sun in the dark

les gens ont se cliché classique envers les noirs que nous avons des voitures modifié, des tatouages, de la musique rap qui en fait vibrer les routes et que l’on dégage une odeur de marijuana que l’on n’est immédiatement pointé du doigt et que nous sommes traité comme des gangsters, etc. ce n’est pas tous les noirs qui font partie de cette vie. la plupart le sont pour survivre dans les rues des villes les plus difficiles des états-unis. nous avons tous une histoire différente et que ça soit difficile ou pas, la discrimination va toujours rester dans notre vocabulaire. c’est enregistré dans notre mémoire, car c’est ce que les gens ont vu et entendu pendant des années. vous pouvez me dire que j’ai eu la vie facile parce que je suis un joueur de basketball pour les nets de brooklyn. je suis payé 5m$ par années avec un contrat pour le restant de mes jours avec la compagnie nike, mais ceci est tout simplement ce que les gens désire croire, car personne sais comment s’était lorsque j’étais jeune.

j’ai grandi le queens tout près de brooklyn dans un appartement situé dans un projet de développement. on ne sortait jamais le seul le soir lorsqu’il le fallait, car on ignorait toujours ce qui se passait. simplement les sirènes des voitures de police nous donnait la chair de poule, mais s’était notre seul option, car s’était tout simplement ce que mes parents pouvaient nous fournir à moi, mes deux frères (tyrese & jessie) et ma sœur (nikki). je n’avais que cinq ans lorsque j’ai perdu mon père. deux policiers ont sonné à ma porte pour nous apporter cette nouvelle et je me souviens de voir ma mère perdre conscience et ma sœur crier de terreur après avoir entendu cette nouvelle. j’étais assez intelligent à l’âge de cinq ans pour savoir ce qui s’était passé. il n’y avait plus personne chez moi qui pouvais prendre soins de nous, car ma mère avait entré dans une grande dépression. elle nous avait tout simplement abandonné, elle avait tout laissé. s’était dur de vivre sans ma mère, car j’étais très proche avec elle. ce n’était pas la même chose avec mes grands-parents qui avait décidé de prendre soin de nous. le queens était du passé pour moi pendant plusieurs années. j’ai grandi à brooklyn qui était le ghetto de new york avant que ce titre soit réattribué au bronx. mes grands-parents n’avait pas plus d’argent que mes parents, mais il y en avait assez à tous les mois pour avoir un toit sur nos têtes et de la nourriture sur la table. j’ai souvent mangé des céréales avec de l’eau lorsque nous étions en pénurie de lait. personne ne connaissait le vrai goût du luxe, car même lorsque j’étais adolescent, je devais moi-même m’en procurer pour tout le monde. je ne me suis jamais plaint, car s’était inutile comme comportement. la réalité ne nous faisais plus mal comme avant, mais s’était facile pour nous de se défendre dangereusement. j’ai toujours été différent de mes grands frères qui sont maintenant incarcéré pour plusieurs années avoir abattu un simple commercent dans un dépanneur. je n’ai jamais compris pourquoi ce choix était aussi simple à faire que de travailler. je voyais mes frères comme des modèles. ils étaient comme des superhéros pour moi, car oui, ils n’avaient pas peur de rien, mais ceci a pris une tournure complètement différente. je ne les reconnaissais pas lorsque j’ai eu la chance d’aller les visités lorsque j’avais quatorze ans. j’ai eu une présence neutre envers eux, car tout ce que je désirais s’était de partir et de ne plus les revoir. j’ai renié mes frères depuis ce temps. je n’ai jamais cru en ce genre de comportement parce que je savais déjà les conséquences et j’ai eu conscience de cette réalité avec mon père et mes frères. il n’y avait que moi et ma sœur et même nikki avait renié nos frères. nous avons toujours été là l’un pour l’autre et je n’ai jamais abandonné ma petite sœur qui avait cette peur de me perdre.

je dois dire que le basketball m’a sauvé la vie et a aussi changé la vie de mes grands-parents et de ma sœur. j’ai eu la chance de sortir nikki du club de danseuse qu’elle se donnait tous les soirs pour amener de l’argent dans notre famille lorsque j’étais au collège. si ce n’était pas de mes bourses scolaires, je n’aurai jamais eu la chance de jouer au basketball et d’avoir un diplôme business. j’ai contredit tous ceux et celle qui nous disait que des personnes comme nous serais incapable d’être scolarisé et je suis maintenant mvp de mon équipe, l’image de la nba, l’image dans inked magazine et men’s health. j’ai eu la chance de faire gq et je suis dans le processus d’avoir ma propre série de télé réalité pour partager mon quotidien. et tout ça parce que j’ai cru en moi et je me suis tenu loin de la violence. je vis les plus beau jours de ma vie et je vais toujours me souvenir ce que ma grand-mère me disait toujours ; nos rêves sont les visions de notre future.