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(02.06.2023) STQ FÊTE SES 5 ANS HAPPY BDAY !
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 (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}

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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 2 Empty Mar 6 Aoû - 17:11




Crash.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien.
Mais l'important n’est pas la chute, c’est l’atterrissage.



Il rit encore le tatoué. Il rit bêtement, un peu. Comme elle dans le fond. Qui enchaîne les rires hystériques. Les mots de la rouquine sont violents. Mais ils ont au moins le mérite d'être clairs. Ainsi que la menace qu'ils apportent. Promesse d'un défoulement de haine qu'il ne comprend que trop bien. Il joue au con pour ne pas changer. Trop sûr de lui. Trop persuadé qu'elle n'en fera rien. Qu'il ne risque pas grand chose. C'est idiot de sa part, bien entendu. Elle va lui tomber dessus en un rien de temps et lui refaire le portrait comme elle le promet merveilleusement bien. Il ne sait absolument rien d'elle. A part le fait qu'elle sache véritablement se battre. Pas juste "se défendre". Il s'agit de se battre. De cracher sa haine à grands renforts de coups de poings et de pieds. De maîtriser l'autre avec Dieu sait quelle prise de Dieu sait quelle discipline. Joe ne met de mot sur rien de tout ce qu'elle lui offre / inflige. Il se contente d'encaisser et de rendre les coups. Et il ne s'en sort pas trop mal. Malgré la surprise provoquée par son adversaire principale du soir. Parce qu'elle est bien plus "forte" que tous ceux sur lesquels il a eut l'occasion de cogner au cours de la soirée. Et des comme elle, il en a connu peu pendant toutes ces années. Ce qui n'est que plus excitant encore. A croire qu'il n'attendait que ça. De se faire démonter la tronche par une gonzesse. Y'a du vrai là dedans. Il aime la nouveauté il faut dire. Un peu trop peut-être. Lui qui se lasse toujours trop vite de tout.

Les deux prédateurs n'ont de cesse de faire claquer leurs crocs dans le silence relativement complet de la nuit. Les corps roulent sur le bitume. Les membres se déchaînent pour heurter frénétiquement. Cogner aussi durement que possible. Par tous les moyens ils essaient de reprendre le dessus sur l'autre. Il a plus de force, elle a plus de technique. Ils ont chacun leur moment à eux. Les minutes à briller. Les minutes à dominer. La moindre erreur peut être fatale, pour l'un comme pour l'autre. Pourtant, aucun ne semble prêt à rendre les armes. Impossible de laisser l'autre l'emporter. Hors de question. Ils préfèrent encore finir à moitié morts, à moitié brisés, plutôt que d'abandonner. Question de fierté sans doute. Hors de question d'être le plus faible des deux. Ou carrément le plus lâche en fuyant la scène aussi vite que possible. Joe a déjà été passé à tabac par des types plus costauds que lui. Plus baraqués qu'elle. Il ne craint pas de se faire étaler pour de bon. Si ça doit arriver, ça arrivera. Mais pour l'heure il fait encore face. Encaisse un paquet de coups qui marqueront certainement son corps pour un bon moment. Quelques bleus ici et là, dans le meilleur des cas. Quelques côtes fracturés et autres os abîmés, dans le pire des cas. Sans parler de l'idée du risque d'hémorragie interne. Mais il a toujours été chanceux de ce côté là et ne peut donc sérieusement envisager l'idée qu'il lui arrive pareille chose.

Il doit bien admettre, le tatoué qu'il peine de plus en plus à se relever. A redresser son corps esquinté. En cause, les coups qu'il n'a de cesse de se prendre, bien sûr. Mais également l'épuisement qui commence à pointer le bout de son nez. Il est véritablement crevé d'avoir enchaîné. Avant elle, quelques types dans le bar. Mais il se relève. Coûte que coûte. Quitte à devoir essuyer une dernière série de coups qui pourraient l'achever pour de bon. Trop de fierté pour rester à terre tant qu'il est conscient. Surtout face à une gonzesse, c'est une évidence. Regard noir rivé sur le visage féminin, il essuie sa bouche d'un revers de bras. La haine dans les yeux. L'orage dans les prunelles assombrit. Avec l'épuisement qui grandit, il perd ses repères et oublie de se montrer tout à fait prudent. Il ne tardera pas à faire une erreur qui pourrait lui coûter cher. Il fonce. Trop vite. Trop fort. Tête baissée, littéralement. Nouveau grognement animal alors que son poing fend l'air pour la énième fois pour aller heurter férocement le corps plus fin que le sien. Il oublie quand ça l'arrange, que c'est une femme qu'il a en face de lui. Ou ça vient complètement de lui passer par dessus la tête. Elle ne se comporte pas comme telle. Ne se bat pas comme telle, plutôt. Un gars moins entraîné et moins habitué que lui, serait certainement déjà à terre à sa place. Ta gueule putain. Qu'il grogne, de nouveau rageur, de nouveau bourré de haine. Incapable de se contenir. De se contrôler. Ce qui est toujours une erreur quand il s'agit de faire face à quelqu'un d'au moins aussi entraîné que lui.

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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 2 Empty Mar 6 Aoû - 21:51



so far, so good
Joe - Tri

«Ce matin-là, le jour s'est levé. Je veux dire : il s'est vraiment levé car auparavant il été assis. Et je vous assure que ça fait une drôle d'impression, un jour qui tient debout.» Beigbeder
Tu résistes rend les coups qu'il t'assène sans se retenir. Enfin, vous pouvez déversée votre rage l'un contre l'autre. Vous ne vous retenez pas, comme peut-être ayant trouvé enfin quelqu'un pour vous tenir tête, vous amuser un peu plus longtemps que le reste de ces incapables vites envoyés au tapis. Vos rires s'entremêlent pour venir faire peur à la nuit, aux passants qui changent de trottoirs. Tu l'attires dans tes filets, ta langue claquant une nouvelle fois pour le défier. Toujours plus faire enrager l'animal, toujours plus attiser la haine. Tu sens le manque commencer à faire sa place dans ton organisme, le besoin d'une nouvelle trace bel et bien présent. Va falloir que t'abrèges et que tu viennes mettre le point final à se ballet endiablé que vous menez depuis quelques temps déjà. Le barbu aussi commence à peiné, déjà bien amoché avant que tu ne lui rentres dedans pour venir finir de purger ta rage. Il se relève avec un peu plus de mal, fonce de nouveau vers toi en te disant de fermer ta gueule.

L'erreur venant finalement de sa part, lui cédant finalement à ses instincts primaires plutôt que de réfléchir à l'issue du combat. Espérant sûrement te faire fermer ta bouche mutine une bonne fois pour toute. Tu le laisses te percuter, et vient abattre ton coude de plein fouet dans son dos lorsqu'il tente de t'amener une nouvelle fois au sol. C'est là que son expérience du combat de rue se démontre, cette façon brouillon de faire pleuvoir ses poings au sol. Le sol est le dernier endroit où finir, en combat singulier. Si tu peux te battre sur tes deux jambes, tu réfléchis pas et c'est comme ça que tu procèdes. Tu lui coupes le souffle un instant,  juste suffisamment long pour permettre à ta main venir chercher la boîte métallique attachée fidèlement à ta ceinture. Tu ne cherches plus, mets tes dernières forces pour venir te glisser dans son dos sur lequel tu grimpes. Tu te hisses sur lui pendant qu'il se débat comme un animal fâché. Tu sors une seringue de la boîte sur ton bassin, vérifies la couleur du liquide sensé être bleuté et tu viens sans aucuns remords, planter l'aiguille dans le cou offert à ton bon vouloir du tatoué. Nouveaux grognements, tu te laisses retomber au sol après d'un geste de pouce sur le poussoir pour venir délivrer le tranquillisant. Fourbe, certes. Mais t'as pas envie de le buter après un tel échange de coups. Ça serait gâcher un potentiel talent.

Le corps tombe au sol, après un instant de questionnement. Le sommeil vient coucher les paupières sur les opales dilatées du barbu. Tu t'abaisses vers lui, tes genoux lâchant un craquement sonore. Parce que t'es plus toute jeune Tri, à l'aube de tes trente ans qui t'effraient. "Reposes toi un peu, va. Tu t'es bien défendu le barbu." Un dernier coup de poing dans l'épaule presque affectueuse vu les échanges précédemment échangés. Tu viens t'affaler au sol, reprenant ton souffle. Les deux poulettes se ramènent enfin, dans un concert de sopranos suraigus. Si t'avais pas eu ton poison, tu sais pas vraiment qui aurait fini à terre. Lui succombant à ses blessures, ou toi fatiguée par le manque? T'auras la réponse à ça un jour t'en es certaine. Bien décidée à ne pas en rester là, t'intimes aux gazelles de t'enlever le cuir présent sur tes épaules. Elles s’exécutent, dociles. Les ecchymoses ont déjà commencés à envahir ta peau laiteuse, ton visage devient de plus en plus douloureux. Tu sors la coke présente dans le petit pochon fermé de ton soutien gorge pour venir y plonger l'ongle de ton petit doigt. Pas le temps pour une trace, un cristal suffira pour le retour.

T'as la tête entre les cuisses de la belle blonde allongée de façon lascive sur le gigantesque canapé de cuir habillant le salon de ton penthouse. Ta langue va et vient, de façon habile tout contre le bouton de plaisir de la poulette frémissant sous ton joug. La seconde gazelle, elle se laisse dévorer volontiers par cette dernière ne manquant pas d'étouffer ses gémissements de plaisir de par le corps caressant son visage. Après l'effort, le réconfort comme on dis chez toi. T'en as chié à traîner la carcasse de l'encré jusque chez toi, laissant la poule aux cheveux bruns la rentrer la victory jusqu'à ton garage après avoir reçu une litanie de menaces venant de ta part si elle osait érafler ton bébé. Dans le confort de ton intérieur, t'as lâché l'ivrogne sur le lit de la chambre d'ami le temps qu'il revienne à lui. Il pèse son poids, l'animal inerte. Puis après l'alcool à de nouveau coulé, la coke t'es montée au nez, les rapports se sont échauffés. Vous voilà donc dans l'une des nuits fauves que tu vies avec passion, savourant encore plus le tout après une bonne baston. La porte de la chambre vient se faire entendre lorsqu'elle se referme dans ton dos. Décollant tes lippes de ce nectar de plaisir coulant à flot, tes doigts quittant l'antre chaude dans laquelle ils s'étaient réfugiés, tu viens essuyer ton visage d'un revers de bras sur tes lèvres. "T'as la salle de bain qu'est là-bas, si tu veux pouvoir avoir le droit de jouer." tu lui montres d'un geste de menton le couloir non loin. T'es plus aimable, plus reposée, attitude totalement différente qu'il y a encore quelques heures. L'invitation est lancée, l'intéressé en fera ce qu'il en veut. T'abandonnes tes beautés pour pour venir gagner l'ilot central de ta cuisine en te servant un énième verre de vodka. Ce soir était une bonne soirée, à reste à savoir comment celle-ci se finira.
(c) DΛNDELION


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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 2 Empty Mer 7 Aoû - 21:32




Crash.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien.
Mais l'important n’est pas la chute, c’est l’atterrissage.



Ils perdent pieds, l'un comme l'autre. La rage et l'amusement se mélangent / s'entremêlent l'un dans l'autre. Deux prédateurs épuisés qui refusent d'abandonner la partie. Aucun n'est prêt pour ça. Aucun n'a le courage / faiblesse- de dire stop. Certainement tous les deux conscients que la limite pourrait bientôt être franchie. Celle qui les verra s'écrouler pour de bon. Joe est à bout de souffle et de force. Les douleurs commencent à s'installer. Les unes après les autres elles se réveillent. Ici et là ça lance. Des sensations de brûlures, d'écorchures, de picotements. Même ses poings sont en sang d'avoir trop cogné. A répétition, depuis ce qui semble être une éternité. C'est avec l'énergie du désespoir qu'il poursuit. Qu'il refuse d'abandonner. Les seules fois où il a abandonné, c'est qu'il a été mis complètement KO. Sauvé de la mort par des soins médicaux précis et immédiats. Lui qui était alors entouré de ses acolytes. D'un gang au noyau solide. Il n'a jamais été foutu à terre dans une rue inconnue, avec pour seuls spectateurs des personnes effrayées. Qui n'auraient sans doute aucun mal à le laisser se vider de son sang sur le bitume new-yorkais. A le regarder crever après n'avoir que trop dérangé ces petits gens bien gentils, bien propres sur eux, bien droits comme il faut. A s'épuiser, Joe s'impatiente. Et ne tarde pas à enchaîner les erreurs de parcours. Les erreurs de combat. Assez pour qu'elle reprenne finalement le dessus. Il a juste assez de force pour grogner l'animal. Pour se débattre. En vain. Elle le tient parfaitement en place. Il ne s'épuise que plus encore.

Et il la sent. L'aiguille qui traverse sa peau. Il en oublie de lutter quand elle injecte le produit. Il est cuit. Dans le meilleur des cas, c'est un tranquillisant pour l'assommer. Dans le pire des cas, c'est une dose fatale. Espèce de ... Il n'a pas le temps de terminer sa phrase, que le brouillard s'installe. Impossible de lutter. Inutile de le faire. Tous les muscles de son corps se détendent de façon instantanée. Ses paupières s'alourdissent. La nuit tombe sur sa conscience.

C'est la douleur qui le réveille. C'est en tout cas là la pensée première qu'il a quand la lumière revient dans son esprit. Il a la sensation de ne pas avoir un seul centimètre carré de peau, qui n'est pas endolori. Ca va de l'arcade explosée aux muscles des jambes qui n'ont été que trop sollicités, en passant par ses côtes qui lui font un mal de chien. Difficilement, il entrouvre un oeil. Le referme pour éviter la lumière encore trop vive à son goût. Puis relève les deux paupières en simultanée. Les sourcils froncés malgré tout pour se protéger en partie. Le brouillard se dissipe lentement mais sûrement. Avec toutes les peines du monde, il tente de se redresser. En appuie sur ses mains, il réalise qu'il est à moitié couché en travers d'un lit qu'il ne le connait pas. Ce qui, en soit, n'a pas grand chose de surprenant. Le mystère du lien ainsi que le fait qu'il n'ait aucun souvenir de la façon dont il est arrivé là. Ce qui lui pose davantage problème, ce sont les derniers souvenirs qu'il a en tête. Une certaine rouquine qui n'a clairement pas raté son coup. Il lui faut plusieurs profondes et lentes inspirations, avant de prendre le risque de se lever. Il titube un peu. La merde qu'elle lui a injecté se trouvant encore dans son organisme, bien sûr. Il voit trouble un bref instant. Il prend donc tout naturellement le temps de faire de nouveau la mise au point de ses yeux clairs.

Enfin il rejoint la porte. Constatant que, Dieu merci, son corps est toujours en relativement bon état de marche. Les douleurs sont là mais supportables. Ce qui le pousse à penser -et à espérer plus fort encore- qu'il n'a rien de cassé. Il passe le pas de la porte, surpris par la scène qu'il découvre derrière. Encore trop assommé pour en être tout à fait excité. Ce n'est pourtant pas faute d'avoir matière à l'être. Ce n'est pas tous les jours que l'on peut assister à ça. Deux femmes ensemble, c'est du pur fantasme et il a eut la chance de le réaliser à maintes reprises. Mais trois gonzesses. Dont une aussi écorchée qu'il l'est lui. Histoire d'être un peu plus sexy encore. Elle se redresse justement. Et lui accorde un regard pour lui adresser la parole. Elle n'a plus du tout l'air de la tarée hystérique qu'il a croisé il y a plusieurs heures de ça. Putain ... Il se retient de la traiter de tarée à voix haute et se contente d'un bref juron. Avant de se détourner d'elles trois pour prendre la direction de la salle de bain. Il reste un moment bloqué devant le lavabo. A se nettoyer le visage et à se rincer abondamment la bouche. Pour se débarrasser du goût métallique du sang et effacer autant que possible les traînées rouges sur son visage. Il n'est pas certain d'avoir envie de rejoindre l'hystérique. Sait-on jamais, s'il lui prend encore envie de profiter d'un moment de faiblesse de sa part pour le droguer. Elle a tout l'air d'être capable de tout. Plus que lui. Bien plus que lui. Il préfère encore passer le temps à vérifier l'étendu des dégâts sur son corps. Tâter ses côtes pour s'assurer qu'elles sont toutes bien à leur place. S'assurer qu'aucune plaie ne risque de s'infecter où que ce soit, aussi.

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@Houna Tchernychev   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 2 2625458459
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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 2 Empty Mer 7 Aoû - 22:39



so far, so good
Joe - Tri

«Ce matin-là, le jour s'est levé. Je veux dire : il s'est vraiment levé car auparavant il été assis. Et je vous assure que ça fait une drôle d'impression, un jour qui tient debout.» Beigbeder
Mal réveillé, grognon, encore sonné le barbu se tire hors de ta chambre d'amis. Il n'est pas resté endormi longtemps, deux petites heures ont suffit à ton tranquillisant pour venir l'assommer. Presque un temps record, pour ce type de mélange que t'en es presque impressionnée. Tu quittes l'entre cuisses de la poule blonde jouissant sur ta langue, pour venir confronter l'animal. Ta tenue de bikeuse à laissé place à ce shorty noir posé sur tes fesses, dernière pièce de tissu encore présent sur ta peau. Tes côtes sont parsemées de tâches violacées, ton dos également. Ta lèvre inférieure est coupée, sûrement par tes propres dents et ta pommette que tu lui avais offerte plus tôt teintée d'une ecchymose de couleur verte. Tes tétons pointent fièrement vers le ciel, lorsque tu viens recouvrir l'un d'entre eux de ta crinière de feu. Tu t'essuies les lèvres, jauge l'homme des pieds à la tête lorsque tu passe près de lui pour gagner l'îlot central en marbre de la cuisine. Il lâche un juron, qui aurait pu se vouloir plus agressif. Il aurait pu tout simplement rentrer dans le tas, pour venir te finir sur le tapis hors de prix choisit par Elzay pour décorer votre appartement.

Tu lui indiques la salle de bain d'un geste de menton, tout en te servant un verre de vodka que tu portes à tes lippes pour le descendre rapidement. Le barbu s'exécute, un peu trop docilement à ton goût, sûrement trop fatigué pour ces conneries. Et toi qui le pensait capable d'encaisser un peu plus, tu te serais trompée? Les deux gazelles viennent à se donner leurs orgasme de façon mutuelle, tu restes où tu es comme la bonne voyeuse que tu fais en laissant ta langue passer sur ta lèvre endolorie des chocs que ton visage à reçu pour ton plus grand plaisir. T'aimes ça qu'on te réponde, tu prends un malin plaisir à frapper deux fois plus fort. Tu donnes toujours le meilleur de toi même, que ce soit en combat ou sous les draps. Un tonnerre de gémissements chauds et passionnés vient gagner le silence de l'appartement. Abandonnant ton verre pour te contenter de la bouteille elle même, tu quittes le salon dans un dernier regard vers les biches reprenant leurs esprits un bref instant. Ton pas léger et inaudible te mène jusqu'à la salle de bain où tu te cales dans l'encadrement de la porte. Tes yeux reluisent lorsqu'ils se posent sur le corps massif du tatoué se tenant face au lavabo de la salle de bain.

"J'ai vérifié moi même, t'es presque en un seul morceau." Tu t'avances vers lui, féline dans la démarche. Son visage, ses épaules sont ce qui a le plus trinqué des différents échanges de poings plus ou moins violents que vous vous êtes échangés un peu plus tôt. Contrairement à lui, t'as pris un seul et unique coup avant votre ballet effréné. Tu peux le sentir, son regard mauvais sur ta couenne. Tu portes la bouteille de vodka une nouvelle fois à tes lèvres avant de la laisser reposer sur le lavabo, libre à lui de la partager si le coeur lui en disait. Tes doigts fins et meurtriers viennent ôter le teeshirt encore présent sur le baraqué pour l'envoyer au sol. Tu découvres de nombreux tatouages, parsemés de tâches violettes et bleutées. Tu les laisses finalement courir sur le dos du barbu.  "Tu t'es bien défendu, tu sais. Sinon ça aurait pas été plus que de l'étorphine que j'aurais logé dans le creux de ton cou." substance fourbe, mais néanmoins très utile. S'il n'avait pas été à la hauteur, t'aurais très bien pu le buter avec un tout autre poison pour apaiser tes nerfs. Hors, les bons combats méritent d'être célébrés, cela faisait bien longtemps que tu n'avais pas dansé comme cela.

Tu te décolles alors, reprenant la bouteille d'alcool russe pour en descendre un long trait. Ta voix s'élève, appelant les deux gazelles. La brunette apparaît accompagnée de la blonde avec un air mutin sur leurs visage. D'un geste de menton silencieux, tu les envoies à l'encré en quittant la pièce. Refermant sagement la porte derrière toi, tu viens regagner le salon où les vêtements traînent en désordre. Tu t'installes sur le canapé, portant encore la chaleur de vos ébats précédents. Tu pousses un grognement, l'une de tes côtes à toi sûrement fracturée ce qui expliquerait cette trace noir te parcourant d'un point à l'autre. Tes lèvres lâchent un juron, d'un coup de main rapide vient saisir ton plateau à traces et viens te préparer une nouvelle ligne de poudre blanche. Gagnant de nouveau ton nez, tu laisses ton corps presque nu balancer en arrière lourdement pour t'allonger sur le cuir. La montée est rapide, te redonnes ce coup de fouet tant recherché. T'entends quelques gloussements, un large sourire s'étire sur tes lèvres abîmées. Fortement agréable comme soirée, tes yeux trouvent le plafond où ils s'arrêtent un instant. Tu t'allumes une clopes, la porte à ton bec en recrachant la fumée dans un nuage grisâtre que t'alternes avec la vodka réchauffant ta trachée.
(c) DΛNDELION


@joe beckford  (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 2 1501198726
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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 2 Empty Jeu 8 Aoû - 21:06




Crash.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien.
Mais l'important n’est pas la chute, c’est l’atterrissage.



Encore à moitié sonné, Joe ne prend pas le temps de contempler davantage la scène qui s'offre à lui. Et qui a pourtant tout pour lui plaire. D'abord, il préfère prendre d'assaut la salle de bain. Prendre le risque de ne plus pouvoir assister à "ça". Le sang a séché sur sa peau, laissant des traînées rouges ici et là. Qu'il ressent le besoin de nettoyer. A ce niveau là il s'en sortait vraiment bien avant de "rencontrer" la rouquine. Les autres types n'ayant pas eut le temps ni l'occasion de lui faire beaucoup de mal. Ça a été une toute autre histoire avec l'inconnue qui s'est déchaînée sur lui. Il faut dire qu'il lui a rendu la pareille. Et que ce n'est pas désagréable à voir sur sa peau dénudée. Rare détail à avoir eut le temps de lui sauter aux yeux avant qu'il ne s'éclipse. Y'a trop de couleurs qui s'étalent sur sa peau et qui s'ajoutent à celles de ses tatouages. Une vision qui lui plait autant qu'elle le frustre. Va falloir qu'il explique ça à son agent de probation. A ce rythme là, il sera de retour derrière les barreaux avant la fin de l'année en cours. Dans un grognement, il entreprend de se nettoyer sommairement, de se rincer la bouche et de se ré-hydrater surtout. Le soulagement est léger. Mais bien présent quand même. Il retrouve peu à peu ses esprits. Les sens de nouveau en alerte. Pas au point d'entendre arriver la jeune femme dans son dos pourtant. Il se tend au son de sa voix et se redresse pour intercepter son reflet dans le miroir alors qu'elle se tient derrière lui. T'as fais que vérifier, hein ? Il retrouve de son ironie habituelle.

Et il est suffisamment rassuré par la lueur qui brille dans le regard de la jeune femme pour se laisser approcher. Pour se laisser faire aussi lorsqu'elle referme ses doigts autour du tissu de son tee shirt pour le lui ôter. Non sans avoir une grimace quand le mouvement réveille quelques douleurs ici et là. C'est simplement le temps de pouvoir bouger à nouveau et remettre tout ça en place, c'est certain. Ce n'est pas tant la douleur qui provoque les frissons sur sa peau tatouée et abîmée au passage des doigts qui se baladent sur son dos. Les prunelles claires du tatoué descendent sur le reflet dans le miroir. Pour aller se perdre du côté des courbes féminines dévoilées par le simple shorty porté. Mais ... T'es qui toi ... ? Question sérieuse. A peine marmonnée pourtant. La pointe de curiosité qui commence à s'installer, vraiment. Pas l'envie de discuter des heures avec elle pourtant. Elle a d'autres projets de toute façon. Le genre susceptible de plaire au tatoué. Qui pivote enfin sur lui même pour voir les deux jeunes femmes débarquer. Il est davantage intéressé que quelques minutes plus tôt. Le regard de nouveau clair. Les pensées plus éclairées. De quoi réveiller l'animal. Les deux minettes qu'elle lui "prête". Façon de lui faire comprendre qu'il a effectivement passé les tests. Finalement, il les mérite les deux filles. Celles sur lesquelles elle a jeté son dévolu au cours de la soirée.

Elle leur tourne même le dos pour les laisser tous les trois dans la salle de bain. Coup de fouet supplémentaire pour lui qui les laisse venir à lui. Les mains trouvent les courbes. Les doigts se faufilent, caressent, tâtent, empoignent. Les peaux se dénudent. Il ressent nettement moins les douleurs le tatoué qui se laisse toucher bien volontiers. Qui touche en retour. De la pulpe de ses doigts, de la paume de ses mains, de ses lèvres aussi. Ses dents taquinent une carotide quand, dans sa gorge, roule un grognement de pur contentement. Il se laisse porter par la vague de chaleur qui monte en lui. Qui fait monter, surtout. Désir apparent. Fièrement dressé. Pourtant il se libère de l'emprise du désir. Pour un court instant, ça ne fait aucun doute. Il loge ses mains sur les courbes féminines pour les pousser à quitter la pièce. Rejoindre la rouquine installée sur son canapé de cuir. Toujours aussi peu vêtue. Marques colorées étalées sur sa peau blanche. Blessures qu'il a causé. Cette pensée est excitante au possible. Aucun doute que la réciproque est vraie aussi. Qu'elle est tout autant excitée par la vue des marques qu'elle a laissé sur sa peau à lui. Abîmant de façon temporaire les nombreuses lignes d'encre qui recouvrent une bonne partie de son corps. T'es bien partageuse finalement ... Qu'il commente avant de coincer une clope entre ses lèvres. Dans la foulée, il récupère la brune qu'il fait descendre d'un étage devant lui. Bouche sale qu'il ne tarde pas à envahir / à posséder. Le regard rivé sur la rouquine, toujours. Il tire sur sa clope, se perd dans un nuage léger de fumée un bref instant. Les paupières s'abaissent un bref instant. L'autre s'affaire à le satisfaire. Les doigts libres se faufilent dans les mèches brunes pour imposer une profondeur et un rythme. Mener la danse à sa façon. Selon ses désirs, son bon vouloir. Ca n'a rien d'une provocation pour tester le soudain côté partageur de la jeune femme. Quitte à jouer, autant lui en faire profiter au maximum. Autant l'inviter à s'en mêler aussi. Pour profiter plus encore de cette soirée qui ne laissait pas imaginer une telle fin. Bien que le mot "fin" soit inexact. Le début d'autre chose, plutôt. D'un autre genre de danse.

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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 2 Empty Jeu 8 Aoû - 22:51



so far, so good
Joe - Tri

«Ce matin-là, le jour s'est levé. Je veux dire : il s'est vraiment levé car auparavant il été assis. Et je vous assure que ça fait une drôle d'impression, un jour qui tient debout.» Beigbeder
T'es féline, Tri. Ta langue passe sur tes canines acérées pendant que tu te délectes du corps offert à ta vue. T'apprécies ces ecchymoses parfois bleutées ou verdâtres qui viennent couvrir son épiderme tatoué que tu viens caresser du bout de tes doigts. "T'aurais aimé qu'il en soit autrement? J'te l'ai déjà dis t'as qu'à demander. " ta voix qu'il a connu rude et à la limite de l'hystérie se veut maintenant chaude et traînante. T'as été sage, tu t'es juste contentée de tâter sa bidoche pour vérifier que rien ne nécessitait de soins immédiats. Il a certes bien dérouillé, mais il s'en sortira. T'as envoyé volé le teeshirt au sol, tu le trouves de toute façon bien mieux sans. Tu peux admirer l'oeuvre des différents coups portés sur son cuir. Ecchymoses surplombant l'encre déjà apposée. Il te demande qui tu peux bien-être, un sourire mauvais se dessine sur tes lèvres accompagnant ses marmonnements. T'es la faux accompagnant la mort lorsqu'elle s'en vient quérir les âmes. Le monstre hantant le dessous des lits des enfants, celle dont le surnom suffit à faire trembler les hauts gradés militaires. "Houna." Que tu te contentes d'ajouter tout en quittant son corps collé au tiens sans même lui demander son identité en retour.

Tes deux petites beautés ont rappliqué docilement, tu quittes la salle d'eau pour laisser le barbu savourer sa récompense. Il l'a bien mérité, après tout. Tu t'éclipses, sagement. Tu regagnes le canapé une bouteille à la main, te prépares une trace de blanche que tu portes à ton nez. La montée est rapide, si bien que t'y crois pas vraiment quand tu vois le grand baraqué sortir du couloir dans son plus simple appareil accompagné des deux gazelles après un bref échange de grognements n'ayant manqués de faire monter ton excitation en flèche. Voyeuse assumée, tu ne t'en régales que d'autant plus lorsque tes yeux se posent sur le membre fièrement tendu entre les jambes de ton invité s'étant finalement bel et bien réveillé. Ta langue se passe sur tes lèvres tuméfiées tu le laisses s'installer lourdement à tes côtés portant une de tes cancéreuses à ses lèvres. "Mes filles, mes clopes... J'te sens à l'aise ça va." tu railles, presque sur le ton de la blague si ce n'était pas clairement de la provocation pour raviver ce jeu entre vous. Vos pics se confrontent, lancées presque au même instant. T'es amusée, définitivement intriguée avec l'envie de jouer. faisant grincer ta mâchoire de droguée.

Il récupère du bout des doigts la brunette pour venir la placer en contre-bas, docile elle vient trouver sa place et s’exécute de façon soumise. Tu te délectes du spectacle, venant attraper la blonde s'offrant à toi. Bien plus sage que ton collègue, tu te contentes d'une brève attention du bout de ta langue sur son bouton de plaisir avant de l'orienter vers son acolyte pour venir la soulager. Quelle magnifique chaîne s'offrant à tes yeux pervers n'ayant de cesse que de se régaler des différent spectacles. T'observes ce jeu d'ombres chinoises, de feulements de plaisir et pourtant ses pupilles ne décollent pas des tiennes. Tu le retrouves une nouvelle fois dans toute sa puissance, tandis que sa main fièrement entourée des cheveux de la brune viennent intensifier les vas et viens. Son membre parfaitement raide venant percuter le fond de sa gorge assaillie, bien trop sagement à ton goût. Tes opales brûlent de désir, tandis que la vodka continue de t'hydrater ne manquant pas de faire brûler ta trachée sur son passage. La clope au bord des lèvres, tirant lourdement sur cette dernière. Ton appartement, éternel lieu de débauche se voit habiter une nouvelle fois de grognements animaux et de gémissements de plaisirs n'ayant de cesse que de te ravir.  "T'es bien plus virulent quand tu t'exprimes avec tes poings. J'suis presque déçue." après tout, on sait tous que les filles de l'est sont extrêmement douées pour la gymnastique intimiste liant deux corps régit par leurs instincts les plus primaires.

Tu te redresses pour te mettre debout, quittant le cuir sur lequel tu t'étais faite une place n'ayant toujours que tes ecchymoses et ton shorty pour t'habiller. La seule encre apposée sur toi est ce prénom donné par l'armée dans le creux de ton cou. "Tri pour trois." Tes mains viennent gagner la tête de la brune trop peu aventureuse à ton goût. Tes mains immaculées viennent gagnées celles dont l'épiderme est encré pour imposé ton propre rythme à la tête de la brunette. Sans pitié, tu accélères les choses tout en approfondissant les allers et venus de sa bouche sur cette queue offerte par le barbu. Les gargarismes se font entendre, tandis qu'elle tente de ne pas s'étouffer du rythme effréné que tu lui dictes de vos mains couplées sur ses cheveux foncés. Ta main garde sa crinière en main, ses lèvres lâchant l'homme vous ayant rejoint. L'attirant vers toi, tes lèvres viennent capturer les siennes avant que tu ne l'envoies récupérer la place que tu occupais un peu plus tôt. La blondinette ne pouvant garder ses lèvres loin du nectar de celle l'ayant accompagnée tout le long de la soirée, vous voilà tout deux relayés au rang de spectateurs.

T'es pas comme ça Houna, t'es pas du genre à rester à observer sans jouer trop longtemps. Ta cigarette presque terminée toujours serrée à tes lèvres, tu viens gagner le corps du tatoué sur lequel tu t'installes à califourchon plantant ton regard brûlant dans le sien, tes seins nus serrés à présent contre sa poitrine de par la position que tu viens adopter. Son membre vient trouver place contre ton bassin brûlant, toi qui te réserve toujours pour le plus grand des finals. "Et toi, qui t'es le tatoué?" que ta voix vient lui susurrer tout en lui saisissant avec violence le lobe de son oreille du bout de tes dents. Volontairement, tu laisses tes hanches danser lentement mais néanmoins chaudement contre le membre définitivement bien réveillé par vos cruels agissements. Ta main vient gagner sa jugulaire où tes ongles s'enfoncent se régalant de sa chaire qu'ils viennent saisir. "Qui tu peux bien-être pour oser me tenir tête..." Ça sonne comme une menace qui n'en est plus vraiment une. Ta curiosité est bien trop piquée, t'es bien trop intéressée par cette carcasse encrée.
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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 2 Empty Ven 9 Aoû - 21:52




Crash.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien.
Mais l'important n’est pas la chute, c’est l’atterrissage.



Impossible d'élucider le mystère de cette jeune femme tout de suite. Elle est beaucoup trop complexe pour cela. Et elle ne montre sans doute pas même la moitié de l'étendu de sa personnalité. Joe il aime bien ce genre de jeu de découverte. Malgré la frustration qui vient avec l'idée qu'il ne saura sans doute jamais tout sur elle. Il doute qu'il s'agisse de mystères pour se donner un genre et pour faire parler. Elle est plutôt porteuse de lourds secrets la rouquine. Ceux qui expliquent cette façon hargneuse qu'elle a de se battre. Besoin viscéral/vital de sang et de violence. Il est bien placé pour comprendre Joe. Mais leurs histoires n'ont probablement rien à voir l'une avec l'autre. Il ne saura sans doute jamais de toute façon alors qu'importe ... Il n'a que son prénom à se mettre sous la dent et ça semble être bien assez au goût de la dénommée Houna, qui s'éloigne de lui pour le laisser dans la salle de bain en très charmante compagnie. Il les accepte avec joie. Les accueille contre lui et se laisser aller aux baisers échangés et aux caresses volées. Qui ont vite fait de réveiller tout à fait l'homme. L'homme animal. L'homme sauvage. Qui rejoint son hôte du côté du salon pour lui faire profiter du spectacle, dans un premier temps. Il ricane à sa remarque quand il extirpe une clope de son paquet. Le sien traînant probablement dans la poche arrière de son pantalon qui a été abandonné dans la salle de bain. Tu m'prêterais les deux minettes mais pas une clope ? Qu'il rétorque, amusé.

Il tire sur la cigarette perdue entre ses lèvres, tout en tirant l'une des "minettes" à lui. A genoux devant lui, plus précisément. Il profite relativement silencieusement, les mâchoires serrées. La main perdue dans les boucles brune surtout. Pour lui rappeler qui des deux dirige. Qui est vraiment aux commandes alors que son visage monte et descend. Avalant les centimètres de désir sans rechigner. Rythme encore lent. Lui est encore occupé à se remettre. Lui préfère fumer sa clope et mater ouvertement. Zieuter en direction de la rouquine qui contemple avec fascination et désir. J'dois t'rappeler c'que tu m'as foutu dans le sang ? Qu'il gronde, presque mécontent encore, presque râleur alors que son regard s'assombrit au souvenir. Garce qui a profité d'une seconde ou deux d’inattention pour guider l'aiguille dans une veine. Qui a flanqué une merde assommante dans son organisme pour finalement le traîner jusque chez elle. Grognement et rire léger se mélangent quand la rousse se lève et attrape les mains tatouées pour appuyer sur la tête de la brune. Pour perdre les doigts dans ses mèches et l'obliger à aller et venir plus vite et plus fort. Plus profondément aussi. Elle peine à respirer sans qu'aucun des deux n'éprouve la moindre envie de l'aider. Il jure à travers ses mâchoires serrées le Joe, quand l'excitation commence à peser plus lourd au creux de ses reins. Les prunelles bleues virent orage d'été quand elles s'accrochent à celles de la jeune femme qui se tient toujours debout en face de lui. Presque soulagé quand la bouche libère l'érection pour aller trouver celle de la rousse sauvage. Sous le regard toujours brûlant de désir du tatoué.

Les deux minettes se retrouvent, des lèvres et des doigts sous les deux autres paires d'yeux qui contemplent. Jusqu'à ce que Houna ne vienne prendre place sur lui / au dessus de lui. Cuisses blanches tachetées d’ecchymoses qui emprisonnent. En retour, les doigts tatoués se faufilent pour aller attraper les fesses. Se planter dans sa chair ferme avec l'envie grandissante de marquer plus encore ce corps abîmé. Joe. Qu'il répond aussi simplement et de manière aussi succincte. Elle n'a pas besoin de plus d'informations à son sujet, elle non plus. Ca gronde dans la gorge du tatoué lorsque les ongles féminins se plantent en retour et que ses dents provoquent. Son shorty l'emmerde pour de bon. Alors il fait basculer le corps féminin sur le canapé. Elle échoue à demi sur les cuisses de l'une des partenaires de jeu. Il se redresse juste le temps de tirer sur le tissu noir pour le faire glisser le long des jambes et l'en débarrasse enfin. Il se penche au dessus d'elle, file capturer entre ses lèvres la pointe tendue d'un sein de celle qui perd ses doigts dans les cheveux roux. Il descend un peu plus pour aller jouer de la même façon avec la sienne. Il aspire presque tendrement avant de mordiller juste assez fort pour provoquer la réaction. Il joue avec les corps féminins qui s'entremêlent déjà entre eux. De ses lèvres qui découvrent, de sa langue qui caresse, de ses dents qui provoquent, de ses doigts qui s'accrochent fiévreusement. Il a le coeur qui cogne, le sang qui pulse, le regard assombrit par le désir. Il malaxe les corps féminins, véritables oeuvres d'arts selon lui. Il impose ses désirs en raffermissant sa prise sur Houna qu'il fait pivoter. Genoux ancrés dans le canapé, la blonde qui trouve une place sous elle et le mâle qui se colle à ses fesses. Qui se presse contre elle. La première fois pour échauffer. La seconde pour s'enfoncer en elle. Premier mouvement mesuré et fluide. Le suivant et ceux qui suivent, offrent davantage de fermeté. Imposent une certaine violence à encaisser au corps féminin. Mouvements secs. Doigts tatoués qui empoignent une épaule et une hanche. Qui viennent mordre.

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@Houna Tchernychev   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 2 2625458459
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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 2 Empty Ven 9 Aoû - 23:10



so far, so good
Joe - Tri

«Ce matin-là, le jour s'est levé. Je veux dire : il s'est vraiment levé car auparavant il été assis. Et je vous assure que ça fait une drôle d'impression, un jour qui tient debout.» Beigbeder
"Prends pas la confiance, j'peux aussi bien décider de ne plus partager." et ça arrivera sûrement. Quand tu trouveras les demoiselles gênantes, après que vous vous soyez amusés un peu. La chaleur est clairement en train de grimper, d'autant plus que les lippes de la brunes viennent capturer l'inconnu t'offrant son corps à vue. Il ne perd pas de temps, ouvre encore un peu plus ton appétit déjà bien grand. Tu tires sur ta cancéreuse, qui quitte tes lèvres pour gagner la poitrine de la blonde s'offrant à toi. Baisers descendant sur son clitoris gonflé de plaisir que tu viens chatouiller du bout de ta langue pour l'humidifier de nouveau. Ta poigne amène ta partenaire à la brune pour qu'elle puisse prendre soin de la croupe offerte à vos yeux. Ta lèvre inférieure se retrouve attaquée par tes propres dents pendant un court moment lorsqu'il te répond en grognant. "De l'étorphine, je doutes que tu saches ce que c'est n'est-ce pas?" T'apprécies, te régales de cette vision, reste sage presque un instant. T'aurais pu laisser tes poisons parler d'une façon plus violente, le laissant agoniser sur le pavé jusqu'à ce qu'il soit retrouvé au petit matin.

Tes fesses quittent le canapé, tu brûle de cette envie de jouer. De danser différemment, de laisser vos corps parler autrement que par vos poings. Débauche incarnée que tu es, mêlant drogues, violences et plaisirs charnels. Tes mains se perdent dans les boucles brunes, tu te satisfais de cette symphonie de jurons lâchés, de grognements et de bruits de succions. Impitoyable jusqu'au dernier aller et venu, te délectant perversement de la situation. De la mâchoire serrée du tatoué son corps se crispant par le plaisir grimpant sûrement en lui, de ces yeux orageux ne quittant plus les tiens brûlant d'un éclat émeraude. De cette gazelle docile se laissant empoigner pour mieux satisfaire votre invité de dernière minute. La brunette forcée à quitter le membre tendu gagne tes lèvres un bref instant, trouve sa place sur le cuir rapidement rejointe de sa supposée amie vu que tu les as trouvées ensemble. Tu rentres en jeu, t'enhardis de ta proie en apposant ton corps au dessus du tiens. Tu feules, saisis sa gorge tout comme son lobe d'oreille en attendant finalement sa voix chaude dans le creux de ton oreille. "C'était un plaisir que de t'avoir causés en partie ces ecchymoses." comme une façon à toi pour le remercier de ce moment intéressant, te rendant un peu plus vivante qu'au début de cette soirée trop calme à ton goût. Le tatoué gronde de nouveau, attisant le feu présent dans le creux de tes reins bercés par ces moments que tu imposes.

Tu n'imposes plus rien longtemps, lorsque tu te retrouves basculée une première fois pour te retrouver sur le dos. Bien trop offerte, que ce soit à Joe ou la brunette sur laquelle tu te retrouves à moitié. Tes lèvres se retrouvent assaillies par d'autre, pendant que tu sens la dernière pièce de tissu quitter tes hanches définitivement. Tu grondes, saisissant fermement la lippe inférieure offerte au bon vouloir de tes dents. Les lèvres te quittent pendant que celles enroulant ses doigts autour de tes cheveux se redresse offrant sa poitrine à l'encré dont le corps vient surplomber le tiens. Tes dents lâchent les lèvres pour venir la peau couverte d'encre tandis que tes griffes viennent se planter dans son dos. Rapidement, sa bouche quitte la brune pour venir trouver ta poitrine t'arrachant un frisson. Rares, sont les fois où tu permets à un homme de poser les mains sur toi de cette façon préférant généralement les courbes féminines à celles masculines. Vous vous perdez dans un mélange de corps dont la vue doit être sublimes, donnant vos lèvres à qui le veut bien tandis que tu prends un malin plaisir à venir agacer le baraquer du bout de tes doigts, a défaut de pouvoir lui offrir tes lèvres, sur sa virilité pendant que ta bouche trouve de nouveau la paire de téton percés de la belle blonde demandeuse. Vos souffles sont chauds, et grognements de plaisirs n'ont de cesse que de faire grimper l'animosité dans vos mouvement pendant que peu à peu vous sombrez dans les réelles nuits fauves.

Encore une fois bien trop soumise à ton goût voilà que tu te trouves une nouvelle fois portée un bref instant pour laisser le temps à blondie de trouver place contre ton ventre. Tes genoux te maintenant fièrement contre le canapé, tu ne peux que te douter de ce qu'il prépare "Enfoiré..." que tu souffles entre deux râles lorsque celui-ci prend place tout contre toi, son membre dressé venant t'échauffer puis te posséder. Une longue râle bestiale s'échappe d'entre tes lèvres sur tout le premier aller et venu venant te découvrir. La brune vient t'offrir sa poitrine tandis qu'elle vient assaillir la bouche de sa partenaire quémandante. Une nouvelle chaîne de plaisir prend place, déchaînant vos sens. Les coups de reins se veulent puissants, imposant leurs loi en toi pendant que tes canines se vengent sur le bout de sein pendu à ta bouche. La chaleur de la fille aux cheveux dorés fait monter ta propre excitation, vos bassins se frottant dangereusement au rythme des coups de butoirs. Ton visage quitte la poitrine avec lequel il s'occupait pour laisser tes opales percuter celles te surplombant obscurcies par l'envie. T'arrives à articuler, entre deux gémissement que tu retiens non sans mal. "C'est bien c'que j'dis. J'te croyais plus virulent" toujours chercher à le pousser à bout, à libérer l'animal en lui. La brune s'excite, semble sur le point de jouir une nouvelle fois. Pas suffisant pour que tes yeux ne quittent Joe un seul instant. T'attends que ça, pouvoir te venger de cette soumission passagère pour pouvoir reprendre le dessus. Peut-être pour ça que tu ne couches pas avec les hommes, la soumission, c'est clairement pas ton truc. On verra qui rira le dernier, lorsque tu le chevaucheras de nouveau mais toute en profondeur cette fois-ci.

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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 2 Empty Sam 10 Aoû - 12:25




Crash.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien.
Mais l'important n’est pas la chute, c’est l’atterrissage.



Il se contente d'étirer ses lippes en un sourire ironique aux mots de la rouquine. Elle peut bien retirer son invitation et le foutre dehors si ça lui chante. Elle peut aussi laisser les choses se dérouler comme elles en ont envie. Avec le sexe torride à la clé. Les heures fauve qui se présentent à eux. Avec cette bouche qui se charge de maintenir en éveille le corps du mâle. Qui monte et qui descend plus vigoureusement encore quand les mains se perdent dans ses boucles brunes. J'pensais pas avoir à connaître ça un jour. Qu'il répond, la voix rauque, le ton chaud, le regard posé de nouveau sur elle. On ne lui avait jamais fait un coup pareil. Et pourtant, il en a connu des situations à la con de ce genre le tatoué. De celles qui laissent sur le carreau. De celles qui lui imposent des partenaires de danse bien plus violents et plus costauds que lui. Les corps se perdent les uns contre les autres. En un ballet encore relativement ordonné. C'est sensuel et provocateur à souhait. Les peaux s'échauffent. Les souffles brûlent. Ils se dévorent les uns les autres en se découvrant. Joe prend le temps de laisser retomber le plaisir, tranquillement. Garde les choses sous contrôle pour ne pas venir trop vite. Profiter aussi longtemps que possible de ces trois corps féminins qui se frottent les uns contre les autres et qui sont à portée de bouche et de mains. Ils continuent de se découvrir tandis que le mâle se joue de Houna. Conscient qu'elle ne peut apprécier d'être dominée par un mâle, il continue de prendre son corps en otage.

L'injure entre ses lèvres qui arrache un bref ricanement au tatoué. Qui, pour toute réponse, appuie sur un bleu, provoque la légère pic de douleur pour finalement venir presser son corps contre le sien. Contre ses courbes offertes. Entre lesquelles il se perd. Entre lesquelles il s'enfonce avec un plaisir certain. Et d'y revenir. Plus vite. Plus fort. Ils expriment leur plaisir. Chacun à leur façon. Elle gémit brièvement. Il laisse échapper un bref grognement. Les suivants retenus par ses mâchoires serrés tandis qu'il raffermit la prise de ses doigts sur elle et qu'il accélère sensiblement la cadence. Il est le seul à en décider. Celui qui lui impose. Les regards se rencontrent une nouvelle fois. Les mots arrachent un nouveau grognement au mâle qui, en guise de réponse cette fois, enroule une main autour de la gorge féminine. Il l'empoigne assez fort pour faire se redresser le corps. Que son dos vienne heurter férocement le torse. Sa main libre, en contrepartie, file taquiner le bouton de plaisir. Pression légère du bout des doigts. Mouvements circulaires. Douceur pour taquiner la fragilité du corps féminin. Tu supportes pas de perdre le contrôle hein ? La lionne veut refermer ses crocs sur l'adorable petite gazelle. Le ton est à l'ironie. Dans la foulée les coups de reins s'accélèrent et se font plus secs, plus violents. Font claquer les chairs qui se percutent sans douceur. De nouveau le corps féminin est basculé en avant. Plaqué avec force contre celui de la blonde. Dans le champ de vision des yeux clairs, la peau est en train de rougir. De s'échauffer du mauvais traitement infligé. Plutôt que de la fesser, les doigts tatoués viennent se crisper sur une fesse. Se planter dans la peau bien trop pâle pour la marquer. A l'image du reste de son corps. Il n'y a pas de raison pour qu'elles y échappent, elles.

Les lèvres du mâle se perdent sur celles de la brune, rien qu'un instant. Les langues se trouvent, s'enroulent l'une autour de l'autre. Les souffles se perdent l'un dans l'autre. Il s'échappe de nouveau pour se redresser. Ses larges mains gardent les deux corps pressés l'un contre l'autre, bien en place. Quand il s'extirpe de l'un pour aller se perdre dans l'autre, arrachant un gémissement à une autre bouche, sur une autre voix. Le regard toujours perdu sur les courbes qui continuent de s'échauffer les unes contre les autres. Les fesses relevées, les poitrines rougies par les baisers incessants et aux pointes dressées par l'excitation. Les langues qui provoquent frustration et plaisir ici et là. Les quatre corps ont trouvé le moyen de s’emboîter à la perfection les uns dans les autres, les uns contre les autres. Ballet endiablé. Corps à corps félin des membres qui s'enroulent, s'emmêlent, se perdent. La cadence qui se fait infernale tandis que les reins du tatoué n'ont de cesse d'aller et venir et de cogner contre ces peaux de différentes teintes. La sienne, assombrit par l'encre qui s'étale. L'excitation est à son paroxysme. Le plaisir difficilement contenu / étouffé / retenu. Extériorisé par les soupirs et autres plaintes qui s'échappent de façon désordonnée. Ses mains se perdent ici et là. D'une poitrine à l'autre pour finalement échouer sur le creux d'une taille ou l'arrondie d'une fesse. Il frôle, caresse, tâte, empoigne, frappe un peu parfois. Finalement il libère la rouquine, se déplace, inverse des corps, provoque soulagement et/ou frustration en empoignant les hanches de la brune à la peau délicatement bronzée. Pour la faire basculer à son tour et se perdre en elle. La même violence dans les reins. Pour imposer son rythme soutenu. Ses besoin primitifs. Soulager de nouveau l'animal qui n'a que peu de contrôle sur lui même. Qui se laisse tout autant aller dans les étreintes bestiales que lorsqu'il échange des coups.

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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 2 Empty Dim 11 Aoû - 21:51



so far, so good
Joe - Tri

«Ce matin-là, le jour s'est levé. Je veux dire : il s'est vraiment levé car auparavant il été assis. Et je vous assure que ça fait une drôle d'impression, un jour qui tient debout.» Beigbeder
T'es de celles qui mène le jeu les canines retroussées, de celles aux mains aventureuses et sauvages. T'imposes tes envies à leurs gré, ne laissant pas le choix lorsque tes pulsions animales te prennent. Tu ne résistes pas,  jamais, tu te laisses aller aux différents corps qui passent dans tout lit, courbes généralement galbées et graciles. Petites beautés que tu te procures en échange de quelques billets ou de quelques faveurs souvent chimiques. Ça t'amuses, de les voir avec leurs besoins toujours plus grands, leurs laisser-aller de plus en plus vibrant. Comme une drogue, tu provoques l'addiction et aussi vicieuse qu'elle tu t'installes pour détruire toujours plus. Abîmer, torturer, violenter. Tu les attends sagement, ces chatons sauvages revenant constamment vers la main les nourrissant. C'est pervers, c'est malsain, mais si t'avais une queue ça te ferait bander. Lorsque leurs yeux papillonnent pour essayer de t'acheter avant que tes griffes ne viennent rappeler leurs place en bas de l'échelle. Puma inquisiteur, ne laissant marcher personne sur ses plates bandes délimitant son territoire.

Ton corps se fait soulever, manipuler t'arrachant de nombreux grognements de mécontentement. C'est toujours comme ça avec les hommes de toute façon, toujours vouloir imposer leurs dominance soit disant naturelle. T'es plus matriarcale, et tes feulements ne manquent pas d'appuyer ton soudain élan de féminisme. Ta peau retrouve celle de la blonde tout contre ton ventre, tandis que Joe semble bien décider à t'en faire baver pour un instant. Tu jures, forcément ça l'amuse. Il répond en appuyant sur l'une des ecchymoses fraîches ornant ta peau, assez fort pour que tes dents viennent se refermer sur le téton avec lequel elles s'amusaient. Le premier coup de rein t'arrache un frisson, tant il est lent. Une nouvelle râle s'échappe, se mêle aux autres et à l'air bouillonnant de ton appartement. Les yeux se trouvent, ne se quittent pas tandis que les coups de butoirs se veulent rapidement plus agressifs et conquérant. Tu lances la pique, à défaut de pouvoir appuyer où ça fait mal. L'une de ses mains vient te ramener à lui, tout contre son dos sans aucune douceur. Vous êtes bestiaux, féroces, sans retenue. Vous avez bien constaté la résistance de l'autre, vous le savez que vous allez pas vous briser comme ça même en mêlant vos forces. L'ironie chatouille tes oreilles, tu feules toujours fermement empoignée pendant que sa main libre gagne du terrain dans les contrées de ton entre-jambe offerte à son bon vouloir. "La lionne à trouvé plus appétissant qu'une frêle gazelle." que tu peines à articuler, secouée par le plaisir dans le creux de ton ventre. Il te relâche, t'offre de nouveau à blondie, ravie.

Toujours plus effréné, plus saccadé. Tu perds pieds un instant, nettement plus habituée à donner plutôt que de recevoir. Pas de claquements autres que vos corps se trouvant encore et encore, pendant que ta peau se voit maltraiter de ces larges mains abîmées par cette soirée tout en coups. Malmenées, elles viennent pourtant chercher le contact de la pulpe de ses doigts pour ne pas se faire oublier un seul instant. Tout ce qui suit n'est qu'une chorégraphie élaborée de façon savante ne manquant pas de faire monter le plaisir chez tout le monde. Vos épidermes se pressent, se frôlent, s'embrasent. Vos lèvres se trouvent, s'abandonnent, viennent apposer des taches violacées sur les différentes peaux offertes. Plus de mots, si ce n'est des jurons lâchés de part et d'autres de chacun de vous. Retenir le plaisir, le faire grimper jusqu'à son summum. Exciter les sens, ou les tétons dressés tout aussi demandeurs d'attention. Le membre fièrement dressé se couvre du nectar de votre plaisir, alternant la cible pour mieux vous faire gémir. La croupe de la brune quitte la langue bien affectueuse de son accolyte, se retrouve submergée du corps du tatoué vous abandonnant elle et toi à votre sort. Tu te laisses tomber à genoux sur le sol, dévorant le sexe humide et épilé de la gazelle t'en donnant à coeur joie. Tes doigts rentrent dans la partie, deux, puis trois que tu fais aller et venir rageusement.

Ses membres se contractent, ses lèvres trouve la brune lorsque sa bouche n'est pas occupée par Joe, à l'instinct animal nettement marqué. La tienne sur le point de jouir en demande encore, à votre service madame. Tu mordilles, aspires, taquines le bouton gonflé. Parfois t'y passes ton pouce, le caresser de façon effréné. Ta main libre saisit la gorge, presse fort, ne lâche pas prise en lui imposant un léger suffoquement. Sa voix s'étouffe, se transforme en couinements qui la caractérise si bien. Son orgasme éclate, tes doigts restent en elle un instant tandis que sa jouissance vient perler sur ton visage qui vient quitter ses cuisses. Un sourire étendu sur ton visage, ta langue joueuse vient se régaler de la cyprine présente sur tes lèvres. Sur tes deux jambes, abandonnant la poulette épuisée tentant de reprendre son souffle, tu saisis ton plateau de la parfaite camée et vient te taper une trace. Le spectacle offert par le barbu te ravie, bientôt la tête aux boucles brunes rejoindra son amie aux portes du septième ciel pour sûr à en juger les gémissements s'échappant de sa bouche pulpeuse. La poudre blanche trouve ton nez, que t'essuies d'un revers de poignet. Tes doigts attrapent la bouteille de vodka, l'amène à ton visage pour te désaltérer faussement. La seconde vient gueuler son plaisir avant même que ton bras ne quitte l'air pour lâcher la bouteille sur la table basse.

T'attends pas, prend de court ta proie. Tes yeux brûlant d'envie de lui faire payer ses agissements et cette brève soumission, tes pas te rapprochent de l'encré, l'une de tes mains abîmée également le saisissant par sa crinière. Tu fais basculer Joe, encore bien au chaud dans sa partenaire de l'instant pour les séparer et le faire chuter le dos tout contre le cuir. Peu importe les deux gazelles, ce round se jouera à deux. Tu rentre à nouveau dans la danse, de nouveau à califourchon sur ta victime de la soirée. Une au moins qui restera une vie, s'il reste sage du moins. L'une de tes mains vient glisser sa virilité raide à souhait jusqu'à l'entrée brûlante de ton intimité. Centimètres par centimètres, tu le laisses s'insinuer en toi pour venir prendre sa place entièrement tout en toi. Tes dents viennent trouver sa peau, mordent un bleu pas joli à voir présent sur l'une de ses clavicules tandis que tu t'abaisses pour recouvrir son corps du tiens. Tu lui avais dit, que tes dents se refermeraient sur un met plus appétissant que les gazelles. A son tour d'être offert à ton bon vouloir. Impitoyable jeu de hanches, roulant des reins de façon rapide. Tes doigts trouvent ses cheveux, s'emmêlent entre les mèches tenues fermement maintenant son visage vers l'arrière. Que cette scène est belle, que ces grognements sont beaux.  

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