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 Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston)

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Message Sujet: Re: Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston)   Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston) - Page 4 Empty Mar 11 Fév - 20:14

Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me
Isabella Kingston


Il ne voulait pas compliquer les choses, il ne faisait que lui parler de son ressenti, il ne faisait que dire ce qu'il pensait au plus profond de lui. Dire ce qui réel ! Visible bon sang ! Ne voyait elle pas qu'ils s'aimaient ? Qu'ils ne pouvaient pas survivre l'un sans l'autre ? Ne voyait elle pas ? Bien sur qu'elle s'en rendait compte seulement ... elle refusait juste de ce l'avouer. Il connait Isa, trop torturé, trop paniquée à l'idée de ressentir le bonheur. C'est ce qu'elle était venue chercher hier soir auprès de lui, le bonheur ... elle l'avait trouvée mais ce matin elle voulait juste s'enfuir. Comme si elle regrettait déjà ce qui c'était passé entre eux. Assise de l'autre côté du lit, silencieuse, elle était comme mal à l'aise, pas à sa place alors qu'elle l'était ! C'était leur chambre, ils étaient ensemble ! Aucune autre femme n'avait autant sa place qu'elle ! Mais elle ne le comprend pas. Faisant le tour du lit pour ce rapprocher d'elle, Nick tente le dialogue avec elle en vain. Il avait retrouvé un peu d'espoir, celui de pouvoir la retrouver et que tous n'était pas forcément perdu entre eux. Il refusait de croire qu'elle pouvait lui tourner le dos, il refusait de croire que c'était terminé entre eux. C'est ce qu'il ose lui dire à haute voix, sincèrement. - Non et je le pense toujours. Mais je refuse de croire que c'est terminé, parce qu'il y a encore quelque chose entre nous. Je perds pas espoir Isa ... et tu sais combien je suis tenace. Dit il calmement. Oui ils avaient couchés ensemble et peut être que pour elle c'était une petite erreur de parcours, un entorse à leur rupture mais pour Nick ça avait bien plus d'importance.

Mais il ne s'arrête pas là, il s'assoie à côté d'elle après lui avoir rendu sa jupe. Assis auprès d'elle il reprend, ce ton toujours aussi calme, sûr de lui. Il l'aime, elle l'aime, pourquoi compliquaient t'ils les choses ? Pourquoi faisaient ils ça ? Pourquoi ce faire souffrir ! Bien sur l'amour ne suffit pas ! Mais peut être qu'il n'avait pas fait assez d'effort pour la comprendre ? C'était Luke la base de leur séparation mais peut être qu'il devait juste essayer de fermer les yeux sur cette histoire ... il avait essayé mais peut être qu'il n'avait pas essayé assez fort ? - Quoi ? Te dire que je t'aime ? Tu voulais qu'on soit sincère l'un envers l'autre alors je le suis. Seulement ça ne mène à rien puisqu'elle ne lui donne aucunes réponses. Peut être que leur idylle d'une nuit allait prendre fin de cette façon, avec un "je t'aime" sans réponse et son départ. Il baisse légèrement les yeux alors qu'elle c'était levée pour lui faire face. Il sent son regard sur lui pendant de brèves secondes mais il choisi de s'en aller. Ce silence devient presque dérangeant et de toute façon il avait besoin de caféine. Quittant la chambre sans un mot de lui, il descend les marches pour rejoindre la cuisine et préparer du café. C'était évident qu'il n'avait pas envie de la voir s'en aller comme ça et peut être qu'il devrait la retenir encore. Sortant deux mugs, juste au cas ou elle décide de rester, il attend que le café passe. Il n'avait même pas prit le temps de chercher son tee shirt dans le salon, toujours en jogging, torse nu. Il songeait encore à cette nuit, il ce rappelait de chaque détails, agréable, cette nuit si parfaite. Préparant le reste du petit déjeuné sur le bar, il la voit soudain entrer dans la pièce. Il était surprit mais un faible sourire ce dessine sur ses lèvres content qu'elle accepte de rester même si ce n'est que pour prendre un café. - Installe toi, c'est bientôt prêt. Il ne manque que quelques minutes pour qu'il puisse enfin servir les deux mugs. Puis il s'installe en face d'elle, sucrant un peu trop son café comme d'habitude. Il adore le café mais le matin il le sucre toujours beaucoup trop. Est ce qu'il ce sentait nerveux ? A cause de la présence d'Isabella ? Non ! Il n'était pas le genre à ce sentir intimidé et encore moins pas la femme qu'il aime. Il était juste content qu'elle accepte de rester. Buvant une gorgée de sa tasse, il la regarde, ce petit air taquin alors qu'il remarque cette trace dans son cou. Il s'en souvient, si lui trouve ça amusant Isa devait certainement déjà chercher un moyen de cacher cette marque. A cet endroit ce n'était pas vraiment discret en plus. - Je suis content que tu reste pour le café ... Une précision qu'il devait partager avec elle. - Tu as retrouvé ton téléphone ? Je pense que tu as du recevoir pas mal de messages comme tu t'es enfuis sans rien dire à personne.
(c) DΛNDELION
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Message Sujet: Re: Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston)   Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston) - Page 4 Empty Mar 11 Fév - 21:11


♛ ♛ ♛
{ stand by me }
crédit/ tumblr ♛  w/ @nikolaï Warren
Le voile posé sur leur amour est fragile, délicat. Il est sombre et vaporeux à la fois. Sombre de tous les ténèbres dont elle l’assaille, vaporeux de l’intensité avec laquelle il transparaît toujours partout sur son passage. Un voile qu’elle essaie de garder, comme pour camoufler ces sentiments qui ne devraient plus exister. Un voile sur lequel il ne peut pas s’empêcher de tirer, chaque fois qu’il le peut, pour mieux le rappeler. Peut-être qu’il ne veut pas plus qu’elle compliquer les choses, Nikolaï. Peut-être même que, pour lui, la difficulté, c’est elle toute seule qui l’impose. Ils sont différents, tellement différents tous les deux. C’est parce qu’il lui est si opposé, qu’il a réussi à gagner le cœur qu’elle voulait cadenassé. C’est encore parce qu’il est si différent d’elle, qu’il trouve ce courage de tout lui avouer avec sincérité. Tout cet amour voué, et même dévoué. Il pourrait se donner à elle les yeux fermés. Isabella, elle aura toujours besoin d’en garder un ouvert. Besoin d’anticiper toutes les manières dont elle pourrait se retrouver piégée dans un amour aux allures d’enfer. Besoin de se protéger, besoin de se sauver, de l’homme qui ne veut que l’aimer. Les deux opales fixées sur lui, la jeune femme ne peut rien dire, elle ne trouve rien à redire. Il s’exprime avec une telle aisance, une telle assurance. Comme s’il était persuadé, qu’ils se retrouveraient. Comme si elle lui compliquait simplement la tache, alors qu’il est comme il dit trop tenace… trop tenace pour abandonner. Trop tenace pour les laisser tomber.  Elle ne sait pas comment réagir, devant des paroles qui sonnent autant comme une promesse que comme une menace. Elle ne sait plus si elle doit s’inquiéter, ou se sentir touchée. Elle ne sait même plus, Isa, ce qu’elle peut ajouter. C’est un lourd silence qui vient à la gagner. Silence qu’il choisit de fuir sans plus chercher à la persuader.

Au fond,
t’as même pas besoin qu’il essaie,
Au fond,
tu sais que vous vous aimez,
Au fond,
tu sais que c’est pas terminé.

Mais, jamais, tu te l’avouerais.


Ce serait encore plus douloureux de devoir admettre combien elle est encore attachée à lui, combien elle est accrochée à lui. C’est flagrant dans son comportement, dans chacun de ses regards, dans tous ces mots qu’elle ne dit pas. Mais, l’amour, il ne suffit pas toujours. Elle n’est même pas sûre qu’il dure dans un seul couple. Il est trop violent, trop imprévisible, trop corrosif pour des cœurs bien souvent fébriles. Elle le regarde partir, elle ne le quitte pas de ses prunelles assombries. De cette souffrance infinie. Peut-être qu’il a raison, Nikolaï, peut-être qu’une partie d’elle refuse de croire au bonheur. Peut-être simplement qu’elle ne le mérite pas. Elle est incapable de croire en leur amour quand, lui, ne cesse toujours pas de croire en elle. Isabella, elle ne sait pas comment il fait. Comment il peut encore espérer. Tous ses je t’aime, ils sont en train de la tuer. Et pourtant…

Pourtant, tu ne peux pas t’empêcher,
d’aller le retrouver,
sous prétexte d’un café,
quand c’est lui que t’arrives pas à quitter.


C’est à pas feutrés, presque avec timidité, qu’elle avance jusqu’à la cuisine. Il est en train de préparer le café, semble-t-il sereinement, surpris devant elle. Un sourire qui se dessine sur ses lèvres, achève de la rassurer. C’est sagement qu’elle exécute sa demande en allant s’installer. C’est troublant de se retrouver dans cette pièce aux mille souvenirs partagés. La chambre a quelque chose d’intime, la cuisine quelque chose d’authentique. Comme si, ce qui se passe là, est irréversible. Inoubliable. Son regard ébène posé sur lui, elle remarque qu’il est encore torse nu, alors qu’il s’approche d’elle de toute son assurance. Elle ne le quitte pas, alors qu’il met bien trop de sucre dans son café. Tant de fois, elle lui a dit qu’il devrait diminuer. Le cœur qui se serre, le silence la frappe cette fois, si ce n’est un remerciement qui sort de ses lèvres intimidées. Ses mains viennent entourer sa tasse de café, elle le boit noir de son côté. Elle surprend cette lueur de malice dans ses iris bleutées. – Je suppose que c’est pour cette raison, ce petit sourire. Non, elle a compris. Il est fier d’avoir laissé sa petite marque sur elle… s’il savait, toute l’empreinte qu’il a laissée. Son mug qu’elle porte jusqu’à elle, la latina en boit une longue gorgée plus que désirée. – Oh… non, je n’ai pas regardé. Instinctivement, elle cherche dans son sac à main posé à côté sur la table, son téléphone portable… en vain. – Je ne sais pas où il est… tu ne me l’as pas rendu hier soir. Il est peut-être toujours par terre. Elle ne se souvient plus très bien, Isa, il faut dire qu’elle pensait à tout autre chose à cet instant là.
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Message Sujet: Re: Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston)   Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston) - Page 4 Empty Mer 12 Fév - 7:49

Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me
Isabella Kingston


Il l'aimait, elle l'aimait, c'était certain. Seulement, maintenant elle le sait ! Il ne cesse de lui rappeler après que peut il faire de plus ? Lui prouver ? Bien sur qu'il le pouvait ! Il était même prêt à faire n'importe quoi pour elle, pour lui exprimer combien il est amoureux. Il essaie de ce donner du mal pour elle et c'est ce qu'il fera toujours parce qu'il ne peut pas faire autrement ! Seulement si elle ne ce donne pas la peine de revenir vers lui, Nick ne peut pas la forcer à le faire si elle n'en à pas l'envie. Il peut pas la forcer à rester avec lui si ce n'est pas ce qu'elle souhaite, mais quoi qu'il en soit il mettra toutes les chances de son côté pour que ce soit le cas. Sans réponse, Nikolaï quitte la chambre sans ce retourner, comme si il lui laissait le temps de réfléchir à la situation Comme si elle ne l'avait pas suffisamment fait depuis leur séparation. Il savait ou du moins il pensait savoir ce qu'elle pensait. Isabella c'est une âme torturé qui pense ne pas avoir le droit au bonheur. A la première complication elle ce renferme tout de suite, cherchant déjà un moyen de repli en cas de besoin. Toujours ce besoin d'être ensemble sécurité, même si ça veut dire être malheureuse. Il ne veut pas qu'elle soit malheureuse, il ne veut pas être loin d'elle ... et en agissant de la sorte ne ce rend elle pas compte qu'elle ce fait du mal ?

Dans la cuisine, Nick prépare le café ainsi que le reste du petit déjeuné et de quoi grignoter. Il prépare le bar pour qu'il puisse déjeuner et si le coeur lui en dit, Isabella viendra peut être la rejoindre. Il ne lui force pas la main, en réalité il aimerait la voir rester d'elle même. Un choix qu'elle prend en écoutant son coeur et non parce qu'il la fait culpabiliser. Elle avait parfaitement le droit de s'en aller sans lui dire quoi que ce soit. Mais il pourrait penser qu'elle n'a plus aucunes estime pour lui. Coucher avec lui et disparaitre le lendemain sans rien lui dire ... oui il risque de plutôt mal le prendre. Mais heureusement elle semble plutôt écouter son coeur puisqu'elle débarque dans la cuisine, silencieusement. Il a presque l'impression qu'elle ce sent gênée de rester alors qu'elle est la bienvenue. Pour la rassurer, Nick lui offre un beau sourire avant de l'inviter à s'installer au bar en attendant que le café finisse de passer. Il ne le montre pas vraiment, mais était content de la voir rester, content de voir qu'elle saisissait en quelque sorte la main qu'il lui tendait. Content de voir qu'elle écoute son coeur et surtout qu'elle n'a pas vraiment envie de le quitter en fin de compte. Bon ce n'est qu'un café ! Ce n'est pas non plus un rendez vous ... remarque après la soirée qu'ils avaient passé tous les deux, ils avait sauté quelques étapes. Servant le café dans les mugs, il s'assoie face à elle, un petit sourire sur le coin des lèvres alors qu'il sucre au delà du raisonnable son café. En temps normal elle lui aurait fait sa petite leçon de morale mais elle parvient à s'abstenir. Il sent pourtant qu'elle le regarde faire mais elle ne dit rien. - Je sais ... je sucre trop. il sait qu'elle le pense. Depuis qu'ils sont ensemble, elle fait tous pour lui faire manger des choses beaucoup plus seines. Elle avait quand même réussi l'exploit de lui faire manger des légumes beaucoup plus souvent qu'avant. Un vrais gamin ...
Mais il sourie surtout en voyant cette marque violacé dans son cou, une marque qu'il lui avait laissée et elle était sans doute un peu trop visible au gout de la Latina. Il sourie d'avantage lorsqu'elle ose en parler, il hausse légèrement les épaules en riant légèrement. - Peut être ... Dit il en souriant d'avantage. - Désolé pour la trace ... Il n'est pas vraiment désolé non. Mais changeant de sujet, il pense surtout à son téléphone. Depuis sa disparition de sa fête d'anniversaire, ses amis avaient dû s'inquiéter pour elle, ses proches ... elle avait certainement reçu des centaines de messages et malheureusement elle n'avait pas trop eu le temps de consulter son téléphone. Il n'était pas dans son sac à main et franchement il n'avait pas vraiment d'idée ou est ce qu'elle l'avait perdu. - Il est certainement quelques part dans le salon ... c'est là bas que tous à commencé. Dit il légèrement pensif en essayant de retracer leur parcours. Buvant une gorgée de son café il ce lève pour rejoindre le salon et commencer à chercher. Il savait exactement ou le trouver ... mais c'est une info qu'il garde. Il le ramasse même rapidement et hésite ... devait il lui rendre ou le garder un peu plus histoire de la garder un peu plus auprès de lui. Il glisse le téléphone dans sa poche puis ce tourne vers elle. - Il ne doit pas être bien loin ... on va le trouver.

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Message Sujet: Re: Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston)   Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston) - Page 4 Empty Ven 14 Fév - 20:02


♛ ♛ ♛
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crédit/ tumblr ♛  w/ @nikolaï Warren
Peut-être qu’il n’a rien de plus à faire, Nikolaï, parce que tout ne tient qu’à elle. Il ne tient qu’à elle de se relever, se battre pour son couple, affronter la réalité… au lieu de tenter d’y réchapper. Comme si elle se laissait plonger dans un gouffre sans fin. Comme si elle se laissait tomber dans les ténèbres toujours plus loin. Alors qu’elle pourrait remonter à la surface, alors qu’elle pourrait choisir de faire face. Mais elle a trop peur de ce qu’elle devrait affronter. Le cœur déjà trop émietté, elle ne peut pas davantage l’abîmer. Ne peut pas davantage s’abîmer. Mais c’est aussi ce qui rend ses relations aussi peu résistantes dans la durée. Ce qui pousse les hommes, trop souvent, à laisser tomber. Parce que c’est elle, au fond, la première à abandonner.

Mais lui, il est là,
il est toujours là,
jusqu’au jour où à son tour, il partira,
et tu sais déjà que tu le regretteras.


Elle ne lui a jamais dit, tout ce qu’elle ressentait. Tout ce qu’elle peut éprouver. Toute la douleur qui la ronge, il la voit, mais il ne la comprend pas. Il n’en saisit pas les rouages, comme un jeu malsain dont il aurait été uniquement témoin. Il en connaît ce qui est décelable, mais pas les règles. Il ne sait pas tous les travers. Des vérités trop sombres dont elle a toujours préféré l’épargner. C’était déjà trop difficile de lui dire ce qui a pu lui arriver. Il ne doit même pas déceler, tout ce qui peut traverser son esprit torturé. Ou peut-être qu’il sait. Peut-être qu’il en a une vague idée. À force de la côtoyer, il a décelé les fragments de son âme d’écorchée. Mais ses mots lui reviennent, des mots qu’il a prononcés il n’y a pas si longtemps, des mots qu’elle n’a pas pu oublier.  Qu’elle est attirée par la noirceur, attirée par les ténèbres. Attirée par les enfers.

Mais il ne voit pas,
que, l’enfer, t’y es déjà.


Elle s’en réchappe, parfois, mais y revient beaucoup plus facilement qu’elle ne s’en éloigne. Le bonheur est une contrée inconnue, alors que la souffrance, elle l’a toujours connue. Peut-être qu’ils auraient dû parler, peut-être qu’ils auraient dû davantage se confier. Elle non plus, après tout, elle ne sait pas tout ce qu’il peut traverser. Tout le mal qu’elle a pu lui infliger. Elle ne sait pas, parce qu’elle a préféré partir, tout arrêter. Mais la voilà à nouveau, ici, dans cette cuisine. Juste en face de lui. Elle a choisi de rester avec lui, plutôt que s’enfuir. Ou peut-être que c’est son cœur qui a décidé, son cœur trop fragile qui n’a pas pu s’en éloigner. Pas encore, pas déjà, pas maintenant. Ses lèvres restent fermées, mais ses prunelles ébènes viennent parler pour elle. Tout de suite, devant son regard posé sur lui, le jeune homme comprend ce qu’elle peut se dire. Cela la ferait presque sourire… si ce n’était pas aussi douloureux. Aussi douloureux de penser qu’elle n’a plus rien à lui dire. Mais ses tourments qu’elle garde pour elle, la latina lui répond d’une voix qu’elle espère plus légère. – Non, bien sûr. C’est juste assez pour du sucre au café. Son ton est doux, comme toujours. Particulièrement avec son amour. La complicité tacite qu’elle lit dans ses deux iris bleutées, elle n’en dit pas plus, mais le cœur y est. Le cœur y est, ce sont les mots qui conviennent. Tout son cœur est là, tapi dans l’ombre, en train de scruter ce qui se passe entre eux.

Ton cœur y est,
t o u j o u r s ,  
quand il est à tes côtés.


Peut-être qu’elle ne devrait pas être là. Peut-être qu’elle aurait mieux fait de refuser la proposition de Nikolaï. Mais c’était impossible, comme si son corps l’avait porté plutôt que son esprit. Comme si ce maudit cœur, il avait pris le pouvoir, l’espace d’une seconde, beaucoup trop vite. Puis peut-être aussi, le fait qu’elle ne peut pas partir, pas comme ça, pas après avoir passé la nuit avec lui. Il n’est pas n’importe qui… il ne sera jamais n’importe qui. Il l’a marquée à jamais, Nikolaï. Il n’avait pas besoin de lui laisser une trace physique, pour ça. Là où elle se contentait de répondre à ses paroles, elle devine qu’il a mal interprété ses mots. C’est de cette marque qu’il vient à parler, là où elle ne l’aurait jamais fait. Sa peau halée ne laisse pas apparaître l’embarras qu’il fait naître en elle. Un peu plus le trouble qui la submerge. – Je te croirais peut-être si tu ne souriais pas. lui affirme-t-elle, cette fois avec un faible sourire qui apparaît malgré elle. La complicité qui revient, comme naturelle. Elle ignore comment elle va cacher cette marque violacée de son cou, mais elle déteste trop attirer la curiosité pour le supporter. Mais elle sort de ses préoccupations quand il rappelle l’existence de son téléphone. Elle se mordille la lèvre à ses propos, alors que les mêmes images que lui viennent la hanter. Oui, tout a commencé dans le salon.

C’est là que t’as perdu pied,
là que vous avez irrémédiablement craqué.


C’est déstabilisant de se retrouver à nouveau dans cette pièce avec lui. Mais, sagement, elle le suit. Sa tasse de café toujours entre les mains, la belle cherche partout, hormis dans le seul endroit où elle n’osera plus s’approcher. Elle ne se doute pas un instant de l’action réalisée, alors qu’elle tourne la tête vers son ex petit-ami. – Souviens-toi, c’est toi qui l’avais… Lui qui attrape ton téléphone, puis ta main. Puis toi tout entière. Tu t’en souviens à merveille. Elle ne devrait pas y penser. Mais elle en a besoin, pour se rappeler. Pour ce portable qu’elle doit retrouver. Laissant ses opales se détourner de lui pour fixer un peu partout, elle ajoute. – Mais il n’a pas pu disparaître… Tu l’as peut-être mis dans ton pantalon hier…? Hier, ou bien maintenant, elle n’en a aucune idée. Elle ne peut pas imaginer, tout ce qu’il ferait, pour la garder à ses côtés.
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Message Sujet: Re: Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston)   Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston) - Page 4 Empty Ven 14 Fév - 21:41

Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me
Isabella Kingston


Peut être qu'il n'en n'avait pas fait assez ou peut être qu'elle n'en faisait pas suffisamment. Peut être qu'il ne faisait trop et qu'il n'avait qu'à attendre le retour. Mais c'était bien ça le problème, avant hier soir Isabella n'avait pas réellement fait de pas vers lui. Sauf lorsqu'elle était venue le cherche dans ce bar mais elle n'avait rien fait de plus. Hier soir encore, c'était l'alcool qui l'avait poussée à venir jusqu'à lui. Mais elle était comme ça Isa. Devant la difficulté, elle avait choisi de prendre la fuite, elle avait décidé de s'en aller, de baisser les bras. Alors que lui n'était que tombé à terre et il était plus déterminé que jamais à ce relever pour affronter la difficulté. Il n'avait pas dit son dernier mot, l'amour était son moteur et il était prêt absolument à tous pour ça. Et quelque part, il voulait croire qu'elle aussi elle était là pour eux, pour leur histoire. Sinon pourquoi rester auprès de lui ? Pourquoi accepter de déjeuner avec lui si elle refusait de croire en leur histoire ?

L'écorchée vive, oui il savait ce qu'elle ressentait, il savait qu'elle souffrait. Il le savait mais malheureusement il n'arrivait pas à comprendre pourquoi ? Pourquoi ? Était elle aussi mal alors que les choses pouvaient être si simple. Il sait qu'elle a traversé des choses difficile, il sait tant de chose mais il ignore encore tellement. Il n'a jamais voulu la brusquer, ni la forcer à parler de son passé. Il avait toujours attendu qu'elle en parle d'elle même, qu'elle décide de le faire parce qu'elle le voulait vraiment. Elle n'a jamais vraiment réussi à sauter le pas, à lui faire comprendre. Il y avait quelque chose de beaucoup profond derrière cette souffrance. La colère l'avait passé à dire des choses. Attirée par les ténèbres, elle était trop sombre, trop difficile. Mais il ne comptait pas abandonner, aussi difficile soit elle. Il était prêt à partir la chercher lui même au plus profond de son enfer et la sortir de là.

Assis l'un en face de l'autre. Ils partagent ce moment d'abord silencieusement. Il ce contente de verser un peu trop de sucre dans son café, alors qu'elle le contemple sans dire le moindre mot. Pourtant, il la connait si bien, il sait déjà à quoi elle pense. Il sait ce qu'elle ce dit et il ne ce trompe pas. Son regard parle pour elle et il la connait si bien qu'il sait. - C'est juste une habitude ... puis c'est meilleur comme ça ! Et puis c'est mon seul café sucré de la journée. Il ce justifie mais pourtant elle sait déjà tous. Elle sait déjà que c'est une mauvaise habitude qu'elle a tenté tant de fois de lui faire oublier en vain. Il y avait cette complicité entre eux, doucement c'était comme si elle revenait. Naturellement ils retrouvaient ce contact, ils ce comprenaient sans même avoir besoin d'ouvrir la bouche. Et il fait tout son possible pour lui montrer qu'ils sont comme avant tous les deux. Et doucement, il sent qu'elle ce sent plus à son aise. Les sourires sont beaucoup moins forcé, sa voix beaucoup plus douce et son regard ce noie plus facilement dans le sien, il ce passait ce petit truc dans son regard. Cette façon si unique qu'elle avait de le regarder. Mais c'est surtout cette petite trace dans son cou qui attire les deux yeux bleus de Nikolaï. Cette trace plus visible dans le cou de sa belle. Difficile de la cacher à cette endroit et les gens risquaient de poser des questions. Il était presque navré de la mettre dans un tel embarras. Presque ... puisque son sourire la trahi. - Tu doute vraiment de ma sincérité ? Souffle t'il avec un air presque outré sur le visage. Mais c'est son sourire qu'il remarque à cet instant, ce sourire si sincère, tendre, doux ... un sourire qu'il n'avait pas vue depuis si longtemps. Ça lui réchauffe le coeur et sans réellement ce rendre compte, ce même sourire ce dessine sur ses lèvres alors qu'il la contemple avec tendresse. - Au moins ça te fais sourire. Et elle n'imaginait pas combien il était heureux de la voir comme ça même si ce n'est que pour une très courte durée.

Justement, ce moment risquait de prendre de fin, dans très peu de temps. La seule raison qui la retient encore c'est qu'elle n'a pas encore retrouvé son téléphone portable. Elle l'avait perdu dans le salon, juste avant qu'ils ne craquent, qu'ils ne cèdent à l'envie de ce retrouver. Sa main saisissant la sienne pour l'attirer contre lui et l'embrasser pour ne plus jamais la lâcher. Oui, il ce souvenait de chaque détails, chaque baisers échangés. Chaque caresses, chaque frissons. Il s'égare ... la priorité en ce moment c'était son téléphone. Buvant une gorgée de son café, Nick quitte la cuisine pour rejoindre le salon pour ce mettre à la recherche du téléphone. Il savait à peu prêt ou il l'avait vue pour la dernière fois. Seulement en lui rendant maintenant il allait mettre fin lui même à cet instant et il n'était pas encore prêt à la voir partir. - Oui je sais ... c'était là ... Là, dans le salon qu'il avait osé ce rapprocher d'elle pour capturer ses lèvres. Il regarde un peu partout et il finit par tomber dessus, seulement il hésite à lui rendre. Si il le faisait, elle allait partir alors que si il ne disait rien elle pourrait rester encore un peu ? Non ? Il profite qu'elle détourne les yeux pour glisser le téléphone dans sa poche. Un geste rapide qu'elle ne soupçonne pas et lorsqu'il ce redresse pour ce tourner vers elle, il sourie bêtement, navré. Cette mine coupable sur le visage ne lui ressemble pas et il ne sait pas lui mentir. - Dans ma poche ? Non ! Pourquoi le mettre dans un endroit pareil ? Dit il en haussant les épaules comme si cette idée était complètement irréaliste. Mais il ment et elle risque de s'en rendre compte ... - Il doit pas être très loin, qui sait ... dans le feu de l'action il est peut être passé sous un meuble ou je sais pas. Il est forcément dans le salon en tous cas. Il essaie bien de la convaincre avec son petit sourire innocent mais il sait qu'elle ne le croit pas ou pas entièrement en tous cas. - Puis tu ne peux pas t'en aller sans ! Ils fouillent toute la pièce sans succès. Forcément puisqu'il le cachait dans ses poches.

(c) DΛNDELION
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Message Sujet: Re: Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston)   Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston) - Page 4 Empty Sam 15 Fév - 19:11


♛ ♛ ♛
{ stand by me }
crédit/ tumblr ♛  w/ @nikolaï Warren
La sauver, ce serait possible. La sauver de ceux qui lui feraient du mal, la sauver des éléments qui l’entravent. La sauver de son passé, même, peut-être que ce serait faisable. Mais ce qui reste impossible, assurément, c’est de la sauver d’elle-même. Isabella, elle est plongée dans les ténèbres. Elle n’en a pas l’air, douce et chaleureuse, elle respire la tendresse. Mais elle reste brisée de l’intérieur. Comme une fleur dont on ne verrait que la beauté. Seulement elle n’est pas n’importe quelle fleur, Isa, c’est une rose. Faite d’épines et de douleur, elles son juste cachées derrière les pétales de douceur. Des souffrances qui ont fini par le piquer, lui aussi, à force de vouloir l’attraper. À force de la retenir pour l’empêcher de tomber. Elle l’a plongé avec elle dans ses enfers, Nikolaï, elle l’a simplement laissé à l’entrée. Il peut frôler la douleur, mais il ne saura jamais l’apprivoiser. Parce qu’ils sont séparés, parce qu’elle s’en est allée. Parce qu’ils ne sont plus ce que, il n’y a pas si longtemps, ils étaient.

Pourtant t’es là,
à ses côtés,
comme si rien n’avait changé.


Comme une caresse inattendue, un instant miraculeusement apparu. Comme une bulle offerte par la vie, loin du monde entier, ils se retrouvent comme autrefois ils étaient. Elle trouve, comme autrefois, quelque chose à redire sur sa consommation de sucre mais elle se retient, la latina. Elle se retient d’une leçon de morale qu’elle n’a plus le droit de lui octroyer. C’est lui, en fin de compte, qui tente de se justifier. Comme s’il voulait lui prouver qu’elle a toujours ce droit, qu’elle l’aura toujours. Tant que persiste leur amour. – Je le sais. dit-elle doucement, patiemment, comme pour calmer ses ardeurs. Il n’a pas besoin de se justifier, ni de sortir tous ses arguments pour se défendre. Elle le connaît, puis, même si ce n’était pas le cas, elle n’a plus aucun conseil à lui donner. Elle peut juste sagement se contenter du café qu’il lui a préparé. Les taquineries retrouvées, facilement, trop facilement. Elle serait presque gênée d’évoquer la marque qu’il lui a laissée. Mais ce n’est pas comme s’il pouvait vraiment la manquer. – Disons que je te connais. se contente-t-elle de lui répondre gentiment, alors qu’elle sait, qu’il est amusé. Peut-être même fier de ce qu’il a fait. Elle n’a pas oublié, Isa, les mots prononcés, quand ils étaient encore dans cette chambre.

Il ne cessera pas de se battre pour vous, pour toi,
il ne laissera pas tomber,
tu peux y compter.


Un timide sourire qu’elle lui offre en guise de réponse. Pas de parole, juste l’encre de ses yeux qui se noie dans les deux iris bleutés de son ex. C’est lui qui te fait sourire. De manière, comme, instinctive. Pendant un instant, il y a comme un flottement. Ils se perdent dans les prunelles l’un de l’autre. La noirceur qui se dilue dans l’océan… si seulement. Si seulement il pouvait, les sauver, rien qu’avec sa pureté. Elle se sent un peu chamboulée, Isa, mais la magie du moment finit par s’estomper quand il l’interroge au sujet de son téléphone. Et les voilà, quelques secondes plus tard, tous les deux en train de le chercher dans le salon. Elle observe un peu partout, surtout par terre, alors qu’ils échangent quelques mots, plus concentrés à chercher qu’à se parler. Les souvenirs, tortueusement, commencent à remonter. Alors, par instinct, elle lui demande s’il ne l’a pas mis dans son pantalon la veille au soir. Parce qu’il le tenait entre ses doigts, quand il l’a attirée, quand il l’a embrassée. Mais il lui répond que non, paraît même surpris par sa question. – Parce que tu le tenais, Nikolaï, c’est soit cela, soit tu l’as laissé tomber par terre. Mais il n’a pas pu disparaître. C’est ce qu’elle s’évertue à penser quand son regard finit par croiser le sien. Ce sourire embarrassé, cet air coupable sur le visage, capte son attention. – Souviens-toi. C’est toi qui l’avais, moi je n’ai rien pu voir mais tu peux te rappeler ce que tu en as fait. Elle était occupée à tout autre chose de son côté, elle doit bien l’avouer. Elle fronce à peine les sourcils alors qu’il insiste sur le fait que le téléphone est peut-être là où ils ne le soupçonneraient pas… Mais elle ne l’écoute déjà plus, Isa. Elle a une drôle d’impression, étrange sensation. – Tu sais où il se trouve… ? Non, il ne ferait pas une chose pareille. Il ne ferait pas semblant de chercher, s’il savait où il était. Pourtant, cette lueur dans ses opales en dit plus que n’importe quelle parole. C’est en écoutant son instinct, plus que sa raison, que la belle avance jusqu’à sa hauteur. – Nikolaï…?
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Message Sujet: Re: Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston)   Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston) - Page 4 Empty Sam 15 Fév - 20:21

Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me
Isabella Kingston


Ils retrouvaient cette complicité tous les deux, si naturellement, si simplement. Il suffit qu'ils passent un peu de temps tous les deux et cette complicité revient tout de suite entre eux. Ce sourire, ça faisait longtemps qu'il ne l'avait pas vu sourire et ça lui réchauffe le coeur de la voir ainsi. Ne voyait elle pas ? Ils étaient capable de ce retrouver tous les deux, capable de surmonter les épreuves, les difficultés, parce qu'ils s'aimaient encore et ils s'aimeraient probablement toujours. Il était sincère quand il disait qu'il ne baissera jamais les bras, même si elle lui fait subir le supplice de le garder loin d'elle, le forcer à rester loin d'elle, jamais il ne baissera les bras. C'est un acharné, oui il est un peu trop borné sans doute mais il refuse d'abandonner son âme soeur, il refuse de la laisser sombrer ... seule. Alors il s'accroche toujours un peu plus, saisi les instants qu'elle accepte de lui offrir et tente parfois la chance en s'imposant auprès d'elle. Ce matin, elle avait fait le choix de rester auprès de lui, d'elle même ! Un petit pas en avant qui lui fait plaisir. Un signe qu'elle accepte de revenir auprès de lui même si elle ce sent effrayé à chaque fois qu'il lui dit qu'il l'aime.

Ils ce connaissent si bien, ils n'ont plus besoin de ce parler pour ce comprendre. Un simple regard suffit pour qu'il sache à quoi elle pense ... enfin la plupart du temps. Il avait passé tant de temps à la contempler, à traduire chaque sourires, chaque regards, chaque baisers qu'elle pouvait lui offrir. Il était même capable de savoir si elle allait bien ou non dans ce genre de moment. Tout de suite, il la sentait surtout mal à l'aise, surtout à cause de cette trace qu'il lui avait laissé dans le cou. Exprimant sa passion à son égard, il avait laissé sa passion prendre le dessus sur le reste et cette trace était plus que visible. Elle devait même chercher un moyen de la cacher. Souriant légèrement amusé, il hoche doucement la tête avant d'ajouter l'air un peu plus sérieux. - Mieux que personne oui. Ajoute t'il en relevant son regard vers le sien, toujours avec ce petit sourire sur les lèvres. Ce cours moment de flottement alors qu'ils ce noient dans le regard de l'un et de l'autre. Jusqu'à ce qu'il revienne à la réalité en lui parlant de son téléphone portable. Il ne voulait pas revenir à la réalité mais avec sa disparition si soudaine de sa propre soirée, Isabella avait certainement dû inquiéter la plupart de ses invités, ainsi que ses proches. Ils avaient certainement remarqué sa absence.

Ce dirigeant au salon pour commencer les recherches, Nick savait parfaitement ou le trouver. Mais il avait également cette envie de prolonger ce moment. Comme pour ce donner un peu plus de temps pour lui faire comprendre que ce n'était pas terminer entre eux. Lui faire comprendre qu'ils étaient bien ensemble ... juste quelques minutes de plus. Le téléphone ? Bien sur qu'il l'avait ! Il venait juste de le faire glisser dans sa poche en faisant semblant de chercher. Il ne répond pas parce qu'il sait qu'elle risque de comprendre si jamais il la regarde et si elle comprend elle risque peut être de mal le prendre. - je comptais te le rendre mais ... disons que j'ai cédé à la tentation. Dit il un brin amusé alors qu'il lève les yeux vers elle, amusé mais un brin embarrassé. Elle sait ! Elle le comprend à la seconde même ou son regard ce pose sur lui. Quand il dit qu'un seul regard suffit pour qu'elle le comprenne. - Si je le savais, je te le rendrais ! Dit il avec cet air innocent alors qu'il la voit s'approcher, doucement, très doucement de lui. Glissant ses mains dans ses poche, il hausse légèrement les épaules. - Isabella ... Il la fixe, sans bouger alors qu'elle s'approche doucement, encore et encore. - Il ce peut que je sache ou il est oui ... mais si je te le disais, tu le récupérais et après ça tu devrais t'en aller et j'ai pas envie que tu t'en aille. Avoue t'il toujours en la contemplant. Il ce penche même un peu plus vers elle, comme pour combler ce vide qui les sépare. - Mais tu peux toujours me fouiller si tu veux le récupérer ! Tente t'il en souriant un peu plus franchement. - Il n'est peut être pas si bien caché que tu ne le pense.
(c) DΛNDELION
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Message Sujet: Re: Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston)   Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston) - Page 4 Empty Lun 17 Fév - 21:25


♛ ♛ ♛
{ stand by me }
crédit/ tumblr ♛  w/ @nikolaï Warren
C’est comme s’il y avait un aimant pour l’attirer. Un aimant pour l’empêcher de l’éviter. Elle a bien essayé, Isabella, mais s’est quand même retrouvée là. Dans cette maison, il y a encore quelques semaines la sienne, puis dans ses bras. Dans cette chambre, et maintenant ici, dans cette cuisine. Comme si, peu importe ses choix, tout la ramenait irrémédiablement vers Nikolaï. La complicité lentement retrouvée, pourtant avec tant de facilité. Elle a la sensation, l’espace de quelques brèves secondes, que rien n’a changé. Elle pourrait se perdre dans ces deux grands océans, l’embrasser toujours aussi passionnément. Se perdre à nouveau avec lui, dans cette bulle qu’ils ont formée pendant plusieurs heures. Ils sont toujours là, en réalité, à l’intérieur. Loin des soucis qui les ont poussés à se séparer, loin de tout ce qui l’a incitée à abandonner. Elle ne pense plus aux disputes à répétitions, à toutes ces incompréhensions. Elle ne pense plus à sa jalousie, ni même à son aversion pour celui qui était son ex-mari. Comme si elle avait oublié, tout ce qui les a brisés. Alors que c’est toujours là, bien ancré dans la réalité. C’est juste tapi dans l’ombre, en train d’attendre patiemment qu’elle baisse la garde pour mieux les attaquer. Pour mieux, à nouveau, les faire tomber.

Mais tu le sais, Isabella,

t’y survivrais pas,
pas une nouvelle fois.


C’est la peur de couler pour de bon qui la maintient à distance. Qui lui rappelle qu’elle ne doit surtout pas  s’habituer à sa présence. Elle devrait même partir, s’en aller au plus vite. Au lieu de se perdre dans ces deux océans infinis. Instant de flottement, alors qu’elle laisse son encre se diluer dans le bleu de ses yeux, elle peut deviner ce qu’il pense, ce qu’il ressent, comme s’il le chuchotait sans un mot. Elle ne se rend pas compte à quel point c’est réciproque. Combien il sait lire en elle, tout ce qu’elle refuse de dire à haute voix. Ni combien il la plonge en émoi. Isabella, finalement, préfère détourner le regard. Silencieuse, elle se laisse aller à ses songes. Se demande si elle le connaît réellement autant qu’il le prétend, alors qu’il continue paradoxalement de lui reprocher ses silences. Ses secrets, qu’elle préfère garder. Cette partie d’elle qu’elle n’a pas su lui montrer. Un faible soupir, quasi imperceptible, s’échappe de ses lèvres avant qu’il n’évoque l’absence de son téléphone.

Oublié ton téléphone,
oublié tes proches,
oublié tout,
dès l’instant où tu l’as vu.


Ils se mettent à chercher ce portable, obstinément. Presque avec acharnement. Elle scrute le sol au millimètre près, trifouille chaque recoin du canapé. Elle commence à se demander, comment ils manquent autant de le trouver. Elle l’interroge, lui aussi, incrédule de se dire qu’il ne se souvient même plus comment il a pu s’en débarrasser. Mais c’est la tentation à laquelle ils ont cédé qu’il se met à évoquer. Les iris assombries de la belle se font plus revolver, devant son manque d’entraide. Elle voudrait au moins qu’il garde son sérieux… Seulement, derrière ce petit sourire amusé, elle croit déceler autre chose de bien plus pertinent. Il est embarrassé, Nikolaï, comme s’il avait quelque chose à se reprocher. Comme s’il avait fait quelque chose qu’il n’osait pas lui avouer. Il affirme pourtant le contraire, de cet air innocent, qui n’a rien d’innocent. Mais il suffit qu’elle s’approche de lui pour qu’il admette la vérité. – Bon sang, Nikolaï ! s’exclame-t-elle, agacée, comme pour l’enguirlander. Elle a l’impression de se trouver en face d’un enfant… un enfant qui ne veut pas la laisser partir. Mais Isa, elle ne se laisse pas attendrir. – Dis-moi où il est. exige-t-elle avant que, surprise, elle ne le voit avancer un peu plus jusqu’à elle. Il se penche même vers elle, effaçant toute la distance pourtant plus que nécessaire. Ses prunelles posées sur lui, la latina garde le regard ancré dans le sien, malgré sa tenue plus qu’attractive. C’est devant ses mots qu’elle le contemple, de haut en bas, comme pour découvrir où il a pu cacher ce maudit téléphone. Elle le fixe, le regard noir, mais il ne se dérobe pas. Il continue de la fixer, Nikolaï. Comme pour lui dire qu’il ne bougera pas. – Tu es pire qu’un enfant ! Il sait pertinemment qu’elle ne le ferait pas naturellement. Encore moins avec n’importe qui. Mais il ne lui laisse pas d’autre choix. Et, sans plus attendre, tentant d’oublier le trouble qui l’envahit, la latina choisit de fouiller elle-même dans ses poches. La première, puis la deuxième suit avant qu’elle ne touche enfin l’appareil. – Je n’y crois pas ! Non, naïvement, elle n’aurait jamais pensé qu’il puisse réellement le cacher.

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Message Sujet: Re: Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston)   Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston) - Page 4 Empty Lun 17 Fév - 22:19

Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me
Isabella Kingston


Il ne tenait pas forcément à retrouver la réalité, parce qu'il sait ... fatalement, qu'elle va le quitter à la seconde même ou elle va retrouver cette réalité. Cette bulle va finir par éclater et elle va s'en aller tout en essayant d'oublier cette soirée qu'ils viennent de passer, sachant que c'était impossible. Mais il fallait qu'elle retrouve son téléphone pour ça et Nick n'était pas encore prêt à la voir s'en aller. C'était trop précipité, trop rapide ... il avait encore besoin d'être avec elle, juste quelques minutes de plus. Elle avait accepté de rester pour partager un café avec lui peut être qu'elle pouvait rester un peu plus ? Un vrais gamin ! C'était comme si il n'était pas capable de la laisser s'en aller, effrayé par l'idée de ne plus la revoir. Il sait parfaitement ou ce trouve son téléphone, puisqu'il le glisse discrètement dans sa poche en continuant malgré tous ses recherches et tenter de lui faire comprendre qu'il ne sait absolument pas ou il ce cache. Elle pouvait bien retourner tous le salon, elle ne pourrait pas le retrouver à moins qu'elle ne vienne le fouiller. Il continue son manège encore un peu, retournant tous le salon dans l'espoir d'y retrouver ce maudit téléphone. Son sourire, son air innocent, il ce trahi lui même alors qu'elle le contemple avec cet air suspicieux. Elle sait ! A la seconde même ou son regard croise le sien, il comprend qu'elle le soupçonne et c'était parfaitement fondé. Il ne sait pas vraiment lui mentir et il ne s'en cache pas du tout. Il tente de nier au début mais très vite il avoue. Il avait bien le téléphone sur lui et si elle voulait le récupérer elle devrait venir le chercher elle même. Oui c'était pas vraiment subtil ni très adulte comme réaction mais le pire c'est qu'elle le fait sans même broncher. Elle tente bien de jouer l'agacé, elle essaie même de l'engueuler mais tous ce qu'il trouve à faire c'est sourire. Son sourire le plus craquant, le plus charmé parce qu'il l'était ... sous le charme. Elle l'engueule et il sourit. - Je t'ai connus plus effrayante. Dit il l'air taquin alors qu'elle exige qu'il lui dise ou il le cache. Ecartant les bras, n'est ce pas évident ? Il ne porte rien d'autre que son pantalon ... il n'avait pas vraiment beaucoup de choix de cachette. Il hausse même légèrement les épaules en ajoutant que si elle voulait le trouver, elle devrait venir le chercher elle même. Il réduit par la même occasion cet espace entre eux en avançant de quelques pas, sans la quitter des yeux. Il sourie d'avantage quand elle le compare à un enfant, pire qu'un enfant. Il le sait mais l'essentiel c'est qu'il arrive à ses fins puisqu'elle exécute. Elle tente bien de ne pas quitter son regard, une façon de garder un certain contrôle de la situation. Il sait qu'il la trouble, il suffit qu'elle le touche pour qu'elle ce sente toute retournée et c'était encore pire en ce moment puisqu'ils vivaient séparés. Il ce laisse faire alors qu'il sent sa main glisser dans sa poche puis dans la seconde. Tout ça sans la quitter des yeux, son sourire s'efface peu à peu pour laisse place à une expression bien plus troublée. Elle retrouve enfin son téléphone et sa mine renfrogner le faite littéralement craquer. Tenter de l'embrasser, tenter de ce rapprocher d'elle un peu plus il ce contente simplement de la dévorer des yeux. - Je veux pas que tu partes. Reste avec moi ... Il profite de cette proximité avec elle pour la faire changer d'avis. Glissant sa main contre la joue de sa belle, puis ses doigts contre sa nuque, il tente de garder son regard dans le sien, comme pour garder cette emprise qu'il avait encore sur elle. - On oublie juste le monde réel ... on s'en fiche du reste. Ils étaient tellement heureux rien que tous les deux, dans leur monde.

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Message Sujet: Re: Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston)   Whenever you're in trouble won't you stand by me, oh stand by me (Warston) - Page 4 Empty Mar 18 Fév - 18:38


♛ ♛ ♛
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Ce serait peut-être bien aisé de se laisser aller. Se contenter d’oublier pour mettre un voile sur la réalité. Mais elle ne peut pas, Isabella, elle n’en est pas capable. Trop submergée des tourments infligés par chacune de ses décisions, elle n’a pas le contrôle sur ses émotions. À défaut, elle le conserve, sur leur relation. Elle ne peut pas faire semblant, elle ne peut pas oublier tout ce qu’elle ressent. Seulement c’est sans compter sur l’homme qu’elle continue d’aimer, et la patience avec laquelle il s’amuse à jouer. C’est en voyant le sourire innocent, mais un peu trop embarrassé qu’elle voit apparaître sur le coin de ses lèvres, que la jeune femme comprend qu’il en sait bien plus qu’elle. C’est lui, assurément, qui s’amuse depuis plusieurs minutes maintenant à cacher le téléphone qui la raccroche à la réalité. C’est lui qui fait tout pour l’empêcher de s’en aller. Et, quand elle exprime son agacement, nullement effrayé, il préfère de loin la taquiner. Le sourire charmeur aux lippes, ce même sourire qui la fait craquer, il n’est absolument pas déstabilisé. Les sourcils légèrement froncés, la latina le contemple de ce regard noir qui en ferait pâlir plus d’un. Guère impressionné, il s’avance jusqu’à elle, comme pour lui montrer qu’il n’a pas peur d’elle.  C’est dans les poches de son pantalon qu’elle finit par fouiller, un acte qu’elle aurait préféré éviter. C’est difficile de toucher Nikolaï alors qu’elle n’en a plus le droit. Difficile d’être si proche de lui après avoir partagé une telle nuit. C’est le contact froid de l’écran de son téléphone portable qui garde la belle ancrée dans le monde réel. – Je n’arrive pas à croire que tu l’avais depuis tout ce temps. elle lance, encore sous le choc, alors qu’elle se saisit de l’objet de ses convoitises sans plus attendre. C’est à cet instant que son regard ébène s’accroche à nouveau à celui de son ex. Le trouble qu’elle peut lire dans ses iris, elle doit avoir le même au fond de ses pupilles assombries. Les souvenirs s’emmêlent dans son esprit alors qu’elle tente de rester concentrée sur sa tâche. Oublier qu’il est à moitié nu, oublier aussi l’intensité de ce regard. Mais c’est plus compliqué encore de ne pas s’y noyer, alors qu’elle se retrouve si près. Elle ne sait pas ce qui est le plus laborieux pour elle, en fin de compte. Se perdre dans la contemplation de ce corps qui l’a toujours trop attirée, ou de ces prunelles qui ont trop bien su l’hypnotiser. Elle se retrouve envoûtée, Isabella, alors que c’est ce qu’elle voulait à tout prix empêcher. Et ses mots, ils l’empêchent par leur seule existence de se reculer. – Nikolaï… murmure-t-elle alors qu’elle sent la seconde d’après la main de l’homme qu’elle aime se poser contre sa joue. Ses doigts viennent glisser le long de son cou, et arrivent contre sa nuque. La latina déglutit difficilement alors qu’il lui demande de rester… oublier la réalité… rester à ses côtés. – Je… Je ne peux pas. Elle rompt le contact, avec la sensation de se marteler elle-même ce cœur trop fébrile. Ce cœur trop fragile face à lui. – Je dois y aller. elle conclue enfin, avant de reculer de plusieurs pas cette fois, pour mieux s’éloigner. Le palpitant qui se serre, elle saisit son sac à main, pour enfin s’en aller. Ils se sont déjà beaucoup trop torturés.

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