur la langue alors que le sang imprégna amèrement les papilles sensibles. Trouble intransigeant exigea plus, obsession insatiable en quémanda une seconde mais la raison, elle, lui asséna la vérité à grand coup de flash. Un, deux, puis trois. Arraché de sa bulle de cristal, le givre menaçant des iris détourna l’intérêt carnassier vers la vitre, baie opaline derrière laquelle un appareil émit ses foudres indiscrètes. Merde, jura-t-il dans l’écorce d’un murmure à peine audible, aussitôt la paume puissante claqua férocement sur le comptoir boisé, attirant l’attention du barman surchargé. Sois un gentil garçon, appelle la sécurité tu veux, un ordre plus qu’une requête, le ton sérieux pourtant l’employé ne fit rien, hébété, il le toisa d’un oeil interloqué, tu sais qui j’suis, pauvre tâche ? étrangement calme, l’apparence trompa, un leur derrière lequel l’impatience incendiaire fulmina lorsque le serveur secoua négativement la tête. Soupir désespéré, d’un coup de croc habile il délogea la montre hublot de son poignet, héritage du patriarche qu’il fit glisser sur le bar, avec ça tu paies ton loyer pour les six prochains mois alors fais c’que j’te dis et sois mignon, ramène moi l’appareil. Les pupilles retrouvèrent le chemin vers celles de celui qui, pour l’heure, fut le seul à mériter indéniablement son attention, j’viens de m’asseoir sur soixante-cinq mille dollars pour t’éviter la une des journaux, tu m’en dois une, et par là il voulut dire à ton tour de payer, j’ai gagné, t’as perdu, cette fois le verre est pour toi.
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| Sujet: Re: #1 (sabi) we've been here before Sam 19 Fév - 13:52 |
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Crocs acérés s’abattent dans l’épiderme, désormais marquée, espoir vain qu’elle demeurera indélébile, il croque, mord, soutient le regard de son vis-à-vis avec amusement. Le râle qu’il entend lui envoie une décharge qu’il ne comprend pas, aussitôt cachée sous le tapis, un peu comme un ressenti inavouable, honteux. L’homme a ce quelque chose de magnétique, à couper le souffle, à peine retrouvés qu’ils reprennent les habitudes qui les auront bercés et sans qu’il ne l’admette, il en est rassuré. Il en veut plus, lui aussi. Il serait prêt à enfoncer de plus en plus ses dents, jusqu’à lui en procurer de la douleur, jusqu’à l’en faire gémir, il est prêt Kija, mais il oublie surtout. Lieux interdits pour l’enfant du président de se montrer de la sorte, c’est lorsqu’il entend le cliquetis de l’appareil qu’il se redresse un instant. Peut-être est-ce un sadisme étouffé de s’en divertir, il paraît un instant surpris avant d’afficher une mine plus joueuse, narquoise. Lentement alors il observe la scène avec intérêt, se délaisse de la silhouette de son ami pour s’adosser contre le comptoir, la tête penchée sur le côté, comme si tout ceci n’était qu’une vaste blague à apprécier. Mauvais pote, que diraient les autres. Il s’en fiche, dans le fond. De toute façon, il le connaît, Sabi, ce dernier prêt à menacer. Et c’est ce qu’il fait, son mépris gronde, l’argent coule à flots, c’est dorénavant une moue déçue qui s’accapare du voleur ; il aurait aimé la prendre. Elle aurait été belle sur son poignet. Manège qui dure, c’est l’impatience qui prime, il veut parler avec lui, il aimerait le retrouver. Heureusement, il détourne son attention vers lui de nouveau, appréciant qu’il pose le regard sur sa personne. Sa remarque lui arrache un petit rire, il se penche brièvement, lui montre un instant la foule houleuse du regard. « Ils ont eu l’air d’apprécier ton petit spectacle, tu devrais te réjouir de faire autant d’effet tu sais, » il se redresse une fois la phrase prononcée, commande tout de même deux whisky-vanille. Quelques minutes pour être servis, il en profite pour ajouter « Pourquoi ce retour, Sabi ? » Curieux, au loin la malice qu’il aura rangé pour sa question et sans accorder d’attention au barman, il saisit le verre à son ami, avant de prendre le sien, trempant ses lèvres dans le liquide. Impossible de détourner les iris, il aime garder ce contact visuel, comme avant. Mais il ne devrait pas aimer cette familiarité, Kija.
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