SAVE THE QUEENS
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 -- underdog (sully)

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Message Sujet: -- underdog (sully)   -- underdog (sully) Empty Sam 17 Aoû - 18:49

save the queens ---- / SULLIVAN HECK

32 ans ---- / ace of clubs ---- / oliver jackson-cohen

identité complète - (sullivan) du choix indécis de dernière minute de parents désemparés de voir arrivé leur trésor avec un mois et demi d'avance. ils s'étaient déjà battus assez longtemps pour trouver la peinture idéale de la chambre - avez-vous seulement idée du nombre de nuances de bleus qu'il existe dans les magasin de bricolage ? bleu azur, bleu pastel, bleu outremer, bleu nuit, impossible de trancher. alors le prénom, ils s'étaient dit qu'ils pouvaient encore s'offrir le luxe de réfléchir. et voilà. punition divine, périnée en souffrance, voilà heck junior qui s'avance sur le devant de la scène et dans la précipitation ils tombent d'accord sur sullivan, prénom irlandais qui traînait dans le fond du tiroir. qui signifie oeil sombre. pas approprié pour un nourrisson aux aigue-marines limpides mais ô combien à propos sur la seconde moitié de sa vie. ("sully") la plupart du temps depuis qu'il n'est plus personne. depuis qu'il n'est plus avocat. depuis qu'il est une ombre dans le paysage. c'est plus court à cracher, sans gloire. ça salit presque l'héritage familial. (heck) court à en crever, sans intérêt aucun avant qu'il n'en fasse quelque chose. maître heck. ça avait de la gueule. mais ça c'était avant. maintenant on le voit plus souvent sur une petite étiquette à sa poitrine lors de réunions de narcotiques anonymes qu'autre chose. chienne de vie.  lieu de naissance et origines - s'agirait pas de lui demander en personne parce que dans tous ces mauvais choix enfilés comme des perles sur un fil, la drogue est clairement pas l'un des meilleurs mais de loin un des plus efficaces pour lui faire perdre les quelques souvenirs d'une angleterre verdoyante d'humidité, l'embrun qui agresse la gorge et étrangle les rires. (liverpool) comme berceau joyeux quoiqu'un peu gueulard si on habite trop près du stade. (britannique) par ses deux parents, enracinés là depuis plusieurs générations. il aura fallu un bébé pour les décider à partir  à l'assaut d'un monde plus grand que leur bocal quotidien, nourrissant des rêves utopiques tels que -il faut lui offrir les meilleures chances dans la vie-. quelle réussite.  études ou métier - destructeur professionnel, presque inégalable quand il s'agit de bousiller quelque chose de beau mais aux dernières nouvelles ça n’apparaît pas comme une profession dans les sondages officiels. anciennement avocat.  c'était beau. clinquant. avec une belle plaque rutilante estampillée à son nom. mais maintenant il se définit comme (conseiller judiciaire). la vérité c'est qu'il ne sait plus bien comment remplir la vacuité de sa vie, vivant surtout d’extorsion parentale que d'un véritable emploi. orientation sexuelle - le premier connard qui osera douter du fait qu'il soit (hétérosexuel) goûtera de sa colère parce que plus le temps passe plus que ça le dérange qu'on vienne gratter ce vernis. jamais eu la pupille qui trébuche sur un corps au masculin mais des murs sans gloire connaissent une toute autre histoire, qu'il s'acharne à nier quelque part dans le dédale de ses souvenirs hésitants. statut civil - marié. marié à cette foutue substance corrosive qui consume son corps. qui a flingué sa vie. qui grignote sa patience. flambe tout sur son passage. elle laisse plus aucune place pour qui que ce soit. il aura pas dit non avant à une poupée à son bras mais maintenant qu'il ressemble plus à un marin qui a sauvé sa peau - et juste sa peau - d'un naufrage, il ne sait plus ce que c o u p l e signifie. rendu (célibataire) par défaut plus que par choix mais ça n'a même pas le temps de l'atteindre puisque la seule pensée qui se fraye facilement un chemin dans les dédales de son esprit c'est quand sera le prochain fix.  pi, scénario ou prélien - scénario de @wolfgang nielsen.

save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE

once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star
traits de caractère / (drogué) pas que ça soit un tempérament à proprement parlé mais un état d'être, de vivre, qui déteint sur tout ce qu'il touche depuis un certain temps. ça empoisonne ce qu'il pouvait être avant. ça bouscule ses priorités. ça fait trembler l'assurance, transpirer de manque, rend prêt à n'importe quoi pour obtenir le prochain fix. vendre son âme pour affleurer un peu de délivrance, enfoncer une aiguille dans sa veine pour ne plus rien ressentir. dissoudre toute douleur, faire flancher le monde. (incontrôlable) c'est parti à vaut-l'eau sans qu'il maîtrise rien. la descente abrupte tout droit aux enfers, folle ironie quand on sait avec quelle impulsivité il pouvait conduire les voitures de luxe qu'il s'offrait. rendu imprévisible par ce besoin qui lui lèche les reins. prêt à tout anéantir pour une dose. impossible depuis toujours de lui imposer la moindre limite, électron libre par nature, poussé dans ses pires retranchements depuis que son corps réclame son poison. (insatiable) gouffre sans fond qui n'est jamais rassasié, maître incontesté de la démesure il lui en vaut toujours plus, rare vestige de sa vie d'avant. c'était alors presque une qualité : créer un empire parce qu'il ne se contentait jamais de ce qu'il pouvait obtenir. briguer plus haut. plus fort. pour ne pas savoir s'arrêter. à croire que le loup de wallstreer était son mood board. toujours plus de coke. toujours plus de filles. toujours plus de culs à claquer. aucune mesure. (névrosé) il boucle, corps et esprit malade. incapable de sortir de la crasse dans laquelle il s'est enfoncé tout seul. conducteur de son fiasco. et ça le bouffe. ça le rend mal-aimable certains jours. abrupte. il sortira aucun grand discours sur sa vie d'avant, à quel point il aimerait s'en sortir ou ce genre de conneries, mais des chimères le harcèlent la nuit, dansent derrière ses paupières closes, lui donnent des sueurs froides. il les maudit. (protecteur) pas de ceux qui tabassent gratuitement, qui torturent les belles âmes juste pour le plaisir. quand on touche aux tripes on fait vibrer une corde plus sensibles, on réveille un instinct vieux comme le monde mais pas moins féroce pour autant : le besoin de protéger ce qui est important. ce qui le mérite. ce qui est en péril. le seul problème ? son foutu jugement aléatoire, capable de décider que vous avez besoin de sa protection même quand vous n'en voulez pas, juste parce que lui a décidé que si. (a[i]mant) la couche jamais tiède auparavant, et pas uniquement parce qu'il aimait posséder, mais parce qu'il aimait aimer. ou faire l'amour. ou peu importe. résolument amant dans l'essence de son âme, drogué au sexe plus qu'au romantisme, à chercher l'apaisement par la chair, dans le frisson extatique d'un orgasme partagé plutôt que de laisser quelqu'un seul. 
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Message Sujet: Re: -- underdog (sully)   -- underdog (sully) Empty Sam 17 Aoû - 18:49

save the queens ---- / TELL ME MORE

once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
la pupille acérée lavée de toute l’incertitude des derniers jours, déjà plantée sur la veine qu’il voudrait piquer. il l’admire, ce serpent bleuté qui peine à se manifester malgré sa peau diaphane de type qui fuit le soleil comme un rat. ça lui rappelle à quel point c’était facile aux débuts. elle était là, presque visible dans la nuit, palpitante d’une vie qu’il allait niquer dans les grandes largeurs. et il aimait ce bleu mystérieux, ce panneau de signalisation corporel qui clignotait pour indiquer pique ici. les pires psychologues iraient sans doute dire que ça devait lui rappeler le bleu choisi par ses parents à corps et à cris pour sa chambre d’enfant dans leur confortable demeure bourgeoise à liverpool. la vérité c’est qu’il aime juste ce réseau fascinant qui répand la drogue dans son organisme à la vitesse de la lumière. qu’est-ce qu’il donnerait pas pour enfoncer une aiguille dans son bras. son index torture cette zone, passe, frotte, gratte du bout de l’ongle. un pli déjà mis à mal par des injections répétées, la peau qui a perdu de sa souplesse, de sa finesse, la veine nettement moins belle qu’avant. et ce petit manège qui continue, assis au bord de ce lit qu’il déteste, tout comme il déteste la chambre, le bâtiment et ses salles de réunion, le personnel encadrant et tous ces discours à vomir sur le processus de guérison. parce qu’il est tombé si bas, sully, qu’il est en cure depuis quarante jours. quarante putain de jours dont il ne voit pas ni le début ni la fin. plus rythmé par les soulèvements impétueux de l’estomac, la tête dans la cuvette à haïr la terre entière plutôt que par l’alternance de nuit et de jour.

ça a pas toujours été comme ça. il regrette rien. aucun choix merdique. pourtant avant c’était un autre rythme.
un désastre.
la chute vertigineuse depuis les plus belles hauteurs.
suicide égoïste.

avant il flambait. caracolait. plutôt du genre à susurrer avale c’est de l’amour à des potiches dont on pourrait presque remettre en cause la majorité.
mais lui, ça l’atteignait pas. pire. ça le grisait, maître heck, de se retrouver dans des soirées où il pouvait se rêver roi du monde pour quelques heures. le cul vissé dans des canapés very important person only dans des clubs où le champagne était l’équivalent de la limonade pour la plèbe. avachi comme un pacha, à se laisser courtiser paresseusement, le regard qui glisse sur des courbes nimbées de vêtements qui savent mettre en valeur ce qui a vraiment de l’intérêt – et c’était sans doute pas leur quotient intellectuel qui l’intéressait le plus. il aimait les faire miauler chaudement, ponctuer le tout d’un rail ou deux de cocaïne. tout ça en pseudo compagnie professionnelle. ils avaient bon dos les rendez-vous clients avec la plus belle manne de la ville. les affaires s’enchaînaient avec une facilité déconcertante, son nom dans de nombreuses bouches, bien assez pour lui assurer un train de vie ahurissant et mériter les félicitations de toute la famille. on le flattait comme une bête de concours. le manteau tissé de la plus belle laine, des chemises taillées avec goût, une nouvelle voiture à faire rugir tous les six mois. il incarnait la société de consommation, vomissant sur les avertissements des plus censés. tu vas te casser la gueule heck, ralentis, ça réussit à personne de partir en vrille . ça provoquait toujours ce petit rire suffisant, frisant le mépris, parce qu’il pensait que ça ne pouvait pas l’atteindre. pas lui. pas maintenant qu’il en était rendu à ce stade de sa vie. quand on passe la barre fatidique des trente ans c’est plus le moment de tout envoyer dans le mur. c’est la phase où on stabilise, on trouve sa vitesse de croisière.
tout ça pour ?

une main s’invite sur sa cuisse. presque trop assurée et délicate à la fois, indolente dans sa façon de remonter. ça le fait décrocher d’un point pour en fixer un autre et constater où il en est à présent. t-shirt basique qu’il ne manquera pas de tremper de sueur au creux de la vague, quand le corps se tordra de douleur. survêtement qu’il exècre. il a toujours haï ces hommes mous, nonchalants jusque dans leur choix des vêtements, à suinter la paresse et la mollesse. et maintenant il était une de ces épaves. quarante jours. les doigts mutins remontent dangereusement vers cette zone jamais froide, attirer l’iris glacée sur le propriétaire de cette effrontée. trop jeune. trop mâle. trop proche. casse-toi. il voudrait aboyer mais c’est plus un grondement qu’un hurlement effrayant. s’il se rêve bête sauvage il passe plus pour un homme au bord du précipice qu’autre chose. une oreille habille pourrait même aller cueillir un vague relent de supplication dans le souffle de la dernière syllabe. pourtant il y croit à sa colère. il veut pas de ce gamin. pas lui. lui c’est les femmes son truc. et puis il a pas besoin de se faire un pote camé. pourtant il le chasse pas, il ne force pas sur ses jambes pour fuir. si on l’interrogeait, il aurait sans doute la mauvaise foi d’avancer qu’il ne se sentait pas de se lever. la force, ça va ça vient quand vous êtes en manque vous savez. la vérité c’est qu’il préfère encore laisser le libre arbitre à ce petit con.

dans le scénario qu’il joue dans sa tête en parallèle, il repousse d’une main brutale l’allemand. peut-être même que dans sa grande bonté il lui rappelle le principe de base de cette décharge humaine qu’est le centre de désintoxication : a b s t i n e n c e. sur tous les plans. dans toutes les failles. ne toucher à rien ni personne. faire le vide, se purger le corps et l’âme. mais des films idéaux il en a plein la tête. dans ses fantasmes absurdes il ne vit pas d’agent qu’il soutire à sa mère sans qu’aucun membre de la famille ne sache rien. ça reste son fils. ça lui arrache le cœur, de le savoir au fond du trou. mais dans la storyline mentale il sort de là propre comme un sou neuf, redevient peut-être même avocat. ça l’occupe, pendant ces foutues réunions de branlette intellectuelle. quand il s’agit de faire amende honorable devant une vingtaine de cadavres vivants. ça le rend fou d’être ici et pour il y a pas meilleure place pour sa carcasse dans ce bas monde.
mais la main, elle, elle n’a cure de ces projets fantasmés. elle continue sa course, s’immisce sans pudeur entre ses cuisses, réveille ce feu qu’il ne contrôle pas et lui donne envie d’achever. putain tu fais chier. sifflé entre des mâchoires serrées. désir versatile. humeur changeante. ses yeux qui s’étaient bornés à l’éviter jusque là remontent enfin en direction du visage juvénile qui lui est offert. la plupart du temps il préfère ne jamais trop s’y attarder, parce que ça le dérange. ça réveille une colère sourde, qui plante profondément ses griffes dans la matière molle et rose de son cerveau et le paralyse. mais le manque adoucit. le manque travaille au corps. le manque rend vulnérable, exacerbe la seconde addiction, guère plus contrôlable que la seconde et que cette main habile échauffe avec une facilité déconcertante. déshabille-toi j’ai pas que ça à faire. ça sonne presque comme une bonne blague dans un endroit pareil, trace déconcertante d’un passé révolu où le monde entier lui donnait le sentiment de pouvoir tourner autour de lui. il l’attire brutalement au plus proche, refuse de lui céder sa bouche, pressé de posséder son corps. on a dit drogué et paumé, pas romantique et délicat.



save the queens ---- / BEHIND THE MASK

robert ---- / 26 ans ---- / rpgiste

ville - est-ce que je demande si le mont st michel appartient à la bretagne ou à la normandie moi ? études ou métier - camionneur. avis général sur le forum - badass. le détail qui t'a fait craquer - vos jolis culs. fréquence de connexion - 6/7. crédits des icons - tumblr - maison - stonedvndconfus3d
. le mot de la fin - pain au chocolat ?

Code:
[b]oliver jackson-cohen[/b] / [i]sully heck[/i]
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Message Sujet: Re: -- underdog (sully)   -- underdog (sully) Empty Sam 17 Aoû - 18:58

FIRST -- underdog (sully) 1644361837

tu as dit plus rapide que la lumière my dear -- underdog (sully) 3476085353
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Message Sujet: Re: -- underdog (sully)   -- underdog (sully) Empty Sam 17 Aoû - 18:59

bienvenue avec ce super avatar et scénario -- underdog (sully) 2746119247
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Message Sujet: Re: -- underdog (sully)   -- underdog (sully) Empty Sam 17 Aoû - 19:01

Wolfgang Nielsen a écrit:
FIRST -- underdog (sully) 1644361837

tu as dit plus rapide que la lumière my dear -- underdog (sully) 3476085353

je ?
mais ?
toi tu sais pas dans quoi t'es tombé.
ou l'inverse, j'hésite.
-- underdog (sully) 2371390455



merci les chatons
et oui, clairement un scéna absolument p a r f a i t.
couln't resist.
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Message Sujet: Re: -- underdog (sully)   -- underdog (sully) Empty Sam 17 Aoû - 19:04

bienvenue dans le coin, j'approuve tellement le choix de scénario + d'avatar, tu as bien fait de ne pas résister -- underdog (sully) 697000959
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Message Sujet: Re: -- underdog (sully)   -- underdog (sully) Empty Sam 17 Aoû - 20:16

Ce scénario -- underdog (sully) 1252774950 -- underdog (sully) 3794924939
Bienvenue et bon courage pour ta fiche -- underdog (sully) 2465598603
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Message Sujet: Re: -- underdog (sully)   -- underdog (sully) Empty Sam 17 Aoû - 20:45

Youre welcome
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Isis Castellano;

-- girl got a gun --
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Isis Castellano



úrsu.
bambi eyes.
2725
1190
30
désespérément seule depuis qu'elle s'est choisie, depuis qu'elle l'a trahi.
brillante avocate à la destinée avortée quand elle fût recrutée par le gang des hellhounds. réduite à gérer le dollhouse, leur qg/club renfermant les plus sombres secrets.
en pleine effervescence, à deux pas du dollhouse.
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☆ ☆ ☆
freddie - leandro - anyone ?

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Message Sujet: Re: -- underdog (sully)   -- underdog (sully) Empty Sam 17 Aoû - 20:57

ça pue tellement la perfection oh la la, j'suis au sol -- underdog (sully) 2746119247 du choix de scénario à tes mots, en passant par ta tête, j'suis en admiration -- underdog (sully) 2470315465 j'vais stalker tout ça de près j'le sens -- underdog (sully) 2480631781 sur ce, bienvenue à la maison mon chat -- underdog (sully) 3794924939 -- underdog (sully) 3794924939 -- underdog (sully) 3794924939

_________________
des coups, des caresses et des revolvers.
j'm'accroche pour ne pas mordre la poussière.
les anges applaudissent pour que j'aille en enfer.
j'essaie de tenir mon coeur qui a souffert.
ma vie n'est qu'un putain de rodéo.
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Message Sujet: Re: -- underdog (sully)   -- underdog (sully) Empty Sam 17 Aoû - 22:11

bienvenue à toi -- underdog (sully) 3227196488
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