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 panique aux urgences | Valentina

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Message Sujet: panique aux urgences | Valentina   panique aux urgences | Valentina Empty Dim 13 Déc - 16:13

La jambe qui tremble dû à l’impatience qui se fait ressentir. Il n’aime pas les urgences, clairement, ça lui remonte de mauvais souvenirs en tête mais ce n’est pas ça qui le crispe le plus. Ça fait un moment qu’il n’a pas de nouvelles du gamin qu’il a amené par ici. Plus tôt dans la journée, durant une activité avec les 13-17 ans un jeune est tombé tête la première sur le bitume. S’il se relever avec quelques égratignures, Wolfe a très vite compris que quelques choses n’aller pas. C’est quelques minutes plus tard quand il a vomi puis tenait plus debout qu’il a ordonné à une d’appeler les urgences pour qu’ils viennent au plus vite. L’autre accompagnateur est rentré avec les jeunes, lui a suivi le gamin sous sa responsabilité dans l’ambulance et depuis, il n’a pas la moindre nouvelle. Entre les parents qui ne répondent pas au téléphone, le personnel médical qui ne le tiennent pas vraiment au courant de tout ce qu’il se passe, forcément il y a de quoi perdre patience. Il a l’impression d’être un lion en cage. Il ne tient pas en place, il se lève, marche, fais des aller-retour aux toilettes et aux distributeurs automatiques puis change de siège, encore et encore dans un jeu sans fin. Il n’a pas regardé l’heure à laquelle il est arrivé et c’est tant mieux, ça l’évite de compter les secondes, encore et encore. Il a l’impression de revenir à l’époque où il attendait des nouvelles de son meilleur ami et c’est sans doute pour cela qu’il stress autant. Il n’a pas eu la chance de revoir son meilleur ami après cet épisode, mais il compte bien revoir le jeune et ce, en pleine forme. « Bon ça commence à bien faire ! » Il n’est pas du style à faire des scandales en public. Non, lui il ne veut pas énerver les autres, ni les vexer, non lui il veut pas se montrer en public. Il est le genre de mec trop gentil, au point où ça en devient un défaut. Il est trop dans le paraitre, trop dans la gentillesse pour attendre quelque chose en retour comme de la reconnaissance par exemple. Mais là il n’en peut plus de tourner en rond. Il n’en peut plus de s’en faire et d’imaginer le pire. « Je veux voir quelqu’un ! » Dit-il en s’approchant de l’accueil où on lui dit toujours d’attendre. Il veut des nouvelles et maintenant. Il parle fort, il est en spectacle mais ce n’est pas le plus important à cet instant précis. « Je ne partirais pas » insiste-t-il. Il a bien conscience qu’il n’est pas le seul à avoir besoin d’être rassuré, d’avoir besoin d’être pris en charge et lui qui est si agréable à l’accoutumé est égoïste pour le coup.
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Message Sujet: Re: panique aux urgences | Valentina   panique aux urgences | Valentina Empty Lun 14 Déc - 19:52



    Valentina est sur une longue journée. Elle a commencé il y a déjà plus de vingt heures et ce n’est apparemment pas prêt de s’arrêter. Heureusement, elle tenait bien le rythme malgré qu’elle n’ait qu’une envie, celle de se blottir contre Frederickson devant un film. D’ailleurs, elle a à peine le temps de le prévenir qu’elle ne rentrera pas de si tôt ; qu’il ne s’inquiète pas. Bien qu’il connaisse les horaires toujours fous qu’elle peut faire, elle ne peut s’empêcher de lui envoyer un message pour qu’il pense à elle. Parce qu’elle veut qu’il pense à elle autant qu’elle pense à lui sans se douter que c’est déjà le cas. Enfin lors des interventions, elle évite de penser à son protecteur sinon, il y aurait de nombreux dégâts et ça n’était pas à souhaiter. Elle était là pour sauver des vies, pas pour en enlever.

    Elle s’arrêta à peine cinq minutes. Elle avait besoin de décompresser, boire un peu aussi. C’était humain même si la plupart des gens présents ne comprenaient pas qu’ils puissent avoir besoin de cinq minutes pour souffler. Ce n’était pas des machines et avec vingt heures dans les pattes, il fallait quand même avouer que ça devenait parfois un besoin urgent. Après une dernière inspiration, elle se relève et va pour prendre le cas d’un autre patient qui doit arriver d’ici peu. Sauf qu’elle n’a pas vraiment le temps de s’en occuper, pas encore en tout cas. Quelqu’un fait un scandale. Ce n’est que le sixième début le début de sa journée alors elle ne s’en offusque même plus, elle est habituée. Le plus embêtant c’est quand une arme commence à être saisie alors même que la conversation n’a pas commencé. Ca aussi, elle y est habituée depuis quatre ans mais ce n’est jamais facile à vivre, toujours un peu plus traumatisant à chaque fois. En revenant, elle va d’ailleurs toujours se blottir dans les bras de Frederickson pour qu’il la rassure. Elle en a besoin pour ne pas devenir folle. Toujours que ce coup ci, elle allait s’y faire. Elle avança vers le jeune homme. Il lui semblait jeune, trop jeune pour qu’on accepte ce genre de spectacle. Après tout, tout le monde attend une réponse, un espoir ou non encore encré en soi. D’ailleurs, la plupart du temps, elle les laisse crier parce qu’elle ne veut pas que l’on croit que parce qu’ils s’insurgent, ils sont prioritaires. Non, ça ne ferrait qu’entrainer encore plus le mouvement et ils ne s’en sortiraient définitivement jamais. Par lassitude peut être, elle le laisse faire ce coup ci mais non sans réprimande. « Bonjour. » Elle pose la main sur la jeune femme à l’accueil qu’elle sent stressée. La pauvre, elle vient à peine d’arriver, ce n’était pas le moment. « Ca ne sert à rien ni de parler fort, ni de vous faire remarquer. Ca n’avancera pas vos affaires. » Elle a le regard tendre malgré tout car elle sait combien ça peut être énervant d’attendre mais il ne fallait pas la pousser trop. « Qu’est ce que je peux faire pour vous ? » Si c’était l’opérer, elle se ferrait peut être un plaisir de lui faire un peu mal mais ça, elle ne le dirait jamais.


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Message Sujet: Re: panique aux urgences | Valentina   panique aux urgences | Valentina Empty Sam 16 Jan - 16:29

Ce n’est pas nouveau que Wolfe a tendance à réagir de manière exagérer. Il ne le fait pas exprès, c’est plus fort que lui malheureusement. Que ce soit l’attachement aux gens, son coté altruiste exagéré mais aussi sa manière de réagir. Là par exemple il ne se rend même pas compte qu’il exagère, qu’ils ne sont pas seuls à attendre des nouvelles et que ce n’est pas en gueulant le plus fort qu’on va lui apporter les informations qu’il attend depuis un moment maintenant. Les messages qu’il reçoit du centre et des jeunes pour avoir des nouvelles n’aident en rien. A force de répondre qu’il attend encore et toujours des nouvelles, il a l’impression d’attendre encore plus. Quelle réaction il aurait si c’était son propre enfant ? On peut se poser la question au vu de sa réaction disproportionnée même si on peut comprendre son inquiétude. Les urgences ont tendance à l’angoisser à cause de traumatismes passés mais ça, il ne le dira jamais à haute voix. C’est le genre d’information qu’il garde pour lui. S’il est très bavard, ouvert aux autres au quotidien, au final il parle très peu de lui et encore moins des sujets fâcheux et tristes. Alors qu’il fait son petit numéro, une femme qui doit être médecin à en croire la blouse qu’elle porte vient prendre le relais pour lui répondre. Médecin ou pas médecin, ce n’est pas pour autant qu’il va se calmer du’n claquement de doigt. Il n’a pas pris en grippe la secrétaire pour le plaisir, elle pourrait être cheffe des urgences ou même de l’hôpital que ça ne changerait rien du tout. « Ouais bonjour » dit-il toujours autant sur les nerfs. Il en oublie même ses bonnes manières en restant poli, les mots ne suffisent pas, c’est la manière dont on les emplois qui compte. « Ce ne sont pas mes affaires mais les vôtres, c’est intolérable qu’on ne soit pas informés au plus vite ! » il ne sait de toute manière même pas si on lui donnera la moindre information à l’arrivée d’un médecin puisqu’il ne fait pas parti de la famille. Il n’hésitera pas pour autant à faire un scandale si on ne lui dit rien. Ses parents ainsi que le reste de sa famille ne sont toujours pas là. Il est le seul adulte présent pour lui si on exclue bien entendu les médecins et tout autre personnel médical bien entendu. « J’accompagne un jeune qui a eu traumatisme crânien, ça avait l’air grave » Explique-t-il, ce n’est pas comme si les urgences étaient pris d’assaut par des cas assez similaires et donc ça ne dit pas pourquoi il devrait être prioritaires mais pour lui il doit l’être, c’est aussi simple que ça. « Ses parents n’ont toujours pas répondu au téléphone, je suis la seule figure familiale qu’il a, je suis sûr qu’il doit être effrayé » continu-t-il sur sa lancée. Peut-être que sa volonté d’être là pour un jeune ado fera en sorte qu’il obtienne les informations qu’il attend depuis un moment ou mieux, il pourra aller voir directement en personne.
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Message Sujet: Re: panique aux urgences | Valentina   panique aux urgences | Valentina Empty Lun 18 Jan - 17:49


    Valentina en avait vu d’autres depuis qu’elle avait commencé son travail à l’hôpital. Elle finissait par s’habituer à beaucoup de choses exceptées qu’on lui parle mal. Elle détestait ça vraiment ça parce qu’ils faisaient tous ce qu’ils pouvaient et que ce n’était toujours pas assez pour eux. Franchement, les gens étaient patients ça faisait peur. Bon certes, là ça faisait 3h que Wolfe attendait mais s’il n’avait pas de réponses à ses questions, c’était généralement normal. On ne laissait pas les gens sans nouvelles pour le plaisir, préférant attendre d’avoir une réponse plus fiable que donner trop d’espoirs aux familles. Alors en le voyant s’énerver, elle voulait ralentir la crise de nerfs et aider la pauvre jeune fille. Elle avait envie de lui dire d’aller prendre une pause mais il fallait aussi qu’elle voit comment on peut désamorcer la situation. Elle resta polie mais ne put s’empêcher de lui dire avec un ton toujours gentil. « Je vous conseilles de vous calmer sinon j’appelle la sécurité et ça ne me dérangera pas le moins du monde qu’ils vous fassent attendre dehors avec un froid pareil. » Elle sourit mais tenta de lui prouver qu’elle n’allait pas se laisser faire non plus. Elle trouvait ça dommage de devoir menacer d’appeler la sécurité devenue obligatoire à cause de tous les problèmes qu’ils rencontraient chaque jour. Franchement, Valentina s’en passerait bien mais c’était devenue souvent une arme de dissuasion ou alors un effet de choc pour beaucoup de gens qui se reprenaient alors. En plus, avec le froid qu’il faisait en ce moment, il faisait meilleur à rester à l’intérieur.

    Elle le laissa parler sur ce qui l’emmenait à l’hôpital. Elle comprenait que cela puisse angoisser le jeune homme malheureusement, elle ne pouvait pas faire grand-chose pour lui. Il n’avait pas l’air de sa famille d’après ce qu’elle comprenait. « Je comprends mais vous m’avez l’air de savoir que si vous n’êtes pas de la famille, on ne peut rien vous dire qu’importe si vous êtes le seul adulte présent à cet instant. » Ce n’était pas toujours vrai. Valentina enfreignait souvent cette règle lorsqu’il s’agissait de la petite amie du patient ou alors lorsque c’était le meilleur ami qui attendait sans avoir de nouvelles parce qu’elle trouvait ça idiot de laisser poireauter quelqu’un qui parfois aime plus la personne que sa propre famille. Alors oui, elle enfreint le règlement mais pour le moment, personne ne s’en ai jamais plaint alors ça l’arrange. Mais là, avec quelqu’un qui fait un scandale alors que franchement, ils faisaient tout ce qu’ils pouvaient et que c’était déjà bien assez difficile de tout gérer.

    Elle regarda le fichier des traumas crâniens qu’ils avaient reçu. Malheureusement, ça ne les aidait pas le moins du monde. « Vous êtes qui exactement pour lui ? » Parce que bon, même si elle n’avait le droit de ne rien lui dire, elle pouvait quand même aller s’assurer que tout allait bien pour l’adolescent. Elle n’était pas persuadée qu’elle ne lui dirait quoique ce soit sur les problèmes de fond mais elle pourrait toujours lui en dire un peu plus sur l’état du patient. Et encore, ce n’était pas dit car en général, les médecins ou chirurgiens n’aiment pas spécialement que l’on vienne les embêter sur comment on travaille.


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