SMS / caliane ft. nars. (tw)

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tu mens mal, Nars.
tu sais mentir au monde entier, sauf à ta propre femme.
je ne suis pas la seule à vibrer de toutes nos joutes verbales ou de nos petites farce.
je ne sais pas ce que je veux, peut-être oui.
te voir mort ou à genoux devant moi, la tête entre mes cuisses. je l'ignore ? (voix faussement innocente, désinvolte)
mais tu continues à me répondre, à m'attaquer, à m'insulter,
je sens dans ta voix toutes les vibrations de ta rage et de ton impatience.
si je ne te rends pas dur, au moins je te fais réagir, c'est tout ce qui compte.
fin de l'audio.

message audio
si, j'ai senti. tu devrais l'inviter lorsque je serai là.
je serai ravie de la sentir de plus près.
qui sait si elle ne me plaira pas aussi ?
(invisible, elle laisse ses doigts courir de son cou sensible)
je suis sûre que tu l'as marqué pour me faire enrager. tu sais, là où tu mords bien fort.
là où je te mordrai jusqu'au sang si tu oses encore écarteler les cuisses tes putas sous mon toit. (dents serrées, la sentence tombe avant la fin)
fin de l'audio.

@Nars Aznar

message audio
certes, je n'ai jamais caché que j'voulais te voir détruite.
ça serait un bon retour de bâton non ?
pour c'que tu as détruit entre nous. (un souffle dans les derniers mots, s'envolent ces derniers en même temps que le poison d'une cigarette). mais si y aura bien quelqu'un à genoux, ça sera toi.
j'peux te dire la même chose Caliane (tjr l'accent chilien, l'insulte à chaque fois qu'il prononce ce prénom comme une hérésie), peut-être que tu tu tenteras de me la faire durcir en me pompant et me suppliant. (nouveau rire, mesquin.) et j'y réfléchirais, si j'peux te pardonner.
fin

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puta, puta, puta. change de disques et n'insulte pas cette femme (en imitation énervante, d'un ton moqueur, des propos de sa femme quelques audios plus tôt.)
mais avec plaisir... quand es-tu disponible mon amour ? vu que tu as un emploi du temps très très rempli.
bien que je ne te savais pas de ce genre, à aimer regarder mais t'es assez fêlée donc pq pas, ça ne me dérange pas. (faussement enjoué alors qu'il l'est aussi un peu au fond, dl'entendre entre ses dents cracher).
pour revenir à la morsure (un rire méchant) faudrait encore que j'te laisse m'approcher. mais dis-moi, t'en portes encore la marque ? t'en sens encore la sensation de ces fois-là où j'te marquais, où j'étais encore trop stupide à être possessif envers toi ? est-ce que t'y glisses ta main en rêvassant ? j'ai bien l'impression, pour l'évoquer.
t'inquiète pas, elle aime autant que toi. vous pourrez comparer.
fin

@Caliane Caruso

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je rectifie : tu as tout détruit. je n'ai fait que vouloir une famille, tu n'en as pas voulu.
tu m'as promis monts et merveilles et je n'ai rien au d'autres que ton absence.
et je te laisserai tenter de me mettre à genoux, tu t'épuiseras avant moi, mon amour. tu vas durcir sans même que je n'ai à me mettre en position de jeune pieuse avalant la hampe de son Seigneur.
ma bouche n'est plus à toi de toute manière,
plus rien ne t'appartient. et c'est tout simplement de ta faute.
pardonne, si tu le peux ou le veux. moi je ne suis pas aussi encline à la clémence.
tu m'as l'air encore bien blessé par le passé en tous les cas, Nars (la moquerie au bout des lèvres, le bruissement d'un manteau qu'on enfile)
tu es faible. les femmes doivent te rendre faible et con j'imagine. comme tous les hommes.
fin de l'audio.

message audio
oh, elle compte, elle ? surprise. tu t'en lasseras un jour. il te faut quelques années parfois pour comprendre qu'en réalité, tu n'es pas capable d'aimer ni de désirer. tu vas te perdre, Nars et je serai là pour siroter un bon vin devant ta défaite.
je ne sais pas quand je le serai. comme tu le sais, je suis une femme occupée et tu n'es pas une priorité.
(un rire encore, de ceux qui présagent le mauvais, le sombre en elle)
tu n'arriveras pas à la baiser devant moi. mon regard va te bloquer. ou peut-être que ce sera moi que tu regarderas en la prenant ? pour me narguer ou pour te faire bander ? je ne sais pas.
je saurais t'approcher. tu me laisseras entrer en toi, sous ta peau, comme je l'ai toujours fait. tu es faible, je le redis, surtout face à moi.
tu trembles, non ?
tu t'enflammes, pas vrai ?
je ne sens rien, non. ça remonte à loin mais je retiens que tu avoues avoir été stupide. me voilà toute heureuse.
marque la, marque la de partout si tu le veux, je me fiche de qui tu culbutes ou non, de qui tu aimes ou non, je demeure la première et tu le sais.
et ça t'enrage que je porte encore ton nom.
et ça t'emmerde de ne pas céder à l'abandon avec moi.
tu te trahis seul, Nars, toujours.
tu ne m'offrirais même pas ta voix si je ne comptais pas encore.
mon bel amour, si je t'aimais encore, je pourrais croire que toi aussi.
hélas ... (silence) il n'en est plus rien, n'est-ce pas ?
fin de l'audio.

@Nars Aznar

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t'as alzheimer ? c'est comment dans ton crâne ? ton dernier mec t'a secoué trop bien du mur ? faut que j'te fasse interner ? (la raillerie quand s'entend également l'énervement qui monte)
ou t'as oublié qu'tu m'as trompé ?
ou t'as oublié qut'es en partie responsable de tout ça.
tu t'caches derrière ton statut d'femme mais t'es rien Caliane. t'es juste la meuf qu'a décidé toute seule de sa solitude quand jt'ai promis d'autres choses à l'autre bout du monde. tu t'caches derrière tes excuses quand t'as même pas attendu que j'sois prêt un jour, ou pas, à être père ; quand t'as décidé de partir.
tu l'as voulu.
alors ne remet pas TA faute sur ma personne.
fin.

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certes, comme j'me suis lassée de toi. comme on finit tous par se lasser de toi. (ricanement mutin)
quand j'en aurais assez, j'en prendrais une autre. et encore une autre.
et peut-être que je pourrais rester dans le coin un petit moment, j'suis pour les afficher sous ton nez.
juste pour les prendre sous ton nez.
et peut-être que je pourrais te regarder ouais
pour t'montrer qu'elles me font plus d'effets qu'toi.
pour t'montrer que t'as perdu.
que toi, il te reste seulement tes rêves de petite fille, de p'tite salope à croire que j'fais tout ça pour TOI.

ce qui te rend ridicule ma chère c'est ton double discours, tu es tellement contradictoire.
tu t'en fous mais ta fierté réside dans le fait que tu as été, je cite, la première (moquerie dans la voix), que tu as tjr mon nom.
si t'en avais autant rien à foutre ce moi, mon amour, je ne vois pas c'que ça t'apporte. si t'en avais rien à foutre, il y a bien longtemps que tu aurais signé, bien longtemps que tu m'aurais viré d'ta vie.
tu es faible Caliane. faible face à moi.
fin.

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