Fiche de lien - Victoria Cruz.

traits de caractère / Certains ils vous diront que j'ai des airs hautains, d'autres diront que je suis tout simplement, la pire des sales garces, froide et une petite peste de manipulatrice qui évite d'afficher ses sentiments; . Dans le monde dans le lequel, je vis, je ne peux pas me permettre d'être une personne qui ressent de la compassion. Je suis quelqu'un de très « castratrice » qui cherche en permanence à diriger et dominer tout ce qui m’entoure. En réalité, c'est bien plus fort que moi, et malgré que j'essaie d'être un peu plus humaine, je ne peux pas m'empêcher de détruire le moindre petit insecte qui ose me faire barrage. Et c'est bien pour cela que j'ai tout un réseau de client et une armée de pistolet rose qui protège mes arrières.  En bref, je suis une femme de pouvoir, qui sait parfaitement contrôler son image.

je me tenais là, devant son corps inerte. je le regardais, attendant à ce qu'il ouvre les yeux ou qu'il montre le moindre petit signe. le sang coulait et tachait ce magnifique tapis hors de prix et je ne parle même pas de l'état du mur, et de ce beau table de picasso. je ne bougeais pas, je me contentais simplement de me remémorer les beaux instants passés auprès de cet homme.

malheureusement, à cette époque, je ne mesurais pas l'importance qu'une personne pouvait avoir dans ma vie. pourtant, la douleur que je ressentais, cette sensation que mon cœur s'était brisée en mille morceaux, le cœur déchiré, ce vide qui nous étouffe de l’intérieur… pensée que seule, la paix pourrait nous aider à en sortir, aller mieux. vivre chaque jour avec le désespoir, nous enfonce encore plus vers ce côté sombre et cela à fait de moi la femme que je suis aujourd'hui.

"il était si mignon, quel gâchis"

c'était le seul homme que j'ai pu ressentir autant d'amour!

un amour qui me faisait de plus en plus peur. l'amour est une faiblesse que je ne pouvais pas me permettre de me laisser envahir.

j'ai grandis dans un orphelinat le plus miteux où les conditions de vie étaient des plus déplorables, mais, c'est grâce à cet enseignement qui m'a rendue aussi diaboliquement mauvaise.

il va de soi que ce début de vie, n'ayant eu aucune tendresse, aucune affection de la part de qui que ce soit, m'a poussée à franchir les portes d'un monde où la violence est devenue mon quotidien.

j'ai commencé au plus bas de l'échelle. j'essayais de me faire une petite place dans le monde de la drogue. petit à petit, j'y suis arrivée. je gagnais de l'argent, pas mal d'argent... mais pas assez à mon goût!

j'ai dû épouser l'un des plus grands narcotrafiquants pour arriver à mes fins. c'est-à-dire le pouvoir absolu.

de ma grande cruauté n’hésitant pas à exhiber les victimes, je ne cessais d’étendre ma soif de pouvoir.

après l'assassinat de mon époux, je me suis imposée dans un monde d’hommes et a accédé aux plus hautes sphères du trafic de stupéfiants.

filiales à l'étranger, des milliards de dollars de chiffres d'affaires chaque année. on pourrait croire qu'il s'agit de la description d'une grande multinationale, or il s'agissait simplement du cartel.

et le plus fou dans tout ça, c'est qu'avec une facilité déconcertante, j'avais également réussi à me hisser au plus haut niveau du game de la drogue aux usa.

dans l'allée, bordées de concessions de voitures de luxe témoignent de l'énorme fortune accumulée pendant tant d'années, à fait de moi, l'une des femmes les plus influentes et dangereuses.

j'avais une telle ambition dévorante et étonnamment, j'en avais jamais assez. pourtant, j'avais tout ce que je voulais, mais malgré ça, je voulais toujours plus ... encore et encore.

au début de mes précieuses activités pour le cartel, je vendais de la marijuana, et de l’opium  .... puis de la beuh à la cocaïne, puis de la cette dernière, une fois implantée au usa, du crack.

le crack est un dérivé de la cocaïne beaucoup plus addictif, mais aussi beaucoup moins cher à produire. j'en ai vendu des tonnes !!!

l'avantage du crack, c'est que je pouvais vendre ça à n'importe qui surtout s’il est pauvre et en manque comme beaucoup de gens. la cocaïne, elle, étant une drogue un peu plus cher et par conséquent, je les vendais plutôt à la classes les plus aisées.. les stars, les hommes d'affaires, et même, sans scrupule, j'en vendais à des jeunes. des enfants de riches. je m'en foutais bien de ce qu'il pouvait leur arriver... tant qu'il me payait, le reste m'importait peu. leur grande dangerosité réside autant dans leur essence criminelle que dans leur nature secrète.

et pour ça, il m'avait fallu créer un autre empire "légal" et tout aussi solide - qui de un, me rapportait de l'argent et à la fois, il fallait aussi que je blanchisse l'argent sale lié à la drogue. alors, j'ai profité du fait d’avoir une activité dans la mode, d’avoir un solide réseau pour côtoyer de grands noms et cela m'a ouvert bien plus de portes que je ne pouvais l'imaginer.

riche, puissante et influente, aussi maligne et sachant très bien qui acheter, j'étais intouchable. je faisais en sorte d'employer et de collaborer avec certains membres d'état, ou des policiers corrompus. en échange d'un bon parquet d'argent, cela m'évitait certains ennuis. d'ailleurs, j'avais toujours réussi à m’échapper aux autorités. pour tout dire, sur la fiche de recherche publiée sur le site de la dea, la dernière adresse connue du "narcotrafiquant" ( si bien dit sur le site mais cela dit, je me considérais pas comme tel) reste assez large : le mexique, et rien de plus précis. et encore mieux, il ne se doutait pas un seul instant que c'était une femme à la tête de ce trafic  ... aux yeux des ricains, j'étais la célèbre victorya .

mais bon, pour ceux qui savent qui je suis réellement, ils n'osent pas m'affronter.  les gens évitaient tout simplement de m'attaquer. mon nom reflétait la peur dans les yeux des gens. et pourtant, je n'étais qu'une petite femme, haute d'un mètre soixante-huit.... mais j'avais tellement de clé en main, et un arsenal, qu'il fallait mieux éviter de m'énerver.

je fréquentais souvent les casinos, j'adorais jouer et puis c'était le noyau parfait pour attirer les fortunés dans mon cercle vicieux. la drogue coulait à flots dans ce genre d'endroit.

mais, mes yeux ne se rivaient pas uniquement sur les liasses de billets, mais sur un homme. un homme que je soupçonnais de tricher pour gagner. il était très futé, et je savais qu'avec lui, je pouvais gagner différemment de l'argent. alors, nous avons fait équipe et ensemble, nous avons gagné des millions. on trichait pour gagner, mais ça, on s'en foutait.

les liasses de billets s'accumulaient de plus en plus.... j'étais la femme laplus comblée et pas uniquement, à cause de l'argent, mais ... disons que le beau luis avait d'autres talents cachés... bien sûr, il n'y avait que du sexe entre nous.

cela n'avait duré que quelque mois... tout ceci n'était qu'un stratège. avant même que je lui adresse la parole, je savais ce que j'allais faire de lui. depuis toujours,  je considérais les gens comme de simples objets que je pouvais tout simplement utiliser à ma guise avant de les balancer sans scrupule.

et c'est ce que j'ai fait!!!

je l'ai trahi.

du jour au lendemain, après avoir passé la nuit à faire cochonnerie pour qu'il ne doute de rien!!! je suis partie.

partie avec un gros paquet d’argent qu'on avait gagné ensemble.

il va de soi  que pour éviter qu'il me suive comme un chien errant, j'ai fait en sorte qu'il ait de petits ennuis... rien de bien méchant... je voulais juste l'envoyer dans son état sauvage. dans une cage. (une prison autrement dit)

cependant, las vegas s'était terminée pour moi. j'ai pris le premier vole, et je suis partie cracher mon venin ailleurs.

non seulement, j'étais une sale petite garce, briseuse de cœur, j'étais à la fois manipulatrice. et oui, je me servais de mon influence pour amadouer de petites mexicaines qui cherchent désespérément à franchir la frontière américaine. je leur promettais mont et merveille, un travail, alors qu'au final, derrière ce décor, se cache une tout autre vérité. certaines sont prêtes à tout pour venir aux usa et c'est d'ainsi, qu'elles devenaient des mules. bien-sûr, ceci n'est qu'un petit, un minuscule aperçu de la manière dont je faisais rentrer de la drogue ... les combines, il y en a tellement!!

bien sûr, je n'étais pas seule derrière cet empire, j'avais des associés, des hommes de mains, des membres à travers le monde. des hommes de confiance. et d'ailleurs, il me fallait un nouveau gars pour transiter et acheminer la drogue vers différentes destinations comme l'europe et autres continents.  et étonnamment, un seul nom m'avait traversé l'esprit: luis santiago.

et c'est là que toutes les insultes sortaient de ma bouche.

il allait falloir que je sorte mon calepin de chèque et inscrire des zéros pour qu'il accepte de nouveau de collaborer avec moi et ça, croyez-moi, ca me faisait bien chier !!!

ni une, ni deux, je m'envolais vers new york, là on se trouve ce beau gosse!!!

LIEN/
• Attrape-moi si tu peux et je te mettrais les menottes moi-même. ( Un policier qui cherche à tout prix à coincer Vic)
• tu es accro à moi, et ma chambre est la tienne (Un amant)
• Mieux vaut m'avoir en ami qu'en ennemi. (des amis)
• Jette toi sous un train, là au moins, tu seras sur la bonne voie (ennemis)
• Il y a plus d'idées dans deux têtes que dans une (Bras droit, dealer, ... )