Chapitre I: les belles retrouvailles PV: Luis&Vic

Chapitre I: les belles retrouvailles

Luis&Vic

Je me rappelle de ce jour-là comme si c’était hier. La victoire est d'autant plus belle que la difficulté de surmonter est plus grande. Bien sûr, on n'emporte jamais victoire sans suer et malheureusement, il y a eu de lourde perdes aussi bien que dans mon clan, que celui de mon ennemi.

Ce jour où la vie des citoyens d'une petite ville dans le comté de la Californie a changé à jamais. Je me souviendrais toujours des larmes de cette pauvre femme scotchée devant la télé, face à une scène de dévastation qui ressemblait à un tremblement de terre. Assez fréquent dans ce genre de coin donc, sur le moment même, qui pourrait croire que tout ceci n’était qu'une attaque ? À part bien évidemment cette femme en sanglot - puisqu'elle avait tout une armada d'homme lourdement armée qui lui tenait en joue.

Des voitures enfouies sous les gravats, des rues éventrées, des dizaines de photographes et d’agents de police sur les lieux de ce qui, dans leur esprit, ne pouvait être qu’une catastrophe naturelle.

Mais non. Sous mon sourire diabolique, elle avait très vite compris qu’un effroyable assassinat venait de se produire. Celle de son tendre époux !! Un putain de politicien qui devenait de plus en plus menaçant. Ceci dit, c'était sa curiosité qui l'avait fait tuer.

On avait placé des explosifs et à l’approche du piège, mes gars ont actionné le détonateur, tuant ainsi cette pourriture, son enfant, et trois agents de son escorte policière. Pour l'enfant, j'ignorais totalement qu'il se trouvait auprès de son père donc, que Dieu me pardonne !

À la suite de son assassinat, vous comprenez bien qu'on avait commandé du champagne pour fêter le meurtre du magistrat. Ce qui est tout à fait normal - cela se fête.

Tendis que sa femme ? Qu'est-elle devenue ? Disons qu'elle n'était plus aussi belle à voir. Elle avait tout simplement rejoint sa famille, dans un monde meilleur.

Seulement, en tuant ce gars, j'avais tout même engendré une série d'emmerdes répétitive. Mais malgré tout ça, je restais très serein ... Je savais éperdument que mon nom ne sera jamais cité dans aucun rapport ou ne sera prononcé dans cette affaire.

Aux yeux des Ricains, j'étais la célèbre Victorya Cruz, l'icône planétaire de la mode. Mon plus sourire face à la caméra, mon plus profils face aux projecteurs de photographes, et tout ça, en étant accompagné d'une star aussi mondialement connue .. Alors honnêtement, qui pourrait croire qu'une femme comme moi était derrière tout un réseau de drogue ?

_" patronne?"

Alors que j'étais bien sagement entrain de profiter du soleil sur mon transat, qu'il avait fallut qu'on gâche mon seul moment de détente de la journée.

_" Casse-toi, tu me fais de l'ombre"

Pour éviter de mon contrarié, il se décala de quelque pas, et vint me tendre un dossier.

_" vous devriez voir ça! "

j'enlève mes lunettes de soleil pour les mettre au-dessus de ma tête, et sans un mot, je pris le dossier pour le consulter.

_"Fais chier !!! Merde !!! "

Je me relevais aussi vite que je refermais le dossier, et je le claquais sur le torse de mon bras droit.

_" qu'est-ce qu'on fait du coup? "

J'étais en pétard, voir même très en colère, prête à tout envoyer balader sur mon passage, mais le plus étonnant, je contrôlais parfaitement mes crises de colère et tout en portant vers la villa, je lui criais :

_" fais tes valises on part à New York. "

Il fallait que j'aille voir un ancien ... ami? Collaborateur? Amant? Après tout ce que j'ai pu lui faire, je doute fortement que j'aie une toute petite minuscule place dans son cœur ... Quoique, comme dirait une ancienne diction: Sois proche de tes amis, et encore plus proche de tes ennemis.

J'ignorais totalement comment l'aborder, sans qu'il me colle une droite... Je lui avais quand même piqué des millions, donc oui, je le méritais amplement, mais, ça aussi, je doute fortement qu'il en soit capable.

Sous ses airs de macho, il ne fera jamais de mal à une femme!

Bien sûr, je n'allais pas me jeter dans la gueule du loup dès mon arrivée à New York. il fallait d'abord que je prenne mes marques, mes précautions, et surtout, des renseignements.

Luis Santiago. le beau brun. Un mâle dont je ne pourrais véritablement jamais m'en lasser. Humm, un corps divin ...

Cela dit, je ne me suis pas déplacé jusqu'ici, juste pour le mater comme une chienne galeuse qui attend sagement son os. Il allait falloir que je ravale ma fierté, et par-dessus tout, j'allais devoir me faire .... pardonner .... Rien d'y songer, cela me donnait le gerbe.

Je m'étais introduite dans son bureau, en espérant sincèrement qu'il allait débarquer assez rapidement. J'avais une sainte horreur d'attendre.

Pour tuer le temps, je m'étais permis de me servir un bon verre de whisky de 40 ans d'âge... Honnêtement, j'ignorais totalement si je pouvais ou non l'ouvrir, mais, entre nous, je n’en avais strictement rien à foutre de ce que je pouvais ou non faire !!!

Verre en main, la bouteille sur son bureau, mes fesses sur son fauteuil, et j'en profitais également pour tendre mes longues jambes nues, posant ainsi mes talons aiguilles sur le coin du bureau.

Et j'attendais ...
Et j'attendais ...
Et j'attendais ...

Bordel que le temps était long !!!

️ Gasmask

Chapitre I

Victorya Cruz

Assis dans le véhicule, son téléphone portable entre les mains. Luis venait tout juste de sortir d’un réunion d’affaire. Un nouveau contrat qu’il venait de décrocher auprès de ses plus fidèles collaborateurs. Un rendez vous avec l’un de ses amis de longues date, avec l’aide de sa séduisante amante, Cassey … Luis venait d’ouvrir les portes d’un autre monde. Celui des oeuvres d’art falsifiés. La cargaison devrait arriver d’ici quelques jours, Cassey pourrait les exposer dans sa boutique et les cendres au plus grand passionnés à des sommes astronomiques. L’art de la tromperie ! Aujourd’hui, Luis venait surtout de gagner une bonne somme d’argent et il est toujours joyeux lorsqu’il gagne la partie. Entre deux messages et lecture de mail, il ordonne au chauffeur de le déposer au bureau, parce que même si la journée avait bien commencée, il devait quand même passer au bureau histoire de voir si le travail … convenable ce faisait dans les règles. Il n’était pas truand à temps complet, son entreprise ce divise en deux parties bien distincte. La partie honnête, des transports réglos qui lui rapporte bien entendu … mais qu’il fait dans les règles le l’art, histoire d’avoir quand même un cv clean aux yeux de la loi. Puis il y avait les cotés plus sombre, il faisait venir tous un tas d’objet illicite du monde entier. Drogue, médicament, il a même fait venir des armes parfois … il ce fiche bien de savoir à quoi ou à qui ça peut servir tant qu’il est payé et que ça reste discret ça lui convient.

Une fois devant l’immeuble de ses bureaux, le brun sort de la voiture son téléphone collé à l’oreille, en conversation avec son partenaire. Carl, trafiquant d’objets d’art, c’est évident qu’il voulait fêter leur accord et surtout leur partenariat avec Cassey, cette femme si innocente qui ne savait pas du tout dans quoi elle venait de s’impliquer. Forcément, il tenait à fêter ça comme il ce doit, comme à chaque fois qu’il signe un gros contrat. - Monsieur Santiago, quelqu'un vous attend dans votre bureau ! clame l'assistante à l'entrée alors qu'il grimace légèrement avant de raccrocher en soupirant. - Et mon bureau est une salle d'attente ? Désagréable au possible, il l'ignore presque alors qu'il s'engouffre déjà dans l'ascenseur avec l'assistante. - Non monsieur, mais elle a insisté pour vous y attendre, elle c'est présenté comme étant une amie de longue date. Il lève les yeux au ciel alors que les portes s'ouvre enfin au bon étage, l'assistance lui tend son café alors qu'il ce dirige en direction des portes de son bureau bien loin d'imaginer celle qu'il va trouver de l'autre côté. - Une amie ? Ouvrant les portes assez vivement il tombe nez à nez avec le diable en personne. Il reste même figé, sans voix lorsqu'il reconnaît le visage de la femme qui lui fait face. Il arque légèrement les sourcils alors que sa mâchoire ce serre légèrement alors qu'il referme les portes après son passage glissant un - Ne me dérangeait surtout pas ! Les portes ce ferme alors qu'il ce retourne doucement vers Victorya Cruz ... le diable en personne, la vipère. - Les vipères sont de sortie ? Ça faisait longtemps ... qu'est ce que tu fous là ?

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Chapitre I: les belles retrouvailles

Luis&Vic

Cela aurait été beaucoup plus simple de lui sonner, et de lui proposer un rendez-vous mais voyez-vous, j'adorais les effets surprises et puis au moins, j'étais certaine qu'il n'allait pas s'éclipser.

Je ne lui laissais aucun choix! Et le seul moyen de me faire dégager, c'est de me balancer par dessus la fenêtre - ce que je doute fortement comme fin scénario...

« Ne me dérangeait surtout pas ! » Hum ! Entendre sa douce voix virile à travers cette porte en bois me donnait le sourire jusqu’aux oreilles. J'avais non seulement hâte de le revoir – parce que oui, je ne peux le nier le fait qu'il m'avait légèrement manquer ce petit. - mais par-dessus tout, je voulais voir sa réaction.

Toujours en gardant ce sourire diabolique, voilà qu'il m’accueillait d'une drôle de manière. De nos jours, la politesse se fait rare.

Je descendis mes jambes de son bureau, et tout en le fixant, je ne pouvais m’empêcher de répliquer à sa remarque de vipère.

Vic «La langue de la vipère n'est plus venimeuse que lorsqu'elle est enduite de miel. » Je lâchais un petit rire, pensant à nos souvenirs. Tout en me relevant de la chaise, je poursuivais « C'est du Victor Hugo, qui aurait cru que ces phrases avaient de doubles sens perverse, n'est-ce pas? Mais que veux-tu les apparences sont souvent trompeuses, tu en es bien placé pour le savoir !»

Bon, c'était du Victor Hugo "remanié" mais ça, on s'en fout!

Par politesse, contrairement à lui, je m'étais permisse de prendre un autre verre – pour qu'on puisse ainsi trinquer nos retrouvailles.

« Dis-moi, beau gosse, où sont passé tes bonnes manières? » Après avoir servi de manière très généreuse son verre, je m’avançais doucement vers lui «Tu aurais pu au moins faire semblant d'être content de me voir. » Je lui tendis son verre «bonjour très cher ami !!! » Après lui avoir donné son verre, je profitais pour ma part de déguster une gorgée du mien.

J'ose imaginer tout ce qu'il doit penser dans sa tête, mais je préférais jouer la carte du suspens. Pourquoi tout déballer directement si je peux jouer avec ses pieds? Je voulais d'abord m'amuser, puis aussi, peut-être par acquit de conscience, et stratégie, des excuses seraient envisageable.

Je lui dois des excuses, ça, j'en avais bien conscience, et je dois aussi, retrouver sa confiance, mais ça, je risquerais d'attendre longtemps avant de la récupérer, mais chaque chose à son temps.

Je ne perds jamais espoir. Dans la vie, rien n'est jamais acquis d'avance, il faut régulièrement maintenir la flamme de la persévérance allumée.

«Je ne pensais pas dire ça un jour, mais tu m'as manqué. »

Je me tenais toujours devant lui, et mon regard ce fait de manière insistant et droit dans les yeux, cherchant à le séduire ou plutôt à l'intimider. Pourtant, le connaissant, il est loin d'être une moule qui se laisse faire!!

️ Gasmask

Chapitre I

Victorya Cruz

Un fantôme du passé, un femme qu’il aurait aimé rayé de sa vie et il l’avait fait ! Il avait oublié sa simple existence à la seconde même ou il avait reprit sa vie en main et surtout évité de finir en prison. Victorya, il avait oublié cette femme, il l’avait volontairement effacée de sa mémoire jusque’à ce qu’elle refasse subitement surface, violemment, au moment ou il s’y attendait le moins mais au fond ça ne le surprend pas tant que ça. Après tous, c’est Victorya dont on parle ! Cette femme, c’est le diable en personne et en la rencontrant pour la première il pensait avoir trouvé son alter ego, son double au féminin, mais elle était pire que lui ! Parce qu’elle n’avait aucunes limites. La trahison avait laissé un gout amer, la pilule ne passait vraiment pas et il c’était fait la promesse de lui faire payer. La voir, ici, dans son bureau à son aise avec un verre entre les mains, comme si … il attendait sa visite ou pas d’ailleurs. C’est clairement pas une bonne surprise et le ténébreux ne ce prive pas de lui faire comprendre qu’elle n’est vraiment pas la bienvenue. - « Maintenant que je t’ai arraché les dents, vipère, mord si tu peux … » Tu as oublié le début de cette citation visiblement. Ce bon Victor Hugo. Souffle t’il l’air amer alors qu’il reste droit, face à elle, insensible à tous ce qu’elle peut dire ou faire. - Muh depuis j’ai appris à me méfier, beaucoup de chose ce sont passé depuis, je choisi mieux mes partenaires. Beaucoup mieux depuis que la dernière a faillit l’envoyer en prison.

Doucement, la vipère ce rapproche de lui, faisant comme chez elle. Servant un second verre de whisky. - Envolées à la seconde même ou tu es entrée dans mon champs de vison. Et je vais pas faire le faux cul pour te faire plaisir ! Souffle t’il avec son sourire sarcastique alors qu’il rêve de lui torde le cou de ses propres mains à cet instant même. Elle lui tend ce verre qu’il refuse de prendre, il la fixe avant de poser son regard sur le liquide ambré dans ce verre. Il finit finalement pas prendre le verre qu’elle lui tend sans pour autant boire. Face à on « bonjour » Luis hausse arque légèrement les sourcils alors que son sourire en coin ce dessine sur ses lèvres. - Va en enfer espèce de garce. Souffle t’il avant de reposer son verre sur la petite table alors qu’il rejoint son bureau. Non il est loin d’être chaleureux avec elle, pour la simple et bonne raison que son retour n’augure rien de bon. Il ce pose déjà tous un tas de question, pourquoi ? Comment ? Que voulait elle ? Parce que oui, elle n’est pas là pour parler du bon vieux temps et encore moins pour s’excuser de l’avoir volontairement poussé dans les bras des autorités. - Je t’ai manqué ? Plutot amusant pour quelqu’un qui rêvait de m’envoyer en prison. Tu joue dans le sentimental maintenant ? Personne ne peux te manquer … la seule personne que Victorya apprécie, c’est Victorya alors épargne moi les « tu m’as manqué » ! Face à face, les deux ex partenaire ce fusillaient du regard, il connaissait par coeur le petit manège de cette horrible femme. Il la connait et c’est pourquoi il refuse de retomber dans le piège. - J’imagine que t’es pas là pour parler du passé ou pour t’excuser … alors qu’est ce que tu me veux ?

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Chapitre I: les belles retrouvailles

Luis&Vic

N’oubliez jamais que les petits requins sont mangés par les gros. Si vous devez vraiment évoluer dans ce milieu, il faut avant tout avoir toutes les cartes en mains, et savoir où nager, car à tout moment, petit ou gros, tu peux te faire engloutir en moins de deux secondes.

Pourtant, lui et moi, nous faisions une bonne époque, - d'ailleurs, il a été le meilleur partenaire professionnel avec qui j'avais pu collaborer, mais c'est comme un requin dans une piscine, tu peux te baigner avec, mais tu n’auras jamais la conscience tranquille. C'est ce qu'il y a eu entre nous !

Me retrouver en face de lui est du pur suicide – ça, voyez-vous, j'en avais conscience, mais lui tout comme moi, on avait besoin l'un de l'autre ... qu'il le veuille ou non.

Il pourrait refuser mon offre, mais ce serait du pur délire également. Je n'étais pas venue ici pour lui offrir mon string préféré, mais bien, ce qu'il adore, ce qu'il vénère tant dans ce monde de brute : l'argent.

On dit souvent que l'argent ne fait jamais le bonheur et pourtant, Dieu seul le sait, l'argent domine tout !!! Et la domination amène au bonheur.

Regardez-moi. J'étais heureuse. J'avais tout ce que je désirais... Le moindre claquement de doigts, je l'obtenais. La seule chose que je pourrais éventuellement regretter – plus tard – c'est le fait que je ne pourrais jamais vraiment partager ma vie avec une personne.

Je sais qu'il suffit juste de se laisser ailler, de se laisser guider, de laisser tout simplement quelqu'un rentrer dans ta vie, dans ton cœur, mais les vipères ont également des peurs !!!

Je ne voulais pas devenir comme toutes ses autres filles. Aveugler par l'amour. Aimer une personne pour ensuite souffrir ? À quoi bon ? !!! Je préférais conserver mon cœur de pierre, et de faire de ce monde, un martyr.

Il me lançait des pics – ce qui était tout à fait normal – je ne pouvais pas ne pas lui en tenir rigueur.

Mais ce n'était pas pour autant que je perdais mon sourire, et l'envie de discuter.

_ « Je te signale mon p'tit chou, tu iras en enfer autant que moi donc, toi et moi, nous serions voués à être ensemble... éternellement »

Il lui avait fallu du temps, mais, il avait tout de même accepté mon verre et rejoint son bureau. Chaque pas qu'il faisait, chaque déplacement, je ne le quittais pas du regard.

Je le fixais toujours avec ce petit regard qui en disant long, un regard qui ne reflétait rien de bon !

_ «Je n'irais pas jusqu'à dire que je rêvais de t'envoyer en prison »

disais-je un air mielleux, en formant avec mes lèvres un cercle relativement saillant où les commissures sont rapprochées.

_ «Mais, il fallait bien que je trouve quelque chose pour me débarrasser de toi, non?!»

À mon tour, je déposais mon verre sur son bureau, et doucement, je m'avançais vers lui, me remettant de nouveau en face à face, suffisamment proche, très proche à telle point que son odeur de parfum me traversait la narine.

_ « Ce que je veux ?! Un tas de choses !!! »

De ma main gauche, je venais délicatement remettre convenablement le pli de son veston hors de prix.

_ «Et détrompe-toi, j'ai réalisé à quel point ce p'tit corps me manquait et surtout, ton cerveau.... »

Des hommes futés, croyez-moi, cela ne courait pas dans toutes les rues et mine de rien, Luis était l'un des meilleurs dans ce domaine d'exportation.

_ « Et c'est pour cela que je ne suis pas venue avec les mains vides. »

Toujours avec ma main gauche, je lui montrais mon sac qui se trouvait au pied de la chaise

« Regard ce que je t'ai laissé en guise de paix, et cela pourrait éventuellement nous permettre de recommencer sur de bonne de base. Toi et moi, je veux que l’on continue notre collaboration, malgré le sale coup bas que j'ai pu te faire !!! D'ailleurs, crois-moi, je le regrette. Je n'aurais jamais dû essayer de t'éjecter comme une merde, mais, c'est en commettant des erreurs qu'on apprend, chéri... »

Allait-il accepter cet argent ? Allait-il accepter tout simplement qu'on poursuivre notre collaboration ? D'ailleurs, je sentais qu'il allait me poser des tas questions sur mes nouveaux projets, mais, cela dit, je doute fortement qu'il allait refuser car que derrière tout ça, se cachait bien plus de pognon.

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Chapitre I

Victorya Cruz

Il n'avait jamais nié, Victorya était une femme d'affaire hors paire et travailler avec elle c'était du pur ~~plaisir~~ pur folie ! Cette femme est une véritable succube. Elle prend le meilleur de vous, elle l'utilise à sa guise et puis quand elle n'a plus besoin elle jette sans le moindre scrupule. Mais n'est ce pas ça façon d'agir à lui aussi ? Il est comme elle au fond et qui ce ressemble s'assemble non ? Ils sont identique tous les deux, à la seule différant c'est qu'elle avait une longueur d'avance sur lui à chaque fois. Luis est quelqu'un de malin et calculateur mais contrairement à elle, il est bien trop bornée et il laisse parfois son désir prendre le dessus, prendre le dessus sur la raison. Il n'avait jamais réellement fait confiance à Victorya, il savait qu'à tous moment elle pouvait le poignarder dans le dos tous comme lui il pouvait le faire. Ils ce fond toujours face avec de beaux sourire mais cache toujours ce couteau dans leur dos prêt à poignarder le premier qui ce retourne. - Génial, je vais adorer de pourrir l'existence ... même une fois mort ! Sarcastique, il détourne les yeux alors qu'il saisit finalement ce verre qu'elle lui tend pour rejoindre son bureau et s'assurer qu'elle n'avait touché à rien. Parce que c'est ce qu'elle fait quand elle débarque à quelque part. Elle prend possession des lieux comme si tous lui appartenait et le ire c'est qu'elle est persuadé que c'est le cas. - Pourtant j'ai eu la nette impression que c'était le cas quand j'ai vu les agents débarquer dans la la chambre d'hôtel pour m'arrêter comme si j'était un terroriste ! Crache t'il amer alors qu'il la dévisage. - Tu m'as balancé alors que tu aurais pu faire le sale boulot toi même ! Lui coller une balle dans la tête ou le faire disparaitre d'une autre façon, après tous c'est ça façon de procéder non ? - Tu t'es tirée avec mon fric et tu m'a trahi ... coup de poker, tu avais une longueur d'avance sur moi. Alors que lui aussi avait prévu de ce débarrasser d'elle.

Son numéro de charme ne prend pas avec lui, il sait fait semblant d'être sensible, bien que Victorya soit une femme très séduisante et attirante, ce n'est pas pour autant qu'il ce laisse avoir, parce qu'il la connait la vipère. il avait déjà assisté à son numéro de charme et elle parvient toujours à ses fins. Elle ce rapproche, elle flirt légèrement, elle sourie avec cet air séducteur. - Non je reformule ma question ... pourquoi tu reviens vers moi ? Après le plan que tu m'a fait tu pense sérieusement que je vais accepter une quelconque proposition de ta part ? Pur folie ! Mais elle sait qu'il a le gout du risque, il aime les jeux dangereux, trop sans doute ! Il la lâche pas du regard, il le soutient comme pour la défier d'avantage parce qu'il est comme ça Luis, sans peur et il aime trop avoir un adversaire à sa taille. - Muh je sais ... Mais il comprend surtout que ce n'est pas tant lui qu'elle vise ... mais son entreprise, elle y trouve un intérêt et c'est bien ça le problème. Il refusait d'écouter, jusqu'à ce qu'elle parle d'argent. il arque très légèrement le sourcil droit alors qu'il baisse les yeux vers le sac au pied de la chaise. Un sac qui contenait beaucoup d'argent ... - T'es sérieuse ? Il écoute tous son beau discours, il l'écoute même avec attention seulement il n'y crois pas ! Elle ne regrette jamais rien Victorya surtout quand c'est dans son propre intérêt ! Elle c'est toujours battu pour elle avant tous ! Il éclate de rire. - Woah ! Tu as dû le travaillé longtemps ton beau petit discours ! On ne va rien continuer du tout toi et moi d'ailleurs y'a plus de toi et moi ! Tu m'a trahi ! Tu as bien faillit m'envoyer en prison et briser ma réputation ... j'ai eu de très gros ennuis à cause de toi et tu crois qu'avec ton fric et tes belles paroles je vais revenir en rampant vers toi ? Elle ne doute de rien non ! - Tous ton fric ne pourrais pas me convaincre de bosser avec toi ! Je me vois dans l'obligation de refuser ta proposition. Trouve un autre pigeon !

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Chapitre I: les belles retrouvailles

Luis&Vic

Génial, je vais adorer de pourrir l'existence ... même une fois morte ! Hummm, je ne sais pas qui va pourrir plus l'existence de l'autre, mais une chose est sûre, et dont j'avais raison, lui et moi, nous avons encore un long chemin à parcourir ensemble.

Je n'allais pas le lâcher, quitte à payer plus, je le ferai.

Jamais, j'aurai cru dire ça un jour, mais j'avais besoin de lui !!! Bien plus que je n'aurais imaginé. Il est évidant que dans un premier temps : j'ai essayé de trouver une autre solution, un autre gars, une autre collaboration, mais, peu importe le chemin que je me menais, à chaque fois, celle-ci me menait à lui.

Me tenir devant lui, cela m'avait tout de même demandé beaucoup d'effort parce que je savais éperdument, que j'allais devoir le supplier et ça, j'en avais une sainte erreur.

Il avait tous les droits de me haïr, de me détester, de vouloir ma mort, mais, si je me tenais devant lui, ce n'était pas pour recevoir mon châtiment ultime, mais bien, pour faire la paix.

Rien ne peut m'arrêter. Je suis prête à tout donner pour essayer de réparer mes erreurs.

_ « Tu sais que tout ce que je manigance, je ne le fais pas sans m'informer des conséquences collatérales, car, certains éléments me concernant, aurait pu être un préjudice pour moi et cela auraient pu avoir des répercussions sur mes propres affaires ... Te dénoncer a été la meilleure des solutions, parce que, je savais et j'en étais convaincue, que ton p'tit cul allait s'en sortir. »

Ma réputation était en jeu. Je me suis battue pour en arriver jusqu'à là, pour en arriver jusqu'à la gloire alors non, je ne pouvais pas tout foutre en l'air parce que j'avais commis une toute petite erreur.

Jamais, je n'aurais envoyer Luis en prison sous un coup de tête, tout ceci était qu'une question de stratégie. En l'arrêtant, j'étais innocentée de tout !!!

_ « c'est pour ça, que je suis ici.. Je te rends ton dû avec un joli bonus »

Je pouvais également rajouter, qu'il méritait sa place et par-dessus tout, il avait en quelque sorte réussi à faire ses preuves. Il aurait pu me dénoncer auprès des autorités, il aurait pu me faire tuer, il aurait tout simplement pu se venger – chose qu'il n'a jamais faite ...

Néanmoins, je pouvais tout à fait comprendre qu'il se méfiait, et malheureusement, je ne pouvais pas le garantir ni le prouver que je ne recommencerais plus !!! Sur ce coup, il devait me faire confiance ... Ce qui n'était pas gagné.

Cela dit, il ne devait pas penser qu'au mauvais moment de notre amitié/collaboration... Il y avait aussi de bons moment et, d'ailleurs, je comptais jouer là-dessus pour essayer de l'amadouer.

Je devais trouver quelque chose pour le faire craquer et l’entendre dire les mots que je désire tant.

Je veux qu'il bosse pour moi, qu'on bosse ensemble, et qu'on refasse fortune !!

_ « Tu as raison. Cela n'a pas été facile pour moi de venir te voir, et te supplier de revenir ! J'ai dû énormément travailler sur moi-même. »

Je me tenais toujours devant lui, et délicatement, je prenais sa main dans la mienne.

_ « J'ai été une vraie garce avec toi, et je sais que ce sera difficile pour toi d'oublier tout ce que j'ai pu te faire, mais je te promets que tu ne le regretteras pas ! J'ai essayé de collaborer avec d'autres gars, mais, sans succès. Soit, ils me fuient, soit ils meurent. »

Va t'en à comprendre ça !!! Je n'étais pas non plus une sorcière, mais bon, j'avoue que je n'étais pas une femme facile.

_ « Tu es le seul gars qui me tient tête, et c'est ça que j'ai besoin... Un homme qui a des couilles, un homme qui n'a pas peur de me dire non ... »

De mon autre main, je la déposais sur sa joue, l'obligeant à me fixer.

_ « Peut-être que tout mon fric ne pourra pas te convaincre de rebosser pour moi, mais si je disais que sous ma veste, je porte uniquement une porte-jarretelle ? »

Mes lèvres s'approchaient de son oreille, et je lui murmurais :

_ «Je sais que tu adores ça »

durant notre « amitié », j'ai appris à le connaître, à l'écouter, et à partager les bonnes choses

_« Et je sais aussi, que tu ne pourras pas me dire non !!! »

La séduction était le meilleur moyen pour faire craquer un homme et Luis, malgré son sale caractère, restait un homme. Et un homme réfléchit plus souvent avec sa queue qu'avec sa cervelle.

️ Gasmask

Chapitre I

Victorya Cruz

Il lui avait fait confiance ou presque, une seule fois et ça avait bien faillit lui couter la vie. On l'avait mit en garde contre elle, une femme comme Victorya sait comment s'y prendre avec les gens, elle sait manipuler pour arriver à ses fins. Seulement il avait risqué gros en jouant avec elle, il avait risqué la prison et il n'était pas certain de pouvoir s'y faire. Pourtant, il sait que si elle est là c'est vraiment parce qu'elle a besoin de lui, elle ne serait pas revenue en rampant vers lui si elle avait eu une aitre option. Elle n'est pas comme ça ... malheureusement, Luis n'envisage vraiment pas de retravailler avec elle, ni maintenant ni jamais. Il n'avait toujours pas digéré la trahison. Elle l'avait balancé sans le moindre scrupules pour sauver ses fesses et elle avait réussi visiblement. - Oh parce que tu avais déjà prévu ton coup ... me balancer parce que tu étais certaine que j'allais m'en sortir. Evidement ! Il était donc juste bon à être le sacrifice et rien de plus ! Pourquoi ça ne l'étonne pas vraiment ! - Te cherche pas d'excuses, tu n'avais plus besoin de moi alors tu t'es juste débarrassé ... avant que moi je ne le fasse. Et il ne digère vraiment pas. Il n'avait pas apprécie de ce faire arrêter parce que c'était sa réputation qui en avait prit un coup, il avait dû faire appel à son père pour qu'il lui vienne en aide et là encore il avait dû ravaler sa fierté. - Je suis pas le genre à cracher sur l'argent mais je ne veux pas du tiens, je ne veux rien venant de toi !

Il avait pensé à la dénoncer mais à quoi bon ? Elle aurait réussi à s'en sortir et il n'avait aucunes preuves pour la faire tombé et son père lui avait surtout demandé de ne plus chercher les problèmes. Travailler avec elle, c'était comme accepter de replonger dans les abysses et il était hors de question qu'il accepte. Mais il prend note, il a un avantage sur la situation, c'est qu'elle a besoin de lui ... elle a besoin de son entreprise, besoin de travailler avec lui. - Oh j'imagine oui ... Souffle t'il doucement sans la quitter des yeux alors qu'il boit une longue gorgée de son verre. Mais il comprend très vite son petit manège, elle cherche à le séduire et si en temps normal il apprécie le jeu ce n'était pas le cas aujourd'hui, pas avec elle. - Oui je sais que je suis plutôt unique dans mon genre ... et toi difficile à apprivoiser. Admet t'il en souriant très légèrement. Il était le seul capable de lui dire "merde" quand il le fallait parce qu'il n'avait pas peur d'elle, il n'avait jamais eu peur. Victorya était juste une femme d'affaire, une excellente femme d'affaire mais pas si intouchable que ça. Alors qu'elle ose le toucher, sa main contre sa joue alors que l'autre tiens sa main. Elle flirt avec lui, elle le tente et elle sait combien les femmes sont son point faible. Il ce laisse presque prendre au jeux alors qu'il ferme doucement les yeux lorsqu'il sent son souffle chaud contre sa peau. Seulement, il a l'avantage sur elle et il compte bien en profiter encore un peu avant de lui donner ce qu'elle veut, c'est lui le maître du jeu. Ses doigts ce glissent lentement contre sa nuque avant que ses doigts ne viennent entourer sa gorge pour la forcer à reculer sans serrer, le but n'était pas de lui faire mal mais juste de la faire reculer. - Tu me connaissais oui ... mais tu as perdu ce privilège. Souffle t'il avant de ce lever de son siège pour faire le tour du bureau. - Tu as besoin de moi ... alors il va falloir que tu me fasse tes plus plates excuses pour essayer de me faire changer d'avis ! Je suis ta seule option.

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Chapitre I: les belles retrouvailles

Luis&Vic

« Oh parce que tu avais déjà prévu ton coup ... me balancer parce que tu étais certaine que j'allais m'en sortir. » Mais bien sûr, qu'est-ce qu'il croyait ? Avoir une longueur d’avance, c’est aussi savoir faire la part des choses. Je ne pouvais pas ignorer le fait que ''mon amitié'' envers Luis était une chose dont j'avais vraiment apprécié.

Mais parfois, il fallait que j'anticipe, que je sacrifie, que je perds de bons éléments pour ma propre cause. Je faisais peu preuve d'humanité, et non, je n'étais vraiment pas celle qui aidait son prochain - au contraire.

Anticipez les besoins et les tendances, mais aussi les coups tordus L'aurait-il fait également ? Je pense que oui, mais j'ai été plus rapide que lui. Dans ce monde de requin, je doute fortement que l'amitié ait sa place.

VIC _ « Mon chou, tu ne vas quand même pas me faire un drame pour si peu »

Surtout qu'il s'en est sorti grâce à papa – très certainement.

Un fils à papa. À vrai dire, je me demandais vraiment ce que je foutais là. Un homme qui a besoin encore de son père à son âge, cela ne reflétait rien de bon !!!

«Tu ne veux rien de moi ?! »

Je doute. L'argent est sa plus grande faiblesse, et aussi étonnant soit-il, je le connaissais parfaitement – d'où le pourquoi, j'avais toujours un plan b...

Je suis loin d'être une traînée, mais quand il s'agit d'affaire, parfois, je profitais de mes atouts de séduction pour amadouer les hommes. Offrir mon corps le temps d'une heure, deux heures ou bien encore la nuit, ce n'était qu'un stratège pour mieux dévorer ma proie...

Néanmoins, je me rendais compte qu'avec Luis, ce serait un peu plus compliqué. Je sentais sa main venir saisir fermement ma nuque, et me forçait ainsi à m'écarter de lui !!!

«De plus plates excuses ? » répétais-je toujours en le regardant droit dans les yeux. Qu'attendait-il de moi ? Plus d'argent ? «Dis-moi ce que tu veux, et je t'offrirais tout ce que tu souhaites.... Tes vœux seront exaucés très cher ami !!! »

Puisqu'il ne souhaitait pas me toucher, je posais mes fesses sur son bureau, et je croissais mes jambes attendant impatiemment son offre.

Je souriais de toutes mes blanches ... Il savait qu'il était ma seule option, mais derrière tout ça, sa satisfaction de me résister, je pouvais apercevoir - malgré tout - dans son petit regard, qu'il n'allait pas refuser cette collaboration et qu'il était déjà à deux doigts de l'accepter.

Il voulait juste jouer avec moi, et agir comme un gamin pourri gâté. Un vrai petit con!!!

« Et n'oublies pas de téléphoner à papa pour demander la permission »

Un p'tit pic pour le taquiner un peu !!!

️ Gasmask

Chapitre I

Victorya Cruz

Les affaires sont un monde rempli de requins. Il n’est jamais conseillé de nager en eau trouble. Ils connaissaient tous les deux cet univers, ils savent tous les deux que l’amitié n’y a pas sa place. Victorya est Luis ne sont pas amis et au fond ils savent tous les deux qu’ils ne le seront jamais. Entre eux il était juste question d’une simple collaboration, un arrangement mais sachant parfaitement que l’un des deux risquaient de ce faire poignarder dans le dos. Victorya était juste la première à avoir osé porter le premier et dernier coup fatal. Pourtant, malgré une écrasante victoire, elle revient auprès de lui et le brun ce doute que ce n’était pas un hasard. Victorya ne fait jamais rien par hasard. Elle calcule toujours ses plans afin d’arriver à son but. Elle n’est pas le genre de femme à qui on ose dire « non ». -Disons simplement que tu ne paie rien pour attendre …Déclare t’il avec un petit sourire sur les lèvres, parce que oui ! Il y aura vengeance, il ne sait pas encore comment ni ou … mais il ne compte pas ce laisser faire, humilier ainsi par une femme et encore mois par cette qui s’avère être son pire ennemis. Mais qui ce ressemble s’assemble non ?
Elle ne savait absolument pas comment il faisait pour régenter sa vie, son père … il n’était là qu’en cas d’extrême urgence et éviter la prison était un cas d’urgence. Mais sinon Luis est loin de faire appel à lui dès qu’il en a besoin. L’argent, c’est sa plus grande faiblesse, son talon d’Achille, seulement cette fois … il ne veut pas son argent, il n’en veut pas parce qu’il sait que c’est donnant donnant avec elle. Elle lui donne mais il devra lui rendre et il ne lui fait absolument pas confiance. Il refuse son offre une première fois … mais la succube insiste et lui offrant plus que quelques billets vert. Elle est même prête à lui offrir sa personne si jamais il en a envie. Très franchement, il pourrait presque ce laisser tenter sans pour autant lui donner ce qu’elle veut. Il ce laisse légèrement tenter en frôlant ses lèvres, sensation qu’il avait presque oublié depuis la dernière fois que ça c’était produit. Mais plutôt que de lui voler un baiser, il saisit sa gorge entre ses doigts pour la forcer à reculer refusant une fois de plus son offre. Ce qu’il exigeait en revanche c’était qu’elle lui présente ses plus plates excuses. - Oui ! Des excuses.Répète t’il en souriant légèrement en coin, ce rictus si familier sur le visage du séducteur. Et sans réellement le vouloir, il arrive à la possibilité d’obtenir n’importe quoi d’elle. - Muh … je possède déjà beaucoup de chose et j’aime qu’on me surprenne alors surprend moi. Tu dois juste regagner ma confiance pour que j’accepte de travailler avec toi. Autant te dire que ça ne risque pas d’être simple. Il s’éloigne du bureau sur lequel elle est assise pour en faire le tour et rejoindre la table basse pour ce servir un autre verre, autre que celui qu’elle lui avait servis quelques secondes avant. Il en déguste une bonne gorgée avant de sourire une fois encore face à sa petite pique.- Tu sens de l’humour m’a presque manqué Victorya.

(c) DΛNDELION