Sujet: Re: alice human sacrifice ± nicholas Mar 17 Sep - 6:49
アリス人間の犠牲
Nicholas - Nana
« Cela fait partie du travail du photographe de voir plus intensément que la plupart des gens. Il doit avoir et garder en lui quelque chose de la réceptivité de l'enfant qui regarde le monde pour la première fois ou du voyageur qui pénètre dans un pays étrange. » BILL BRANDT
"The stubborn older sister The clever younger brother Were close to see the nature Of the true Alice at hand
Both will never wake up From the dream that they had planned Forever they’ll wander hopelessly In Wonderland" ☾
T'as rapidement pris le plis de travailler avec Nicholas. Dès votre première rencontre tu t'es rendue compte de son professionnalisme et de sa façon de voir les arts. Il vit pour son métier, s'y dédie totalement tout comme tu te dédies entièrement à tes mangas. T'as délaissé les crayons ces derniers temps. Tu n'arrives qu'à gribouiller des dessins bien sombres ne collant pas à ton univers d'un naturel brûlant. T'as bien entendu dessiné des mangas aux histoires sombres mais ce n'est pas ta spécialité. Ces œuvres étant réservées aux plus sombres de tes cauchemars comme ceux des meurtres d'Alice comme on les appelle plus communément au Japon. Ces Cinq assassinats tous reliés les uns aux autres te rappelant que trop bien les carcasses ornant le bout de ton lit lorsque la terreur vient à te gagner. Ces meurtres ont été perpétrés lorsque tu étais enfants, cibles différentes mais bien marquées. Tous ayant comme point l'un des as d'un jeu de cartes pour mieux les différencier. Jeu malsain instauré par un psychopathe sévissant sur votre archipel déchaînant la terreur des médias à l'époque. Cinq Alice représentant tes cinq démons des plus virulents, des plus violents ne cherchant qu'à t'attirer plus profondément dans leurs filets au fil des années passants.
Ils ont eu l'espoir, lorsque Sally est venue te mettre au courant de sa maladie incurable. Ils y ont vu comme une opportunité de mieux se glisser en toi pour mieux te torturer. Pour mieux te ronger de l'intérieur en venant grignoter chaque parcelle de femme forte que tu t'es évertuée de construire année après années passées sur ce continent. T'as renié les tiens, t'as claqué la porte à une famille qui ne te méritait pas pour traverser les mers toi qui n'avait plus quitté les murs réconfortants de ton foyer en bien des années. Il peut te comprendre là dessus, ton photographe. Sur tes manies incompréhensibles et tes tocs à la con. Parce qu'il est pareil, déformé par des pulsions qu'il ne peut réprimer. Et combien même tu le taquines, tu ne peux que le respecter. Parce que tu souffres d'un mal certes différent mais bien présent. Toi aussi t'es cabossée, légèrement difforme. Toi aussi, t'as du mal à rentrer dans les moules que la société t'imposes pour mieux te mêler à la foule. Et si tu n'veux pas t'mêler à eux? Et si ce que t'as te contentes entièrement? Tu seras vraiment obligée que de vivre parmi eux?
Même Nicholas a réussi à te faire remarquer ta sale gueule. Après tout, c'est pas compliqué que de te rendre compte du phénomène. Tu t'lèves chaque matin avec des cernes de deux kilomètres, le cœur lourd, généralement encore hantée par les démons de ton passé. Ils n'ont pas leurs place ici, alors que tu poses sous bien des formes sous l’œil affûté de ton senpai voulant bien veiller sur toi. Car tu sais qu'il est l’honnêteté incarnée, que jamais il ne viendra te mentir pour ses propres intérêts. Il est bien trop sanguin pour ça, bien trop déterminé tout comme toi. Alors quand il te souffle que la vue est parfaite, tu ne peux que t'empêcher que de sourire. T'aimes bien trop ça, quand la vue lui plaît. Parce que t'as déjà bien trop joué avec ses nerfs pour venir l'attirer plus profondément dans tes filets fièrement tendus. Tu sais qu'il apprécie la vue de tes courbes découvertes, lorsque tu t'offres pleinement à son objectif tout comme tu t’évertues à le faire sur l'instant. Parce que ça lui tient à cœur que de capturer ces moments où tu te veux joueuse uniquement pour son objectif affûté. "Ah oui? Si parfait que ça?" Que tu continues de jouer ta tête toujours reposant sur ton épaule tandis que le cliquetis des clichés continue à retentir dans la pièce.
Il se rapproche de toi, le tatoué. Bien décidé à te mouvoir comme il le perçoit pour mieux capturer les clichés pouvant lui venir en tête sur l'instant. T'aimes le satisfaire du mieux que tu puisses, alors c'est de la façon la plus docile qu'il soit que tu te laisses rouler sur le dos pour qu'il puisse venir prendre un angle différent que celui de ta croupe offerte à son objectif pendant que tu t'étends de tout ton long sur tes abdos. Tu laisses totalement faire Nicho lorsqu'il s'agit de recouvrir ton corps de ce drap mutin que tu t'évertues à garder toujours le plus loin de toi possible pour toujours plus le tenter un maximum. Tu ne peux t'empêcher de jouer sous ses clichés te mitraillant de toute parts, t'en joues Nana. Tu ondules un peu plus sous l'effet de ses doigts, tu te mettrais presque à ronronner si la chance t'en étais donnée. Et pourtant tu restes studieuse, combien même tu te veux diablement sexy sous son objectif en jouant de tes courbes que tu sais appréciées derrière cet objectif. Il n'est qu'un homme là où tu n'est qu'une femme, bien incapable de retenir ses instincts primaires.
T'as bien l'impression qu'il te tentes, lorsque ses doigts viennent replacer tes cheveux décolorés de part et d'autres contre le matelas sur lequel tu es échouée. Tu te doutes que la vue lui plaît, lorsque tu peux déceler son sourire bien caché derrière son objectif. Alors tu laisses tes mains te parcourir, venir fouiller ton épiderme pour mieux le trouver franchement. Tu te doutes qu'il doit apprécier lorsque tu te lâches entièrement, lorsque la petite japonaise au sale caractère se veut des plus brûlants et captivantes. Tu sais pas vraiment quel impact tu peux avoir sur l'encré, pourtant tu ne sais que trop bien que vos séances laissent à porter sur un tout autre sujet. Des plus intimes, des plus incandescents. Alors tes mains n'ont de cesses que de parcourir ton épiderme pour finalement s'échouer contre ton mont de vénus partiellement recouvert de ce drap gênant à ton goût. "Tu m'en veux si je m'en débarrasses?" Que tu lui demandes, faussement innocente, ayant bien l'envie que de le voir capituler. Tu laisses le draps te quitter, lui offrant ton corps recouvert uniquement de son encre fidèle pour le recouvrir face à son objectif. S'il compte t'immortaliser, autant qu'il le fasse de cette façon où tu poses fièrement pour son objectif tes tatouages comme seuls sous-vêtements.