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| Sujet: gods and monsters Dim 21 Mar - 20:45 |
| save the queens ---- / Marguerite Cavaletti
29 ans ---- / ace of diamonds ---- / camille rowe pourcheresse
identité complète - Des immigrés débarqués par centaines, il y a de ça des centaines d'années, Ellis Island pour seul horizon, pour seul objectif. des ancêtres venue tout droit d'italie, bras chargés de valise et de rejetons aux joues rebondis. certains s'installèrent sur la côte, quand d'autres préférèrent l'effervescente de la grande ville. Cavaletti, c'est l'italie, la lombarde, région qui a vu naître et grandir ton père. diminutif choisi pour prénom, balayer Marguerite pour ne garder que Rita. Rita, sainte Rita, sainte patronne des causes désespérée. il était choisis pour toi ce prénom-là. lieu de naissance et origines - À quelques kilomètres de là, des quartiers aux maisons bien ranger, aligné sur des jardins bien taillés. foutue banlieue ennuyante où jamais rien ne se passe, ou l'a connaît la totalité de ses voisins, et les ragots qui vont avec. tu l'savais toi, que Mme Carter couche avec le jardinier. banlieue abandonné si tôt la sœur disparue. des origines aux accents de soleil, de ruelles colorées, l'italie de papa transmises dans tes veines, dans ton cœur. études ou métier - Ça trotte dans ta tête depuis que tes gosses, tu sais pas tellement comment t'es arrivé à y penser. T'avais des facilités pour apprendre, retenir ce qu'on t'enseigne, par forcément de passion débordante pour l'école mais t'était une bonne élève, avec des capacités. parcours classique, tu choisis le droit. parce que ça rapporte pas mal, que t'aime l'idée de plaider devant une cour, de jouer une partie d'échecs géants. curiosité malsaine peut-être, d'être témoins des pires saloperies que l'humain puisse faire. Diplômé à vingt cinq ans, tu traînes dans les commissariats en tant qu'avocate commise d'office. celle qu'on n'espère pas, qui défendra quand même les plus pourris. peu à peu tu te fais l'avocat du diable, jusqu'à cette affaire ultra médiatisée, ou tu apparaîtra soudain, comme la tête à couper. orientation sexuelle - tu le sais depuis tes dix-sept ans, depuis que tu as largué ton petit copain du moment pour vivre une histoire passionnée avec sa soeur. bisexuelle, assumée, autant de relation avec des femmes, que des hommes. statut civil - Tu n'as pas le temps pour ça, pour te demander si tu fais bien, si tu dois faire autrement, si c'est assez, ou trop. Tu n'as pas le temps pour les compromis, les premiers rendez-vous, les longues soirées au coin du feu. célibataire, pour toujours, tu clames haut et fort n'avoir besoin de personne, n'avoir envie de personne. tu l'aime bien ta vie, comme elle est, t'as du mal à t'imaginer enchaine à quelqu'un, trop égoïste pour ça probablement. tu te contentes d'amourette, de flirt rapide, de coucheries régulières. pi, scénario ou prélien - inventé
save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE
once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star traits de caractère / de tes railleries méchantes, à tes remarques cyniques, de ton air hautain à ta misanthropie maladive. le verbe acide sous le visage de jolie gamine qu'on te prête, on n'imagine pas qu'une telle tempête puisse faire rage sous ta jolie tête blonde. stéréotype de la gamine qui a peur de l'amour, peur de s'ouvrir, peur d'exposer ses failles. clichés de la carapace pour protéger un trou béant qui lui sert de cœur, parce qu'elle sait au fond, qu'aimer c'est souffrir, et c'est aimer souffrir. profondément égoïste, là ce qui compte, c'est toi, et toi seule. incapable de faire des compromis, des concessions, incapable de donner aux autres. passionnée excessive, dans tes plaisirs, dans tes envies, dans ta façon de vivre. anticonformiste par excellence, t'as toujours détesté ça, devoir te ranger dans une case, correspondre à ce qu'on attend de toi
elle a récemment acheté un grand appartement ou elle habite seule + elle adore le vin français, le rouge, le blanc + c'est une excellente cuisinière, qui bien qu'elle aime ça, ne cuisine jamais pour elle + elle est abonné à la bouffe à emporter + elle regarde peu de série, peu de film + fume comme un pompier + se déplace toujours en taxi + claque son fric dans le shopping, bien qu'elle ne porte qu'un quart de son dressing + elle aime vivre seule, pour la simple et bonne raison, qu'elle aime être nue |
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| Sujet: Re: gods and monsters Dim 21 Mar - 20:45 |
| save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share journal télévisé du vingt deux juin deux mille un la journaliste apparaît enfin, après le générique du journal de vingt heures. les cheveux blonds tiré dans un chignon parfait, le chemisier rose pâle fait ressortir son teint. elle a l’air grave, on pourrait lui prêter quelques années de plus bien que tu sois convaincu qu’elle n’est pas si vieille. les gros titres, effondrement du marché des serveurs aux états-unis, l’éclipse visible dans plusieurs pays d’afrique, une race d’araignée qu’on croyait disparu découvert sous le château de la reine d’angleterre. “nous tenons aussi à rappeler la disparition inquiétante d’une jeune adolescente de morristown, new jersey, il y a deux jours. felicia cavaletti est toujours recherchée, en cas d’information nous vous prions de contacter le commissariat, …”, c’est ta sœur qui apparaît là, sourire figé sur l’une des dernières photos prises. elle resplendit, ses cheveux blonds tirés dans une natte, son sourire qui barre la moitié de son visage. tu te souviens de ce jour-là, des premiers rayons du soleil, des longues après midi passé dans le jardin. c’est ton père qui a pris cette photo. le numéro du commissariat défile. tu sens une présence dans ton dos, la main sur la télécommande prête à éteindre la télé. maman refuse que tu la regarde, maman ne veut pas voir les photos de Félicia défilée sur le petit écran. mais ce n’est pas elle, ton père seulement, qui se tient derrière toi. “comment ça a pu nous arriver ?”, la question lancé dans les airs, qui ne trouve pas vraiment de réponse, qui ne t’étais pas forcément destiné. tu l’observes, t’as l’impression qu’il a pris vingt ans en deux jours. comme maman. peut-être parce qu’ils ne dorment plus, peut-être parce qu’ils passent leur temps entre le commissariat et le salon transformé en véritable QG. il se penche, par-dessus le canapé, étire le bras pour attraper la télécommande, éteindre la télé. vingt juin 2001. c’est le début de l’été, et pourtant t’a manqué l’école ce jour-là, malade à crever. la fièvre qui te fait traîner dans le lit, tu te moques de ta sœur parce qu’elle doit aller à l’école, et pas toi. elle pars ce matin-là, cartable sur le dos, ton père l’accompagne jusqu’à l’arrêt de bus du coin de la rue. comme il le fait presque chaque matin en allant travailler. tu vois les heures passées, zappe une bonne partie de la matinée jusqu’à ce qu’on vous téléphone. c’est toi qui décroches. c’est l’école. ils veulent parler à ta mère. t’as peur d’avoir fait une connerie, de ne pas t’en souvenir, t’observe ta génitrice en face de toi, un peu plus encore quand son visage se décompose, une main sur la bouche, elle ne comprend pas, dit qu’elle est bien partie ce matin, qu’elle va appeler ton père. tu comprends tout de suite, que quelque chose cloche, que ça ne te concerne pas. ce n'est pas de toi dont il s’agit. on prononce bientôt les mots, félicia a disparu, ton père rentre plus tôt de son travail, la police est prévenue. la soirée ne fait que commencer. on pensera d’abord à une fugue, elle a l’âge pour, on te posera les mêmes questions. avait-elle des raisons de vouloir partir ? t’en avait-elle parler ? non. pas Félicia, la petite fille parfaite, pas Félicia, la préférée de tes parents. bien sur que non. aucun vêtement, aucune affaire personnelle n’a disparu. ce n’est pas une fugue. une disparition, un enlèvement. on commencera aussitôt les recherches, son visage placardé sur tous les murs de la ville, sur les briques de lait. on interrogera tout votre entourage, portera ton père comme suspect. parce qu’il n'est pas net, parce qu’il a des trous dans son emploi du temps, parce qu’il est mouillé dans des affaires compromettantes. mais jamais il vous ferait du mal, tu le sais ça. maman a commencé à pleurer à ce moment là, papa à se taire, murer dans un silence. et toi, au milieu de tout ça, t’es devenue la deuxième enfant oubliée.
journal télévisé du deux aout deux mille neuf “il s’agit peut-être d’un rebondissement dans l’affaire de plusieurs disparitions inquiétante de jeunes adolescentes…”, t’attrape la télécommande, prête à changer de chaîne ou à éteindre la télé. on en parle depuis ce matin, des ossements retrouvés sur un terrain du new jersey, ceux qui pourraient correspondre à plusieurs cas de disparitions, dont celui de ta sœur. tu veux pas que maman tombe dessus, tu veux pas nourrir chez elle de faux espoirs meurtriers, ou bien encore anéantir ceux qu’elle pourrait encore avoir. tu sais pas, tu ne sais plus ce qui la détruirait vraiment, d’apprendre que ta sœur est morte, ou bien d'espérer qu’elle soit encore vivante. elle arrête ton geste, ses doigts sur ta main, elle prête l’oreille à ce qu’annonce la journaliste. elle rappelle les faits, les différentes disparitions inquiétantes qui ont eu lieu dans ce périmètre au cours des dix dernières années. elle cite le nom de ta sœur, tu sens les doigts de maman se refermer sur ta main. silencieuse jusqu’à ce qu’on change de sujet, jusqu’à ce qu’on revienne à des choses plus importantes, des sujets plus actuels. les résultats tomberont bien des semaines plus tard, l’identification du corps prendra des mois, mais la piste de Félicia sera écarté dans les premières, trop jeune, pour que ce soit elle. pas elle, pas cette fois, pas encore. des questions sans réponse qui pousseront maman dans ses retranchements, dans ses mots incompréhensibles. comme quand elle t’appelle par son prénom, quand elle est convaincue que Félicia va bientôt rentrer de l’école, quand elle prépare le dîner pour quatre, insiste pour faire son gâteau préféré. au début vous avez cru que ça passerait, qu’elle retrouverait bien vite ses esprits, vous avez pensé que de déménager de votre vieille maison serait la solution. pliez bagage, papa prétend avoir eu une promotion, vous quitter la petite ville de banlieue pour la grande ville, celle qui fait du bruit, celle qui vit. vous avez pensé que maman passerait à autre chose, mais ça n’a jamais été le cas. ce soir la elle se lève, éteint finalement la télé, pour faire le tour du canapé. “tu viens préparer le diner avec moi felicia ?”, elle s’adresse à toi, t’attend toujours qu’elle se reprenne, s’excuse de se tromper de prénom comme cela arrive couramment, à tout le monde. mais tu sais que ce n’est pas le cas, que c’est autre chose chez maman. soupire au bord des lèvres, tu murmures un "j’arrive" presque inaudible. avant d’échanger les mêmes regards avec papa, ceux qui disent de laisser tomber, de laisser couler, de hocher la tête sans la reprendre, sans la confronter. mais aujourd’hui papa non plus n’est plus là, situation devenue intenable pour lui, il a plié bagage une nouvelle fois, direction milan. et encore une fois, t’es l’enfant oublié au milieu de tout ça.
journal télévisé du dix septembre deux mille vingt tu te laisses tomber dans le fauteuil capitonné, clope fumante au bec, verre de vin en main. tu ramènes tes jambes sous tes fesses, assise en tailleurs, le corps penché en avant, vers l’écran plat qui crache quelques images à toute vitesse. t’attrape la blonde entre tes doigts, sourire aux lèvres tu craches la fumée de nicotine. un doigt sur la télécommande, tu augmentes le son. “conclusion dans l’affaire jay mccabe après trois jours de procès”, les images défile, il passe devant les caméras, tête haute, tu t’aperçois derrière, “la cour a en effet validé son acquittement”, le juge, les cris de la cour, de ceux qui se lèvent contre la décision. “pour rappel, ce chef d'entreprise de trente-cinq ans était le premier suspect dans la disparition inquiétante de sa femme… des éléments retrouvés à son domicile avait permis aux enquêteurs de le confronter à son emploi du temps mystérieux”, tu hoches la tête, une moue sur tes lèvres que tu trempes bientôt dans le liquide carmin. c’est vrai que tout l’accuse. le trou de presque trois heures dans son emploi du temps de ce soir-là, sa version des faits, les tensions qui existait entre lui et sa femme, les cheveux retrouvé dans le coffre de sa voiture. et pourtant pas de corps, pas de trace de sang ou de lutte, rien. pas d’arme du crime non plus, puisque pas de crime. l’opinion publique l’avait pourtant déjà condamné. un homme qui ne sait ou se trouve sa femme, qui ne peut expliquer où il se trouvait la même soirée où sa femme a été aperçue vivante, son manque d’émotion… condamné. tu apparais devant la caméra, le micro des journaux locaux, ton bel habit d’avocat. tu te penches un peu plus sur le fauteuil, augmente encore le son. tu te vois là, dans ton écran plat, comme une véritable star du cinéma. “la cour n’avait aucune raison de condamner mon client” flash des appareils photo, on te pose diverses questions, la plupart visant à mettre en doute tes compétences d’avocate. personne ne comprend comment il a pu être innocenté. ça t’énerve, tu le vois dans ton reflet, tu te rappelles de cette sensation. “on ne peut pas condamner un homme pour homicide quand on n'a pas la certitude que la victime ne soit pas encore vivante”, tu n'as imaginé les scénarios possibles, celui que ton client est bel et bien tué sa femme, dissimulé son corps, repris sa vie avant de signaler sa disparition. c’est possible, des hommes qui tuent leurs femmes, il y en a des milliers. pourquoi serait-il différent ? mais tu as imaginé un autre scénario possible, celui que sa femme est orchestrée elle-même sont départ. on lui connaît une instabilité mentale, une situation financière qui lui permettrait de disparaître pour quelque temps. t’écrase ton mégot dans le cendrier qui traîne sur l’accoudoir, relève la tête à l’instant ou le père de la “victime” s’exprime, te qualifiant d’irresponsable. il ne comprend pas, il a du chagrin, refuse de voir une vérité qui pourtant s’impose à lui. est-ce que tu ressens de la compassion pour lui ? non. ni pour lui, ni pour le reste de sa famille, ni pour ton client. c’est une disparition comme une autre, comme il en arrive des dizaines par an aux états unis. et malgré toi cette affaire-là te propulsera sur le devant de la scène, la tête à couper, la sorcière du village. pour une fois depuis presque trente ans, t’es plus l’enfant oublié.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK
désert bleu/mélody ---- / 28 ans ---- / rpgiste
ville - cherche pas on est confiné études ou métier - mother of dragon avis général sur le forum - mi casa es tu casa le détail qui t'a fait craquer - mon cerveau plein d'idée, les gens fabuleux, et leurs personnages fabuleux fréquence de connexion - jamais assez crédits des icons - écrire ici. le mot de la fin - v'nez voir maman dans ses mps - Code:
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[b]camille rowe-pourcheresse[/b] / [i]rita cavaletti[/i] |
| | | Terrence Figueroa;
-- défaite de famille -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
nick hargrove. all souls. 4339 1056 28 le coeur volage à l'image de ta vie. tu glandes quand tu n'te la joues pas, tour à tour, serveur, ou vendeur dans une station essence. jusqu'à t'implanter dans les écrans de la télé-réalité. oksana - shaye (3) - toi ? - toi ? - toi ?
| Sujet: Re: gods and monsters Dim 21 Mar - 21:00 |
| re-bienvenue à toi sur stq. _________________ (dés)amour. |
| | | Kaan McDonald;
-- what you hide controls you -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
jordan calloway. waldosia. kemen. 844 856 33 éternel éconduit de l'amour. ex-basketteur aux rêves avortés. reconverti en interne en médecine d'urgence. kurtis - you ? - you ? - you ? - you ?
| Sujet: Re: gods and monsters Dim 21 Mar - 21:21 |
| cette beauté. re-bienvenue par ici _________________ dans le jeu des persiennes, des fumées me reviennent, comme les démons insomniaques de nos amours rebelles. nos conditions humaines, nos émotions cruelles, comme des vapeurs qui m'attaquent, hallucinogène. |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: gods and monsters Dim 21 Mar - 23:20 |
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| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: gods and monsters Lun 22 Mar - 7:45 |
| Mother of dragons! Ca me plaît!! Re-bienvenue à toi sur STQ |
| | | Shaye Fernsley;
-- play your cards -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
charleen weiss. @amor fati n e s t a 1188 726 26 Célibataire, tu as le coeur meurtri d'avoir trop perdu. Tu te fais charmeuse pour te perdre entre les draps d'inconnus lorsque la solitude se fait trop dure à porter. T'es pas prête à ouvrir ton coeur, parce que tu ne supporterais pas un échec, pas un nouvel abandon. Les notes de musique qui se faisaient entendre dès que tu déposais tes doigts sur les touches d'un piano étaient une douce mélodie à l'oreille. Mais c'est terminé. La vue d'un piano te panique, et t'es incapable de trouver du réconfort dans une passion qui t'a apporté tant de réconfort. Tu devais en faire ta vie, tu te savais assez talentueuse. Tu as tout abandonné, tes rêves de carrière et tes études, te perdant dans des petits boulots sans intérêt. queens tradi, with herself, for now. en cours de réécriture
| Sujet: Re: gods and monsters Lun 22 Mar - 14:00 |
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| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: gods and monsters Lun 22 Mar - 17:03 |
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| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: gods and monsters Mar 23 Mar - 12:05 |
| j'aime beaucoup ce que je lis ! ta Rita est superbe et son caractère a l'air d'être assez bien trempé, ça me plait beaucoup !! on a une flottée de femmes incroyables en ce moment ahah, j'ai très hâte de la voir en jeu, ça promet des rp hauts en couleurs !! je suis contente d'avoir pu t'aider dans ton choix, en plus Camille Rowe est superbe ! re-bienvenue parmi nous |
| | | Invité;
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| Sujet: Re: gods and monsters Mar 23 Mar - 21:25 |
| - Terrence Figueroa a écrit:
- re-bienvenue à toi sur stq.
merci beaucoup - Kaan McDonald a écrit:
- cette beauté.
re-bienvenue par ici j'te retourne le compliment, merci - Joyss Lane a écrit:
- que de beauté
trop heureuse de voir ta Rita débarquer et tout ce que ça promet puis hâte qu’elles forment un beau duo de l’Enfer avec Imra rebienvenue chez toi ma Melo oh grave, faisons sortir le frangin merci - Beatrice Vaughan a écrit:
- Mother of dragons!
Ca me plaît!!
Re-bienvenue à toi sur STQ ahah merci à toi - Shaye Fernsley a écrit:
- ah ouais, nouveau personnage et j'suis pas au courant???
plus sérieusement, rebienvenue par ici, pis j'ai hâte d'en apprendre plus sur ta rita c'était pour mieux te faire une surprise - Jez McKinney a écrit:
- Que c'est beau par ici.
J'ai hâte d'en lire plus parce que c'est bien trop vide. Re-bienvenue chez toi avec ce personnage qui promet pleins de belles choses et qui va encore faire des étincelles. j'me dépêche de remplir tout ça, j'espère qu'elle vous plaira merci beaucoup - Sahel Al Assad a écrit:
- j'aime beaucoup ce que je lis ! ta Rita est superbe et son caractère a l'air d'être assez bien trempé, ça me plait beaucoup !! on a une flottée de femmes incroyables en ce moment ahah, j'ai très hâte de la voir en jeu, ça promet des rp hauts en couleurs !! je suis contente d'avoir pu t'aider dans ton choix, en plus Camille Rowe est superbe !
re-bienvenue parmi nous mais tes si jolis mots ! merci beaucoup, j'espère qu'elle ne vous décevra pas ! et je ne manquerais pas de revenir vers toi pour un petit lien |
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| Sujet: Re: gods and monsters |
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