SAVE THE QUEENS
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 venus in furs

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Message Sujet: venus in furs   venus in furs Empty Ven 27 Juil - 21:04


save the queens ---- / A GIRL HAS NO NAME

vingt-trois ans ---- / ace of diamonds ---- / zoe barnard

identité complète / à l'ombre des orangers susurraient les démons de l'été noir, à la belle isadora torès, les couleurs rougeoyantes logées dans ses sombres iris. elle n'était qu'une fille de rien, poussiéreuse à la lueur du soleil, éclatante sous les bouts de verre. vénitienne faussaire, maquillant ses lèvres de mensonges, de noms illusoires, elle s'improvisait belka nin, allusion admiratrice aux venus erotica. lieu de naissance et origines / dans la pulpe de l'océan nicha-t-elle sa chair dorée, embrassée par des cupidons enflammés, cubaine de la havane, métisse de teintes lointaines, les figues grecques coloriant ses paupières de violet poudré, les chants géorgiens cassant sa voix profonde. un mélange de trois vieux continents, un mélange de terre, d'eau et d'air entre l'europe, l'afrique et l'amérique. études ou métier / des doigts agiles, un regard expert et la délicatesse de ses fourberies couronnaient ses cheveux ondulés d'une mielleuse criminalité. faussaire d’œuvres d'art gâchée par un mauvais jeu de cartes, de sourires, aux commissures des lèvres ensanglantées, de musées aux lits étrangers. de venus copiées, devint-elle l'aphrodite postiche, embaumée de satin et de ténébreux baisers. elle était devenue la cathédrale d'amants oubliés, d'amours empoisonnés. orientation sexuelle / éperdue d'art, éperdue de sensations et de corps, que la chair reste sanguinolente entre ses dents, l'extase n'en sera que plus doux. statut civil / l'argent la rend romantique. pi, scénario ou prélien / jolie scénario de @sly amor  venus in furs 3227196488 .

save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE

once upon a heart
traits de caractère /



≺ drunk with images and words ≻ ◌ Isadora aimait les romans sur l'âme humaine. Des mots brutaux et violents. Une vie crue, explosant sur un papier vierge. Elle aimait les mots étrangers, surtout ceux français, russes et italiens qui n'avaient rien à cacher. Qui s'enroulaient sur sa langue, accentuant ses phrases comme elle le souhaitait, fléchissant à son grès lui donnant des airs européens. Elle aimait la littérature. Une littérature où le sang transperçait le voile de la poésie. à l'image de son âme, tonitruante, grondant tel un ciel chargé d'éclairs, enfantant les jais de sa fureur. Animale. Elle se voulait romanesque, se rêvait romantique, tombait, terrifiante, semblable à la fin d'une haletante nouvelle. ≺ marguerite duras ≻ ◌ Des tubes de rouges à lèvres traînaient dans la salle de bain, sur la vanité improvisée de son robinet, des fards et mascara...du khôl pour souligner l'horizon de son regard. Des magazines de mode jonchant le sol, noyés sous des vêtements balancés, ceux de tourisme étaient empilés sur la petite table à tout faire, et une boite de chocolats traînait sur le lit. Isadora avait des airs de madame, ou de mademoiselle-fée parfois. Des couleurs plus fatales s'accrochant à son visage, s'attachant à sa longue chevelure mousseline. Pourtant elle restait, aux yeux des hommes, une fille typique. De cette graine qui regardaient des comédies musicales et celles romantiques. Qui criaient en riant "c'est ma chanson" à chaque fois que des divas pointaient le bout de leur voix à la radio. Elle ne connaissait jamais les paroles par cœur, faisait semblant tout de même comme une enfant, et dansait un peu trop tardivement, ou trop violemment. Elle était tendre dans son innocence, dans cette volonté de faire partie de ce beau monde, de ces hautes tours et ces vestes taillées sur-mesure. Elle était adorable dans ses rires, bordélique dans sa vie, laissant ses passions dicter ses mouvements. L'élégance affublée de candeur, la femme fatale aux bas bleus de méthylène. ≺ holly golightly ≻ ◌ De ténébreux mambo secouant ses os d'ivoires, la peau lézardée d'identités multiples, Isadora n'était Isadora que dans les paroles de son père et le regard de sa mère...elle avait laissée l'océan avaler l'écume de sa jeunesse, effacer ses pas sur les plages cubaines...Isadora n'était jamais Isadora que dans le creux de la nuit, blottie sous la lueur de la lune, une cigarette griffant d'anthracite ses yeux bercés de mélancolie. Elle était ce qu'on voulait qu'elle soit, revêtant ses robes noires et ses talons rouges, traversant en sautillant des allés étranges aux visages lubriques, le sourire s'agrippant à ses lèvres que l'on rêvait de dévorer. Il y avait tellement de possibilités, tellement de personnalités à emprunter, un tableau entier à peindre...il fallait seulement voler la place de chaque figure au banquet, laissant la Torès au milieu, les paumes tournées vers les cieux. ≺ dancing in the living room ≻ ◌ Isadora avait l'alcool jovial...une frénésie enivrante détachant les fils cousus sur son cœur, transportant ses rires vers des terres inexplorées. Une folie prenant son esprit, une joie pure et corruptrice à la fois dévorant ses tripes. Il y avait tellement de choses à balancer en l'air, son sérieux, son ambition, ces choses superflues l'attirant sans cesse vers le soleil...elle en devenait adorable, les joues rougies et le minois alanguie, cherchant de ses doigts à dessiner la courbure de chaque corps, à consteller de son toucher des mystères humains, des troubles amoureux...elle s'offrait dans sa vulnérabilité à la bienveillance des passants, étourdis par ses ailes soudainement trop lourdes, oubliant qu'ils accueillaient lucifer tombé du ciel. ≺ black and white ≻ ◌ Le langage des images lui parlait aussi, adoratrice des films en noirs et blancs ou bien ceux en des couleurs délavées par le temps. Les blockbusters d'aujourd'hui ne l'intéressaient pas particulièrement, mais elle s'incrusterait certainement dans un cinéma pour en regarder quelques-uns d'affilé sans jamais se faire prendre. L'adrénaline du noir glissant dans ses sourires. Opportuniste sauvage, à s'offrir les délices du plaisir par des vulgarités de gestes et de mots, elle ne craignait l'interdit, l'accueillant en son sein, lui offrant ses malices. Voleuse, menteuse, faussaire, elle se couvrait de fleurs pour s'oublier dans le vacarme de son myocarde. Cet imposteur qui la poussait aux amours innombrables, aux démences les plus suaves. ≺ bodies lying on dust ≻Absente semblait-elle parfois, perdue dans les flots de ses pensées...dure, dans le marbre était-elle ciselée. Fière et orgueilleuse, on disait que ce furent ces traits qui firent tomber Lilith...qui ont causé la première chute vers les tréfonds de l'âme. Elle était pudique dans ses sentiments, chaleureuse dans les faux-semblants, actrice d'une épopée tragique, elle s'imaginait héroïne d'un quelconque poème psychédélique de la beat generation. Absorbée par ses rêveries, laissant les flots flous de paroles s'échouer à ses oreilles, mais jamais sur son cœur. ≺ a street car named desire ≻ ◌ La lingerie et les parfums étaient ses péchés mignons (tout comme les boites de bons chocolats et les flûtes de champagne). Des soutiens-gorges qui traînaient partout dans l'appartement, une collection de flacons décorant les rebords de la fenêtre toujours ouverte, Isadora avait peur de perdre...d'oublier. Embrumée par les profondeurs de Léthé, elle ne s'offrait jamais à son eau, ne succombait jamais à la tentation involontaire d'échapper les bouts de sa mémoire surchargée. Collectionneuse maladive de défauts, de leurres, de tromperies, rancunière s'improvisant karma, tout comme les objets inutiles s'empilant sur son sol, les souvenirs obstruaient son cerveau. ≺ holy and awful ≻ ◌ Elle avait le délire fanatique énamouré par le quotidien de sa situation pernicieuse. Un chapelet s'enroulant à ses phalanges humides de baisers libidineux, des saints d'or pendant à son cou cuivré, un semblant de prières ricochant contre ses dents. Elle n'avait pour foi que la survie, pour dieu que le monstre vert et pourtant avait-elle été élevée dans l'encens chrétien...pervertie par ses lectures, par sa nature, elle était à présent amourachée de l'art et la liberté d'exister. ≺ tongue so mean ≻ ◌ Elle avait une langue corrompue qui s'amusait à se rouler dans des débris de verre, s'engouffrer dans des poisons et sortir les pires des mots. Une langue maîtrisant les flexions d'accents étrangers (espagnol, français, russe, italien et grecque) pour berner la foule quant à son origine véritable. C'était une langue qui savait aimer aussi, et susurrer les poèmes du serpent de l'eden, ou l'amour d'une dulcinée. C'était avant tout une langue qui savait mentir, les yeux dans les yeux. Le défi de dessiner une illusion.


Et à tous les "je t'aime" répondait-elle "jamais".
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Message Sujet: Re: venus in furs   venus in furs Empty Ven 27 Juil - 21:04

save the queens ---- / TELL ME MORE

once upon a tragedy


la pesanteur de l'existence s'évanouissant sur sa poitrine haletante, les cheveux déroulant leurs pans aux alentours de sa figure serpentine, halo de boucles, de divergentes couleurs tantôt brunes, tantôt dorées, tantôt sombres, sombres comme la nuit.
ça remontait en bulles, par de pâles écumes moussant contre les parois de son cerveau, tel l'effervescence d'un cachet blanchâtre, la remontée bordélique d'un amas confus de souvenirs.
d'odeurs...de paroles...de chansons...de lumière.
c'était au centre, cette lumière aveuglante, cette chaleur étouffante, la profondeur des sentiments.

et surtout, la pesanteur de l'existence.

il y avait, dans les mémoires, les visages gorgés de soleil, ridés par la sécheresse, souriant au bleu du ciel voilant la noirceur de leurs iris. les cris aigus, frais et aériens comme une envolée d'hirondelles. le calme dérangé. les pas pressés ricochant dans la caboche, les jeux d'enfants répétant leur mélodie. le silence disloqué. et le battant, qui s'arrangeait en une marche quasi-militaire sur les terrains froids et dangereux de son amour.
cuba, la belle.
cuba, la muette harpie.
la capitale était meurtrière et fertile à la fois. dérangeante par la complexité de sa diversité. brouillon organisé. des couleurs s'écrasant les unes contre les autres, créant des mêlés, des hybrides. des petits monstres prêts à marcher sur les envahisseurs. ça venait des vieux, cette douce furie. ils peuplaient les souvenirs ces vieillards, les mâchoires tremblantes, fredonnant doucement les chansons d’avant, du temps d’avant. ils regardaient le soleil se coucher pour l’énième fois, les pieds s'enracinant sur une terre conquise par l'esclavagisme et l'acharnement, et lui, cet astre, il les observait mourir pour la première fois...s'abandonner au simple rien, fleurir sur les tombes.

les phosphates bombardaient. se dispersaient.

isadora n'avait, elle, que des réminiscences troubles...que des faces emportées par les flots, de vagues odeurs parfumant sa conscience, des lumières scintillant dans le fond. à s'en rappeler que la voix grave de sa grand-mère fredonnant des berceuses étrangères, le linge blanc battant de l'aile, tentant de se fondre entre les nuages, d'attraper son petit bout de ciel.
que la gourmandise de l'orange caramélisant ses lèvres et ses doigts, le miel de la mangue attrapant la poussière de son avant-bras, collant les poils entre eux, amassant bestioles et les cris de maman, désabusée par les tâches couronnant ses jupes raccommodées.
que du parfum toxique des pots de peinture, de la peau nocturne de son père constellée de teintes opalines, du bleuté pour les étoiles, du blanc pour la lune, et le pinceau inventant un monde sur des murs anthracites, des foyers ennuyeux où ses godasses à elle, se balançaient dans le vide de canapés inconnus. et toujours ces petits poissons dans le ventre quand elle observait la courbe de la main, la délicate attention et les rides se creusant sur le front par la concentration. ces petit poissons qui remuaient, électriques, frôlant de leurs nageoires son cœur et puis ses intestins, accompagnant le geste de l'artiste. de ce simple peintre en bâtiments. de ce simple père.

le bruit des vagues se jetait en elle. il avait été le berceau de ses nuits, l'infamie de son sommeil, écrasant d'un poids lourds ses paupières. on s'y habituait. tout le monde s'habitue à tout, c'est plus facile que de cicatriser. ça ne demande ni force, ni courage. seulement du temps. et voilà que de ce dernier, elle en était riche. chaque minute s’additionnant à sa morosité, creusant son visage, peignant une aurore veinées sous ses yeux abîmés. il fallait bien emplir ces pièces de musique, aussi brutale et agonisante soit-elle. il fallait remplir l'espace, faire taire les fantômes d'antan. ceux qui hantaient encore la vaisselle brisée, les draps défaits, la poussière, l'or d'une maison.
elle avait vieillie, rapidement. soudainement comme une photographie volant une demi-seconde, on lui avait volé sa vie. sa jeunesse. l'artiste s'ennuyait...s'imaginait courant entre les galeries des musées, riant aux éclats dans des ruelles éclairées par les néons, souriant à l'astre argenté, s'amusant de celui doré qui n'arrivait jamais à la rattraper. on lui avait dit de trouver mieux, maman les larmes aux yeux regardant un tas de papiers froissés, de chiffres alambiqués, papa la tête enfouie entre ses mains...de trouver quelque-chose de mieux, ailleurs. seize ans à peine, et elle était déjà vieille. on l'avait raccommodé à l'espoir, plaçant quelques patchs quand elle faisait la vaisselle, perçant sa peau d'aiguilles lorsqu'elle lavait les draps, tirant sur les fils lorsqu'elle allumait la gazinière.
c'était la misère qu'on lui faisait craindre. la maladie de la misère qui découlait dans leurs artères, de cette famille, des torès. la fatigue et la pauvreté, la dépression de maman la clouant au lit et toujours ces mots, toujours cette envie...trouve quelque-chose de mieux.

elle ne se souvenait que des formes et silhouettes glissant sur le sol poussiéreux, traînant leur existence par les cheveux. mais les faces importent peu durant des moments pareils, où l’animal s’éveille et grogne dans la cage thoracique. ils s’allument, s’éteignent, disparaissent puis s’embrouillent. ils n’étaient en elle que des restes de peintures sur un pinceau usé. des traînées de couleurs dans une eau troublée.

puis l’odeur venait s’écrouler dans ses poumons. ce parfum particulier qui lui collait à la peau, pulsant au creux de sa nuque, serpentant entre ses seins, cognant ses reins. celui de l'argent, de ce roi médisant lui offrant l'illusion du contrôle.
ces mains amicales attrapant les siennes, la faisant tourner sur elle-même, s’esclaffant de la manière dont elle avait de déchirer sa gorge pour voir les étoiles encore plus haut...de laisser ses yeux rouler vers des astres ambitieux. des planètes inconnues. là où elle trouverait le bonheur caché dans une liasse ou deux. et son talent, ce faussaire, volant l'essence des œuvres, les revendant pour véritables. et cette mesquinerie dans ses paroles, quand on tentait de l'attraper.
c'était la famine de l'âme.

très vite, dans une nuée de cartes jetées en l'air, elle avait glissé. une chute de la lumière jusqu'à la terre. violente, rapide. dangereuse.
elle était devenue tout et rien à la fois. la jeune vierge que l’on respectait, comme la pute que l’on baisait. il n’y avait plus d'isadora…on avait préféré la laisser là-bas, dans les ténèbres du soleil et dans les tourments de ses habitants. elle ne savait pas si on avait pleuré son nom. peut-être maman était-elle déjà partie sans rien dire et sans laisser de traces. la maladie de la mort embourbait les veines des torès. des fragments de cigarettes entre les doigts des plus purs, l’après-goût d’un rhum sur des lèvres rosées. et puis ce temps…toujours et encore qui grimpait sur les corps et les déchiquetait de ses ongles infâmes. isadora avait été égoïste. elle l’avait été et le sera surement toujours. parce qu’elle ne voulait pas s’éteindre à petit feu, parce qu’elle ne veut plus s’évanouir dans la nuit profonde. se mêler au rien. entrevue avec les morts reposant sur la plage. il n’y avait jamais eu de sens dans ses gestes, ni ses paroles…juste un amas confus d’existence s’entremêlant dans son étroit esprit asphyxié. tout le monde l’était là-bas…et tout le monde se déchirait avec lenteur et agonie. amour et ombre mystique. de l’encens dans les narines, le fanatisme qui secouait les os pour un bourreau tyrannique…
dans ce trou obscur qu'était son être, tout fanait.
mais ils n'avaient pas le droit de la faire mourir.

elle devait choisir sa propre mort.









but i'm still alive for you to love

save the queens ---- / BEHIND THE MASK

tdp. ---- / 20 ans ---- / rpgiste

ville / la chaleur du sud. études ou métier / vagabonde. avis général sur le forum / c'est actif, l'ambiance est génial, les membres adorables j'ai hâte de rp avec vous  venus in furs 3476085353  venus in furs 3476085353  venus in furs 3476085353 . le détail qui t'a fait craquer / toi ma star  venus in furs 3240963260 . fréquence de connexion / très ralentie durant le mois d'août. le mot de la fin / jvm déjà  venus in furs 1967697819 .

Code:
[b]zoe barnard[/b] / [i]belka nin[/i]
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Message Sujet: Re: venus in furs   venus in furs Empty Ven 27 Juil - 21:19

MINE.  venus in furs 3240963260

edit : sorry pour le côté sauvage, je tenais à être the first one ici.  venus in furs 7591526  venus in furs 7591526
bienvenue ma beauté.  venus in furs 946831849
zoé est un superbe choix.  venus in furs 3476085353
je ne sais pas si tu vas la garder ; j'ai oublié de la mentionner dans celles que j'aime beaucoup donc elle ne me dérange pas du tout, bien au contraire.  venus in furs 3476085353
le début de ta fiche m'a donné un orgasme spirituel et je suis déjà conquis par belka.  venus in furs 2470315465
merci énormément de la tenter, j'ai trop hâte de jouer ce lien.  venus in furs 3476085353

reédit mais...  venus in furs 725557629 j'me sens tellement nul en comparaison de tes mots didonc.  venus in furs 3176379322 je suis vraiment conquis.  venus in furs 805256838  venus in furs 1712875017 tu pars pas.  venus in furs 3240963260  venus in furs 570942232

mon amour:

scusez-moi je deviens émotif...
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Message Sujet: Re: venus in furs   venus in furs Empty Ven 27 Juil - 21:25

déjà, excellant choix de scénario venus in furs 697000959
ensuite, jez ce début venus in furs 697000959 venus in furs 697000959 venus in furs 697000959
du coup, j'ai bien hâte de lire la suite venus in furs 1505825564
bienvenue parmi nous venus in furs 2288768012
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Message Sujet: Re: venus in furs   venus in furs Empty Ven 27 Juil - 21:59

c'est tellement beau venus in furs 697000959 et le pseudo, l'avatar venus in furs 3176379322
bienvenue parmi nous venus in furs 3794924939
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Message Sujet: Re: venus in furs   venus in furs Empty Ven 27 Juil - 22:46

cette poésie je fonds. venus in furs 3176379322 c'est tellement beau ce que tu racontes. venus in furs 946831849 bienvenue. venus in furs 2288768012
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Message Sujet: Re: venus in furs   venus in furs Empty Ven 27 Juil - 23:55

Ces choix venus in furs 697000959
bienvenue chez toi venus in furs 946831849
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Message Sujet: Re: venus in furs   venus in furs Empty Sam 28 Juil - 0:23

ce début, cette beauté, ce scénario (puis bordel la beauté du titre venus in furs 697000959)
moi j'achète venus in furs 4113627247
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Message Sujet: Re: venus in furs   venus in furs Empty Sam 28 Juil - 2:32

Bienvenue venus in furs 946831849
Ce début de fiche venus in furs 3176379322
Ta plume est vraiment extra venus in furs 1948873765
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Message Sujet: Re: venus in furs   venus in furs Empty Sam 28 Juil - 10:14

tout est trop canon.
bien trop. j'ai hâte vous voir jouer.
j'ai hâte d'y mettre mon grain de sel. venus in furs 570942232 venus in furs 570942232
bienvenue ici. venus in furs 3227196488
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