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(02.06.2023) STQ FÊTE SES 5 ANS HAPPY BDAY !

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 ((puis la folie nous entraîne. )) r

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Message Sujet: ((puis la folie nous entraîne. )) r    ((puis la folie nous entraîne. )) r  Empty Dim 20 Oct - 20:12

Douceur de la vie, tu pensais affronter, pouvoir retrouver les éclats de rire qui son tien, qui se son perdu dans la violence des cris. Tu n’as pas pu. Des lippes qui s’étirent, la boule au ventre, incapable de prendre le plaisir que les autres fêtards prenaient. Epuisée, à bout de souffle dans cette vie, tu avais tant besoin de te sentir aimer, pourtant tu ne pensais pas être capable non plus d’en demander de l’amour, ramenant tout à toi. une sorte de dépression qui fait rage en toi, incapable de retrouver le goût de vivre à voir de tes opales ton monde s’écroule seconde après seconde comme une valse qui ne cesse de recommencer. T’as quitté la fête, pas facile de vivre une vie sous l’influence de cette peine qui te ronge. Tu n’as qu’une envie t’écrouler dans ton lit dans la coloc que tu partages avec Lali et Emile plutôt que chez ton père, lequel ? encore incapable de voir ton père dans les bras du père de Mylan. T’es mal et inapte à donner le sourire à quiconque. T’aurais pu prendre l’air en volant de toit en toit, mais vu l’allure que tu as actuellement ce n’est pas la peine. La prochaine fois tu ne feras pas l’effort de trouver un déguisement pour la fête, surtout que ce n’est pas encore halloween mais pour beaucoup il est toujours bon de faire plusieurs fêtes pour profiter à fond. Dans ton déguisement de mariée mexicaine, un maquillage qui te donne une peau blanche, qui jure avec cette peau halée que tu as à l’accoutumée. Le métro est presque vide, quelques hommes et femmes qui se sont aussi perdu en cette nuit triste, les étoiles sont invisibles, durant ton court trajet à marcher, tu n’avais pas eu la chance devoir la voute étincelante, comme elle sait l’être quand les étoiles ont décidé d’éclairer le manteau noir du monde. Machine lancée, installée sur une banquette, tu essayes de ne pas craquer, ne pas t’endormir, tu as environ une heure de trajet, la prochaine fois tu éviteras d’aller à une fête que tu pourrais quitter ainsi, t’aurais pu prendre le taxi, mais t’avais pas envie d’attendre et encore moins envie de devoir te décider directement d’où tu allais. Même si ta destinée qu’importe l’adresse sera de t’écrouler dans ton lui, pour ne plus jamais te relever, dormir et oublier le mal qui hante ton esprit. Les opales qui fixent la fenêtre et le paysage, paysage absent, vu que les sous terrains ne sont que beauté de brique et de tag, qui enjolive un peu la nuit qui était jusqu’à présent inquiétante par son manque d’étoile. Le monde présent est presque silencieux sauf ces petits groupes de deux à quatre personnes présentes qui chuchotent ou se font remarquer chacun leur façon d’exister. Tu sursautes à cette sonnette, puis la voix qui annonce que vous êtes coincée. « Nous vous prions de rester dans le wagon où vous êtes, nous sommes bloqués en plein sous terrain, désolé du désagrément. » tu souffles, toi qui espérais retrouver la douceur de ta couette pour oublier, te voilà à présent coincé avec les brames de certains utilisateur. Toi t’as même pas le courage de rugir, à quoi bon à part hurler sur les murs du métro qui ne résoudra pas ton soucis, mais te fera du bien ou te donnera encore plus envie de râler ton mécontentement. Tu ne pensais juste pas t’endormir, non. Quand tes opales sont agressés par la lumière, tu ne sais pas que cela fait une heure que tu as dormi, un peu ébahit, tu déposes ton regard sur une jeune femme s’étant installée à tes côtés durant cette sieste t’ayant laissé plus mal que bien, sans doute que dans l’attente, le fait d’être debout l’avait déjà bien gonflé. Tu entendais un groupe s’énerver, commençant à ouvrir les portes de votre wagon, assez surprise ? « Mais ils font quoi ? » Que tu laisses se faire entendre à haute voix, sans attendre de réponse, des mots qui t’avaient échappé, alors qu’en vrai ces personnes n’en pouvaient plus d’attendre, et avait décidé de rejoindre la surface sans attendre quoi que ce soit, vu que les nouvelles tardaient à arriver.
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Message Sujet: Re: ((puis la folie nous entraîne. )) r    ((puis la folie nous entraîne. )) r  Empty Dim 10 Nov - 15:53

Lyzéa a toujours détesté les transports en commun. Pourtant, elle se veut un minimum préoccupé par l’environnement alors elle prend sa voiture qui dort dans un parking le moins souvent possible. A New York, il y a suffisamment de type de transport pour ne pas rallonger les embouteillages quotidiens. Malgré ça, ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas dû prendre le métro. Le dicton boulot métro dodo ne s’applique pas étant donné que sa pâtisserie n’est qu’à quelques rues de là où elle vit. Un gain de temps, mais aussi une façon pour elle d’éviter le métro. Toute cette foule l’angoisse, tout comme la proximité avec les autres. Lyzéa n’est pas associable, c’est juste quand il y a beaucoup de monde qu’elle a du mal à ne pas suffoquer. Elle n’allait pas chez le psy pour le plaisir quand elle était jeune. Seulement ce soir, elle n’a pas le choix, étant allée bien trop loin de chez elle et ne voulant pas prendre un taxi alors qu’une ligne de métro l’emmène directement à sa rue. Par chance, il n’y a pas beaucoup de monde alors mis à part de possibles pickpocket, elle n’a pas à flipper de quoi que ce soit. « Bordel » Ne peut-elle pas s’empêcher de jurer alors qu’ils sont tous à l’arrêt pour on ne sait combien de temps. Les minutes défilent, et très vite Lyz’ se demande même si on ne peut pas compter en heure. C’est de plus en plus long alors debout jusque-là, elle finit par s’asseoir. « Mais… » elle observe les gens péter des plombs et vouloir partir. Ce n’est pas comme ça que le métro va repartir et que tout le monde pourra repartir chez lui ou toute autre destination. Une jeune femme qui semblait endormit jusqu’à maintenant posa une question et bien que ça lui ait pas forcément adressé, Lyz ne peut s’empecher de répondre : « Ils ont décidé d’aggraver les choses en sortant, ce n’est pas une bonne idée, c’est sûr ! » Lyzéa, très optimiste dans ce genre de situation, qui préfère voir le verre à moitié vide qu’à moitié plein. De toute façon, elle préfère nettement mieux rester ici quitte à attendre encore toute la nuit que de sortir et se retrouver elle ne sait où. « J’ai trop vu de film d’horreur qui commencent comme ça ! » Oui, avec sa nièce elle en a tellement vu et elle est tellement une flipette parfois que dans ce genre de situation, elle préfère rester en retrait. Ça ne fait pas d’elle une froussarde, juste une qui réfléchit car quand on voit les personnages dans les films d’épouvantes, on se demande bien ce qui leur passe par la tête pour aussi peu réfléchir. « Très jolie déguisement ! » Commente-t-elle simplement, pas pour faire la conversation, juste parce que c’est une très bonne idée de déguisement. En espérant que c’est juste un déguisement et pas une mariée en fuite et surtout, en mode Casper. Avec ce genre de réflexion, Lyzéa se rend à quel point elle a besoin de dormir. Et dire qu’elle est censée commencer tôt demain. Etant donné qu’elle bosse seule à la boutique demain, ou plutôt quelques heures plus tard, elle posera peut-être une pancarte pour fermeture exceptionnelle en rentrant car elle a vraiment besoin d’heure de sommeil. Prenant son téléphone, il ne veut rien entendre concernant le réseau, alors elle demande la jeune femme à côté d’elle, mais aussi une autre femme à qui elle n’a pas encore parlé. Une des seules qui n’a pas fui comme tous les autres. « Quelqu’un à un minimum de réseaux ? » Elle n’a personne à appeler ou prévenir mais c’est toujours plus rassurant d’avoir quelqu’un pouvant appeler les secours dans les alentours, surtout à cette heure-là de la nuit. « Bon ça commence à être long » dit-elle en baissant la tête en arrière, même sa nuque lui fait mal à cause de la fatigue. Attendre n’est pas quelque chose qui révulse la jeune patissière, c’est quand on ne sait pas combien de temps on doit le faire que ça en devient véritablement désagréable.
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