Sujet: Re: save me from myself - Torbjörn Ven 1 Nov - 20:59
Save me from myself.
Tu n'as eus besoin que d'un simple sms de la part de Amara pour savoir qu'un truc clochait. Ce n'est pas vraiment dans ses habitudes de t'envoyer un truc de ce genre. Quand elle souhaite te voir, elle se contente de t'en faire la requête. Elle ne te dit pas qu'elle a "besoin" de te voir. C'est là la différence qui te fait réagir au quart de tour. Tu n'as pas eus ton quota d'heures de sommeil mais t'es bien incapable de faire un tel coup à une personne qui compte autant pour toi que c'est le cas de Amara. Elle est l'une de tes plus grandes amies à New-York. Si ce n'est la seule véritable amie à l'heure actuelle. Alors forcément que tu vas faire un saut chez elle pour savoir ce qui cloche et tenter d'être là pour elle. S'il y a vraiment un truc que tu peux faire pour l'aider. Ce dont tu ne peux être certain non plus. Tu verras ça en temps et en heure. T'es déjà en train de quitter ton lit pour rejoindre la salle de bain où tu prends une douche fraîche qui se veut revigorante. Tu n'as pas même pris la peine de lui répondre tant ça te semble évident que tu vas débarquer. Tu songes qu'elle aussi, ne s'attend pas du tout à un refus de ta part.
Tu ne prends pas non plus le temps de prendre un petit-déjeuner. Tu prends le temps de gérer ta coupe de cheveux et d'enfiler une tenue aussi accordée que possible et c'est déjà pas mal. Après quoi tu prends la route, direction son appartement. C'est tout à fait normal chez/pour toi d'être là pour ceux pour qui tu comptes. Tu ne sais pas faire autrement à vrai dire. Et tu ne le fais pas non plus pour être certain que ces mêmes gens seront là pour toi le jour où t'en auras besoin. T'es pas un type intéressé. T'es juste d'une sincérité hors normes et sans limite aucune. Et, forcément, tu le vis parfaitement bien. D'autant plus que tu n'es pas idiot au point où l'on peut profiter de toi. Alors t'as vite fait de venir frapper à la porte de son appartement à Amara. Et d'attendre tranquillement devant, qu'elle vienne t'ouvrir. Aussitôt fait, la blonde te saute déjà au cou. Ou plutôt, elle vient se blottir comme un petit chat contre ton torse. Tu refermes tout de suite tes bras autour de son corps pour la serrer avec douceur contre toi et la fait doucement reculer pour pouvoir entrer dans son appartement. La porte se referme quand tu la pousses de ton pied et tu poses ta joue sur son crâne. Bien sûr que je suis venu. Que tu te contentes de lui répondre en passant une main dans ses cheveux.
Sujet: Re: save me from myself - Torbjörn Sam 9 Nov - 17:58
Save me from myself.
T'es le genre de personne à toujours être là pour tes amis. Ils n'ont qu'à t'interpeller, te passer un coup de fil ou t'envoyer un message, pour que tu déboules dans la minute. Tu penses être un bon ami et être de confiance surtout. Avec les personnes que tu considères vraiment comme de bons amis, bien sûr. Et Amara en fait clairement partie depuis un petit moment maintenant. Tu n'as donc pas eus à te faire prier pour débouler chez elle aussitôt que tu as été en mesure de le faire. Qu'elle vienne trouver refuge entre tes bras, ne te pose pas problème non plus. T'es bien assez tactile pour accepter les gestes de ce genre et pour les rendre sans te faire prier. T'es déjà à la serrer fort contre toi en espérant que ce sera suffisant pour lui apporter une certaine forme de réconfort. Alors qu'elle commence à mentionner la raison de ta présence. Le fait qu'elle ait fait, selon elle, une grosse connerie. Tu ne lui poses pas de question. Tu préfères la laisser venir à toi. Je veux bien un café. Que tu lui réponds lorsqu'elle se détache de toi. Tu en profites pour ôter ta veste que tu abandonnes sagement près des tiennes et la suis ensuite en direction de sa petite cuisine. Tu te contentes d'un sourire à la nouvelle proposition qui est faite et tu t'installes devant la table, bientôt en sa compagnie. Très vite, elle reprend la parole et enfin aller au bout de ses confessions.
Tu n'es pas si surpris que ça par ce qu'elle finit par t'avouer. Quand bien même tu n'étais pas sûr de la chose, tu te doutais de ses sentiments pour son beau-frère. Ou au moins d'une attirance très importante qui ne datait pas de la veille au soir. A la façon qu'elle a toujours eut de parler de lui, avec son regard pétillant et ses petits sourires. Tu penses être suffisamment proche d'elle depuis le temps, pour être en mesure de comprendre et deviner certaines choses. Même si tu as toujours respecté son choix de garder la chose sous silence. Je te prends pas pour une folle, non ... Je suppose que tu n'as pas choisis ça ? Que tu fais remarquer/demande, le plus sérieusement du monde. Tes doigts se referment autour de la tasse de café encore fumant alors que tu prends le temps de réfléchir vraiment à la question et à ce dans quoi elle vient de se jeter tête la première. Sans doute sans penser vraiment aux conséquences. Mais lui dire que tu l'aimais, aussi vite après avoir passé la nuit avec lui ... C'était peut-être un peu violent et soudain pour lui, non ? Que tu tentes en allant poser une main sur l'une des siennes dans le même temps, pour t'assurer qu'elle ne prenne pas la chose comme une attaque. Pour être honnête ... Tes sentiments pour lui m'ont toujours semblé assez "évidents".