SAVE THE QUEENS
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
(02.06.2023) STQ FÊTE SES 5 ANS HAPPY BDAY !

Partagez

 

 comme des astres. (ft chadwick)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




comme des astres. (ft chadwick) Empty
Message Sujet: comme des astres. (ft chadwick)   comme des astres. (ft chadwick) Empty Mer 25 Nov - 15:46


@chadwick harris
Tes opales noisettes déposés avec douceur sur Célian qui dormait encore, poussée dentaire qui l'avait gêné, toute la nuit tu avais été au petit soin pour lui, pour sa sœur. La matinée venait à peine de commencer, quand enfin il trouva le moyen de tomber dans les bras de Morphée. T’abandonnant avec Célizée, encore énervée et en manque de réconfort la tête calfeutrée contre ta poitrine. La main sur sa petite tête, tu nichais avec délicatesse ta tête dans son cou de bébé. Son odeur divine de bébé et de lait de toilette venant t’apaiser. La peur ayant guidé ton être durant toute la nuit, pas les premières coliques du au dent, mais célizée qui faisait une otite avait fait une montée de fièvre plus compliqué que les autres.  Seule tu étais, tu ne pensais pas parvenir à gérer sans Chadwick dans les parages, trois mois que son absence se faisait ressentir, mais les appels, les textos, c’étaient déjà assez pour qui te laisse l’espoir d’être une maman assez douée pour t’en sortir. Tu laissais un sourire danser sur ton visage quand les appels vidéo se faisait avec celui ayant prit la place de papa dans cette vie insoupçonné y a encore un an et demi. Tu n’imaginais pas t’en sortir, sans ta famille, sans tes ailes qu’on t’avait retirées quand ils avaient refusé ton choix, pourtant soutenue par ta sœur, sœur avec qui tu communiquais que très peu, par la faute de parents t’ayant raturé, comme tu avais toujours été qu’un objet de soin, rien d’autre. Sans amour, sans rien.  L’amitié et la fraternité enfant tu l’avais trouvé dans les bras de ta grande sœur, d’infirmière bien plus humain que tes parents, ou encore chadwick. Toujours là pour toi, jusqu’à son départ qui avait sans doute brisé pour la première fois ton jeune cœur. T’as jamais connu l’amour, toi. Tu ne connaissais même pas cette amour conditionnel qu’un enfant et un parent pouvait partager. Ton cœur chevauchant à grand galop dés que tes iris épousaient les courbes boudinés de ces deux bébés. Aucune confiance en toi, tu avais peur d’être mauvaise, de n’être capable de rien de bon pour eux, mais la main de Chad dans la tienne avait su te rassurer. Cette chaleur se dégageant de ton être quand il était là te laissait toujours autant perplexe, comme ce sourire qui se cousait sur tes lippes. Incapable de comprendre tout ça. Le retrouver après ta nuit d’essai avec ilenzo, avant de découvrir les échanges si pure et irradiant avec Chad’,  ce tournant dans ta vie, tu ne pouvais pas dire maintenant qu’il ne te rendait pas heureuse, malgré les doutes, les peurs emprisonnant encore ton être. Carcasse fatiguée, tu pourrais t’endormir, mais la petite continuait de lutter, alors installer sur le canapé, tu te laissais bercer par son agitation, sa respiration, alors que ton index était emprisonné par ses doigts potelés. Tu savais que tu ne pouvais plus chercher à comprendre comment l’amour, l’affection fonctionnait, oubliant les maux du passé, pourtant encore gravé à sang dans tes tissus. Pardonner, oublier, c’était fait, mais tu aimerais tant retrouver ta sœur, qu’elle apprenne à connaître tes enfants, ceux pour qui elle avait accepté de laisser ton être se reposer, plutôt que l’aider. Elle les avait choisis, c’était sans nul doute là que tu avais su qu’elle avait peu de chance de survivre, battante, mais elle avait tant donné à la vie. Les larmes amères et tristes glissant sur ton visage, tu gardais ton sourire dû au babillement de lizée. Nichée contre ta poitrine, bercée par ton myocarde, tu n’avais même pas songé à bouger pour la glisser dans son berceau et te reposer,  les opales jonchant son être apaisé après cette longue nuit et ces cartons de décoration que tu avais commandé, songeant à ce premier noel, leur premier noël.  Tu avais hâte que Chadwick rentre, il devait arriver dans la soirée, et le sapin que tu avais commandé dans la matinée, avec une fourchette de livraison assez grande comme toujours. Tu devais être assoupi quelques secondes, minutes, tu n’en avais pas la moindre idée, la fatigue ardant ton être quand on frappa à la porte avec délicatesse.  Dans le moment tu avais pensé à Teagan qui revenait bien plus rapidement que prévu de son séjour chez son père, elle manquait un peu à ton quotidien, elle t’avait aidé elle aussi, en étant une oreille et une amie sur laquelle tu misais sans doute beaucoup, ou le sapin arrivant. Il était neuf heures passées, tu te levais essayant de ne pas réveiller Célizée encore dans une danse de douceur avec morphée. La porte s’ouvrant un sourire fleurit sur ton visage, les iris dévorant avec joie chad’ « mais ..   » aucun mot ne vint s’ajouter, laissant juste le passage à ce dernier pour rentrer.   «  Je pensais que tu rentrais que  ce soir ?   » que tu demandas en fermant la porte derrière lui, alors que les larmes de fatigue et de joie commencèrent à envahir tes opales. Avec douceur, tu vins te caler dans ses bras, tout en laissant de l’espace pour la petite.  

Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




comme des astres. (ft chadwick) Empty
Message Sujet: Re: comme des astres. (ft chadwick)   comme des astres. (ft chadwick) Empty Mar 1 Déc - 0:07


mattie & chad
home again


Trois mois.
Seattle, en fait, c’est loin. C’est même très loin. Et avec les horaires décalés de boulot, c’était dur de pouvoir garder le contact avec la réalité. Une heure pour moi. Des nombreuses roulades par terre. Un petit salto par ci, un petit salto par là. Puis je sautais d’un toit à un autre. C’est mon plus gros contrat, et ça le sera sûrement pendant un moment. C’est honteux, mais je dois souvent aller sur google pour me souvenir du nom du film. Les acteurs, une belle nouvelle génération. C’est l’avantage avec Hollywood aujourd’hui, ils donnent leur chance à tout le monde … Tant que tu as le physique et le sourire qu’il faut. Et une chance que je compte bien saisir un jour, quand je serais prêt. Enfin, tout ça pour dire que mes trois mois loin de New York m’ont semblé être une éternité. Après toutes ces choses dangereuses que j’aimais tant faire, me voilà rentrer à la limite du milieu de la nuit à téléphoner pour prendre des nouvelles. Tout dépendait de nos libertés, mais on passait une grande partie de notre temps au téléphone, avec Mattie, quand on le pouvait. C’est donc porté par un sentiment de manque que je m’était arrangé pour finir un peu plus tôt et prendre le premier avion le matin. Rien de bien compliqué. Et quelques heures d’avion et un taxi plus tard, j’étais enfin rentré.

Grande inspiration, le sac sur l’épaule, la valise par terre et je peux enfin frapper à la porte. Plus par principe que par besoin, et parce que je n’ai pas mes clés. Son léger, dans le cas où les enfants sont encore au lit vu l’état dans lequel ils sont. D’après ce que la brune m’a décrit. Je suis là plus tôt que prévu, je pense que la surprise sera bonne. Mais quand elle m’ouvre la porte, j’ignore si je dois être satisfait de sa réaction. Je décide de jouer l’amusement. Moi aussi je suis content de te voir. Un large sourire se dessine sur mes lèvres, tandis je passe la porte et qu’elle la referme derrière moi. Je suis l’adepte des grands gestes, je l’aurais serré dans mes bras, je l’aurais embrassé, je ne l’aurais plus jamais lâchée. Mais ses bras étaient occupés et puis bon, ce serait quand même la brusquer un peu. Je reste donc calme, emporté par une légère fatigue. Oh non, ne pleure pas ... Elle ne pleure pas littéralement, mais je vois ses yeux grands ouverts qui s’humidifient. J’ai horreur quand elle fait ça, je pourrais retourner la terre entière pour effacer une de ses larmes. Je mets ça sur le compte de la fatigue et la serre dans mes bras, laissant de la place au bout de chou. C’est bon, c’est tellement bon d’être rentré à la maison. C’est sur que cette expérience de trois mois a apporté beaucoup à mon CV, mais j’ai réellement compris le proverbe on est bien chez soi grâce à ça. Je ne reprendrais plus de contrat aussi long tout de suite, il y a beaucoup de tournage à New York de toutes façons. Et pour le reste, je vais rester à la maison et profiter de ma petite famille.

Au vu des aventures, j’aurais pu aller me coucher et laisser tout comme ça. Mais le visage exténué de Mattie me pousse à donner un coup de main, comme tout bon père et petit copain. Laisse la moi, je vais aller la coucher. Tu connais mon pouvoir magique. Je lui prends des bras, doucement, et pose sa tête sur mon épaule. Une petite caresse, un bisou sur le front. Elle ne reste pas longtemps et s’endort de nouveau sur moi, sûrement sans se rendre compte que j’étais rentré à la maison.  Et après, c’est de toi que je m’occupe. Un sourire coquin, aguicheur, un large sourire en plus. Des sous entendus qui n’existent pas, un charme qui passe sans soucis. J’ai toujours cette impression que la brune est trop bien pour moi, je me sens obligé de la reconquérir tous les jours. Je pars dans la chambre des enfants et dépose la petite sans trop de difficultés. Elle gigote, un peu, ouvre même les yeux, mais rien qu’un bisou ne peut arrêter. J’ai droit à mon gros câlin maintenant ? finis-je par demander, me retenant d’exploser de rire et tendant les bras dans sa direction. Du Chad tout craché, un soupçon de romantisme glissé dans des petites bêtises. Tout ce qui faut pour rendre un beau et large sourire.


AVENGEDINCHAINS
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




comme des astres. (ft chadwick) Empty
Message Sujet: Re: comme des astres. (ft chadwick)   comme des astres. (ft chadwick) Empty Jeu 3 Déc - 18:40


@chadwick harris
Des émotions par dizaines, chaque coup d’opale sur elle, sur lui, faisait trotter ton myocarde dans une course effrénée,  cette amour inouïe qui avait enveloppé ton organe, tu ne parvenais pas à le comprendre et dans le fond, tu en avais marre d’essayer de déchiffrer les codes de ce monde, de l’amour que tu n’avais pas connu. Te sacrifier pour eux tu étais prête à le faire. L’amour inconditionnel d’une mère qui s’expliquait ainsi, comme celui d’un père. Chad comme toi, vous aviez manqué de celui-ci, luttant de tout votre cœur pour survivre, différemment, séparément. Le retrouver fût sans doute la meilleure chose qu’il t’arriva juste avant leur naissance, cette chance qu’il puisse être le père, éclipsant l’infâme erreur que tu avais commise en donnant cette première fois à ce blond, au détour d’un bar, rentrant dans une peau qui n’était pas la tienne, juste pour savoir, ressentir et jouer à merveille se qu’on te demandait. Une simple erreur, alors que tu le sentais que Chad était bien plus que ça. Tu essayais d’oublier tes doutes, ces angoisses que tu avais au sujet de ton rôle de mère, guidé par personne sauf ton cœur, et cette aide précieuse de Chadwick. Tu t’efforçais d’offrir le meilleur en essayant de ne pas avoir trop peur de ne pas être à la hauteur.  Tu ne t’attendais pas à lui derrière la porte, tu avais tout imaginé sauf son sourire dansant sur son visage, ses opales s’imposant sur toi. Heureuse et chamboulée par cette bonne surprise, dans le silence que tu vivais ces émotions tournoyant en toi, pour ne pas brusquer la petite encore nichée contre toi. Toi et le tact. Il se doutait bien que tu étais heureuse de son retour, tes sourires à travers l’écran du téléphone ne détrompez pas sur tes sentiments, il n’y avait que toi qui ne comprenais pas, car incapable de te lancer dans l’inconnue. Poupée bien trop brusquer par le manque d’amour, tu n’avais juste jamais eu le droit de vivre, de déployer ses ailes qui t’avait été coupé en plein vol quand tu avais voulu juste donner naissance, donner la vie, plutôt qu’aider ta sœur. Comme si tu avais pris cette décision avec le sourire, tu avais été malade, à en vouloir juste mourir et laisser ces trois êtres te survivre, mais tu ne pouvais pas le faire. La vie n’était pas ainsi.  T’as pas les mots malgré les paroles de celui qui vient de rentrer, te laissant dans une joie explosive, qui venait se confronter à ta fatigue ancrée dans ton être. Heureuse et c’étaient les larmes qui venaient le dire, des larmes qu’il remarqua rapidement, tu essayais de pleurer en silence, voulant pas briser le bien être de Célizée, qui dormait enfin de bon cœur.  Dans ses bras, c’était comme une renaissance, comme si tu recommençais tout avec douceur et bien être toi aussi. Au même titre que ta fille. Les opales réfugiées dans la pénombre de tes paupières tu profites juste d’être nichée dans ses bras, profitant de l’instant, de ce moment si agréable et que tu n’aurais pourtant jamais soupçonné.   «   Je ne pleure pas … » que tu bougonnes comme une enfant de quelques années. Soufflant contre son cou , comme pour te redonner un peu de courage, tu quittas ses bras, sans être sûr que tu faisais le bon choix de les quitter. Les iris se noyant dans les siennes, le sourire dansant sur ton visage de poupée.   Tu souris, le laissant avec toute la tendresse dont il était capable prendre possession du petit être dans tes bras, le sourire s’étirant en voyant cette scène, c’était ça qui t’avait le plus manqué, sans même t’en rendre compte. C’était cet amour qu’il était capable d’apporter à tous les êtres de cette famille, sans même douter de toi, de lui, du fait qu’il soit le bon père. Vos doutes n’étaient pas là, comme ci Ilenzo n’était qu’un mauvais souvenir, une erreur déjà effacé depuis les premières secondes de ton annonce chaotique.   «   Je le connais … » il avait ce pouvoir sur toi tout autant que sur les enfants, vos enfants.  La chaleur venant frapper tes joues sous ses mots, toujours aussi timide, comme si tout ça n’était qu’un mirage, laissant la folie de Chad t’emporter, laissant ces papillons s’envoler dans ton estomac.  Le suivant en silence, tu observais tout bonnement la scène avant de leur laisser de l’intimité, lui laissant profiter de ce moment qui lui avait manqué pendant ces trois mois loin d’eux. Quand il revient auprès de toi dans le salon, un sourire s’imposa sur ton visage à ses dires, alors qu’il t’apaisait comme une évidence, petite tu avais toujours besoin d’être collé à lui, ton innocence déposée dans ses bras, tu te souvenais qu’il était le premier garçon qui t’avait embrassé avant qu’il ne te quitte pour un monde plus cruel bien loin de toi.  Comme une enfant, tu avais les mains jouant ensemble, la timidité installée sur ton minois, un sourire qui laissait deviner les prochains, geste. Tout ton être venant se déposer contre le sien, deux corps se conjuguant à merveille, ta tête nichée dans son cou, évacuant toutes tes aventures loin de lui. «   tu m’as manqué … » cette chaleur se dégageant de tes joues, cette certitude que tu étais rouges comme une pivoine, comme les premières fois, comme une enfant découvrant l’amour, cet amour que peut être tu avais toujours ressenti pour chad ?  calé l’un contre l’autre, c’est la sonnette qui retentit, qui fit que ton corps se décolla du sien, la chaleur manquant, l’envie d’y replonger, comme une drogue, une sensation qui collé à ta carcasse. «   ça doit être le sapin … » t’avais pas dit tout ça à Chad, que tu voulais lui offrir ce que lui comme toi vous n’aviez pas eu, des fêtes dignes de cela.  La main s’installant avec douceur dans la sienne, avant de déposer tes lèvres contre sa joue, comme une jeune adolescente, tu filais avec beaucoup de mal loin de lui pour ouvrir la porte et découvrir un sapin bien plus volumineux que celui que tu avais imaginé. «   bonjour. »

Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




comme des astres. (ft chadwick) Empty
Message Sujet: Re: comme des astres. (ft chadwick)   comme des astres. (ft chadwick) Empty Dim 13 Déc - 1:07


mattie & chad
home again


Adaptation. Anticipation. Patience. Et de l’amour, beaucoup d’amour. C’est si long cette relation, elle est réellement nouvelle, mais ça fait si longtemps qu’on se connaît que pour moi, c’est comme s’il n’y avait qu’elle. C’est presque ça. Je la connais, elle me connaît. Je savais que ça lui ferait plaisir de me revoir plus tôt que prévu, tout en sachant qu’elle ne me sauterait pas au cou en m’embrassant et en me déshabillant. De toutes façons, j’ai compris dès que je suis arrivé que la petite malade, ça avait encore déclenché des folies. Content de rentrer à la maison, de pouvoir se sentir utile de nouveau. Banane répondais-je en souriant, sur le même ton que le sien. Le deux amours dans les bras, elles finissent par s’éloigner et je prends un moment pour les admirer. Mon regard se perd même quelques secondes dans ses magnifiques yeux, un océan de beauté. Quelques minutes et je retombe les pieds sur terre, une idée me traversant l’esprit. Je m’approche de nouveau et prends notre fille dans mes bras, histoire de m’occuper du coucher. J’ai toujours eu un don pour ça, ou c’est peut etre simplement le fait qu’on écoute plus papa que maman … Je ne sais pas trop dans le fond, je continue de découvrir ce métier au fil du temps. Il n’est plus si magique que ça alors. ajoutais-je en rigolant, tirant la langue par la même occasion. Je vais dans la chambre et je règle le tout en quelques secondes. Elle est brûlante, je comprends la difficulté à dormir. Je la pose sur le lit tranquillement, monte la couverture et un baiser sur le front plus tard, elle dormait déjà. Je reviens près de la Bowen et mes bras ne tardent pas à l’enlacer de nouveau. Des caresses, la douce odeur de ses cheveux, mon obsession pour sa peau et le contact. Toi aussi tu m’as manqué ma belle. La douceur de ces mots à mon oreille, j’enregistre dans un coin de ma tête pour continuer de ressentir cette émotion. Effet Mattie Bowen depuis un peu près toujours, depuis ce premier baiser que nous avons partagé. Je suis réellement fou de cette fille.

C’est le genre de position dans laquelle j’aurais aimé resté pendant des heures. Son souffle chaud dans mon cou, la chaleur de sa joue contre la mienne. Un contrôle surprenant connaissant mes hormones, mais c’est que je serais prêt à tout pour rester avec elle, même ne pas céder à des pulsions extrêmement primaire. Le sapin ? Je crois que la fatigue a pris le dessus malgré tout, parce que j’ai besoin de quelques secondes pour comprendre ce qu’il se passe. Collés serrés, dérangés par la sonnette de la porte, un type nous livre un sapin. J’hésite une demi seconde, je voulais aller vérifier que les enfants n’avaient pas été réveillé par le bruit de la musique, mais le gars semble se débattre avec une branche qui dépasse. Je m’approche et l’aide à porter. Oh, génial. Attendez, je vais vous aider. dis-je en traduisant gestes et pensées. Nous rentrons et je nous dirige vers le salon, j’avais remarqué que Mattie avait débarrassé le coin de la pièce, je n’avais juste pas fait le lien. On dépose le tout tranquillement puis je lui assure que c’est bon, que je m’occupe du reste. Je sors quelques petits billets de ma poche en guise de pourboires, le remercie grandement avant de le raccompagner à la porte. Je reviens vers la brune et l’enlace par derrière, déposant ma tête sur son épaule. Il est magnifique. Comme toi. Comme notre chez nous. Et la liste est encore longue. On aurait dit un de ces sapins qu’on avait directement été couper en foret, grand, majestueux et d’un vert magnifique. Il me rappelle ma dernière famille d’accueil, c’était toute une tradition chez eux et ça me changeait des sapins artificiels. Ou de pas de sapins tout court. Je dépose un long baiser sur sa joue. Tu veux pas te reposer avant qu’on s’en occupe ? J’imaginais déjà la scène, nous deux s’occupant de la décoration avec quelques chants de Noël, de larges sourire et pourquoi pas du lait de poule. Mais je le vois, je vois à son visage qu’elle est épuisée et je ne veux pas qu’elle finisse à bout simplement parce que je suis rentré plus tot.


AVENGEDINCHAINS

@Mattie Bowens
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé;

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -






comme des astres. (ft chadwick) Empty
Message Sujet: Re: comme des astres. (ft chadwick)   comme des astres. (ft chadwick) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
comme des astres. (ft chadwick)
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SAVE THE QUEENS :: 
 :: boulevard of broken dreams :: version #23 et #24 :: rps
-
Sauter vers: